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AIR-DEFENSE.NET

g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Dépassés ... tout simplement. Rafael poropose un missile certe un peu lourd, mais qui s'apparente plus a un drone a usage unique qu'autre chose. Optique IIR du poste de tir plus ... optique IIR et/ou CCD sur le missile. Liaison de donnée bidirectionnel entre le missile et le poste de tir. Réplication de la vision missile sur le poste de tir, avec enregistrement video. Capacité fire & forget du missile, le tireur peut disparaitre sitot le missile sorti du tube. Possibilité de téléguider le missile via l'optique de celui ci, comme un drone. Possibilité de réassigner un objectif F&F en court de vol. Possibilté de tir "au jugé" ou masqué, et d'assignation d'objectif apres observation en vol, "fire observe & update" ou tir NLOS, et donc protection du tireur qui n'apparait jamais dans le champ de la cible. Possibilité de constat des effet de l'arme a travers les images de l'optique du missile juste avant te toucher, enregistré en vidéo Plusieurs trajectoire préprogrammé, dont tir direct, attaque par le toit, ou tir lobbé - pratique pour l'observation - ... En gros la technologie drone kamikaze utilisé permet toute les excentricité, il suffit de changer un peu le logiciel pour faire a peu pres n'importe quoi, y compris du F&F sur aéronef lent.
  2. on passe de mortier 120, a MO120 + 8x CAESAR 155mm ... on passe de 2 HdM, a 10 helo gazelle/tigre/caracal ... on passe de 3 char a 10 char ... on va y envoyer des Aravis ... Tous ca pour les meme 3 FOB. Alors soit nos décideur on merdé au début du déploiement Kapissa sur le dimensionnement ... soit on va etre overkill :) ... soit on agrandi la zone et on muscle nos actions.
  3. Les américain tiennent l'est avec des Hummer depuis des lustres ... et les dernieres annonces de déploiement de force sont assez conséquent par rapport aux moyens précédement sur le theatre, pour le meme périmetre. Tant mieux pour les gars sur place en meme temps ... mais je suppose que c'est pas pour rien qu'on renvoie des moyens. Soit une extension de notre zone d'action, soit un role plus offensif, soit les deux. Dison que je doute que ce soit juste pour marketer les tigre et les caesar combat proven.
  4. On "quitte" Kaboul ... bientot auto-géré par l'ANA et l'ANP, du moins pour la mission de sécurisation En contrepartie on redéploie nos troupe sur place, a l'est de Kaboul, donc en Kapissa et a Surobi. Néammoins Surobi fait partie du commandement régional "Capital" et pas "Est". Donc on pourrait avoir un nouveau dessin de zone, avec une zone francaise compacte incluant la Kapissa et Surobi plus les abords ... le tout sous commandement francais, et sous l'autorité régional est, donc américaine. Vu l'afflux de matériel, artillerie 155, helicoptere de combat, char de combat ... il est d'ailleurs probable qu'on étende notre zone d'influence, parce que ca va faire un peut oberkill pour 3 FOB a force, meme si celle ci on vu leur effectif grossir largement.
  5. g4lly

    Budget de la défense 2009

    Un autre rapport sénatorial 2009-2014 http://www.senat.fr/rap/a08-548/a08-548_mono.html ... A. LA « VALSE DES MILLIARDS », OU « DU LIVRE BLANC AU LIVRE BLANC » Les sommes en jeu ont considérablement évolué depuis le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2008 : - dans un premier temps, ces évolutions ont été favorables à la mission « Défense », avec un texte initial qui prévoyait un supplément de 1,66 milliard d'euros (de 2008) sur la période 2009-2014 par rapport au Livre blanc, puis le plan de relance de l'économie, portant ce supplément à 2,73 milliards d'euros (de 2008) ; - la situation s'est alors dégradée, d'une manière passée relativement inaperçue : alors que la loi de programmation des finances publiques 2009-2011 prévoyait explicitement que les crédits de paiement qu'elle programmait pour les années 2009 à 2011 ne seraient pas revus à la baisse en cas d'inflation plus faible que prévu, c'est précisément ce que le gouvernement prévoit de faire : certes, par rapport au Livre blanc, le supplément de 2,73 milliards d'euros (en euros de 2008) demeure, mais comme les besoins de paiement de la mission « Défense » ne dépendent pas mécaniquement de l'inflation, cette stabilité des ressources en volume n'en traduit par moins une perte de pouvoir d'achat par rapport à un scénario d'inflation « normale », évaluée par les rapporteurs pour avis à environ 2 milliards d'euros (près de 5 milliards d'euros de moindres crédits de paiement en valeur, moins environ 3 milliards d'euros d'économies sur les dépenses dépendant de l'inflation). Les rapporteurs pour avis ont tout d'abord envisagé de prévoir explicitement que la mission « Défense » conservait, sinon la totalité de ces 5 milliards d'euros, du moins 2 milliards d'euros. Cette perspective ne paraît cependant pas réaliste, compte tenu de la situation des finances publiques. Par ailleurs, l'articulation du présent projet de loi avec la loi de finances initiale pour 2009 et la future loi de finances initiale pour 2010 est délicate. Tout d'abord, les crédits de paiement de 2009 sont supérieurs de 150 millions d'euros à ce qui résulterait du présent projet de loi. Ensuite, les crédits de paiement de 2010 seraient majorés de 30 millions d'euros, prélevés sur la « réserve de budgétisation » prévue par la loi de programmation des finances publiques, et destinés à contribuer au financement des opérations extérieures (OPEX). Les rapporteurs pour avis considèrent que cet excédent de crédits de paiement en 2009 et 2010 ne doit pas conduire à « reprendre » ces sommes à la mission « Défense » en fin de programmation, par des annuités inférieures à ce que prévoit le présent projet de loi. Les dépenses de la mission « Défense » passeraient de 30 milliards d'euros en 2008 à 33 milliards en 2020 (en euros de 2008). Cette augmentation en volume n'en traduit pas moins une diminution de leur part dans le PIB, qui passerait de 1,6 à 1,4 point de PIB d'ici 2020. B. UNE AUGMENTATION DES DÉPENSES D'ÉQUIPEMENT QUI NE PARAÎT PAS EXCESSIVE En ce qui concerne les dépenses d'équipement, celles-ci seraient supérieures, d'ici 2014, de plus de 1,5 milliard d'euros par an en moyenne par rapport à la situation actuelle (en euros de 2008), passant de 15,5 milliards d'euros en 2008 à 20 milliards d'euros en 2020 (en euros de 2008), et atteignant alors 60 % des dépenses de la mission « Défense » (contre 50 % actuellement). Malgré l'importance des sommes en jeu (186 milliards d'euros de 2009 à 2014, dont 102 milliards d'euros pour l'équipement), celles-ci ne paraissent pas excessives. En effet : - le renouvellement de certains des principaux matériels est urgent ; - le coût des contrats d'armement augmente plus rapidement que l'inflation ; - les ambitions en matière d'équipement ont été considérablement revues à la baisse par rapport au « modèle d'armée 2015 », défini par la loi de programmation militaire 1997-2002 et qui, si on voulait l'atteindre coûterait, d'ici 2015, plusieurs dizaines de milliards d'euros de plus par rapport à ce que prévoit le présent projet de loi (20 milliards d'euros selon sa définition initiale, 35 milliards d'euros selon la définition actualisée retenue par le Livre blanc). Comme on l'a indiqué ci-avant, les lois de programmation militaire se contentent, pour l'essentiel, de tirer les conséquences des programmations passées. Le présent projet de loi ne fait pas exception. Ainsi, la croissance attendue des dépenses d'équipement d'ici 2014 provient en quasi-totalité des engagements de crédits antérieurs. Les principaux apports du présent projet de loi consistent en la programmation de l'acquisition, postérieurement à 2014, d'un dispositif de détection des tirs de missiles balistiques, et en la poursuite du développement des capacités de renseignement satellitaire. Le présent projet de loi révise en outre à la baisse certaines « cibles », dans le cas des drones, des équipements FELIN, des hélicoptères Tigre, des frégates FREMM (qui seraient au nombre de 11, au lieu des 17 initialement prévues) et des missiles de croisière. Bien que, contrairement à ce qui était préconisé par certains spécialistes7(*), le présent projet de loi ne remette pas en cause le nombre de Rafale qu'il est prévu d'acquérir à terme (qui reste de 294), la cadence de livraison envisagée d'ici 2014 conduirait, si elle était maintenue, à la livraison du dernier appareil en 2036, ce qui amène à s'interroger sur la réalité de l'objectif final, d'autant plus que les objectifs explicitement fixés par le présent projet de loi aux forces aériennes ne semblent exiger de disposer des 300 appareils prévus en 2020-2025 que si l'on suppose que même en période de conflit majeur le taux de disponibilité des appareils serait le même qu'aujourd'hui. C. DES EFFECTIFS COMBATTANTS À PEU PRÈS STABLES DONT L'UTILITÉ OPÉRATIONNELLE EST LIMITÉE PAR LE MANQUE DE MATÉRIEL ET L'INSUFFISANCE GLOBALE DES MOYENS DE PROJECTION EUROPÉENS Les réductions d'effectifs prévues par le présent projet de loi concernent en quasi-totalité les fonctions soutien. Ainsi, les effectifs combattants stricto sensu seraient à peu près stables. L'armée de terre continuerait de disposer d'un « réservoir » de forces projetables de l'ordre de 90.000 combattants. Comme cela a été indiqué ci-avant, l'objectif de capacité de projection 1 an sans relève passerait de 50.000 combattants (sans indication de distance ni de délai) à 30.000 combattants (à 8.000 km et dans un délai de 6 mois). Cet objectif est nettement inférieur à la capacité de projection du Royaume-Uni (45.000 combattants ont été projetés en Irak en 2003, avec un « réservoir » de forces projetables de l'ordre de 100.000 combattants). Il est également inférieur à la capacité (supérieure à 40.000 combattants) qui semble découler des effectifs potentiellement projetables, et le délai de 6 mois est relativement long. Cela paraît s'expliquer par un manque d'équipements concernant non seulement l'armée de terre, mais aussi les moyens de transport aérien. Si l'on considère que des forces projetés doivent normalement être environ 2 fois plus nombreuses que leur adversaire, et que la qualité de l'équipement et de l'entraînement ne permet, au mieux, que de ramener ce ratio à un peu moins de 1 pour 1, une capacité de projection de 30.000 combattants conduit nécessairement la France, alors que les armées ont habituellement plusieurs centaines de milliers de combattants, à intervenir dans le cadre de coalitions. Dans ces conditions, le problème fondamental semble moins être l'insuffisance des capacités de projection françaises que celle des capacités de projection européennes. Le développement des nouvelles technologies d'acquisition et de partage de l'information (drones, intranet tactique...) ne semblant pas susceptible de bouleverser à moyen terme le rôle déterminant des effectifs, les rapporteurs pour avis se demandent, comme cela a été indiqué ci-avant, s'il ne serait pas opportun, lors de la révision du Livre blanc et de la loi de programmation militaire en 2012, de retenir un objectif de projection de 40.000 combattants 1 an sans relève, intermédiaire entre celui prévu par la loi de programmation 2003-2008 (50.000, sans indication de délai) et celui proposé par le présent projet de loi (30.000, à 8.000 km et en 6 mois), en précisant qu'il s'entend à l'horizon 2020-2025, et dans un délai de 4 mois8(*). En effet, les dépenses d'équipement qui permettraient à l'armée de terre de pleinement utiliser ses effectifs projetables semblent présenter une utilité marginale nettement plus élevée que celle des autres dépenses d'équipement. Il paraît donc préférable, du point de vue de la bonne utilisation des deniers publics, de consacrer une somme donnée à l'acquisition d'équipements devant permettre à l'armée de terre de disposer d'une capacité de projection conforme à ses effectifs, plutôt qu'à des matériels très coûteux dont l'utilité opérationnelle serait moindre. La France devrait en outre disposer peu après 2020 d'une cinquantaine d'A400M, ce qui supprimerait le « goulet d'étranglement » du côté de l'armée de l'air. ... Les grands équilibres du présent projet de loi : reconstitution par les rapporteurs pour avis (projet de loi tel que modifié par l'Assemblée nationale pour prendre en comptes les effets du plan de relance) * Moyenne annuelle. ** Ces montants (après soustraction des versements du fonds de concours de service de santé des armées) ne figurent pas dans le présent projet de loi mais ont été transmis, en euros courants, par le ministère de la défense. La conversion en euros de 2008 a été effectuée sur la base des hypothèses d'inflation retenues pour l'élaboration du présent projet de loi : 2 % en 2009 et 1,75 % ensuite. *** Calculé par les rapporteurs pour avis. Sources : présent projet de loi, ministère de la défense, calculs des rapporteurs pour avis
  6. http://www.defense.gouv.fr/marine/base/breves/fete_nationale_entrez_en_seine_avec_les_commandos_marine À l’occasion du 14 juillet 2009, la Marine nationale fera naviguer sur la Seine, entre le pont de la Concorde et le pont des Invalides, des ETRACO (Embarcation de Transport RApide pour COmmandos) de la base des fusiliers marins commandos de Lorient. Utilisées quotidiennement par les commandos marine, ces embarcations d’intervention effectueront des baptêmes d’une quinzaine de minutes l’après-midi du 14 juillet, entre 13h00 et 17h00, au profit des personnes qui se présenteront pont Alexandre III (port Champs-Élysées). Conçus pour mener des raids nautiques sur de longues distances, les ETRACO sont particulièrement adaptés aux assaut à la mer, déclenchés lors d’opérations de lutte contre le narcortafic ou quand il est nécessaire de reprendre le contrôle d’un navire faisant route. Ces embarcations pneumatiques semi-rigides de 9 m de long, très fortement motorisées, sont équipés de systèmes de navigation modernes et peuvent accueillir une dizaine de commandos, en plus des deux hommes d’équipage qui se consacrent à la manœuvre. Leur pilotage nécessite, en plus d’un sens marin éprouvé et d’une bonne endurance physique, de suivre un stage long et exigeant. Infos pratiques : L’embarquement se fera à partir de l’escale des BATOBUS du pont Alexandre III dans le 8ème arrondissement. Des fusiliers marins seront présents sur le quai pour accueillir et renseigner le public, parler de leur métier et équiper les personnes souhaitant embarquer pour une navigation magique. L’équipement de sécurité (gilet de sauvetage) sera bien évidemment fourni. Conditions générales pour embarquer * Être âgé de plus de 14 ans ; * Savoir nager ; * Ne pas être atteint de maladie ou d’affection incompatible avec l’utilisation d’une embarcation rapide à moteur, susceptibles de provoquer de fortes accélérations et des secousses ; * Ne pas être en état de grossesse déclarée ; * Accepter de prendre en charge les dommages éventuellement causés par soi-même à la marine nationale, à des tiers ou à soi-même et être assuré à cet effet. La marine nationale couvre en revanche les dommages éventuellement causés par elle-même au bénéficiaire de l’embarquement, à des tiers ou à elle-même ; * Se conformer aux prescriptions du chef de bord et de l’équipage ; * Port du gilet de sauvetage obligatoire.
  7. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5heZaMAeSYsX22e_tEHd7tqaoRlUA Vol AF447: les Américains arrêtent leurs recherches des boîtes noires De THE ASSOCIATED PRESS – Il y a 14 heures RIO DE JANEIRO — Deux remorqueurs de haute mer transportant des systèmes de détection de signaux de la Marine américaine cessent leurs recherches des boîtes noires de l'Airbus A300-200 d'Air France qui s'est abîmé le 1er juin dans l'océan Atlantique, a annoncé vendredi le commandant des forces américaines impliquées dans l'opération. Des recherches continuent néanmoins d'être effectuées au large du Brésil par le sous-marin nucléaire français "Emeraude", a précisé le colonel Willie Berges de l'US Air Force. D'après lui, l'un des remorqueurs a arrêté sa mission vendredi. L'autre remorqueur devait en faire de même dans les prochains heures. Les deux navires ont opéré "sans succès", a-t-il dit. Cette annonce correspond à l'arrêt de la première phase des recherches acoustiques des balises des boîtes noires. Selon le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), en charge de l'enquête technique sur l'accident, une deuxième phase doit débuter après le 14 juillet. Elle sera menée par le "Pourquoi Pas", navire de l'Institut français de la recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER), qui est équipé de deux engins de plongée, le mini-sous-marin "Nautile" et le robot "Victor". L'accident du vol AF447 d'Air France entre Rio de Janeiro et Paris-Charles de Gaulle a coûté la vie aux 228 personnes à bord. Selon les enquêteurs, l'origine exacte de la catastrophe ne pourra être déterminée qu'avec l'aide des enregistreurs de vol.
  8. http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Boulogne_sur_Mer/actualite/Secteur_Boulogne_sur_Mer/2009/07/11/article_l-ecologie-s-invite-a-bord-du-patrouille.shtml Doté des dernières innovations technologiques, le patrouilleur des douanes de Boulogne que nous vous présentions hier a aussi pris de l'avance en matière écologique. Pour déplacer ses 412 tonnes d'acier, les deux puissants moteurs Caterpillar installés dans la cale ne sont pas de trop. Le Jacques-Oudart-Fourmentin, le plus gros patrouilleur des douanes françaises basé à Boulogne, est un géant dans la galaxie des navires des différentes administrations agissant en mer. Pour alimenter sa puissance, 44 m³ de fioul sont embarqués afin de permettre une autonomie la plus longue possible. Au final, sa consommation est légèrement supérieure à Vent d'Aval, l'ancienne vedette qui était beaucoup plus petite. Un « plus » pour l'environnement qui n'est pas le seul. Loin de là. À bord, 8 tonnes d'eau potable sont embarquées pour alimenter les douches, les machines à laver, les éviers et les toilettes. Mais grande nouveauté, un osmoseur permet dorénavant à l'équipage d'être autonome en eau potable grâce au filtrage de l'eau de mer. Néanmoins, les marins ne la consomment pas puisqu'elle ne présente aucun intérêt sur le plan nutritif. Il n'empêche, cette eau est parfaitement adaptée à l'usage ménager. Retraitement des eaux Autre innovation, le Jacques-Oudart-Fourmentin bénéficie d'une mini station d'épuration. Toutes les eaux usées de l'équipage sont dirigées vers une fosse septique qui les retraite avant leur rejet en mer. Certes, l'eau n'est pas consommable à sa sortie mais pollue beaucoup moins qu'auparavant. Un sacré progrès pour une administration qui veut montrer l'exemple dans cet environnement menacé : la mer qu'elle protège maintenant dans tous les domaines. • OLIVIER MERLIN
  9. Le probleme est plus que les taliban se sentent en danger et engage plus vigoureusement le combat. Le Hlemand est un de leur sanctuaire, ils y avait redéveloppé un pouvoir politique et été adossé aux provinces "amis" pakistanaise. Si l'offensive US/UK a plusieurs dizaine de milliers d'homme se poursuit, et qu'il y a une quelconques coordination avec les offensives pakistanaise, les taliban pourraient perdre pas mal de soutient et retourner dans une situation post 2001. Le probleme etant que dans ce cas ils concentreraient leur effort sur du "pur" terrorisme tout azimut, un peu ce qui se passe dans le secteur allemand.
  10. Le niveau 4 c'est en équivalent épaisseur acier de blindage ... autour 40mm voire un peu moins ... mais avec des matériaux plus moderne on doit arriver a la même efficacité pour moins épais. Le niveau 2 c'est autour de 15mm mais la aussi avec des matériaux moderne on doit arriver au même résultat pour 10m # BS - Armor-piercing incendiary original anti-tank round. The projectile weighed 65.5 grams and was 51 millimeters long with a 38.7 gram core of tungsten carbide with 1.8 grams of incendiary material in the tip. The overall round weighed approximately 200 grams and was 155 millimeters long. The projectile has a muzzle velocity of approximately 1,000 meters per second and could penetrate 30 millimeters of steel at an incidence of 60 degrees at a range of 100 meters, or 25 millimeters at a range of 500 meters. [1] # B-32 - Armor-piercing incendiary full metal jacket round with a hardened steel core. Projectile weight is 64 g and muzzle velocity is 1000 m/s. Armour penetration at 500 m is 32 mm of RHA at 90 degrees. http://en.wikipedia.org/wiki/14.5x114mm Accessoirement le PVP est prévu pour le remplacment par le haut du P4 ... d'ou sont blindage léger, pas typé combat, seule la protection contre les mines a été particulierement travaillé. Pour plus de blindage il faut se tourner vers les AVXL et VBR qui sont disponible en niveau 4 donc "immunisé" contre le 14.5
  11. Le moteur fusée reste allumé après la sortie du tube ... mais normalement le peu de fumée des rocket est soufflé par le rotor. Les missile air air génére infiniment plus de fumée et c'est sans trop de conséquence sur le régime moteur, d'autant qu'il y a une grosse inertie sur un rotor d'helo, a part éteindre la turbine complétement je vois mal une tres courte baisse de puissance mette l'helo au tapis.
  12. Officiellement le PVP a une protection ballistique de niveau 2 pour le compartiment équipage et niveau 1 pour le reste. Donc arme légere uniquement. Pour les mine c'est autour de 6kg. Les VAB on un blindage rapporté qui fait bien 10mm ... le blindage original encaisse tout ce qu'il y a sous la 12.7 ... avec l'ajout on doit encaisser jusqu'au 14.5mm, soit pas loin du niveau 4, et ce pour toute la caisse.
  13. g4lly

    Achat suisse

    Un instant je me suis demandé ce que venait faire ton message dans le topic "Nouveau air défense" ... :lol:
  14. La galerie photo http://www.premar-atlantique.gouv.fr/galeries/Kermorvan
  15. Il est possible que ce soit financier. La gendarmerie loue dorénavant les matériels quelle n'as pas a l'armée, et c'est assez cher. Je suppose donc que louer des vehicules déjà présent sur place, est moins cher que de louer des véhicules pas encore présent - transport, maintenance spécifique etc. - Pour le blindage normalement les VAB déployé la bas sont tous "surblindé", donc a priori au moins autant blindé que les PVP ... normalement plus puisqu'en pratique le blindage est presque deux fois plus épais.
  16. Ca sent surtout un plan de subvention caché a airbus ce truc ... en pleine crise du secteur aérien civil ... une pseudo rallonge indispensable tombe a pic.
  17. Il existe un bouton "modifier" sous des post qui te permet de les modifier ... et donc d'y ajouter de chose, plutot que de poster 4 fois consécutivement.
  18. g4lly

    Système FELIN

    http://www.defpro.com/daily/details/345/ French soldier system makes first public debut at press presentation 11:09 GMT, July 2, 2009 Cats are fascinating animals. All members of the cat family are true carnivores that have to hunt and kill in order to survive. They are capable of running at great speed in short bursts of intense activity while in pursuit of their prey. They use hidden lookout posts where they first observe their prey and are able to attack with a precise and effective lethal move without being seen. What if these natural virtues could be acquired by technical means to support soldiers in one of today’s most dangerous mission areas: the urban environment? These aspects seem to have inspired the French Army and the defence procurement agency DGA when they evaluated a study of the dismounted soldier modernisation programme in 1995 which lead to the development of the FELIN (French for cat, cat of prey but also for “Fantassin à Équipements et Liaisons Intégrés”) Dismounted Soldier System. This system is currently completing the evaluation process and entering production. defence.professionals (defpro.com) yesterday had the opportunity to convince itself of the results of the French development activities during a presentation in Sissonne in northern France. First public debut of the FELIN The operational objectives had been defined since the beginning to enhance all capabilities of dismounted soldiers such as protection, weapons use, communication, observation and intelligence, and increased endurance. All objectives have lead to the FELIN production series which had its first public debut at the international press presentation on Wednesday. At the French MOUT (Military Operations on Urban Terrain) training centre in Sissonne, the prime contractor, Sagem Défense Sécurité (SAFRAN Group), in cooperation with the DGA, presented the different system configurations in a dynamic demonstration at the Platoon level. The entire system has a modular design and can, therefore, easily be adjusted to any mission profile. The platoon commander can choose which capabilities are required for the particular mission and, accordingly, how the soldiers are to be equipped. He can select different armaments such as FAMAs, FRF2 sniper rifles or the 5.56mm Minimi. Furthermore, he has the choice of different protection levels such as lightweight protection, ballistic vests including protection plates, or even a full NBC-protection kit. Information exchange providing increased situational awareness The heart of the system is the C4I module which connects each soldier to the squad’s network. The individual radio, GPS and man-machine interface (MMI) links the soldier to the platoon network. He may send and receive information in the form of voice input, data or pictures. The platoon leader is fitted with a dismounted Battle Management System (BMS) that keeps him connected to the superior level network. The dismounted system is a replication of the BMS system in the vehicle. The 6.5 inch display provides joint tactical awareness. Situation awareness is another major aspect of the programme. FELIN will increase the sight advantage of the soldier using the most modern and highly effective optronic sensors. Several Sagem-built sensors are implemented in the system, such as the FRF2 sight for the sniper, the FAMAS sight with an uncooled infrared offering day and night vision, JIM MR medium-range multifunction binoculars and the OCD monocular device. These optronics not only increase the soldiers’ distance and night sight advantages, but also allows him to look and fire around corners. The system’s open platform also permits to integrate further elements, such as tactical unmanned aerial vehicles (UAVs) and other unmanned systems, into the network. So far, Sagem has developed some 350 systems in different prototype versions. Since 2004 they have been intensively operationally tested in different scenarios and environments, including Djibouti and Guyana, to identify the best set up for any soldier’s demands. The entire evaluation and design process has been conducted in a joint network between industry, Army and the DGA, company spokesman Philippe Wodka-Gallien told defpro.com. The main functionalities are now operationally validated; only a few modifications are expected to be made. More customers in sight The system is scheduled to be deployed in the course of the first quarter of 2010. The first such systems may arrive in Afghanistan at the end of next year. Further, 22,588 systems might be delivered to the French Army by 2015 to have it fully equipped and integrated in the digitized battlefield. According to Pascal Brossard, Deputy VP Sales & Marketing at the Land Warfare Business Unit of Sagem, four battalions with 1,000 systems each will be fitted each year. A system itself consists of some 70 items including those provided by about 25 subcontractors from Italy (Bayonet), Germany, United Kingdom, Belgium and Switzerland. Mr Brossard said the system is also attracting attention from countries such as Brazil, the UAE and Eastern Europe. Beyond that, French firefighters have shown a deep interest in a variant of the system called ROBIN, which consists of the radio and the day/night optronics, as well as the C2 system.
  19. g4lly

    Drone aérien

    http://www.wired.com/dangerroom/2009/07/infrared-beacons-guiding-cia-drone-strikes-qaeda-claims/ American drone strikes are finding their targets in Pakistan through a series of infrared homing beacons, Al Qaeda alleges in a new online publication. The American and Pakistani intelligence services credit U.S. unmanned aircraft with decimating the ranks of terrorist and insurgent operatives in Pakistan. “Very frankly, it’s the only game in town in terms of confronting and trying to disrupt the Al Qaeda leadership,” CIA director Leon Panetta said in May. The unmanned aircraft have supposedly carried out 28 attacks on suspected militants, just since the start of the year. Hundreds have been killed, including as many as 45 more people in a series of strikes today. But how the killer drones find their targets has been a matter of some dispute. Local Taliban commander Mullah Nazir, himself an occasional target, says they’re guided by SIM cards, installed in militant cell phones. Area tribesman talk of homing devices, planted by informants, that are capable of signaling American aircraft. In The Ruling Concerning Muslims Spies, an internet-distributed book written by self-styled theologian and emerging Al Qaeda leader Abu Yahya al-Libi, warns readers of American infrared devices which he claims directs the attacks on Al Qaeda and its allies. “These result in the firing of the murderous and destructive missiles whose wrath is inflicted on the Mujahedeen and the weak,” he writes. Then he provides “photos of some of the devices the spies painstakingly transport to the targets they are assigned by their infidel patrons.” The pictures of the “chips with 9 volt batteries” provided in the book (see photo, above) bear a sharp resemblance to the Phoenix and Pegasus models of infrared flashing beacons made by Cejay Engineering. The devices are used by the U.S. military, among others, to identify friend from foe, mark drop zones, and outline perimeters. The gadgets use LEDs, powered by a 9 volt battery, to emit beacons of infrared light that are visible only through night vision equipment. A six-second memory can be programmed to flash in Morse-type codes and other sequences. The lights can be seen at “distances of over five miles and can also be seen through clothing and underwater,” according to one distributor. from a distance of up to five miles. They can weigh as little as a half-ounce, are as small as an inch-and-a-quarter, and have a battery life of nearly 100 hours. The Phoenix family of infrared beacons have been in use since 1984, making them the “the most widely used electronic Combat ID system in the world.” American Predator and Reaper unmanned aircraft are both equipped with infrared cameras, making such beacons a natural drone signaling mechanism. And because the devices are relatively simple and cheap — less sophisticated models can be purchased online for as little as $25 each — they can be handed out to informants, without fear of compromising clandestine, sophisticated American technology. “Transmitters make a lot of sense to me,” former CIA case officer Robert Baer previously told about the general notion of beacons guiding in drone strikes. “It is simply not possible to train a Pashtun from Waziristan to go to a targeted site, case it, and come back to Peshawar or Islamabad with anything like an accurate report. The best you can hope for is they’re putting the transmitter on the right house.” In April, 19 year-old Habibur Rehman made a videotaped “confession” of planting such devices, just before he was executed by the Taliban as an American spy. “I was given $122 to drop chips wrapped in cigarette paper at Al Qaeda and Taliban houses,” he said. If I was successful, I was told, I would be given thousands of dollars.” But Rehman says he didn’t just tag jihadists with the devices. “The money was good so I started throwing the chips all over. I knew people were dying because of what I was doing, but I needed the money,” he added. Which raises the possibility that the unmanned aircraft — America’s key weapons in its covert war on Pakistan’s jihadists and insurgents — may have been lead to the wrong targets.
  20. http://www.wired.com/dangerroom/2009/07/taser-introduces-new-shocking-shotgun-safety-tests-mia/ Controversial electroshock weaponeer Taser International is quickly building up it arsenal. But the results from the safety and field tests of that new gear - well, that’s coming along much more slowly. The firm recently made available a shocking XREP shotgun projectile. It also introduced a new specialist shotgun (pictured) optimized for the XREP and other ‘”less lethal” rounds. And then there’s the ghastly teaser campaign for the company’s forthcoming “X3.” Danger Room looked at XREP –- eXtended Range Electronic Projectile -– before its big launch last year. The original work was carried out for the Marine Corps, which was looking for a less-lethal weapon for clearing buildings. XREP packages a complete Taser system including power supply in a 12-gauge shotgun round with a range of 100 feet. On striking, it inflicts a 20-second Taser shock cycle via some clever electrodes, immobilizing the target. Taser has announced two versions of XREP. There’s a finned round for standard shotguns, and a rifled version for the Taser X12 Less Lethal Shotgun, made by Mossberg. The X12 is customised for low-velocity rounds (like bean bags and XREP) and rifled for greater accuracy. The bright yellow color warns users that it is less-lethal only and the weapon will not accept standard shotgun rounds. The example in the picture has an X26 Taser mounted under the barrel. While the XREP projectile is not as dangerous at close range as other less lethal shotgun rounds that rely on impact force, it’s not recommended at very close quarters, so the X26 can fill the gap. (”Bean bag” rounds, shotgun rounds typically consisting of a canvas bag of shot used to subdue suspects, have been known to break ribs and cause other injuries including liver trauma, abdominal wall penetration, and internal bleeding leading to death.) After the launch last year the XREP went into field trials; Taser International have not yet shared the results of these trials. The first things any purchaser is likely to ask are “Does it work?” and “Is it safe?” …Taser International have not yet responded to a request for information on this. We don’t even know if the XREP was ever actually used in an actual arrest. The X3 is due to be launched at Taser’s annual conference on July 27th. The company are drop-feeding information about the new weapon, with a X3 special web site revealing one new feature a day in a kind of slow-motion strip-tease. The X3 has its own Facebook page and, worst of all, it Twitters. Presumably the agency were briefed to come up with something cute and non-threatening. Evidently they decided that the X3’s image should come across less as Arnold Schwarzenegger and more as Paris Hilton, judging from these tweets: “Check out my color screen. Like a Tele-Tubby … only a little more intense!” “Just out of the solar radiation box. Tanning bed for TASER’s… 3 months of Arizona summer sun radiation. Check that one off!” “Never thought I’d get so excited about the feel of a safety switch. But wait until you feel it – smooooooth.” It’s not the feel of the safety switch you need to worry about so much as the feel of getting zapped by one. The most concrete piece of information we have from the press release that the X3 has something called “Rotational Pulse Drive” which allows it to simultaneously incapacitate multiple targets, making it more effective… but of course being able to shock several people at once also gives more potential for abuse. Stories, and videos, of Taser abuse are legion — from the “Don’t Tase me, bro” incident at a John Kerry event to an officer Tasering a 72-year old great-grandmother. One of Taser International’s repsonses to the abuse problem has been the introduction of Axon, a wearable video camera system which will record a cop’s every move and word. Given that the X3 includes a color screen (as well as it’s own GUI, apparently a first for a handheld weapon) then something like Axon may be included as standard. This is supported by a comment by Rick Smith, Taser International’s CEO in a press release, saying that it offers “exponentially increased capabilities, including vastly enhanced data, networking, and communication functionality as well as enhanced safety features.” This should help settle disagreements about tasering incidents, if the footage is made available. However, as the comments made by Danger Room readers in the two incidents mentioned above show, even when you have a video available there can be radically different views on whether Taser use was necessary or appropriate. Expect more videos and more arguments in future.
  21. Nexter a proposé un poseur de travure sur base leclerc 6 galets ... ca date de 1996. A priori c'est possible de recycler un Lecler en poseur de travure classique pour MBT. Une travure de 26m ou deux de 14m ... on pourrait probablement installer de meme le systeme PTA2 ou PTA3 de CNIM. http://www.chars-francais.net/new/index.php?option=com_content&task=view&id=1278
  22. g4lly

    Photos Char Leclerc

    Pas celui ci en particlier ... tous nos DCL sont issus des chassis long prélevée sur la production destiné aux EAU, avec leur amical agrément bien sûr. J'ai plus le nombre de DCL en tete mais il est tres faible par rapport a la dotation prévu en Leclerc environ 1/20 alors que les EAU était plutot a 1/8, on a d'ailleurs été obligé de recycler des leclerc en tracteur ... appelé MARS pour pallier le manque de DCL. C'est l'abandon du projet d'EPG et la réduction de commande de DCL qui a conduit a partager la production de ARV/DCL.
  23. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Le probleme c'est qu'on s'est engagé sur 17 FREMM ... et qu'il faut qu'on trouve des clients depuis qu'on ne compte plus en utiliser que 11.
  24. g4lly

    Photos Char Leclerc

    Un des rare DCL :) piqué sur la chaine de montage de ceux des EAU :lol: [dailymotion=400,300]x9s0gq[/dailymotion]
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