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Tout ce qui a été posté par pascal
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j'ai mal au coeur... en tout cas les portes-aéronefs ont vécu... retour aux big ships j'ai bcp de mal à comprendre le concept du Cavour 8/12 AV 8B maxi soit au mieux 8 F 35 c'est peu
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@TMor et Pollux bon les gars çà baigne on va boire une bière !
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@philippe C'était une boutade nous sommes bien d'accord sur les aspects de ce dossier ... ;)
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@Tmor "Pour le Captor AESA, la portée, c'est 50% en plus" On en revient toujours à l'idée de départ. L'Eurofighter est à la base un intercepteur "lourd" (moins lourd que ce qui était néanmoins prévu au départ) plus gros que son concurrent Dassault. Le diamètre du fuselage au niveau de l'antenne radar est plus important l'antenne plus grande donc plus performante. Une des caractéristique du Rafale c'est son petit radome de section assez faible,court avec un quart avant de l'avion "qui regarde vers le bas". Quand on regarde un photo de profil on s'aperçoit que, du montant de verrière à la point du radome les lignes de l'avion plongent. Celà occasionne une bonne visibilité vers le bas et l'avant (utile pour ce chasseur prévu d'être embarqué dès le départ de sa conception), celà libère du champ pour l'optronique sf. La conséquence entre les sections fine et l'osf il y a moins de place pour le radar. Les anglais initiateurs de l'EFA voulaient un intercepteur remplaçant du Tornados ADV vite décevant et surtout du Phantom avec de l'allonge et un bon radar pour en autre aller dépister les BACKFIRE en mer de Norvège, c'était un des volets du programme (mais ce n'était pas le seul on voulait aussi un avion très agile: gros canards et bcp de chevaux). Les français voulaient un polyvalant plus léger capable à terme de remplacer tout le parc du Jaguar au 2000 (à plus longue échéance) et surtout d'être embarqué. Le devis de poids maxi était très structurant. Cà a des conséquences sur les capacités de l'un et de l'autre. Le Rafale verra moins loin que le Typhoon, mais il sait d'ores et déjà bien faire des choses pour lesquelles son concurent n'est pas prévu à la base. Ces avions sont d'une telle complexité et offrent de telles perspectives d'utilisation: Liaisons de données Travail avec Awacs et Jstars détection passive (osf contremesures) Recalcul de coordonnées de tir en vol tir d'armes stand off... Dans les faits il sera intéressant de voir qui, parmi les utilisateurs de ces petits bijoux technologiques, saura ou pourra en tirer la quintescence (il a même été évoqué la possibilité de spécialiser les pilotes au sein des unités)... Sinon çà s'appelle faire de l'aéro club >:(
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@DEFA Le gros challenge pour le Rafale en air air aujourd'hui ce sont ... ses développement futurs Le Mica est très bon mais légèrement "short on legs" (ceci étant impliqué par sa conception duale EM/IR -agilité de l'engin- très appréciable néanmoins en terme de tactiques de combat) Donc il faut intègrer Météor au plus vite çà a un coût il faut faire évoluer RBE 2 dont l'antenne passive doit être remplacée à terme C'était l'un des enjeux technico financier du contrat avec Singapour
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excellents articles ( M.CHASSILLAN est un partisan de la chenille) les démonstrations sèment plus que le doute quant aux critères qui guident les choix de l'EM L'expérience africaine domaine de la roue et de la légèreté est elle encore de mise face aux nouveaux conflits auxquels nous allons êtres confrontés bcp de questions sont posées... les réponses ne sont pas simples à apporter
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Quand on sait le rôle que jouent les services de Matignon dans ce genre de contrats (Cieemg entre autre on y revient) avril 2007, Villepin Sarko ... campagne pdtielle Serge Dassault un des principaux soutiens de Sarko Morin à raison y a eu de gros disfonctionnements on appelle aussi çà des enfants dans le dos >:( je vais me faire gronder par philippe ...
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ah l'Orion super croiseur léger Classe Ajax une vrai légende en Méditerranée en 40/44 !
