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3 hours ago, Ciders said:

On ne va pas tirer sur l'ambulance mais dans la longue liste de ce qui a détruit les forces britanniques, le wokisme est sûrement en dehors de la liste.

 

Même question que pour les américains, qu'est-ce que les mesures en place au sein des forces britanniques ont apporté pour consolider et accroître les rangs ?
Si ça marche il faut le montrer, si le résultat est nul il faut s'en débarasser.
Avec un Putin qui a déjà envahi un pays et montre les crocs pour la suite, l'heure est à l'efficacité, pas à l'idéologie.

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il y a 1 minute, Myrtil a dit :

Même question que pour les américains, qu'est-ce que les mesures en place au sein des forces britanniques ont apporté pour consolider et accroître les rangs ?
Si ça marche il faut le montrer, si le résultat est nul il faut s'en débarasser.
Avec un Putin qui a déjà envahi un pays et montre les crocs pour la suite, l'heure est à l'efficacité, pas à l'idéologie.

...la bénédiction du pouvoir politique, de la population, donc des budgets ? Une armée représente aussi son Etat-Nation.

En France par exemple, on a moults reportages sur l'armée française, premier ministère développement durable et écologie, les bons élèves. C'est vraiment pas par passion et respect pour la nature. C'est plus de la com'/green-washing pour être ancré dans son temps, et ne pas voir des budgets se faire contester. Voir gratter des financements en plus.

Modifié par Polybe
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13 minutes ago, Polybe said:

...la bénédiction du pouvoir politique, de la population, donc des budgets ? Une armée représente aussi son Etat-Nation.

Je ne sais pas commenter pour les britanniques mais pour les USA les élections viennent de trancher de manière spectaculaire d'ailleurs.
Mais il ne faudrait quand même pas élever les mesures dont on parle là au rang des questions de mobilisation ou d'effort budgétaire massif en terme d'impact et d'approbation de la population en temps difficile.
Par ailleurs, désolé d'insister, mais la réponse à ta question se trouve également dans la réponse à la mienne. Si les mesures se montrent efficaces c'est qu'il y a un soutien populaire qui doit se traduire politiquement et inversement si c'est un échec ou une erreur ou simplement de l'entrisme idéologique, il n'y aura pas d'impact politique majeur à la révision de ces mesures.

Modifié par Myrtil
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il y a 3 minutes, Myrtil a dit :

Je ne sais pas commenter pour les britanniques mais pour les USA les élections viennent de trancher de manière spectaculaire d'ailleurs.
Mais il ne faudrait quand même pas élever les mesures dont on parle là au rang des questions de mobilisation ou d'effort budgétaire massif en terme d'impact et d'approbation de la population en temps difficile.
Par ailleurs, désolé d'insister, mais la réponse à ta question se trouve également dans la réponse à la mienne. Si les mesures se montrent efficaces c'est qu'il y a un soutien populaire qui doit se traduire politiquement et inversement si c'est un échec ou une erreur ou simplement de l'entrisme idéologique, il n'y aura pas d'impact politique majeur à la révision de ces mesures.

Sauf que je répond très précisément : pour justifier ses budgets et éviter des tensions avec le pouvoir qu'elle sert, une armée doit permettre à l'argent de continuer d'arriver. Donc être "à la mode" du moment. La mode change ? Oui, en effet.

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7 minutes ago, Polybe said:

Sauf que je répond très précisément : pour justifier ses budgets et éviter des tensions avec le pouvoir qu'elle sert, une armée doit permettre à l'argent de continuer d'arriver. Donc être "à la mode" du moment. La mode change ? Oui, en effet.

C'est une notion toute personnelle de la précision. Si ta remarque c'est pour pointer les mouvements de balancier dans leurs excès, okay je comprends.
Ceci dit il y a une manière très élémentaire d'amener de la rationalité: ces mesures sont-elles efficaces ou pas ?
On ne gère ni l'armée ni son budget avec des modes, ca serait absurde.

