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gerole

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Tout ce qui a été posté par gerole

  1. Tiens Darkene, pendant que tu es là, pourrais-tu donner des principaux économistes qui sont pour garder la zone euro telle quelle et qui sont dans doute à l'origine de ta compréhension du sujet, et afin d'alimenter le débat ? Lorsque je fais une recherche sur google avec "économistes pro-euros" ou d'autres variantes, je ne trouve rien. (j'ai trouvé peut-être piketty et peut-être arthus... à débattre après sur ce qu'ils disent)
  2. Lol, c'est vrai, comme le journaliste on se demande "à quoi il joue". Il y aurait eu un défilé militaire "avec des équipements trèèèèès impressionants" pour "faire une démonstration de force" "suite à la crime". Un défilé le 9 mai, ça ne peut être que dû à l'actualité, c'est sûr (joke) . Quand je vois que 7 directeurs du Monde ont récemment abandonné leurs titres en protestation, on se demande si ça tourne rond dans ce journal en ce moment.
  3. Oui c'est dommage qu'ils n'aient pas posée de question sur la sortie de l'euro. Il y a je crois une forte montée du sentiment anti-euro dans beaucoup de pays d'Europe, bien supérieurs au derniers sondages que j'ai vu en France. En tout cas je pense qu'il y a une forte montée car certains sondages ces dernières années montrent une volonté de sortie de l'euro majoritaire en Allemagne et Italie. (source pour l'italie : http://www.investireoggi.it/economia/italiani-rivogliono-la-lira-partito-anti-euro-varrebbe-il-24/) Ces sondages ne sont pas suffisant pour bien sentir l'opinion. En tout cas je pense que pour envisager plus probablement toute discussion réelle sur l'euro, il faudrait que les populations d'au minimum 2 des 3 principales puissances de la zone euro soient résolument pour leur retrait de cette zone.
  4. Il y a une vidéo que je ne posterai pas et qui de mémoire montre des gens sauter du premier étage et se faire tabasser au sol. La séquence est rapide et concerne peut-être 2/3 mecs tabassés. Mais comme je dis de mémoire et que ça ne m’intéressait pas il vaut mieux confirmation en regardant de nouveau.
  5. C'est clair. L'industrie US a encore eu un contrat de 70 Milliards de dollars l'année dernière avec l'Arabie Saoudite. Laquelle finance les islamistes en Syrie et ne respecte pas les droits de l'homme. Et les sénateur US viennent nous donner la leçon avec les BPCs... Il est évident qu'ils veulent surtout mettre la pression sur la France, éviter que l'on fasse preuve de trop d'indépendance.
  6. Je ne t'ai pas demandé si il y avait beaucoup d'économistes pro-euros mais quels étaient les principaux. J'ai fait l'effort de chercher 60 économistes anti-euros, et quand je te demande d'en chercher pro-euros tu me traites de troll. C'est parce que tu ne sais pas répondre à une question dans un débat argumenté que tu traites les autres de troll ? Ce n'est pas une attitude acceptable dans un vrai débat. Si tu n'es pas capable de nommer les principaux économistes pro-euro, comment peut-on savoir quels sont leurs arguments pour les comparer avec les anti-euros ? (D'ailleurs, tu ne crois tout de même pas que les arguments que tu cites, comme le fait que l'euro ait été étudié pendant 40 ans et instauré dans plusieurs pays, comme des arguments qui "en soi" valident la thèse que la création de l'euro a été bonne ? Ce n'est pas parce qu'un jugement a été fait par X personnes que c'est un argument pour dire que ce jugement est forcément bon)
  7. Ok donc ton argument premier : il n'y a moins de 20 économistes, ne vaut rien. Comme tu dis il y a plusieurs milliers d'économistes en Europe (je n'en suis pas sûr perso) et penser qu'il y en a moins de 20 anti-euro est complètement absurde. Une idée que l'on peut laisser à la propagande je pense. Maintenant tu dis que il y a trop d'économistes pro-euros et donc tu ne peux pas faire la liste. Mais pourquoi ne fais-tu pas la liste de tous les économistes pro-euros les plus connus ? On pourra aussi comparer leur CVs et leurs idées alors.
