FATac

Polytechnique (l'X qui n'est pas Twitter) abandonne son projet de passage à Microsoft 365 sous la pression du Logiciel Libre : https://www.lesnumeriques.com/informatique/une-premiere-victoire-polytechnique-claque-la-porte-a-microsoft-365-et-choisit-le-logiciel-libre-la-revolte-gagne-les-universites-n243905.html?utm_source=Facebook_Nonli Au passage, il y a quelques rappels à des obligations réglementaires, notamment la priorité donnée aux solutions libres sur les solutions commerciales, inscrite dans le Code de l'Éducation, avec lesquelles certaines directions d'établissement (et pas les moins dotés) se tamponnent régulièrement le coquillard...

Des élections ? Mais pourquoi veux-tu leur imposer des élections ? Tu fais une ingérence étrangère pour contrer le "good job" du grand patron !

Bah non ! Ce ne sera pas un Radar à Balayage Electronique 3 plans, donc ça ne fonctionne pas. Ca, c'est l'opinion que je n'ose pas exprimer pour ne pas paraître arrogant...

Ça ne pose pas de problème, tant que tu es en mesure d'interpréter un consentement explicite du dit diptère - ce dont je doute quand même un peu.

La tétracapillotomie présente au moins l'avantage de ne pas froisser les associations de défense de la cause animale...

Vous n'avez pas l'air d'avoir idée du nombre d'agents de l'État qui se retrouvent aux prises avec celui-ci et qui ont alors recours à un avocat s'ils veulent tenter d'égaliser les chances. La judiciarisation des conflits agent/État est une vraie machine à broyer, mais la possibilité de recours et une bonne défense écrite devant le tribunal administratif offre souvent une issue favorable à ceux qui sont bien conseillés (et qui ont à la fois le temps et les moyens pour survivre à la procédure). La plupart du temps, les décisions de l'administration contre ses agents s'avèrent irrégulières, hâtives, précipitées ou infondées - davantage dans la recherche d'un lampiste accessible que d'un responsable intouchable.

A moins que les règles n'aient récemment changé, le Boston Herald fait dans le sensationnalisme infondé : le shutdown concerne les dépenses fédérales à l'exception de celles relatives à la météo, les services médicaux fédéraux, les forces armées, le contrôle aérien et le système pénal fédéral (et aussi les membres du congrès). Bon, il est vrai qu'il y a un peu de nuance pour les forces armées, les civils de la défense et les membres de la garde nationale sont théoriquement mis au chômage. Les texans à Chicago font du bénévolat ??

Ce n'est pas le nombre actuel qui compte, mais le nombre qu'ils en auront au moment où les missiles seront livrés (et je rappelle que pour le moment, ils ne sont pas encore produits, ni même commandés puisqu'il s'agit davantage d'une proforma que d'un contrat).

Yaka désosser des machines à laver... Oui, oui, ---> []

Est-ce que le cas du navire Russe (qui est très loin d'être un navire poubelle, au passage) ne rentre pas, parfaitement, dans le cadre du contrôle aux frontières, finalement ?

Prenons la B61 pour ce qu'elle est réellement : un prétexte, plus qu'une excuse.

Pour le drone volant, il est clairement désemparé, ne continue pas sur sa trajectoire, on ne voit juste pas les quelques secondes suivantes où il va basculer sur tribord et partir en abatée. Pour le semi-rigide, j'ai effectivement l'impression que les premiers obus le touchent, mais je ne vois pas de dégâts significatifs. Après, c'est une impression et je ne suis pas absolument certain qu'il soit touché, mais je ne suis pas certain que ce soit le but non plus. Si le drone est équipé des micros qui vont bien il doit pouvoir localiser les impacts et indiquer que le point visé (x m devant par exemple) est bien atteint.

J'avais bien capté, j'aurai dû mettre un smiley. Mais c'était aussi l'occasion de fustiger une certaine incurie académique/organisationnelle, en Inde, dans des filières ou l'aura n'est pas systématiquement corrélée à la compétence.

Plus que deux... Il y a la filière assemblage, la filière connexion, la filière supervision/planification et la filière contrôle. A priori, pour les Mirage, la filière assemblage a bien fait son boulot et la filière supervision/planification aussi. C'est la connexion et le contrôle qui ont merdé toutes les deux (et qui sont tout aussi capables de merder sur des Mirage que sur des MiG ou des Sukhoi).

Et le temps qui passe n'arrange pas les choses. Je r'prendrai bien une 'tite prune, moi...

Votre Reinheitsgebot (aka "décret sur la pureté de la bière") a quand même provoqué un grand appauvrissement de la créativité des brasseries dans le domaine de la Bière. Nos amis Belges en sont relativement soulagés. ;-)

Et l'accusation ne tient pas puisque le navire n'a pas été intercepté dans les eaux internationales. Fin de partie... (accessoirement, l'action d'un état ne relève pas de la piraterie, celle-ci étant, par définition, liée à des intérêts privés)

Peut-être, justement, pour assurer une visibilité et une publicité de l'acte qui montre une action légitime, pesée, et non pas un pur assaut, potentiellement précipité. Dans le genre "ceci est un message du Gouvernement Français...", avec, comme tu le soulignes, @Ardachès, la possibilité d'agir différemment si la tension continue de monter.

