En fait, une fois l'emotion passée (parceque, je vais peut-être choquer, on le savait déjà -les exemples depuis 10ans ne manquent pas en Europe-), il ne se passera rien.
Ou, au mieux, un retardement des suppressions avec reprise ultérieure avec effet rétroactif. On pourrait imaginer un stop en 2015 (manière de dire "vous voyez, on fait") et un dégraissement 2fois plus important en 2016 (pour rattraper 2015, voire un peu plus pour rattraper le dérapage engendré par les "sureffectifs" de 2015)