  8. Bien sûr. Voici une première liste de plus de 60 économistes appelant à la fin de l'euro ou extrêmement critiques. Bien entendu la liste est beaucoup plus longue, il n'y a presque pas de britanniques dans cette liste par ex (ils doivent être une grosse cohortes) et il n'y a pas tout ceux que tu cites . Si ton argumentaire se base principalement sur le raisonnement que tu mets en avant (" si il n'y a pas beaucoup d'économistes (<20) qui pensent que c'est bien, alors c'est mal") , ne semble-t'il pas qu'il faille que tu deviennes anti-euro étant donné cette liste ci-dessous ?. De plus, n'est -il pas incohérent de dire qu'il y a peu d'économistes anti-euros, si on ne liste pas les économistes pro-euros ? : Florin Aftalion, professeur émérite à l’ESSEC Vincent Brousseau, Diplômé de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud et titulaire de deux doctorats, l’un en mathématiques et l’autre en économie, a travaillé pendant 15 ans à la Banque centrale européenne (BCE) et était, jusqu’au 1er janvier 2014, l’un des deux économistes français du département de la politique monétaire. Alain Cotta, économiste, professeur à HEC et à Dauphine Dominique Garabiol, diplômé de l'ESSEC et docteur ès sciences économiques, commença sa carrière à la Banque de France en 1981. En 1986, il devint chef de la section des études au secrétariat général de la Commission bancaire. Jacques Généreux, Professeur d'économie à Science po Paris Jean-Pierre Gérard, Ancien membre du Conseil de la Politique Monétaire, il est Président du club des N°1 mondiaux français à l'exportation Gael Giraud, Chargé de Recherches (1re Classe) au CNRS. Chercheur associé à l’École d'économie de Paris et consultant scientifique Brigitte Granville, Professeur d’économie internationale et d’économie politique à la « School of Business and Management », Queen Mary, University of London. Gérard Lafay, Professeur émérite de sciences économiques, Paris II Frédéric Lordon, Directeur de Recherche au CNRS, Directeur d’Etude à l’EHESS Bernard Maris Professeur des universités à l'Institut d'études européennes de l'université Paris-VIII. Il a également enseigné la micro-économie à l'université d'Iowa (États-Unis) et à la banque centrale du Pérou, membre du conseil général de la Banque de France Jacques Mazier, Professeur de sciences économiques, Université de Paris 13 Bruno Moschetto, professeur de sciences économiques à HEC Philippe Murer, professeur de finance à l’Université Paris 1. Steve Ohana, professeur assistant en finance à ESCP Europe. Il est diplômé de l’Ecole Polytechnique. André Orléan, administrateur de l’INSEE en 1974, puis directeur de recherche au CNRS en 1987. Directeur d’Etude à l’EHESS. Christophe Ramaux, économiste français, Maître de Conférences à l'Université Paris I et chercheur au Centre d'Économie de la Sorbonne. Jean Jacques Rosa, Professeur émérite d’économie et de finance à Science Po Paris. Jacques Sapir, Directeur d’Etude à l’EHESS. Henri Sterdyniak, Directeur du Département économie de la mondialisation de l'OFCE, ancien administrateur de l’INSEE. Jean-Pierre Vesperini, Agrégé de sciences économiques (major), Professeur d’économie à l’université de Rouen, ancien membre du Conseil d’Analyse Economique auprès du Premier Ministre. Philippe Villin, banquier d'affaires, ancien élève de l'Ena. Rolf Hasse, professeur d’économie à l'Université de Hambourg Forces Armées Fédérales (1981-1998) et à l'Université de Leipzig (1998-2006). Directeur de l'Europa-Kolleg Hambourg (1992-1998). Hans-Olaf Henkel, ancien président de la Fédération des Industries Allemandes, Professeur d’Economie à l’Université de Mannheim. Wilhelm Nölling, diplomé des Universités