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@rob le site navy matter est GENIAL thank a lot
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Diaporama européen des commandos Marine.
pascal a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
@fusilier les deux de derrière ont les mêmes on dirait des guêtres -
France : Création d'une cellule vente d'armes
pascal a répondu à un(e) sujet de Duralex dans Economie et défense
@philippe Ce n'est pas la simple réforme de la nomenclature tarifaire de la Commission interministérielle d'étude des exportations de matériel de guerre qui va résoudre les pbs... J'ai eu l'occasion de le dire dans le topic sur le Rafale Quand on sait comment sont instruites et surtout délivrées les AEMG dans le cadre des "grands contrats" ce discours ressemble au mieux à de la méthode coué au pire à un rideau de fumée... L'affaire marocaine confirme que l'Etat n'a pas voulu engager de l'argent pour garantir le contrat (ce qu'ont peu ou prou fait les américains) confère le communiqué de Ch. Edelstenne en interne La grosse question est de savoir si l'on veut payer pour vendre, notamment les produits d'un industriel dont tout le monde sait qu'il tire ses bénéfices et garanti ses emplois grace au marché des jets d'affaire... La qualité du produit n'est pas en jeu Je me demande parfois si pour Dassault le militaire n'est pas devenu ce que la haute couture est pour Dior ou Chanel... un moyen de vendre du prêt à porter (des Falcons) :-\ -
Le Livre Blanc va-t-il aborder l'énorme question des effectifs? France 366 000 Budget défense 2,6 % du PIB Allemagne 306 000 GB 215 000 Budget défense 2,4 % du PIB Les effectifs de la FP et leur réduction constituent la pierre angulaire de l'action gouvernementale en terme de "réforme de l'Etat" au delà de toute autre stratégie (c'est le cas au sein du ministère des Finances). Qu'en sera-t-il pour la Défense dans le Livre Blanc. Ce ministère comme d'autres a subit des réformes nombreuses en successions rapides mais quelle est la situation en terme de ratio "actifs en kaki"/civils CECI PEUT IL AVOIR UNE INCIDENCE EN TERME D'EQUIPEMENTS? A-t-on des réponses ou des pistes de réflexion?
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@Pollux Le problème de l'Eurofighter c'est qu'à la conception c'est un intercepteur En faire un chasseur bombardier est bien entendu possible... mais -l'intégration des armements (comme vous le dites pas évident pour les MDC et on ne parle pas d'armes aussi complexes à intègrer que les vecteurs à guidage GPS genre A2SM JDAM JSOW qui pour les deux premiers sont naturellement très instables pour d'évidentes questions de corrections de trajectoires en fin de course) -la définition des modes air sol pour le SNA et le radar et l'optronique -le câblage... Tout celà est possible mais celà va avoir un côut de développement très élevé (ce qu'il y a de bien c'est que ce côut sera partagé) Moi ce qui m'intéresse c'est voir quels vont être les contraintes aérodynamiques liées à l'emport et aux séparations de charges notamment les charges lourdes, sans parler des questions structurelles mais là je pense que quand même des "réserves" avaient été prises. Je sais que cet aspect des choses a conduit pour les 2000 et Rafale à de très nombreux tests et laborieuses scéances d'essais notamment en matière de configurations dissymétriques et de tests de largages d'urgences. Et encore ces avions étaient à la base des chasseurs bombardiers. Je crois qu'au delà des performances du radar, des CME et de la propulsion le vrai challenge pour l'Eurofighter dans ses évolutions futures va être l'aérodynamique et le comportement de l'avion, notamment avec cft (s'ils sont développés) plus pleine charge sous voilure, Avion dont on sait que les CDVE dès le départ n'ont pas été le point fort. C'est le moins qu'on puisse dire, ce qui n'est pas le cas du Rafale ET SURTOUT surtout de son aîné le 2000 Mais par les temps qui courent sur notre forum je ne voudrais pas être taxé d'un excès de chauvinisme ;)
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@manivelle je ne pense pas que l'on soit dans ce cas de figure... le seul domaine où cette théorie a des chances de s'appliquer c'est le tir de vecteurs nucléaires. La France a toujours eu tendance à proposer le meilleur à ses clients -versions hyper évoluées du F1 à l'Irak avec de l'électronique "quasi 2000" -2000-9 aux EAU -le 4000 aux séoudiens il y a trente ans -Le Rafale avec radar à antenne active et M88-3 (je crois) aux Singapouriens rien n'est trop beau (mais le gvt irait-il jusqu'à autoriser l'export de SCALP à la Lybie...) :-[ Ce qui n'est absolument pas le cas des américains voir les amraam et le débat assez amusant sur les deux versions du F35 celle "américaine" (que réclament les anglais) et celle "clients" à la furtivité dégradée.
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Les contrats d'armement, les "gros contrats" d'Etat à Etat sont tout sauf du libre échange, c'est le domaine des intermédiaires, des commissions (y a pas que là) occultes (là par contre c'est fréquent;-)) ). Ce n'est pas une question de triche ou pas de triche dans ce domaine il n'y a pas de règles c'est tout. En plus personne ne veux de règles dans ces secteurs sensibles, ce n'est pas comme les accords sur le textile ou le Système de Préférences Généralisé. J'irais même jusqu'à dire que souvent les avions se valent (notamment entre les mains des acheteurs). Eurofighter Block 5, F16 Block 60, Rafale F2 entre quelles mains plus ou moins averties ces avions offres t ils des perfs radicalement différentes ?... Aujourd'hui il faut être gros (puissance financière, industielle) pour décrocher ce genre de contrat et avoir des garanties financières étatiques solides (COFACE, prêts à taux zéro, aide militaire -genre US à Israel). EADS a bien joué le coup avec l'Eurofighter. En plus la politique s'en mèle... Dassault a fait un avion superbe mais stratégiquement à Turin en 1985 nous aurions (c'est une supposition) peut être dû faire le pari de la coopération européenne.