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Une analyse intéressante de la politique étrangère des Etats-Unis et de Trump, par Jean-Sylvestre Mongrenier de l'institut Thomas More : https://www.lefigaro.fr/international/en-se-faisant-l-idiot-utile-de-poutine-trump-pourrait-mener-l-amerique-a-l-autodestruction-geopolitique-20250220

LE FIGARO. - Vivons-nous un changement de monde et une rupture d’alliances, avec le début brutal et si difficile à lire de la présidence Trump ? Comment comprendre ce moment dans l’histoire longue de l’Amérique ?

Jean-sylvestre MONGRENIER. - Les propos répétés de Donald Trump, ces derniers jours, donnent une idée de l’objectif qu’il vise, un « Nixon in reverse », c’est-à-dire faire le contraire de ce que Nixon et Kissinger avaient réussi au début des années 1970 : retourner la Chine populaire contre l’URSS. Le président américain et ceux qui lui murmurent à l’oreille prétendent retourner la « Russie Eurasie » contre la Chine populaire. Poutine et ses hommes exploiteront cette illusoire grande manœuvre diplomatique qui affaiblira les alliances américaines, voire les détruira. On peine à voir quelque chose de semblable dans l’histoire américaine.

LE FIGARO. - Justement, divers analystes expliquent le retournement actuel par une pénétration de certains cercles de la droite américaine par des agents russes, ou au minimum la propagande du Kremlin. Qu’en pensez-vous ?

De fait, il est difficile de faire la part entre la manipulation extérieure, l’ignorance et la cupidité. Il semblerait que Russia Today ait joué le rôle de rabatteur pour Fox News, Donald Trump sélectionnant ensuite ses équipes à partir du spectacle offert par cette chaîne.

On n’est pas face à un isolationnisme, mais plutôt à un activisme de puissance impériale dont les nouvelles élites sont persuadées d’avoir été abusées par leurs alliés et ne croient plus aux alliances comme vecteur d’influence et de prospérité.

C’est pourquoi Trump menace ses alliés et amadoue ses ennemis ?

L’isolationnisme américain est un fait psychologique qui ne s’est pas véritablement traduit par une politique cohérente, même au XIXe siècle. Alors que l’Angleterre tenait la mer, interdisant toute intervention des puissances européennes dans l’« Hémisphère occidental », les États-Unis étendaient leurs possessions territoriales au-delà des Appalaches (la conquête de l’Ouest), ainsi que leur pouvoir dans l’océan Pacifique. En 1898, les îles Hawaï, Guam et les Philippines passèrent sous la souveraineté des États-Unis, entre autres territoires insulaires. Bref, la « Destinée manifeste » n’était pas une proclamation d’isolationnisme.

Il reste que les vues de Donald Trump ne sont guère aisées à saisir. Il semble pris par une fiction géopolitique, celle d’une toute-puissance américaine qui l’autoriserait à sacrifier alliés, partenaires et amis (au sens politique du terme). Une hubris qui pourrait mener au pire, au regard des intérêts géopolitiques américains. Inflation égotique ? La science politique et la théorie des relations internationales ne prennent pas assez en compte le rôle des personnalités, que l’on voudrait dissoudre dans des « structures » ou moyennes comportementales. Quelque chose en Trump relève de la psychologie des profondeurs. On peine à voir la rationalité stratégique de cette grande manœuvre. S’agirait-il d’une forme de millénarisme comme il s’en produit à certains âges de l’histoire ?

Sur la question de l’Ukraine, il se comporte en Ponce Pilate, qui décide de tout mais se lave les mains de l’avenir, laissant aux Européens la responsabilité de garantir un accord de paix auquel ils n’auraient pas été associés… Quant à l’Ukraine, elle est sommée de céder. Yalta ou Munich ?

La conférence de Yalta, en février 1945, entérina le rapport des forces sur le terrain, Roosevelt et Churchill ne disposaient que d’une faible marge de manœuvre : les troupes soviétiques étaient alors à 70 kilomètres de Berlin ; toute l’Europe centrale et orientale était occupée. À Munich, en septembre 1938, Anglais et Français avaient abandonné la Tchécoslovaquie, l’invasion allemande des Sudètes n’entraînant pas immédiatement de guerre : dans le cas présent, la guerre est en cours et la Russie n’est toujours pas victorieuse. Voici trois ans que l’armée ukrainienne résiste dans cette guerre de haute intensité. Avec succès. L’armée russe contrôle moins du cinquième du territoire ukrainien. Elle n’a pu acquérir ni la suprématie aérienne, ni le contrôle de la mer Noire. Dans le domaine du cyberespace, la Russie n’a pas infligé le « KO » initial redouté. L’Ukraine est donc invaincue. Son éventuel lâchage par les États-Unis, pour en finir au plus vite et se lancer dans une mirifique OPA sur la Russie, n’aurait guère de précédent historique.

La confiance entre Américains et Européens semble durablement détruite. L’historien russe Vladimir Pastoukhov disait hier que « L’Amérique a quitté la gare Europe et est déjà à Saint-Pétersbourg » … Êtes-vous d’accord ?

En politique extérieure, Trump semble se comporter comme l’« idiot utile » de Poutine, mais j’espère que le cours des événements démentira ce jugement. Marco Rubio, que l’on voyait comme un « reaganien » soucieux de « clarté morale », sera-t-il l’idiot utile de Trump ? Quant au « terminus » de Saint-Pétersbourg, rappelons que l’Administration Clinton avait tenté une politique de « Russia first » avant de se heurter à la force des choses : pour mémoire, la « doctrine de l’étranger proche » fut énoncée en 1992, bien avant l’élargissement de l’Otan aux pays d’Europe centrale et orientale. Après les attentats du 11 septembre 2001, George W. Bush tenta de ranimer la flamme de la Grande Alliance. Un sommet énergétique américano-russe fut alors organisé à Saint-Pétersbourg. En vain. Avant d’accepter l’idée d’une négociation avec les États-Unis, Poutine a pris soin de réaffirmer ses alliances avec la Chine populaire, l’Iran, la Corée du Nord. Il est convaincu que les équilibres de puissance basculeront vers l’Asie et il compte se jouer de Trump, qui est en position de demandeur. L’objectif de la Russie est de prendre le contrôle de l’Europe, ce qui renforcera sa puissance et rééquilibrera les rapports de force dans l’alliance sino-russe..

C’est un retour au jeu de grandes puissances, de grands fauves, comme au XIXe siècle ? Chine, Russie, États-Unis… 

De tels jeux n’ont jamais cessé, mais la puissance n’est pas un objectif en soi : elle ne vaut que par le champ des possibles qu’elle ouvre. Quant à l’idée d’un partage du monde entre ces trois puissances, avec leurs zones d’influence respectives, elle laisse dubitatif. Voilà trente ans que le pouvoir russe cherche à contrôler l’Eurasie post-soviétique, sans véritable succès. Voyez le Caucase ou l’Asie centrale. Trois ans après l’« opération militaire spéciale » de février 2022, l’armée russe n’a ni pris Kiev, ni détruit l’État-nation ukrainien, ce qui était l’objectif déclaré. Si une Europe unie prend le relais des États-Unis, l’Ukraine résistera encore. Quant aux États-Unis, la grande manœuvre de Trump consiste à menacer ou molester leurs principaux alliés et partenaires géopolitiques. En Amérique du Nord (Canada, Mexique) comme en Europe. Quid de la zone d’influence américaine ? Qu’en sera-t-il demain en Asie-Pacifique ? Abandon de Taïwan ? Guerre économique et commerciale contre le Japon et la Corée du Sud ? Trump ouvre la voie à la Chine, confortée dans l’idée spenglerienne de la « fin de l’Occident ».

Modifié par CANDIDE
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il y a 10 minutes, Myrtil a dit :

C'est une notion toute personnelle de la précision. Si ta remarque c'est pour pointer les mouvements de balancier dans leurs excès, okay je comprends.
Ceci dit il y a une manière très élémentaire d'amener de la rationalité: ces mesures sont-elles efficaces ou pas ?
On ne gère ni l'armée ni son budget avec des modes, ca serait absurde.

En gros oui, c'est ça. On est sur du micro-évenement sur un micro-temps. Note qu'y avoir cédé s'avère effectivement une erreur. Mais si je reprend l'exemple des tendances écolo' dans les armées françaises, ça s'est avéré payant in fine.

Oui, elles sont efficaces sur le moment si ça évite de se prendre une turbo shitstorm sur le moment qui te coupes de tout soutien politique et de tes budgets. Il suffit d'écouter une audition parlementaire pour le comprendre.

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il y a une heure, CANDIDE a dit :

Une analyse intéressante de la politique étrangère des Etats-Unis et de Trump, par Jean-Sylvestre Mongrenier de l'institut Thomas More : https://www.lefigaro.fr/international/en-se-faisant-l-idiot-utile-de-poutine-trump-pourrait-mener-l-amerique-a-l-autodestruction-geopolitique-20250220

Je suis déçu par cette analyse.

L'auteur conclut au "succès" de l'Ukraine après un examen de la situation territoriale. Je pense que d'autres paramètres devraient être pris en compte, les mêmes paramètres qui permettent d'expliquer la capitulation allemande de 1918 alors que le territoire allemand n'était pas occupé par l'ennemi.

L'auteur attribue la politique de Trump à - je cite - "la manipulation extérieure, l’ignorance et la cupidité". Je viens de découvrir Elbridge Colby donc j'ai peut-être un peu tendance à le mettre à toutes les sauces, mais il a une stratégie. Elle est discutable mais elle reflète une rationalité stratégique. Ce n'est pas un ignare et pour les deux autres accusations, il faudrait des preuves.

Il ne comprend pas le revirement de Marco Rubio. Elbridge Colby permet de comprendre que Marco Rubio reste un faucon, mais c'est un faucon anti-chinois, qui probablement s'est converti à l'idée d'apaiser les choses avec la Russie pour mettre le paquet sur la dissuasion de la Chine.

"rappelons que l’Administration Clinton avait tenté une politique de « Russia first »"

Ce n'est pas ce que dit Jonathan Haslam. Jonathan Haslam dit que durant son premier mandat, Clinton a été déboussolé sans politique étrangère claire, et avec des désaccords internes qui empêchaient toute prise de décision.

"Abandon de Taïwan ? Guerre économique et commerciale contre le Japon et la Corée du Sud ? Trump ouvre la voie à la Chine, confortée dans l’idée spenglerienne de la « fin de l’Occident »."

C'est les propos de quelqu'un qui fait l'impasse sur Elbridge Colby.

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il y a une heure, CANDIDE a dit :

Trois ans après l’« opération militaire spéciale » de février 2022, l’armée russe n’a ni pris Kiev, ni détruit l’État-nation ukrainien, ce qui était l’objectif déclaré. Si une Europe unie prend le relais des États-Unis, l’Ukraine résistera encore. Quant aux États-Unis, la grande manœuvre de Trump consiste à menacer ou molester leurs principaux alliés et partenaires géopolitiques. En Amérique du Nord (Canada, Mexique) comme en Europe. Quid de la zone d’influence américaine ? Qu’en sera-t-il demain en Asie-Pacifique ? Abandon de Taïwan ? Guerre économique et commerciale contre le Japon et la Corée du Sud ? Trump ouvre la voie à la Chine, confortée dans l’idée spenglerienne de la « fin de l’Occident ».

J'adore merci.

Je suis très en phase avec cette analyse.