de Berkley et de Hambourg, ancien professeur d'économie à l' Académie des sciences économiques et politiques, Hambourg. Thilo Sarrazin ancien membre du directoire de la Deutsche Bundesbank Wolf Schäfer, ancien professeur de sciences économiques à l' Université Helmut Schmidt à Hambourg Hans Werner Sinn, président de l'Institut für Wirtschaftsforschung (ifo), membre de la National Bureau of Economic Research à Cambridge, Massachusetts. Joachim Starbatty, professeur émérite de sciences économiques à l' Université de Tübingen Alfred Steinherr, ancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement, Professeur à la « School of Economics and Management » de l’Université Libre de Bozen-Bolzano, Italie. Geminello Alvi, membre du Conseil national de l'Economie et du Travail, ancien économiste à la Banque d'Italie et à la Banque des règlements internationaux Bruno Amoroso, professeur d’économie. Alberto Bagnai, Professeur associé d’économie politique à l’université G. d’Annunzio et L. Da Vinci de Chieti. Claudio Borghi Aquilini, économiste et chroniqueur, professeur à l'Université catholique du Sacré-Cœur – Milan Emiliano Brancaccio professeur d'économie à l'Université de Sannio à Bénévent Sergio Cesaratto Professeur à l'Université de Sienne, Département d'économie et de statistique. Nino Galloni membre du conseil des commissaires de l'Institut national de sécurité sociale, ancien professeur aux Universités de Milan, de Modène, et de Rome Vladimiro Giacché, président du Centro Europa Ricerche Giuseppe Di Taranto, Professeur d'économie et d'histoire à la « Libera Università Internazionale degli Studi Sociali » Antonio Maria Rinaldi, Professeur de Corporate Finance à luniversitéGabriele d'Annunzio Tancioni Massimiliano Professeur d'économie, Université La Sapienza de Rome Marco Passarella, économiste, université de Leeds Cesare Pozzi professeur d'économie appliquée à l'Université de Foggia Andrea Ricci professeur d’économie à l’Université d’Urbino Paolo Savona, professeur de politique économique à la Carli Université LUISS-Guido de Rome, diplômé du MIT. https://www.youtube.com/watch?v=am63xpc_PRQ João Ferreira do Amaral, Professor of Economics and Economic Policy at the University of Lisbon and economic adviser to the Portuguese president. Roger Bootle, ancien maitre de conférence à l’Université d’Oxford, fondateur du cabinet de recherche économique « Capital economics ». Mojmír Hampl, Vice-gouverneur de la banque central de République Tchèque depuis 2008 Costas Lapavitsas, professeur d’économie à la “School of Oriental and African Studies”, University of London. Juan Francisco Martín Seco, “Academic lecturer” d’Introduction à l’économie et de finance publique. Jens Nordvig, chef mondial de la stratégie FX et chef de la recherche Fixed Income, Amériques chez Nomura Securities. Peter Oppenheimer, chercheur en histoire économique à l’Université d’Oxford. Ernest Pytlarczyk, Economiste en Chef de la BRE Bank S.A Antoni Soy, Professeur d’économie appliquée à l’Université de Barcelone, ministre délégué à l’industrie et à l’entreprise dans le gouvernement de Catalogne Nouriel Roubini, Professeur d'économie au Stern School of Business de l'Université de New York. Avait annoncé la crise en 2005-2006 Dani Rodrik, Professeur d’économie politique à Harvard Heiner Flassbeck, ancien économiste en chef de la CNUCED de 2003 à 2012 Christopher Pissarides, Prix Nobel 2010, Professeur à la London School of Economics Thomas Sargent, Prix Nobel 2011 James Mirrlees, Prix Nobel 1996 Joseph Stiglitz, Prix Nobel 2001 Paul Krugman, Prix Nobel 2008 http://mobile.agoravox.fr/actualites/economie/article/aucun-economiste-n-est-pour-la-fin-150926