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Edelstenne est un financier. Pour lui ce qui rapporte c'est le civil. Le militaire c'est plus complexe et bien moins sûr: si l'entreprise ne "marge" pas à l'export et en plus si le gvt ne garantit pas le contrat et ben tant pis on ferme les chaînes (exemple frappant du 2000) et on fait du Falcon Fusilier à raison Dassault c'est surtout le civil et les systèmes (Catia énooooooorme succès) EADS eux ils jouent placés ils ont un pied dans le Rafale et un dans le Typhoon Royal au bar ! cherchez le dindon dans tout çà Comme on dit chez nous "c'est le premier qui band... qui enc... l'autre"
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Chez Dassault j'ai cru comprendre qu'ils en avaient eu un peu marre de la valse-hésitation des indiens sur ce dossier qui traîne depuis pas mal de temps Pas plus d'infos
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1-est ce que les artilleurs et le aviateurs s'entraînent ensemble? 2-quels sont les moyens de détection des équipes Mistral Air et Terre ?
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@sorry vinia rien vu de tel sur le site Thalès mais en tout cas ils ont en catalogue des radars de surveillance, pas de trâce d'un contrat marocain dans ce que j'ai pu lire
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Thalès et surtout Sagem sont "project managers" d'un hypothétique projet de retrofit F1 C'est pas Dassault le maître d'oeuvre mais les équipementiers et les "missiliers"
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Comme disait l'autre il y a quand même un problème majeur: - soit c'est l'industriel qui traite directement et fait sa marge sur l'export (on a vu le résultat en Pologne) - soit c'est l'Etat qui traite avec l'Etat-client, et c'est le contribuable qui paie pour que l'industriel fasse sa marge (pas facile avec les dépenses engagées ici et là, et là on voit la puissance financière américaine) Et la on a le raisonnement d'une équipe nouvellement en place qui dit: pourquoi mettre de l'argent dans une affaire qui n'est plus rentable? D'autant plus que chez Dassault bcp misent plus sur le civil véritable pompe à millions que sur un militaire à l'avenir hypothétique En supposant que la Libye soit sur le pont d'acheter des Rafale, il est vital que ce soit au prix Dassault, or grâce à la DGA le client connaît le prix auquel l'industriel vend cet avion en France. Le client serait bien c.. d'accepter de payer ce que d'autres ont refusé. Et si les Américains tentaient la même manip qu'au Maroc pour enfoncer le clou soit directement soit en poussant un autre concurrent?
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Hervé Morin au quotidien La Tribune "Ce qu'il faut, c'est absolument améliorer notre organisation et faire en sorte que la France parle d'une seule voix. Qu'il y ait une vraie coordination entre les actions des industriels et celles de l'Etat", observe-t-il, préconisant notamment une simplification des nomenclatures de la Cieemg, l'organisme délivrant les autorisations pour l'exportation d'armes. Le COMITE INTERMINISTERIEL POUR L'ETUDES DES EXPORTATION DE MATERIEL DE GUERRE Consciente des enjeux stratégiques et diplomatiques attachés aux exportations d’armement, la France pratique avec tous les moyens de la puissance publique une politique responsable de contrôle, l’une des plus anciennes et des plus rigoureuses au monde. Le régime juridique qui s’applique (décret-loi de 1939) est l’interdiction. Les exportations d’armements constituent une exception à ce principe et font donc l’objet d’un contrôle approfondi, en deux phases successives. a) Les agréments préalables Un industriel qui souhaite entreprendre une opération d’exportation pour un matériel figurant sur la liste des matériels de guerre ou assimilés doit déposer auprès du Ministère de la Défense (Délégation Générale pour l’Armement) une demande d’agrément préalable. Cette demande comporte des précisions sur l’opération envisagée : nature du matériel, quantités concernées, pays bénéficiaire et destinataire final. Une autorisation doit être sollicitée avant toute négociation et toute signature d’un contrat. Le dossier est transmis à la Commission interministérielle pour l’étude des exportations de matériel de guerre (CIEEMG), présidée par le Secrétaire général de la Défense nationale, et qui comprend des représentants des Ministères suivants, avec voix délibérative : Ministère des Affaires Etrangères, Ministère de la Défense, Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. La CIEEMG se réunit au moins chaque mois et émet sur chaque demande d’agrément un avis soit favorable, soit défavorable, soit d’ajournement. Les avis de la CIEEMG sont entérinés au niveau du Premier Ministre. b) Les autorisations d’exportation Sur la base d’un agrément préalable du niveau vente ayant reçu un avis favorable de la CIEEMG, l’industriel peut alors