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C'est un probleme de message trop long, je l'ai coupé en deux. Je ne sais pas pourquoi sur ce fil les longs messages passent et pas sur l'autre ...
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Pour aider a la réussite de l'opération, une nombreuse cavalerie légère devancerait les deux armées pour paralyser l'action des cosaques et de la cavalerie ennemie susceptible aussi de fournir des renseignements important. Tous ce passa comme l'Empereur l'avait décider, sauf que Wittgenstein, prudent, préféra la fuite lorsqu'il apprit l'arrivé de Napoleon, après avoir fait replier bien avant les 5000 Russes de Smolensk sur son armée, et nouvelle plus grave qui le décida, celle d'une armée arrivant par le nord, dont on n'avait pu déterminer sa force quand elle s'approchait déja trop près, qui pouvait le prendre de flanc. Cependant, c'était un peu tard pour ordonner la retraite a cause du manque d'information déterminant du a la nombreuse cavalerie légère Française, mais il prit ce risque plutot que d'affronter deux armées ensemble. Marmont, ( 200 000H,) venant de Bieloi à 100 Km de Viazma, arriva perpendiculairement sur la colonne Russe en fuite avec plus de la moitié de son armée, 120 000H, et l'autre partie, prévoyant d'avance la manoeuvre donc déja séparé avant, a marche forcé coupa le chemin de retraite de Russes avec 80 000H. Et certain que Napoleon arriverait sur ces entrefaites, complèterait la victoire. Marmont forma deux colonnes d'attaque pour commencer la bataille de flanc contre les colonnes Russes en vu de la couper en trois partie pour mieux la réduire, tout en gardant a l'arrière sa ligne d'armée pour fermer le flanc a l'ennemi. Wittgenstein, obligé de livrer bataille pour forcer le passage, ce défendre de Marmont, ses troupes étendu sur de longue colonnes sur des kilomètres, ne purent opposer une résistance digne de ce nom. Et Napoleon arriva, voyant la situation, attaqua immédiatement l'arrière de la colonne avec une partie de sa cavalerie, pour ajouter au désordres, a la confusion et a la panique, lança l'autre partie par le sud, pour compléter l'enveloppement de l'armée Russe, suivie de la troupe, joignant la main a l'armée qui barrait le passage des Russes et en faisait autant autant de son coté. De cette bataille du 10 aout 1813, dés 143 000 Russes, seul 35 000H dont beaucoup en cavalerie purent s'échapper, dont Wittgenstein, s'égaillant dans la nature et poursuivant ensuite parallèlement mais à longue distance et invisible, l'armée Française allant sur Moscou pour rejoindre l'autre armée. L'armée Française avait perdu 15 000H et eut 30 000 blessés dans cette affaire, les Russes, pris en flagrant délit, percée, couper, encerclées, en panique, 40 000H; et fait prisonniers, 68 000H dont des blessés transportables. Napoleon, détacha de l'armée de Marmont, 10 000H des moins bonnes troupes, pour ramener les prisonniers en France. Maintenant Moscou était l'objectif. Mais le fait que trente a quarante milles Russes pussent s'échapper, malgré les reconnaissances Françaises lancées a leurs poursuite, il fallait pour préserver ses arrières laisser une armée de 60 000H, qui selon les renseignements pris sur la marche de ces Russes, suivrait en parallèle la route Orcha-Moscou dans la direction de manière a protéger la communication et le ravitaillement. Le total de son armée était réduite de 25 000H, plus 30 000 blessés, et de 60 000H suplémentaire, totalisant après cette opération : 215 000H. C'est pourquoi, Napoleon fit appeler les 18 000 de Macdonad pour le suivre, et lui faire prendre Position à Kaluga lorsque Napoleon arrivera devant Moscou pour protéger sa ligne de communication et espérait le retour rapide des 60 000H, ce dont il ne doutait pas pour la future bataille qui allait décider probablement du sort de la campagne. Mais il était nécessaire que sa ligne d'opération fut en sureté. A la fin du jour d'après, pour le commandant des 60 000H, il était clair que les fuyards avec Wittgenstein prenaient bien la route vers