  9. Quelle est donc cette vingtaine d'économistes anti-euros que tu connais situés dans toute l'Europe ?
  10. Je doute que tu es une liste des économistes à nous fournir avec leurs différentes opinions et leur CV. PS : il est bon de ne plus parler d'opinion quand c'est le fruit d'un jugement ou d'une analyse d'un expert
  11. Ah ok merci Le parlement vient de voter contre l'idée de référendum pour la décentralisation : http://en.ria.ru/world/20140506/189621775/Ukrainian-Parliament-Votes-Against-Referendum-on.html
  12. Quels sont les tanks utilisés pour l'instant ? Quelqu'un sait si on voit du T-80 ukrainien par ex ? Merci
  13. Bof, moi j'ai toujours dit qu'il était probable que les russes reprennent la crimée et qu'il n'y aurait pas de réaction occidentale. J'ai toujours dit qu'il y avait une possibilité d'invasion de l'Est et que l'autre scénario le plus probable c'est la fédéralisation un jour ou l'autre. Et là je dis que si il y a invasion il est assez facile de savoir comment, je pense pas qu'il y ait beaucoup de doutes des experts/commentateurs : L'armée russe va reprendre les oblosts de Donetsk, Lugansk et peut-être celui de Karkhiv. Très peu probable pour Odessa (à mon avis) et plus à l'Ouest. Ahhh, donc tu connais la proportion d'électeurs que l'on pourrait qualifier de patriotes ou pan-slaves, ou éthno-sensibles ? Quelle est-elle ? Qui à parler d'Odessa , de génocide sur ce site ?
  14. Bon je crois que tu ne connais pas les termes nationalisme et patriotisme. Mais ça se trouve facilement sur Internet. Sache qu'une bonne part du peuple russe est patriote, et je pense qu'une part se reconnait un attachement à leurs racines slaves et n'aiment pas voir leurs voisins slaves se faire massacrer (j'ai pas de chiffres). Dans le même ordre d'idée pourquoi ne fais-tu pas de différence entre défendre une ethnie d 'un massacre et vouloir massacrer d'autres ethnies ? (ce que proposerait l'extrême droite ) Je pense qu'une part non négligeable des électeurs russes est suffisamment apte à utiliser son cerveau pour faire cette différence.
  15. Parce que tu crois qu 'il y a pas une bonne part de la population russe qui va reprocher son inaction si il y a 1000 morts de pro-russes et que Poutine ne fait rien ? A tona vis que va penser toute la frange des électeurs nationalistes ou patriotiques russes (30% de l'électorat, je dis ça au pif) et qui ne devraient pas être trop mécontent de poutine à mon avis ?
  16. Il y aurait quoi à l'heure actuelle ? 70 morts pro-russes ? Tout ça c'est aussi une question d'ordre de grandeur, d'effet psychologique etc... Pour la géorgie il y a eu 2 jours et 160 morts avant l'intervention (peut-être moins). Poutine va perdre tout soutien d'une bonne part de sa population si il paraît indécis et laisse plusieurs centaines de morts pro-russes se produirent. je ne connais pas le seuil psychologique dangereux pour lui mais il y en a bien évidemment un !! Même l'Occident ne pourra pas dire grand chose si on atteint un certain seuil psychologique. Vous croyez que Chirac aurait attendu 1000 morts français en Côte d'ivoire avant d'intervenir ? Bah non sinon il aurait perdu tout soutien. Mon opinion est qu'au delà de 200-300 morts civils environ et si rien ne se tasse Poutine devra arrêter sa position actuelle attentiste.
  17. gerole

    Les BPCs Egyptiens

    Oui c'est ça, la russie joue plus contre nos intérêts que les USA parce qu'elle nous "forcerait" à être dans le camp des USA
  18. C'est assez marrant ces histoires de propagandes. On avait terroriste, là ils nous recouchent une couche insidieuse : "tchétchènes". Je pense qu'ils vont carrément y aller et parler d'islamistes dans le tas si ça continue à chauffer lol.
  19. gerole

    Les BPCs Egyptiens

    -> "La France est avant tout membre de l'OTAN". L'OTAN est une machine dirigée par les US. Donc tu es en train de dire que la France est soumise indirectement aux décisions US ? Donc tu valides mes propos que la France montre à de potentiels clients qu'elle peut être soumise à des décisions US pour ses contrats d'armements comme elle est "avant tout membre de l'OTAN". Or par le passé la France a su marquer sa différence vis-à-vis de l'OTAN, et tous les experts reconnaissent que ça a été un des facteurs pouvant permettre de vendre des armes notamment aux non alignés. Pourquoi dis-tu "ou pas" quand je dis la même chose que toi ?
  20. gerole

    Les BPCs Egyptiens

    L'annulation du contrat BPC serait gagnant-gagnant pour les USA. Ça permet de montrer que la France est inféodée aux décisions de Washington et que toute vente d'armements français peut de facto être remise en cause si Washington insiste. Ça nous retire un de nos principaux avantages comparatif.