solliciter une autorisation d’exportation de matériel de guerre (AEMG) . Celle-ci, délivrée par les Services des Douanes, permet l’exportation physique des matériels, après vérification de la cohérence de cette demande avec l’agrément préalable accordé. Ces autorisations d’exportation sont, dans de nombreux cas, accompagnées d’une clause de non-réexportation, par laquelle l’acheteur s’engage à ne pas vendre ou céder à un tiers, sans l’accord préalable des autorités françaises, les matériels et rechanges objet du contrat. Généralement, il s’agit d’un engagement du gouvernement du pays acheteur. c) la liste des matériels contrôlés par la France est très étendue, sans doute l’une des plus larges parmi les pays membres de l’Union Européenne : des petites armes aux satellites, elle comprend une gamme très diversifiée de matériels (chars, véhicules militaires, avions de combat et hélicoptères, navires de guerre et sous-marins, systèmes de communication, radars, missiles et munitions...). d) l’analyse faite en CIEEMG des projets de négociation ou de vente présentés par les industriels français prend en compte à la fois des directives nationales (situations intérieures ou régionales, précautions concernant des matériels particulièrement sensibles), mais également les engagements internationaux de la France. -------------------------------------------------------------------------------------------- Prétendre comme le fait le ministre que le simple fait de simplifier une nomenclature tarifaire des matériels concernés facilitera la coordination entre les intervenants et facilitera les succès à l'export... Je n'en reviens pas Comme si les contrats d'Etat à Etat ne faisaient pas aller de soit toutes les procédures administratives relatives aux exportations de matériel de guerre. C'est se foutre de la g... du monde On est en train d'expliquer les cafouillages au plus haut sommets de l'état et des organismes publics et para publics par de simple procédures administratives trop rigides alors que dans ce genre de négociations de contrats au niveaux des états ces procédures INTERVIENNENT SOUVENT A POSTERIORI Il faut savoir que les ventes d'armes ont un statut bien particulier en terme de statistiques du commerce extérieur notamment et que les AEMG sont délivrées quasiment les yeux fermés dans le cadre des contrats tels ceux dont nous parlons ces derniers jours désolé pour le HS mais il y en a qui se défossent à bon compte...
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qui aime bien châtie bien cher confrère de forum sujet de sa très gracieuse majesté ;)
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@d'après defense aerospace.com cité par glitter "The Saudis are also said to be unhappy with what they perceive as French snubs. These include the French government’s failure to appoint an official of sufficiently high rank to head Sofresa, the arms export agency especially set up to handle contracts with Saudi Arabia. France’s use of local marketing networks that include individuals that are “persona non grata” at King Abdallah’s court is seen as another snub. " "La Société française de matériels avancés ou Sofresa, créée en 1974 est une société qui regroupe l'État et divers industriels de l'armements pour assurer la commercialisation de matériel militaire, terrestre et naval, français pour le Moyen-Orient, en particulier l'Arabie saoudite. Elle assure 20% de la valeur de nos exports d'armes Michel Mazens a été remplacé le 25 janvier 2006 par Bruno Cotté, ancien directeur général international de Dassault Aviation." Le SOFRESA c'est l'exemple typique de la structure étatico privé dont nous avons le secret où viennent pantoufler des anciens politiques (Jacques Douffiagues en fut pdt) ou ici un ancien de Dassault. Quelle est la valeur ajoutée d'une telle structure aux côtés de la DGA, du ministre, du pdt de la république et aussi peut être quand même des industriels? Cà fait beaucoup de gens qui parlent de la même chose tout çà... En plus d'après aerospace.com on aurait commis quelques fautes de goût notamment en nommant à la tête de cette société un personnage d'un "rang pas assez élevé" mais aussi en utilisant sur place des intermédiaires indésirables à la cour de Ryiad Donc on ne connaît pas vraiment le client que l'on a en face de soit, ni les subtilités de la situation sur place apparemment...et on commet des impairs c'est assez troublant tout çà. Je ne veux pas fâcher tout le monde mais si toutes ces infos se confirment; outre le désir probable des séoudiens de diversifier leurs sources; çà rappelle toutes proportions gardées le récent cafouillis marocain Heureusement pour eux chez Eurocopter à la différence notable de Dassault les chaînes tournent et les carnets de commandes sont remplis...
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il a même pas dézingué la voiture vraiment en air sol il vaut pas un clou cet avion :lol: