Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires

[Arland]

il y a 56 minutes, Fanch a dit :

Sur un navire en pleine mer ?

Il suffit d'avoir le bon nageur de combat enfin !

Révélation

 

 

 

 

(fuit rapidement en chevauchant un exocet...)

[Ciders]

il y a 28 minutes, jean-françois a dit :

c'est une reprise de ce qu'il se passait en Syrie et Irak

Ca se faisait déjà dans les années 1910 en fait, avec des grenades (ou des pastèques... véridique) jetées depuis les premiers avions. Et ce sont les Soviétiques et les Allemands qui ont élevé cela au rang d'art militaire avec les Polikarpov Po-2 et leurs équivalents dans la Luftwaffe sur le front de l'Est.

Harcèlement de nuit, qu'on appelait ça.

[Sovngard]

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/15/paris-leve-un-coin-du-voile-sur-ses-livraisons-d-armes-en-ukraine_6122296_3210.html

L'article est payant, a-t'on une idée exacte du matériel livré par la France ?

[Alexis]

il y a 1 minute, Yankev a dit :

Militairement ça n'apporterait aucun avantage, ce serai même contre-productif car permettrait aux force ukrainienne de  soufler. Historiquement il y a même un précédent, lorsqu'Hitler ordonna de viser Londres (le "Blitz") suite au bombardement de Berlin par quelques bombardiers lourds, permettant à la chasse anglaise de se reconstituer, alors qu'elle était au bord de la rupture.

Au contraire, c'est plutôt génial

Révélation

Si je l'ai fait, c'est forcément que c'était génial

 

[Yankev]

il y a 4 minutes, Alexis a dit :

Au contraire, c'est plutôt génial

  Révéler le contenu masqué

Si je l'ai fait, c'est forcément que c'était génial

 

Wouah, Tu vient de faire une pure Paris-Match ["Le poids des mots, le choc des photos"]

 

Remarquable, vraiment remarquable.

Modifié le 15 avril 2022 par Yankev

[Ciders]

il y a 9 minutes, Yankev a dit :

Hello,

Idée complètement stupide.

Militairement ça n'apporterait aucun avantage, ce serai même contre-productif car permettrait aux force ukrainienne de  soufler. Historiquement il y a même un précédent, lorsqu'Hitler ordonna de viser Londres (le "Blitz") suite au bombardement de Berlin par quelques bombardiers lourds, permettant à la chasse anglaise de se reconstituer, alors qu'elle était au bord de la rupture.

La RAF n'était pas au bord de la rupture ceci dit. Mais ça lui a permis de souffler.

Ceci dit (bis), il y a une forme de logique derrière ce type de "BOMBARDEZ MOI CA". D'une part, cela permet de faire du bruit et de rassurer sa population sur ses capacités de frappe longue distance. D'autre part, cela peut obliger l'adversaire à détourner des ressources pour se défendre et/ou pour réagir, ce qui pourra en détourner de sujets plus utiles. A voir l'utilisation qu'en fit Saddam durant les dernières années de la guerre contre l'Iran par exemple.

[Ardachès]

il y a 14 minutes, Sovngard a dit :

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/15/paris-leve-un-coin-du-voile-sur-ses-livraisons-d-armes-en-ukraine_6122296_3210.html

L'article est payant, a-t'on une idée exacte du matériel livré par la France ?

… pour la suite, c’est ici  

Révélation

Guerre en Ukraine : la France a levé un coin du voile sur ses livraisons d’armes

Paris a rompu ces derniers jours la discrétion qui avait cours depuis le début du conflit. La fourniture d’équipements militaires par la France reste modeste comparée à celle des Etats-Unis. 

Par Elise Vincent, Philippe Ricard et Madjid Zerrouky

Publié aujourd’hui à 10h59, mis à jour à 14h38 

A mesure qu’approche la bataille du Donbass, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, évalue le soutien apporté par les Occidentaux à son pays à l’aune du niveau des livraisons d’armes susceptibles d’aider à résister à l’armée russe. A ses yeux, elles sont tout aussi importantes, voire plus, que les sanctions prises à l’encontre de Moscou.