Moscou, après une demi journée de repos forcé et dut aux blessés qui l'encombraient. Les fuyards, manquant de tout pour le ravitaillement, arrivèrent a 23 000H vers Moscou, en évitant la route principale de peur d'etre rattraper et fait prisonniers. Sur les 8 000 Russes qu'il perdit, une partie c'était rendu aux Français, d'autres avaient expirés de leurs blessures, les premiers purent manger, et furent envoyer en France, ou auparavant pendant plusieurs mois, ils furent employés comme ouvriers pour aider a produire du pains, ce dont ils ce tirèrent honorablement. Les 150 000 Russes de Moscou, ayant appris la terrible nouvelle de la perte de la première armée, eurent le moral bien bas. Ceci augurait mal des jours a venir ou une bataille ce précisait. Son commandant décidant de ce porter malgré tout en avant, à Borodino, car disposant d'un excellent terrain défensif, ou il pensait recevoir l'aide de la première armée comme prévu dans leur stratégie, hésita a rester sur place. Il ignorait tout des pertes Française, mais la supposa bien au dessus de ce qu'elle avait perdu, et quand apprit que l'armée Française s'approchait de Borodino, il ce demanda s'il fallait retraiter, ou bien faire face et sauver l'honneur, à défaut de gagner la bataille, et il ce décida a se battre. Napoleon arriva à Borodino sur trois colonnes par des routes parallèles, après avoir reposer sa troupe deux jours et reçu le retour des 60 000H qu'il espérait voir rapidement revenir, d'ou cette halte inhabituelle. Mais pour protéger son ravitaillement jusqu'a Smolensk, occupé par 3 000H pris sur les 15 000 Polonais du camp retranché, il fut obliger de laisser une a deux brigade, totalisant aux maximum: 5 000 H a chaque étapes de quarante kilomètres, pour faciliter la marche du ravitaillement et la protéger des cosaques. De sorte que sur près de 350 kilomètres, de Smolensk à l'arrivée sur Borodino, près de 50 000H pris sur l''armée étaient employé a la tache de protection de la ligne d'opération comme du ravitaillement, ( et établit en fortin ( authentique )faisant qu'a l'arrivée au futur champ de bataille, Napoleon ne disposait après les pertes que de 225 000H sur les 330 000H au départ de la campagne. Deux heures après, l'armée arriva devant Borodino le 17 aout 1813, et fit ses dispositions pour ce préparer au combat. Une journée passa, sans que rien ne bougea, conscient tous que l'avenir du monde ce jouait ici.
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Préparation, et départ jusqu'avant la bataille : En début mai, Napoleon arrivé avec les premières troupes, apprend la mort de Mikael Koutouzov survenu le 6 avril 1813 du a une scepticémie. ( Authentique pour son décès. ) Wittgenstein à pris le commandement de toute les troupes, et juge nécessaire la protection de Moscou avant tout, capitale religieuse de la Russie, elle ne doit a aucun prix tomber au main de l'adversaire, c'est aussi la pensée du Tzar. Il réunit toutes ses forces autour de Vélikié Lukie, sonnant la fin du cantonnement, et prend la route de Bieloi et de Viazma qu'il atteind en 10 jours, le 26 avril 1813. Sa stratégie ? retraiter jusqu'a Moscou et pratiquer la terre Brulée, puis livrer bataille aux portes de Moscou ou il espère donner un coup de buttoir en s'appuyant sur de bonnes défenses, et peut etre reprendre l'initiative et imposer sa stratégie et chasser les Français de Russie. ( Reprenant a stratégie de Koutouzov ) ( Authentique pour la stratégie. ) Quand à Napoleon, devant la certitude que les Russes ont quittés leurs anciennes positions de Vélikié Lukie pour défendre la route de Moscou, dont il faudra s'attendre a ce battre inévitablement devant leur capitale, il concentre ces forces et ses dépots de ravitaillements vers Vitebsk, qu'ils accumule en vu de la prochaine campagne. Il a fait venir de France 20 000 conscrits ( milices ) qu'il envoient a Reynier, renforçant son armée, et totalisant avec celui de Schwarzenberg, 90 000H, ou l'on suppose qu'une offensive Russe pourrait démarrer dès le Départ de Napoleon vers Moscou. 