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il y a 23 minutes, Wallaby a dit :

L'auteur conclut au "succès" de l'Ukraine après un examen de la situation territoriale. Je pense que d'autres paramètres devraient être pris en compte, les mêmes paramètres qui permettent d'expliquer la capitulation allemande de 1918 alors que le territoire allemand n'était pas occupé par l'ennemi.

Si Trump n'obtiens rien de l'Ukraine on ne peut pas dire que cette opération spéciale est une grande réussite pour la Russie. Seul le départ des US est une vrai grosse réussite ce que l'auteur met bien en avant.

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il y a 38 minutes, herciv a dit :

J'adore merci.

Trois ans après l’« opération militaire spéciale » de février 2022, l’armée russe n’a ni pris Kiev, ni détruit l’État-nation ukrainien, ce qui était l’objectif déclaré. Si une Europe unie prend le relais des États-Unis, l’Ukraine résistera encore. 

 

Cétait quoi l'objectif déclaré initial ? Pas grand monde le connait, mais on peut supputer, ça reste de la supputation.

La dénazification, c'est un objectif flou, le résultat restera flou.

Le STOP à l'avance géographique ( et géopolitique ) NATO, c'est acté en février 2025, c'est une réussite Ru. L'OTAN est en léthargie clinique, le stop à la course vers l'Est est acté. 

 

Pour ce qui est du continuum de l'aide, c'est une vaste blague. Les US ont fourni les armes, l'UE le pognon. A l'heure à ou l'on parle des 155 en consommable pour la def UE, akirs je pose la question;

Quel nb de tubes de 155 l'UE peut fournir et à fourni ou fournira dans 6 mois  ? Pas grand chose, à part du 155 mobile agile ( Caesar ) ou solide mais pas trop / pas assez ( Pzh ). Combien les US ont fourni de M777 ? Plus que l'UE n'en fournira 'ici 2030. 

Et pourtant s'il faut cracher sur les US je ne serai pas le premier. 

Demain, l'UE remplace Starlink ? Non.

La première demande de Kiev avant tout le reste en matos, c'est du Patriot ( les lanceurs et les consommables ). Quel état UE peut livrer demain un système lanceur avec 500 consommables ? aucun. 500 anti missiles, ça tient 3 mois, pas plus ( il ne s'agit pas de chasser du shaded avec çà, mais de les préserver contre les Iskander et kh101 et assimilés ).

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il y a 1 minute, mehari a dit :

Ça voulait probablement dire un changement de régime à Kyiv, au minimum, et une annexation de l'Ukraine au maximum. Dans les deux cas c'est un échec.

De nouveau, c'est un peu un échec.

1 non, pas forcément. On en reparlera APRES partition de l'Ukr et les prochaines élections. que l'Ouest du Dniepr vote pro UE ne sera pas une surprise, l'Est votera autre chose dans un autre pays. 

 

2 non plus. L'OTAN actuel c'est surtout son père ( les US ). Il ne s'étendra plus du tout, réussite Moscou. 

géorgie Ukr message envoyé.

Demain, un pays candidat ne sera pas accepté, sauf à rejoindre l'UE de la défense. Et là d'un coup, le bonne demie molle débande trés vite. Donc objectif atteint aussi ( pour Moscou ).

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Il y a 1 heure, ksimodo a dit :

1 non, pas forcément. On en reparlera APRES partition de l'Ukr et les prochaines élections. que l'Ouest du Dniepr vote pro UE ne sera pas une surprise, l'Est votera autre chose dans un autre pays. 

 

2 non plus. L'OTAN actuel c'est surtout son père ( les US ). Il ne s'étendra plus du tout, réussite Moscou. 

géorgie Ukr message envoyé.

Demain, un pays candidat ne sera pas accepté, sauf à rejoindre l'UE de la défense. Et là d'un coup, le bonne demie molle débande trés vite. Donc objectif atteint aussi ( pour Moscou ).

L"avenir nous dira si cette situation convient à l'UE, j'ai comme un doute mais on peut s'attendre à tout !

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