L’inertie de l’Allemagne à ce sujet, celle du chancelier Olaf Scholz en particulier, est en grande partie à l’origine de la brouille du moment entre Berlin et Kiev. Est-ce pour cela que le gouvernement français a décidé, en pleine campagne pour le second tour de l’élection présidentielle, de faire un geste 

Jeudi 14 avril au téléphone, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont de nouveau « échangé sur les besoins de l’Ukraine en équipements militaires », selon l’Elysée. Surtout, la France avait en partie rompu, la veille, la discrétion qu’elle s’était imposée depuis le début du conflit sur ses livraisons d’armes à Kiev, en communiquant à la fois la valeur totale des équipements qu’elle avait envoyés jusqu’à présent et en détaillant un certain nombre de ces matériels. Une démarche qui a fait suite à la rencontre entre la ministre des armées, Florence Parly, et son homologue ukrainien, Oleksiy Reznikov.

Effort de transparence

Alors que Paris assumait seulement un soutien en carburant et en« armes défensives », sans précision, le ministère des armées a indiqué par communiqué avoir contribué à l’effort de guerre de Kiev par l’envoi de moyens de protection, d’équipements optroniques, de l’armement et des munitions, ainsi que des systèmes d’armes. Des équipements pour un montant total de plusieurs centaines de millions d’euros. Ces livraisons d’armes de la part de la France devraient se poursuivre, des demandes additionnelles ukrainiennes continuant d’arriver.

Ces approvisionnements se répartissent en deux catégories. Une partie d’entre eux relèvent de la coopération bilatérale entre la France et l’Ukraine et sont des cessions d’équipements aux frais de la France, pour un montant actuellement planifié d’environ 100 millions d’euros. La deuxième partie relève d’un mécanisme budgétaire européen appelé la « facilité européenne de paix » (FEP), activé dès la première semaine des combats par les Vingt-Sept, afin de cofinancer les livraisons.

Ce dispositif permet à la France de se faire rembourser la valeur des équipements envoyés. D’un montant initial de 500 millions d’euros, cette FEP atteint aujourd’hui le milliard d’euros, et devrait prochainement passer à 1,5 milliard. La France y contribue à hauteur de 18 %. La FEP pourrait aussi venir, à terme, rembourser une partie de l’aide bilatérale fournit aujourd’hui par Paris à Kiev.

Cet effort de transparence côté français arrive tardivement par rapport à d’autres pays européens et aux Etats-Unis, qui communiquent abondamment sur leur soutien militaire à l’Ukraine. Paris justifie sa discrétion sur le sujet par la nécessité de ne pas exposer les vulnérabilités de l’Ukraine et de ne pas apparaître comme partie au conflit, c’est-à-dire cobelligérant.

« De l’huile sur le feu »

Alors que peu avant la guerre, à l’occasion de la publication d’un rapport parlementaire des députés Patricia Mirallès (LRM) et Jean-Louis Thiériot (LR), le débat a ressurgi sur le manque de munitions et les trous capacitaires de l’armée française, certaines sources considèrent que la discrétion française tient aussi au manque de stocks sur certains armements. Un argument qui n’a jamais été balayé d’un revers de main par le ministère des armées, mais jamais confirmé non plus.

Les Ukrainiens, de leur côté, n’ont à aucun moment laissé entendre que la France rechignait à les équiper, à la différence de l’Allemagne, par exemple. « Les Français répondent à nos requêtes, mais nous demandent surtout de ne pas communiquer », assurait, au début de la guerre, un officiel ukrainien en poste à Paris. Où l’on fait aussi valoir que les exportations cumulées d’armes françaises vers l’Ukraine étaient les premières d’Europe entre 2014 – année de l’annexion de la Crimée par Moscou – et 2020.

Depuis l’invasion russe, les livraisons françaises sont toutefois sans commune mesure avec celle des Etats-Unis, dont le budget militaire est plus de dix-sept fois supérieur à celui de la France (700 milliards de dollars soit 647 milliards d’euros contre 40 milliards d’euros environ en 2022). A titre de comparaison, à l’issue d’un entretien avec M. Zelensky, mercredi, le président américain, Joe Biden, a annoncé une nouvelle assistance militaire de 800 millions de dollars à l’Ukraine, soit un total de quelque 2,4 milliards de dollars depuis l’invasion russe.

En réaction, a révélé vendredi 15 avril le Washington Post, la Russie a envoyé une note diplomatique officielle de deux pages aux Etats-Unis – consultée par le quotidien – pour les avertir que les livraisons américaines et de l’OTAN des systèmes d’armes « les plus sensibles » à l’Ukraine « ajoutaient de l’huile sur le feu » au conflit dans ce pays et pouvaient avoir des « conséquences imprévisibles ».

Une analyse du Center for Strategic and International Studies, un think tank américain, estime que les Etats-Unis ont livré l’équivalent de 7 000 Javelin (arme antichar portative) et 2 000 Stinger (arme antiaérienne portative), à l’Ukraine ces derniers mois, soit l’équivalent, respectivement, d’un tiers et d’un quart de ses stocks. Dans le premier cas, il faudrait à Washington entre trois et quatre ans pour les remplacer, dans le cas des Stinger, plus de cinq ans, selon cette analyse. Une situation qui interroge l’auteur de cette note, le spécialiste Mark Cancian, sur la durabilité de l’effort américain.

Mode de fonctionnement culturel

Les Etats-Unis ont par ailleurs franchi un cap dans leur soutien militaire à l’Ukraine ce qui peut venir nourrir une nouvelle fois le débat sur la notion de cobelligérance. Selon le Wall Street Journal du 13 avril, Washington a décidé « d’intensifier le partage de renseignements » afin« d’aider les forces ukrainiennes à mieux identifier comment l’armée russe prévoit d’attaquer » et ainsi « permettre aux Ukrainiens de répondre avec leur artillerie, des attaques de drones et d’autres tirs ». En clair, il s’agit d’aider à coordonner la défense ukrainienne. Une escalade en termes de soutien qu’ont franchi d’autres pays ces derniers jours, notamment la Slovaquie, avec l’envoi d’un système S-300 – détruit depuis selon Moscou – ou la République tchèque, avec l’envoi de chars d’origine 

La retenue française tranche aussi avec l’attitude du Royaume-Uni, présenté comme le « meilleur allié » de l’Ukraine lors de la visite surprise de Boris Johnson à Kiev, le 9 avril. Le président russe « va intensifier la pression maintenant dans le Donbass et dans l’Est », a mis en garde le premier ministre britannique, en s’engageant à fournir désormais des véhicules blindés et des missiles antinavires. « D’autres Etats démocratiques occidentaux doivent suivre l’exemple du Royaume-Uni », a renchérit M. Zelensky, à ses côtés.

Reste que les livraisons françaises sont encore bien peu transparentes. D’après Sébastien Nadot, député de Haute-Garonne (groupe Libertés et Territoires) et membre de la commission des affaires étrangères, « ce mode de fonctionnement est culturel. En France, c’est le pré carré de l’exécutif, mais à force de camper sur cette tradition, on rencontre des obstacles. C’est une zone d’ombre démocratique et une question de confiance. » Pour lui, l’argument diplomatique, qui voudrait que la discrétion permette de ne pas couper le canal de communication avec le Kremlin, pour jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev, « était entendable au début de la guerre ». Mais il s’est retourné contre Paris, la voie diplomatique étant à ce jour dans l’impasse.

Elise Vincent,  Philippe Ricard et  Madjid Zerrouky

 

[Banzinou]

il y a 24 minutes, Sovngard a dit :

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/04/15/paris-leve-un-coin-du-voile-sur-ses-livraisons-d-armes-en-ukraine_6122296_3210.html

L'article est payant, a-t'on une idée exacte du matériel livré par la France ?