  21. Un économiste italien parle des conséquences de la sortie de son pays de l'euro : http://www.dailymotion.com/video/xybh9n_l-italie-peut-elle-sortir-de-l-euro-c-est-gerable-selon-l-economiste-claudio-borghi_news?start=4
  22. Il serait intéressant de faire le parallèle avec la guerre en Ossétie du Sud de 2008. D'après wiki les faits se sont déroulés ainsi : -------------------------------------------------------------- "La deuxième guerre d'Ossétie du Sud oppose en août 2008 la Géorgie à sa province séparatiste d'Ossétie du Sud et à la Russie. Le conflit s'est étendu à une autre province géorgienne séparatiste, l'Abkhazie. Après plusieurs jours d'accrochages frontaliers entre la milice des séparatistes sud-ossètes, soutenue et formée par la Russie8,9, et l'armée géorgienne, les hostilités commencent dans la nuit du 7 au 8 août 2008 par un assaut des troupes géorgiennes qui fait 12 morts dans les forces de maintien de la paix de la CEI (à prépondérance russe)10,11et 162 victimes sud-ossètes selon le bilan officiel de la Justice russe donné en fin d'année 2008. De plus, le ministère russe des affaires étrangères avait annoncé, le lundi 11 août 2008, environ 1 600 victimes civiles12). La Russie applique le plan militaire de guerre contre la Géorgie dont la planification avait été ordonnée en 2006 par le président russe Poutine8,13,14,15. Se fondant sur le fait que la grande majorité des Ossètes du Sud ont un passeport de laFédération de Russie, le président russe, Dmitri Medvedev, ordonna à ses troupes d'intervenir afin de protéger la population de l'Ossétie du Sud et de contraindre la Géorgie à la paix16. Après quatre jours d'avancée rapide des forces russes et de bombardements sur plusieurs villes géorgiennes, Medvedev annonce que ces objectifs sont atteints et que les troupes russes resteront sur les positions définies par l'accord de 1992 pour garantir la paix dans la région17,18. Le 16 août, est signé un cessez-le-feu qui met, au moins temporairement, fin au conflit, sans régler pour autant les questions ossètes et abkhazes. Le 26 août, la Fédération de Russie reconnaît officiellement l'indépendance de l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie19 et se dit prête « à assurer la sécurité de ces deux États20 »." ------------------------------------------------ L'attaque géorgienne des 2 premiers jours auraient fait 162 victimes civiles sud-ossètes (certains avec passeports russes ?) et 12 soldats à majorité russe. Le nombre de morts et leur nationalité pour certains d'entre eux avaient de mémoire été la raison officielle de la contre-attaque russe. Si on prend ce simple indicateur isolé on constate qu'on a pas encore atteint ce niveau de morts (on en est à combien ? 50 pro-russes ?)
  23. Son blog et son rêve de l'Europe ont l'air d'être à l'image de sa photo, elle nous fait la nana sexy de 39 ans mais quand tu regardes en vrai c'est une vieille de 66 toute ridée !
  24. Mon avis perso est que kiev va essayer de reprendre toutes les villes autonomes (sauf la crimée). Sinon je ne vois pas pourquoi il ferait les choses à moitié, en plus sans prévenir officiellement les russes. Comment pourrait-il y avoir un référendum le 11 mai sous la tutelle des séparatistes maintenant ? Je pense que pour ce qui est de la réaction de Kiev, c'est acté. Mais quand est il de Moscou ? Ils ont le choix entre : - réagir maintenant ou avant la reprise totale des 2 oblasts. - voir si kiev fait un referendum sur le fédéralisme et l'auto détermination et si ce n'est pas fait réagir après coup en ayant une "excuse" (quelques semaines après, voir quelques années, mais avant que l'Ukraine ne rentre dans l'OTAN) - ne rien faire et laisser une présence "russe" en ukraine Perso je penche un peu pour la première solution.
  25. T'as raison je me suis trompé c'était un commentaire d'un think tank je crois (j'ai lu trop vite un autre forum) http://rpdefense.over-blog.com/2014/03/commentary-nato-should-buy-the-mistrals.html
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