Sans compter que, même si le navire a servi de base de départ des drones, il a fort bien pu n'être qu'une piste temporaire et d'opportunité. Le Commandant a fort bien pu accueillir, avec complaisance, une équipe embarquée au dernier moment, qui a mené ses actions, avant de se faire transborder nuitamment (par exemple) vers une embarcation légère qui est ensuite rentrée à la maison (ou a rejoint une unité militaire par exemple). Résultat des courses, plus rien, pas de trace sur le navire, juste des mouvements difficiles à expliquer, mais après tout, le Commandant étant seul maître à bord après Dieu, qu'est-ce qui lui interdit ces mouvements s'il le souhaite ? Quoi qu'il en soit, le navire est reparti. L'argument de piraterie de Poutine est creux : le navire a été arraisonné, contrôlé, puis relâché. Des procédures judiciaires ont été engagées, mais le navire n'a pas été saisi, aucune marchandise prélevée, il n'y a pas d'autre préjudice qu'un potentiel retard sur sa route - en plus des 6h passées à faire des ronds dans l'eau, certains de ces ronds mordant sur les eaux territoriales, jusqu'à 12 km de la côte, et justifiant l'inculpation de refus d'obtempérer puisqu'il semble qu'un sémaphore lui ait enjoint de cesser ces manoeuvres. Par ailleurs, la piraterie évoquée par Poutine supposerait, par définition internationale, que l'arraisonnement soit produit en haute mer, ce qui n'est absolument pas le cas, et soit commis par l'équipage ou les passagers d'un navire ou d'un aéronef agissant à des fins privées, ce qui n'est pas du tout le cas dans le contexte de militaires ou forces de l'ordre abordant le navire. Je suis surpris de cet argument de la part des Russes qui savent si bien user d'arguments légalistes pour semer un doute légitime. Là, il y a eu une occasion de se taire qui s'est perdue... on doit pouvoir la retrouver pas trop loin de leur crédibilité (si on la retrouve).

Obérer la capacité de production de carburant de manière assez importante avant les prochaines récoltes agricoles, de manière à pousser le Kremlin à tenter une manœuvre pour s'emparer de capacités pétrolières sur son flanc sud. Cette manœuvre Russe, par contre, nécessitera de déconnecter les pétromonarchies d'un potentiel soutien de l'Otan. Rien de mieux, pour cela, pour la Russie, que de provoquer une rupture au sein de l'Alliance, notamment en décrédibilisant son "homme malade", l'Allemagne. En parallèle, il faut transformer l'Océan Atlantique en fossé infranchissable pour d'éventuels renforts américains, particulièrement en s'emparant de l'Islande. Ensuite, les opérations terrestres pourront commencer en Allemagne avec pour objectif une réalisation avant l'été et la neutralisation finale de l'OTAN. Sachant que tout ça est voué à un échec qui va renverser le pouvoir au Kremlin, ça se tente, non ? L'objectif final vaut bien l'investissement !

Clairement, les Russes ne sont pas sensés... Par contre, ils sont censés être les senseïs de ce domaine.

Les deux principaux systèmes de défense des USA s'appellent Ocean Pacifique et Ocean Atlantique. Ben... Belges, Néerlandais (et Français) ont récupéré tellement de merdes explosives dans leurs eaux après les deux guerres mondiales qu'ils ont, effectivement, acquis une expérience à nulle autre pareille.

Des militaires dont l'identité est préservée sont à bord. Le commandant et son second sont en garde à vue. https://armees.com/flotte-fantome-russe-le-petrolier-boracay-intercepte-au-large-de-saint-nazaire/ Il y aura enquête approfondie, notamment à la demande des autorités danoises, mais aussi sur les manoeuvres "en rond" effectuées dans le parc éolien de St Nazaire.

Disons qu'un camp se montre sélectif dans ses frappes parce qu'il sait qu'il risque de perdre ses sponsors s'il s'égare trop visiblement, quand l'autre n'a systématiquement rien-à-foutre du collatéral : ce qui compte, c'est la masse d'explosif envoyée dont une partie, finalement, viendra toucher l'objectif désigné. Pour moi, il n'y a pas systématisation de frappes contre les civils. Il y a systématisation de l'acceptation d'un collatéral significatif pour tout objectif légitime, même insignifiant tactiquement. Et c'est ça qui tue quotidiennement 10 à 20 civils. Après, ça n'empêche pas quelques unités mal cornaquées de déraper en mode exaction sur la population ou safari au drone FPV - et s'il est possible que cela existe des deux côtés, le fait est que les actions russes dans ce domaine restent les plus visibles. Que cette sur-exposition soit une sur-représentation ou bien simplement proportionnelle au volume de ces crimes, je n'en sais fichtre rien avec certitude ...

Pourtant, on a alimenté un trafic de rations entre contingents en Afghanistan, la ration française y étant couramment échangée contre deux rations canadiennes, voire trois rations américaines si je me souviens bien. La nôtre était jugée sous-calorique pour 24h, mais avec deux, ils tenaient la journée. Bon, par contre, il me semble me souvenir que la cote variait aussi selon le menu et que 2 ou 3 d'entre-eux (sur les 24 proposés) ne trouvaient pas preneurs.