Réponse, même après l'article, on ne sait toujours pas 

[ARMEN56]

Il y a 5 heures, Eau tarie a dit :

t'en pense quoi ?

Plan du croiseur

 

 

S’il s’agit de missiles ;

Les éléments destructifs d’un missile anti-navire sont ; la tête militaire, le propulseur. La tête militaire se compose  d’une charge explosive d’une centaine de kg et plus et  d’une enveloppe à éclats de  masses qui à des vitesses élevées (supérieures à 1000 m/s) perfore le navire dans le périmètre d’impact au dessus de la surface.  Outre la perforation par éclats qui dégrade en partie le vital système de combat navire et autres servitudes safety ( câbles , collecteur incendie….etc  , ce type de missile génère  du souffle interne et  souffle externe et de l’incendie bref , ces engins  font mal , très mal surtout quand sur un navire plein comme un œuf d’équipement mili ( missile et soute à munitions) .

En cas d’incendie, faut que la doublette extinction via collecteur incendie et assèchement soient opérationnels , le désenfumage aussi . Le collecteur incendie doit être impérativement nominal 100% pour l’extinction et la réfrigération des points chauds et SURTOUT le noyage des soutes à munitions  et toussa avec des équipes super entrainées.

Par ailleurs toutes cette densité d’armement peuvent déclenchement pyro en masse munitions  ,  peuvent achever  la poutre navire .

En cas d’envahissements , il faut impérativement que l’étanchéité des cloisons principales étanches , et du pont d’étanchéité à l’eau soit maitrisée , on peut avoir plusieurs compartiments en eau  en affectant  la stabilité après avarie ( on a récemment vu une frégate sombrer dans des conditions "critiquables" ….)

Sur internet on a de nombreux youtube de SINKEX sur des bailles décommisionnées , on frappe d’abord avec du « harpon » ou similaire et on achève à la torpille lourde , bon ces bailles n’ont évidemment plus de mun à bord …

Si pas de missile , des accidents peuvent aussi arriver , mais bon ………

Cf cas du « Otvazhny Kashin » mer noire aussi

http://www.air-defense.net/forum/topic/439-missilerie-navale/page/94/#comment-1150045

http://www.ркргрозный.рф/forum/threads/16

extrait traduit par deepl

« Cela s'est passé pendant mes années de service et a été entouré de mystère, le 30 août 1974.

Le BPC Otvazhny devait assurer le tir de petits navires lance-missiles et participer à des exercices anti-sous-marins avec tir de torpilles. Le 29 août, sous le commandement du capitaine de 2e rang I.P. Vinnik, le navire prend la mer, tire avec succès des torpilles et à l'aube du 30 août, le navire se trouve dans la baie de Streletskaya pour recevoir le contre-amiral V.H. Sahakyan, chef de la MSChF, et un groupe d'officiers supérieurs à bord. Ce jour-là, le navire devait effectuer des tirs anti-aériens à partir de MIRV sur le Combat Training Range n°36 (près du Cap Chersonese). À 9 h 55, l'Otvazhny est arrivé sur la zone d'essai, et le navire a été soumis à un exercice de combat.

A 10h00, les membres d'équipage près de la cave à missiles arrière ont entendu des sifflements, des craquements et des éclatements. Une minute plus tard, l'un des moteurs-fusées de la soute arrière s'est déclenché spontanément. Après 25-30 secondes, le moteur de démarrage de la deuxième fusée a explosé, puis les autres... Trois explosions consécutives de roquettes à batterie arrière se sont produites. Le roof  de la superstructure arrière ainsi que le lanceur ont été arrachés et jetés dans les cheminées de l'arrière. Les cloisons transversales principales des 191e-215e cloisons ont été détruites, des fissures et des fractures se sont formées dans la coque du navire, et 24 membres d'équipage ont été tués. L'eau a inondé trois compartiments (¹ 10-12, du 164e au 233e longeron) et la salle de la machine de refroidissement ¹ 3 (le 9e compartiment). Huit minutes après l'explosion, le navire présentait déjà une inclinaison de 12° sur tribord avec une inclinaison de 1,5 m sur l'arrière. À 10 h 20, l'incendie à l'arrière, dû à l'inflammation du carburant qui fuyait, s'est intensifié et a commencé à se propager (feu jusqu'au 164e crayon). Pour éviter la détonation, cinq torpilles vivantes ont été tirées par-dessus bord depuis le MIC en feu. S'approchant du croiseur "Brave", le "Conscious" (projet 56A) a débarqué à 10h56 une équipe de secours de dix hommes et a commencé le remorquage du navire en feu vers la côte. A 11h45, l'ACG de 11 personnes a débarqué sur le Dare et du RSC Bedovy. En raison d'un gouvernail bloqué, le remorquage est lent, et à 11h43, le "Conscious" confond les commandes et arrête de remorquer, coupant les extrémités. Le remorquage du Dare n'a pas repris avant une heure. Venant à la rescousse, le "Komsomolets Ukrainy" a tenté d'éteindre l'incendie à proximité de la cave n° 10 avec des jets d'eau (de 12h19 à 12h45), mais a été contraint de se retirer. A partir de 12.45 le remorquage de l'"Otvazhny" a commencé par le "Bedovy" (jusqu'à 15.41) à la vitesse de 2 - 3 noeuds et en direction de la mer ouverte. Le PDS-123 et le remorqueur SB-15 ont tenté d'éteindre l'incendie du "Dare". Cependant, le roulis du côté tribord avait déjà dépassé 16° à ce moment-là, et le feu a forcé l'équipage qui luttait pour la survie du navire à se réfugier à l'avant. A 14h00, les blessés ont été sortis du "Dare", et 10 minutes plus tard, ils ont commencé à pomper de la mousse dans la voiture arrière. À 14 h 45, les munitions de la bombe de profondeur dans la cave 10 ont explosé sous l'effet de la chaleur, et le feu s'est propagé aux cabines 5 et 6. L'explosion a détruit les cloisons des 233e-251e cadres et a inondé les compartiments n° 13 et 14. Le navire a absorbé 2200 tonnes d'eau, près de 40% de la longueur de la coque a été inondée. Le réservoir de stockage de paraffine a explosé. Le roulis du "Brave" augmente jusqu'à 27° et il est impossible de le sauver (l'assiette arrière est de 6,5 m, et le pont supérieur entre dans l'eau jusqu'à la barre de la tour à canon arrière). De 15.03 à 15.24, le personnel a quitté le navire en perdition. Le roulis à tribord a augmenté à 32°. En raison de la perte de stabilité, le "Brave" s'est élevé verticalement dans l'eau avec sa proue à la verticale et a plongé la poupe sans chavirer. Il a complètement coulé à 15.57 à une profondeur de 125 mètres »

Sinon « Natacha Tatu »  son expérience de retour de Russie à partir de 1’50’’ que j’écoutais ce matin .

https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/pakistan-le-retour-de-boomerang

Modifié le 15 avril 2022 par ARMEN56

[Banzinou]

L'usine de Neptune près le Kiev touché par un missile

Ça aurait dû être fait dès le premier jour du conflit non ? 

[CortoMaltese]

il y a 3 minutes, Banzinou a dit :

L'usine de Neptune près le Kiev touché par un missile

Ça aurait dû être fait dès le premier jour du conflit non ? 

A posteriori oui. Après quand t'es parti pour une grosse opération de police sensée être pliée en 3 jours, t'es assez loin d'imaginer ton navire amiral se faire couler. 

[Banzinou]

il y a 1 minute, CortoMaltese a dit :

A posteriori oui. Après quand t'es parti pour une grosse opération de police sensée être pliée en 3 jours, t'es assez loin d'imaginer ton navire amiral se faire couler. 

Non mais je me dis que quand tu planifie une offensive de cette ampleur, c'est logique de toucher les usines d'armement

[Joab]

1 minute ago, CortoMaltese said:

A posteriori oui. Après quand t'es parti pour une grosse opération de police sensée être pliée en 3 jours, t'es assez loin d'imaginer ton navire amiral se faire couler. 

Peut-être oui. Ils avaient peut-être l'intention de se servir de l'industrie militaire ukrainienne pour leur compte une fois leur Quisling au pouvoir. Le hic, c'est que ça fait au moins un mois qu'ils ont dû se rendre compte qu'ils ne changeraient pas le régime ukrainien, pas à court terme. Et à partir de ce moment, je ne vois pourquoi ils auraient dû se gêner pour épargner la dite industrie.

[jean-françois]

d'autres priorités opérationnelles probablement

[CortoMaltese]

il y a 1 minute, Banzinou a dit :

Non mais je me dis que quand tu planifie une offensive de cette ampleur, c'est logique de toucher les usines d'armement

Oui on est d'accord. Mais on a bien vu que la campagne de frappe introductive a été erratique et incohérente quant à ses cibles. Ils ont un peu tout tapé sans rien faire jusqu'au bout. Là on voit que depuis quelque semaines ça se resserre autour des usines d'armements, dépôts de carburants et stock d'armes, de manière plus méthodique et appliquée. Mais je pense que l'industrie navale n'était pas vue comme prioritaire (et ça peut se comprendre pour une campagne majoritairement terrestre). 

[HK]

11 minutes ago, Banzinou said:

L'usine de Neptune près le Kiev touché par un missile

J’attends la confirmation côté russe. Un tir accidentel certainement, le pilote visait ailleurs mais la mauvaise météo et tout ça… il a bien essayé de rattraper le missile et de le prendre en remorque mais cela n’a pas marché 

Comme nous dirait @Akhilleusce genre « d’erreur » cela arrive tous les jours…

[Paschi]

Il y a 2 heures, Skw a dit :

Sur la chaîne TV Rossiya 1, très proche du Kremlin, des présentateurs/commentateurs appelaient hier à frapper Kiev jusqu'à la rendre méconnaissable, en vengeance de l'attaque commise - laisse-t-on entendre - contre le Moskva.

Petite suggestion à ces va-t'en guerre : endossez l'uniforme et allez montrer l'exemple en 1ère ligne

Accessoirement, ils avouent à demi mot que le Moskva n'a pas sombré suite à un incendie accidentel mais suite à une attaque. Sont vraiment c** !

Modifié le 15 avril 2022 par Paschi

[Métal_Hurlant]

Pour ceux qui se demandaient à quoi rimaient les deux minables attaques d'hélicos soit disant ukr, hier, voila la réponse

Les russes toujours plus bas dans la conduite de leur guerre...

https://www.lefigaro.fr/international/direct-guerre-en-ukraine-de-fortes-explosions-entendues-a-kiev-vendredi-20220415

La Russie va intensifier les frappes sur Kiev en réplique aux attaques en territoire russe
La Russie a annoncé vendredi avoir détruit une usine d'armement en banlieue de Kiev et assuré que les frappes sur la capitale ukrainienne allaient être intensifiées pour répondre aux attaques menées en territoire russe dont elle accuse l'Ukraine. Ces déclarations semblent annoncer un nouveau changement d'approche de la Russie qui, après avoir échoué à vaincre les défenseurs de Kiev, avait annoncé fin mars qu'elle allait se concentrer sur l'est de l'Ukraine et avait retiré ses forces menant l'assaut contre la capitale ukrainienne.
«Le nombre et l'ampleur des frappes de missiles sur des sites de Kiev vont augmenter en réplique à toutes les attaques de type terroriste et aux sabotages menés en territoire russe par le régime nationaliste de Kiev», a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov. Il a par ailleurs indiqué que la Russie avait détruit un atelier de production de missiles sol-air dans l'usine Vizar près de Kiev au moyen d'un missile de croisière Kalibr.

Jeudi, les gouverneurs de deux régions russes frontalières de l'Ukraine avaient accusé les forces ukrainiennes d'avoir bombardé deux villages en territoire russe, Klimovo et Spodariouchino, faisant sept blessés.

[olivier lsb]

il y a 9 minutes, HK a dit :

J’attends la confirmation côté russe. Un tir accidentel certainement, le pilote visait ailleurs mais la mauvaise météo et tout ça… il a bien essayé de rattraper le missile et de le prendre en remorque mais cela n’a pas marché 

Comme nous dirait @Akhilleusce genre « d’erreur » cela arrive tous les jours…

Non vraiment, complètement absurde. Ton scenario ne tient clairement pas la route. En revanche, la on tient quelque chose:

Ils sont trop mignons avec leur petit phoque béret !

[pascal]

Il y a 2 heures, Skw a dit :

Sur la chaîne TV Rossiya 1, très proche du Kremlin, des présentateurs/commentateurs appelaient hier à frapper Kiev jusqu'à la rendre méconnaissable, en vengeance de l'attaque commise - laisse-t-on entendre - contre le Moskva.

Les salauds ils se défendent ...

[Paschi]

il y a 9 minutes, Métal_Hurlant a dit :

«Le nombre et l'ampleur des frappes de missiles sur des sites de Kiev vont augmenter en réplique à toutes les attaques de type terroriste et aux sabotages menés en territoire russe par le régime nationaliste de Kiev», a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov. Il a par ailleurs indiqué que la Russie avait détruit un atelier de production de missiles sol-air dans l'usine Vizar près de Kiev au moyen d'un missile de croisière Kalibr.

Alors que les Russes mènent une opération militaire spéciale en Ukraine, les opérations menées par ces derniers pour se défendre son considérés comme "des attaques de type terroriste et aux sabotages menés en territoire russe". Les effets de langage du porte-parole du ministère russe de la défense sont vraiment savoureux. Sous condition évidemment que les dernières attaques en territoire Russe sur des objectifs pas très clairs soient vraiment du fait des ukrainiens.

[g4lly]

8 minutes ago, pascal said:

Les salauds ils se défendent ...

Beaucoup en France on fait la même remarque quand Daesh s'en est pris à la France ... comme quoi c'est presque universelle comme réaction.

[Connorfra]

il y a 56 minutes, Banzinou a dit :

L'usine de Neptune près le Kiev touché par un missile

Ça aurait dû être fait dès le premier jour du conflit non ? 

Si les ukrainiens ne sont pas cons ( et ils ne le sont pas) les usines d'armement sont vides ou en cour d'évacuation ( certaines unités de production étant très difficile a déplacer) et les machines qui tournent, le font planquée dans des endroits protégées ou seul un renseignement de qualité permettra une frappe, c'est plus une frappe punitive ( ce qui indique que l'hypothèse du missile semble crédible)

Modifié le 15 avril 2022 par Connorfra

[Skw]

il y a 24 minutes, Paschi a dit :

Accessoirement, ils avouent à demi mot que le Moskva n'a pas sombré suite à un incendie accidentel mais suite à une attaque. Sont vraiment c** !

C'est bien pour cela que j'ai posté cette vidéo. Ils sembleraient admettre que le Moskva ait été attaqué. Mais peut-être n'ont-ils pas plus idée que nous de l'origine du naufrage.

 

il y a 11 minutes, pascal a dit :

Les salauds ils se défendent ...

C'est une bonne raison pour déclarer une guerre. Une vraie, cette fois, hein ?

[pascal]

il y a 1 minute, g4lly a dit :

Beaucoup en France on fait la même remarque quand Daesh s'en est pris à la France ... comme quoi c'est presque universelle comme réaction.

Comparer Daesh et les Ukrainien même Poutine n'a pas encore osé bravo continues. Je veux bien que la tournure des évènements heurte tes convictions mais cette sortie-la je te le dis c'est DEGUEULASSE

Si tu as des choses à répondre je t'invite à le faire en MP