30 000 soldats prélevés de l'ancienne armée d'Espagne s'installeront en Pologne en juin, à Marioupol, ( sous Kovno,) et pourront servir de réserves en priorité au front de la Dwina ou défendre Vilna si l'ennemi réservaient des surprises et perçait la ligne de défense, étant donné que l'on ne possède que des informations générale mais pas des plus précises... La campagne démarrera en début juillet 1813, après les moissons, tenant compte de l'expérience passé ou les chevaux sont morts par milliers du fait d'avoir a manger du blé encore vert ou par force, des pailles des chaumières. ( authentique ) Aussi, la cavalerie, l'attelage d'une partie de l'artillerie, compensé entretemps entièrement par la récupération de 400 canons temporairement perdu fautes de chevaux en 1812, placés au camp de Vitebsk, fera que l'on ne perdra plus autant de chevaux, et la nécessité de n'avoir plus a poursuivre les Russes comme en juin 1812, évitera de grandes pertes. Voila pourquoi le choix de Juillet, vers le 15 au plus tard, ou l'on profitera de la moisson. Entretemps, Napoleon fit encore créer de nouveaux dépots important autour de Vilna et au camp de Vitebsk, ainsi qu'a Grodno et encore des fours a pains. Les conscrits furent entrainé a bien viser, ainsi qu'a toutes ses troupes, tenant compte de la tactique Anglaise en Espagne qu'on lui a rapporté, ou le feux a beaucoup influée sur le sort des combats, et s'aidant en s'appuyant sur des plateaux difficile à gravir. Stratégie et Campagne : 9 juillet 1813, toutes les troupes sont réunit, hormis la cavalerie que l'on va bientot recevoir, l'une a Orcha, ( Napoleon ) l'autre à Vitebsk, ( Marmont ), on sait l'ennemi fort de 130 000H environ a Viazma, ( en réalité, 143 000H ) et d'environ 150 000H autres vers Moscou. Il faudra donc marcher avant d'obtenir un résultat. Le 12 Juillet, les 15 000 Polonais à Minsk, occuperont le camp retranché de Vitebsk que l'on évacuera. Le 14 juillet, la cavalerie est arrivée avec les nombreux attelages d'artillerie, ( avec la réunion des 400 canons récupérés de l'année 1812,) profitant pendant son parcours de la moisson qui a été faite, et perdant de fait peu de chevaux. L'heure est arrivée ; Le 15 juillet Napoleon donne ses instructions, puis l'ordre du départ a ses généraux. 1. Prendre Smolensk occupé par 5 000 Russes, a moins qu'ils ne l'abandonnent, avec l'armée principale. 2. Macdonald et ses 18 000H occuperont, a mesure de notre progréssion, Vehj et Bieloi, jusqu'à la source de la Dwina, prolongeant notre protection par le nord devancé par l'armée venue d'Espagne commandé a nouveau par Marmont. ( 200 000H ) 3. L'armée partira sur deux colonnes au départ, chacune divisés en trois colonnes pour chacune de ces armées, en prenant des routes parallèles pour progresser plus vite, l'une au nord, Marmont, ( 200 000H ) l'autre par Orcha, Smolensk, etc... Napoleon, ( 130 000H ) pour ce réunir tous vers Viazma en meme temps, Marmont légèrement en avance, si l'ennemi y est toujours installé et ne reçoit pas de renfort et accepte le combat, en le prenant de flanc par l'armée dirigé par Marmont, et de dos, en force, pour le couper de sa retraite grace à la nombreuse cavalerie en tete qu'il disposera, pendant que l'armée principale s'approchera assez avant de préparer et fermer le piege, ( ou rechercher rapidement la décision si les circonstances l'y oblige avec l'armée sud. ( Napoleon ) et si le piège fonctionne, renforçer son aile sud de notre armée pour entamer un enveloppement qui rejoindrait celle de Marmont avec une forte aile de cavalerie. Donner d'abord a l'ennemi a l'approche de l'armée nord, l'illusion de faible forces venant du nord, en présentant des rideaux de troupes cachant le gros des forces qui lui tomberont dans le dos et le flanc. C'est une affaire d'heure ou chaque étape est comptée, le départ comme l'arrivée, ou la communication et la bonne synchronisation inter-armée entre en jeu, et permettrait de détruire cette armée Russe de Viazma. Le tout est d'arriver en meme temps, d'ou une communication régulière entre les deux armées, et chiffrée.
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Arménie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
A mon sens c'est tout l'inverse ... il doit jubiler, une base iranienne à coté d'une base américaine dans son gros sandwich qu'est l’Arménie et qu'il rêve de croquer avec son copain azerbaïdjanais. https://en.wikipedia.org/wiki/Erdoğan_Iran_poem_controversy Une carte pour comprendre le pan turquisme lié à la langue. -
Arménie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Parce que ce n'est pas grace à la Russie que l'Arménie a pu gagner la "Première guerre du Haut-Karabagh" ?! Et c'était en 1994 ... -
Arménie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Tant que ça met des bâton dans les roues a ses ennemis c'est pas les moins de trois millions de chrétiens pauvres comme job qui risquent de se retourner contre eux. La situation est ultra merdique pour l'Arménie. Elle est laché par tout le monde en pratique du moins tout le monde qui compte. Les USA tiennent ouvertement avec l'Azerbaijan - contre l'Iran - meme s'ils font semblant d'avoir des relations avec l'Arménie pour le fun. La Turquie roulerait sur l'Arménie si elle le pouvait pour faire un grand continuum pan Turco-azerbaijanais. Israël copine plus de raison avec l'Azerbaijan - contre l'Iran - mais clairement au détriment de l'Arménie. La Russie à décidé de faire de l'Arménie une sorte d'exemple ... avec moi ou contre moi mais pas les deux. -
Arménie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Techniquement ce sont les Arméniens qui ont saborder la relation avec la Russie ... le reste n'a été que la sanction. Les Iraniens essaient de contrer l’Azerbaïdjan, qui aime à copiner avec les ennemis de l'Iran - Israël, Turquie, USA etc. - ... même si sur le papier les relations ne sont pas sensé être trop trop mauvaise, la volonté Azerbaijanaise d'une continuité Turquie Azerbaijan est un gros souci pour l'Iran. -
Arménie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
L'Arménie est enclavé au milieu de personne de moins en moins amicales. Au delà de l'aspect militaire des choses, c'est l'économie même du pays le problème. Et les chiffres sont assez sévères. Beaucoup d'Arméniens travail en Russie, le taux emploi est super faible moins de 50% ... 25% de la population est sous le seuil de pauvreté ... ... certes il y a des investissement occidentaux récents qui dopent le PIB ... mais la situation géographique reste un vrai problème pour l'économie physique. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Guerre Israël-Hamas, jour 294 : au moins 30 morts dans le bombardement par l’armée israélienne d’une école du centre de la bande de Gaza, selon le ministère de la santé contrôlé par le Hamas Cette frappe sur l’école, située dans la région de Deir Al-Balah, a également fait « plus de 100 blessés ». Selon le ministère, plus de 39 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis le 7 octobre. Les bombardements meurtriers sur la bande de Gaza se poursuivent, samedi 27 juillet, 294 jours après le début de la guerre entre Israël et le Hamas. Un bombardement israélien sur une école a fait au moins trente morts à Deir Al-Balah, ville située dans le centre de l’enclave palestinienne, selon le ministère de la santé contrôlé par le Hamas dans la bande de Gaza. Par ailleurs, ce dernier a annoncé samedi un nouveau bilan de 39 258 morts à Gaza depuis le 7 octobre, date de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien contre Israël et de la riposte de l’Etat hébreu. Selon le ministère, au moins 83 personnes ont été tuées ces dernières quarante-huit heures, tandis que 90 589 personnes ont été blessées depuis le 7 octobre. Au moins 30 morts dans le bombardement d’une école « L’école Khadija, qui abritait une unité médicale de fortune, dans la région de Deir Al-Balah, a été ciblée il y a peu [par une frappe qui a] fait 30 martyrs et plus de 100 blessés », a annoncé dans un communiqué le ministère de la santé dans la bande de Gaza, samedi. L’armée israélienne a déclaré avoir frappé l’école en ciblant les « terroristes du Hamas » qui « utilisaient ce complexe comme cachette ». « Parallèlement, les terroristes développaient et stockaient de grandes quantités d’armes à l’intérieur de l’enceinte », a-t-elle ajouté. L’hôpital de campagne situé à l’intérieur de l’école appartenait à l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa, à Deir Al-Balah, selon le directeur de l’établissement, Khalil Al-Daqran. Le premier ministre irlandais, Simon Harris, a dénoncé cette frappe, y voyant « une nouvelle démonstration d’une violence brutale, excessive. (…) Cibler une zone peuplée de familles déplacées est inhumain et méprisable ». Le chef du gouvernement centriste a réitéré son appel à un cessez-le-feu immédiat alors que Dublin a officiellement reconnu, à la fin de mai, la Palestine comme un Etat, de concert avec Madrid et Oslo. « Encore une attaque contre une école utilisée comme refuge pour les déplacés internes à Khan Younès. (…) En même temps, une population déjà très fragile est priée de se déplacer ailleurs encore et encore, sans qu’on en voie la fin », s’est alarmé le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell. « Un cessez-le-feu doit être instauré dès maintenant. La loi humanitaire internationale doit être respectée. L’assistance humanitaire aux civils doit être fournie à grande échelle. Seule une solution politique peut mettre fin à cette folie », a-t-il déclaré dans un autre message sur X. Onze morts sur le plateau du Golan annexé en raison de tirs de roquette en provenance du Liban Onze personnes ont été tuées et 34 blessées par une frappe sur un terrain de football à Majdal Shams, sur le plateau du Golan annexé, a déclaré Eli Bin, directeur général du Magen David Adom, l’équivalent israélien de la Croix-Rouge. Ce dernier a ajouté que 17 des 34 blessés se trouvaient dans un état critique, dont dix sont des enfants. L’armée israélienne a affirmé que la roquette avait été tirée du Liban par le Hezbollah, de l’autre côté de la frontière. Le Hezbollah a nié être à l’origine du tir. « Nous allons nous préparer à répondre au Hezbollah, nous terminerons nos évaluations et nous agirons », a déclaré le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l’armée. « Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière contre des civils israéliens depuis le 7 octobre », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse. La ville de Majdal Shams, frontalière de la Syrie, est située aux confins du nord d’Israël et du sud du Liban. Du côté libanais, « quatre combattants du Hezbollah ont été tués dans une frappe israélienne visant la localité de Kfar Kila », a rapporté à l’Agence France-Presse (AFP) une source sécuritaire, sous le couvert de l’anonymat. Plus de 170 morts à Khan Younès en six jours Dans le sud du territoire palestinien, environ 170 Palestiniens ont été tués et des centaines d’autres ont été blessés depuis le début, lundi, d’une opération israélienne à Khan Younès, a déclaré samedi à l’AFP un porte-parole de la défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal. Samedi, des blessés et des corps ont également été transportés à l’hôpital Nasser de la ville, à la suite d’une frappe meurtrière, certains à bout de bras, d’autres en voiture ou sur des charrettes, selon des images de l’AFP. Plus tôt dans la journée, l’armée avait émis des ordres d’évacuation pour les habitants de la ville, quelques jours après avoir retrouvé les corps de cinq Israéliens et averti de nouvelles opérations. M. Bassal a confirmé que de nombreuses personnes avaient de nouveau été déplacées, ajoutant : « Quiconque observe la situation à Khan Younès verra des milliers de personnes sur les routes, sur le sol, dans des zones qui ne sont malheureusement pas adaptées à la vie. N’ayant pas d’autres options, elles s’exposent à la mort. » Depuis lundi, près de 182 000 Palestiniens ont fui Khan Younès, selon les Nations unies. L’armée israélienne a élargi ses opérations dans la plus grande ville du sud de l’enclave, lancées en raison de tirs de roquettes de cette zone en direction d’Israël. Elle a appelé les habitants de plusieurs quartiers de la ville à évacuer vers Al-Mawasi, plus à l’ouest, un secteur qu’elle désigne comme une « zone humanitaire ». Mais les Palestiniens craignent de s’y rendre, la zone ayant déjà été visée par des bombardements israéliens. Reprise des négociations attendue dimanche Après l’échec de multiples négociations en vue d’une trêve associée à une libération d’otages, une réunion de représentants des médiateurs – Egypte, Etats-Unis, Qatar – avec le chef des renseignements israéliens est prévue dimanche à Rome, selon Al-Qahera News, média proche du renseignement égyptien. Considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, accuse M. Nétanyahou de bloquer tout accord. Le Forum des familles d’otages, qui représente des proches retenus à Gaza, a dénoncé jeudi un « sabotage » des efforts destinés à obtenir la libération des proches, en montrant du doigt Benyamin Nétanyahou. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
nanananère ... -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Tellement que tu t'es senti obligé de remettre une pièce dans le bastringue. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Justement non puisqu'il compare deux cruautés ... c'est bien qu'il considère les deux faits comme particulièrement cruel. Il essaie juste de forcer le trait sur le comportement israélien. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Les russes sont passé à l'attaque sur la rive ouest du canal au niveau de Kalynivka. Ils se pourraient qu'ils occupent déjà la foret. C'est un peu le blackout des deux cotés concernant le front de Chasiv Yar, mais à priori ça s'est mis à s'agiter brutalement. Même chose sur l'axe Zarichne Lyman. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
US combat vehicles keep the Russians at bay — but for how long? The enemy were already closing in on the Ukrainian infantry positions when Sergeant Dzvinka Rymar rolled up to them in her American M2 Bradley fighting vehicle. Her driver pulled it round in a tight arc to reverse up to the Ukrainian trench, its gun facing the Russians. The Bradley’s rear doors swung open, enabling eight Ukrainian soldiers to clamber to safety, as its Bushmaster 25mm chain gun sent round after round into the treeline opposite, held by Russian troops. “We can see several human silhouettes in the thermal imaging scope,” said Dzvinka, a 28-year-old former architect now commanding a Bradley crew from Ukraine’s 2nd Battalion, 47th Mechanised Brigade. The autocannon wreaks havoc on the human body, she added. “After the shot, there is just a warm cloud left.” US-supplied Bradleys defend the last town in the Donetsk region Most Russian armour is no match for the Bradleys, which have racked up scores of kills of their Russian equivalents. Yet still Ukrainian troops are being driven back here in Donbas, with the Russians making a rapid 6km advance over the past seven days towards the crucial garrison city of Pokrovsk. It is the last city in the Donetsk region before the border with Dnipropetrovsk and was once home to 60,000 people. The Russians have changed their tactics to fight smarter, using intelligence to attack weaker units holding the Ukrainian lines rather than focusing on weaker fortifications. The elite 47th Brigade, equipped with US Abrams tanks, Bradleys and Paladin artillery, keep finding themselves flanked as more shaky Ukrainian units give way, and they too are forced to fall back. President Putin’s assault troops are now only 20km away from Pokrovsk, edging within artillery range. Already Russian jets are bombing the city daily, flattening schools and nurseries in densely populated areas under the assumption that Ukrainian troops are stationed there. On the front lines around the village of Hrodivka, the Bradleys are being used in surgical fire missions to try to hold the Russian infantry pushing forward. “Are they moving in any way?” one of Dzvinka’s officers asks through the radio set. “Do you see them? We saw two in the east conducting reconnaissance. Guys, go around, scare them off and get back to the dugout. Copy?” The Bradley must shoot and scoot, spending no more than two minutes in the kill zone or risk becoming prey. The United States has dispatched more than 300 M2A2 Bradleys to Ukraine, mostly as part of an effort to help Kyiv recover territory during its counteroffensive last summer. Yet after more than a year of intense combat, many have had to be cannibalised to repair others. The soldiers of the 47th are worried that the probable re-election of Donald Trump as US president would deprive them of essential parts and ammunition supplies. The soldiers of the 47th say the Russian assault in this area began just over a month ago, with the enemy bringing in hundreds of well-trained drone operators and using a new frequency that the Ukrainians’ Chinese-made jamming equipment did not block. The Russians surged forwards after their drones took out vehicles along Ukrainian supply lines until the 47th and neighbouring units realised the new tactic and were able to adapt their electronic warfare systems to deal with it. The 47th Mechanised Brigade consider the Bradleys to be the most effective fighting vehicle of the war In the villages, fields and windbreaks nearby, a thunderous artillery duel is under way, punctuated by precision drone strikes or the thuds of Russian glide bombs. The cramped bowels of the Bradley, tattered by years of wear and tear, seem scant protection from the ferocity and scale of the battle. Scars from near misses mark the hull. When Ukrainian infantry are about to be overrun, the Bradleys are called in to evacuate them from within the Russian gunsights. The vehicle’s armour has proved more resistant to drone strikes than the legendary M1 Abrams, which are now used only sparingly. Even when the vehicles are disabled the crews usually survive, Dzvinka said. She and the crews of the 2nd Battalion credit the vehicles with saving hundreds, if not thousands, of Ukrainian lives. “Trophies” captured from Russian soldiers on the wall of the command post at 2nd Battalion “If it weren’t for the Bradley, we wouldn’t be here any more, 100 per cent,” said “Lakin”, 39, the driver of Dzvinka’s vehicle. “If we had been in Soviet-made vehicles, we would be long gone.” Dzvinka’s vehicle has been hit six times: twice with large Lancet drones, three with small FPV drones and once with shrapnel from a mortar round that set off the Bradley’s explosive reactive armour. The last time Dzvinka was hit she was concussed, shrapnel tore through her arm and the blast set off a fire inside the vehicle. Russian gunfire was raking the area around it so Lakin had no choice but to drive the smoking Bradley 2km deeper into Ukrainian-held territory, where they could escape the flames. Yet Dzvinka’s exit hatch jammed and she could not get out. “The fire was burning under our feet, there was smoke in the turret. The gunner’s leg was broken but he managed to get out. When he opened his hatch, air came in and the fire started burning harder,” Dzvinka recalled, still bearing the scars of the strike from last month. “There was even more smoke, I just couldn’t see anything. I started to panic that I would suffocate. It was literally two seconds but I saw my whole life, all my unfinished business, flash before my eyes. Then I pulled myself together and just went after him through his hatch.” “Lakin”, centre, and his fellow soldiers have had several narrow escapes when their vehicle was hit Dzvinka and the crews of the 47th consider the Bradleys, which first entered service in 1981 and were used in the Gulf War, to be the most effective fighting vehicle of the war. The Bushmaster gun’s armour-piercing rounds chew up Russian armoured vehicles and even the most modern of their tanks have fallen victim to its twin TOW anti-tank missiles. Yet the elite equipment has proved something of a poisoned chalice. The 47th were the tip of the spear during the summer counteroffensive and were shortly afterwards thrown into the desperate defence of Avdiivka. They suffered heavy casualties in both campaigns, yet now they have been thrown in again to hold the line against Russia’s latest assault. The troops of the 47th are exhausted and have become dangerously accustomed to the sound of incoming fire. Although at a forward position, Dzvinka barely noticed the crash of a salvo from a Russian multiple launch rocket system or the splash of cluster munitions exploding nearby. With summer temperatures exceeding 35C, the soldiers wear their helmets and body armour only when they are at the “zero line”, directly facing the enemy. Their vehicles are also high-priority kills. They are hunted by Russian jets, helicopters and first-person-view suicide drone operators. Oryx, the open-source intelligence website, counts 93 Bradleys damaged, destroyed or captured to date. The crews say they are desperate for modern, upgraded versions of the fighting vehicles that include 360-degree cameras and Javelin anti-tank missiles. The present anti-tank system requires them to stay static, a sitting duck, while they fire and manually guide the missile to its target. And in order to reverse into a trench to evacuate troops, a Bradley commander has to stick his or her head out of the commander’s hatch to guide the driver, exposing themselves to enemy fire. But more than anything, they want more brigades to get the Bradleys to reduce Ukraine’s dependence on the few that have them. In the trenches of Donbas, the US election has become a talking point, with the troops concerned they will be abandoned to fight on alone. “How can we run down a country of 130 million faster than our 30 million?” asked Captain Dmytro “Fox” Yevtushenko, 29, shortly after receiving news that yet another of his Bradleys had been hit by a drone. Although a company commander by rank, he is already the acting commander of the 2nd Battalion, 47th Mechanised Brigade. Captain Dmytro “Fox” Yevtushenko receives news that the Russians have struck one of his Bradley fighting vehicles “We can hold them back, exhaust them until they realise that there is no point in advancing any further. But if [America] will try to freeze the war, in a few years the [Russians] will just attack again. This war will be for ever.” -
Tu sais ce que sais qu'une "porte" et qu'une "étrave" ?
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[Israel] Les programmes Eitan et Carmel
g4lly a répondu à un(e) sujet de Serge dans Afrique / Proche Orient
L'Eitan pèse autant que le VBCI ... ça doit être blindé pareil ... avec un blindage réactif ça pourrait supporter du PG7V sur le flanc. Mais contre un tandem j'ai des tres gros doute. A moins qu'on parle d'engin équipé Trophy. -
[Israel] Les programmes Eitan et Carmel
g4lly a répondu à un(e) sujet de Serge dans Afrique / Proche Orient
S'il s'agit d'un simple STANAG 4 non c'est absolument pas sérieux. Et mmeme s'il y a un gros package de blindage réactif dessus ... le principe du tandem c'est justement de neutraliser la flying plate. Exemple de PG7VR ... https://roe.ru/eng/catalog/land-forces/strelkovoe-oruzhie/grenade-launchers/pg-7vr/ Pénétration 60cm au delà de l'ERA, c'est sans commune mesure avec un blindage niveau 4 meme renforcé par des brique réactive. --- Concernant le Namer en thérorie le blindage de la caisse et le meme que celui du Merkava 4 ... donc je ne vois pas trop pourquoi l'auteur parle de niveau 4 ou de 14.5 ... L'armement du Merkava c'est 20t ... le machin pèse 65t... sans la tourelle il pese donc 45t ... or le Namer pèse presque 65t ... meme si une partie c'est du cargo ... il reste un peu de marge pour doper le blindage du compartiment personnel additionnel au meme niveau que le reste. -
C'est l'arlésienne, tout un tas de marque on proposé à un moment des disque pour pneu ... ... j'ai du mal à comprendre l’intérêt si ce n'est pas nativement inclus dans le pneu. Parce qu'en général les éléments rapporte finisse par faire nid à merde, accumulé des cailloux ou autre connerie entre le disque et le flanc et finir par favoriser le percement. --- C'est quoi c'est pneu "anti-mine" ?!
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2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
La question c'est surtout qui veut en sortir ... et dans quel intérêt. S'il n'y a pas d’intérêt à en sortir, il n'y a pas de moteur et donc aucune chance de dynamique. Or en général la contrainte est externe ... et forte. C'est cette contrainte qui impose un mode de fonctionnement qui potentiellement produit lui même une plus-value. Ici il n'y a pas de contrainte externe ... suffisante pour initier à grand chose. Pas d'ennemi commun suffisamment inquiétant par exemple. Même les coalitions anti chiite ne marche que de bric et de broc alors que c'est sensé être l'ennemi mortel... En gros de toute évidence la situation actuelle convient bien à tout le monde, du moins suffisamment bien. D'autant que tous on beaucoup plus de problème intérieur qu'extérieur. La plupart des pays du coin sont assis sur des bombes démographiques qui pourraient renverser la table d'un claquement de doigts. -
Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
En même temps qui va aller leur sauver les miches le jour ou les chinois vont débarquer ? Du moins les méchants chinois ... les autres sont déjà là. Il n'y a pas à proprement parler d'alternative géopolitique dans le coin. Le seul état suffisamment épais, suffisamment concerné et relativement proche culturellement ce sont les USA. L'Australie c'est un peu une colonie blanche assiégé par les jaunes ... -
Dissuasion nucléaire européenne, voire allemande ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Dissuasion nucléaire
Surtout parce qu'elle n'est pas sensé tomber chez eux ... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
D'un coté l'occident propose essentiellement une poursuite du conflit associé à un renforcement de l'aide militaire. C'est pas spécialement compatible avec la recherche d'un cessez le feu, ou d'un arrangement vers une solution de "paix". L'alternative est sensé être une "reddition" russe et un retour à la situation territoriale d'avant 2014, du moins c'est le discours. En gros c'est le méchant flic le rôle. Il n'est alors pas très étonnant que quand on se met à chercher parallèlement des solutions moins militaire, on se tourne vers d'autres interlocuteurs. Ils sont sensé jouer le rôle du gentil flic. Concernant la Chine, c'est un peu le seul interlocuteur qui pourrait faire sérieusement pression sur la Russie pour imposer quelques chose, tant ils se tiennent par la barbichette. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
A Gaza, le calvaire d’un jeune trisomique tué par un chien de l’armée israélienne Après avoir été attaqué par l’animal au domicile de sa famille, Muhammed Bhar, un handicapé mental de 24 ans, a été abandonné dans une pièce de la maison, où il est décédé de ses blessures. Les soldats ont empêché sa mère et ses frères de lui porter assistance. Muhammed Bhar aimait le calme, la musique et riait lorsqu’on lui caressait les cheveux. A 24 ans, il sortait peu de la maison familiale de Chadjaya, un faubourg oriental de la ville de Gaza, où sa mère, sa fratrie, ses neveux et ses nièces prenaient soin de lui. La famille avait choisi de demeurer dans la ville, durant les invasions successives qu’y a menées l’armée israélienne depuis novembre 2023. En partie parce que Muhammed était trisomique, qu’il se déplaçait avec difficulté et avait peur des foules. De nombreux Gazaouis ayant la charge d’un parent handicapé, âgé ou malade ont fait de même. Ils font partie des quelque 300 000 personnes qui sont restées dans la cité, largement détruite et coupée du monde, en dépit des ordres d’évacuation de l’armée. La famille Bhar, cependant, a dû fuir les bombardements à de multiples reprises et chercher refuge temporairement dans d’autres secteurs de la ville, comme Rimal et Touffah, emportant Muhammed à chaque fois un peu plus apeuré. A la fin juin, lorsque l’armée s’est déployée pour la seconde fois dans leur quartier de Chadjaya, dix-sept membres de la famille, dont Muhammed, se sont trouvés bloqués durant une semaine dans leur maison par les bombardements et les tirs, tout proches. Le 3 juillet, en début d’après-midi, les soldats ont fini par entrer chez eux, pour fouiller la maison. La procédure est standard : ils ont percé un mur à l’arrière du bâtiment et y ont fait rentrer un chien de combat, muni d’une caméra. Le chien a attaqué Muhammed. Il l’a mordu à l’épaule et au torse, l’a traîné dans tous les sens. « Pendant qu’il le mordait, Muhammed caressait le chien. Il lui disait doucement : “Va-t’en mon chéri, va-t’en.” C’étaient les mêmes mots qu’il utilisait quand il jouait avec ses neveux et ses nièces », raconte sa mère, Nabila, jointe par téléphone. Depuis le début de la guerre, l’armée interdit au Monde comme à toute la presse internationale d’accéder à Gaza. « Pas de nouvelles » des frères Muhammed est un garçon en surpoids, absolument sans défense. « Il avait un cœur tout blanc et pur. Il avait 24 ans, mais le cerveau d’un enfant. Je faisais tout pour lui, je lui donnais son bain, je le nourrissais. il dépendait de moi pour tout », raconte cette ancienne institutrice, âgée de 70 ans, d’une école maternelle de l’agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens. Face aux soldats, elle a crié : « Laissez-le ! Il est malade, il est trisomique ! Mais ils ne m’ont pas écoutée. Ils ont laissé le chien le traîner dans la maison », se souvient-elle. L’épisode dure plusieurs minutes, jusqu’à quinze, selon Nabila Bhar. -
JOP 2024 : implications sécuritaires et politiques
g4lly a répondu à un(e) sujet de vincenzo dans Politique etrangère / Relations internationales
A quand l'arrestation de quelques allemands de l'est