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Tout ce qui a été posté par ARMEN56

  1. Fin de travaux 2023 et livraison à la marine 1T/2024 ? A l'issue de cette lourde modernisation faut il comprendre qu'il va toujours fumer noir ? , j'avais pourtant compris qu'on débarquait les anciennes chaudières , bref que l'on faisait en sorte de se débarrasser de cette signature visuelle https://www.navyrecognition.com/index.php/naval-news/naval-news-archive/2022/november/12492-repairs-to-russian-aircraft-carrier-admiral-kuznetsov-will-not-be-completed-until-early-2024.html
  2. Bien connu Marcel rebaptisé Gustave ( Zédé) après sa refonte hyperbar tout en conservant ses Voith schneider . C’est dire effectivement l’ancienneté du concept ….. De mémoire nos mécanos avaient été confrontés à des soucis de fuite d’huile. Je regardais les chiffres d’un voith de 3.8 Mw ( ref 36R6 ECR/300-2 ) ; masse 86 tonnes et diamètre de coque de 4.5 m pour loger l’actionneur rotatif ………… https://voith.com/corp-en/vsp-types-and-dimensions.pdf
  3. Je vais essayer de me procurer l’étude ATMA dont j’ai compris une adaptation de ces propulseurs à un coque de FDI d’une motorisation CODAD répartie en 16 x 2 Mw au moins . Les présentations ADV TECH parle d’un concept petite puissance , et j’ignore si industriellement on a franchit ( perspectives ?) le cap des grosses puissances et si oui quid concentration de masse , du sillage et de la tenue aux chocs surtout au niveau des garanties d’étanchéité après coup . A signaler un concept silencieux qui risque toutefois d’être contrarié par la barrette porteuse A ce propos il suffisait d’en parler sur AD ….. https://www.meretmarine.com/fr/construction-navale/adv-propulse-un-propulseur-econome-manoeuvrant-et-moins-bruyant
  4. ARMEN56

    Marine Britannique

    Les délais et les coûts estimés pour les réparations du porte-avions endommagé HMS Prince of Wales n'ont pas encore été établis. Le porte-avions est actuellement en cale sèche à Rosyth en Ecosse. L'information suivante a été révélée par une question « Pour demander au secrétaire d'État à la Défense, quelle est sa dernière estimation des délais et des coûts pour l'achèvement des travaux de réparation en cours sur le système de propulsion du HMS Prince of Wales. "Les délais et les coûts estimés pour les réparations du HMS PRINCE DE GALLES n'ont pas encore été déterminés car les enquêtes pour établir l'étendue des travaux requis sont toujours en cours." https://ukdefencejournal.org.uk/time-and-cost-of-aircraft-carrier-repair-not-yet-known/ On imagine une grosse bataille d’experts et d'avocats ( couteau entre les dents ) faut trouver le coupable ......facture toussa quelle histoire !
  5. OUPSS , j’ai été à deux doigts de faire appel à un connaisseur de l’artillerie en sabord , cf page 36 du LOS !63 Bon j’avais effectivement compris l'agencement avant de type Forbin .
  6. Les ancrages artillerie/ plateforme sur nos anciens escorteurs étaient conséquents ; sous sellette -monte mun noria - soute à munitions dans les fonds ( vulnérabilités/dram). Pourtant relativement basse nos ingés d’époque considéraient qu’au global l’artillerie des escorteurs avaient un cdg relativement élevée des idées pour les PO Sur les frégates récentes l’intégration des 76 pèse moins en volume/masse avec leur gun bay ( chambre relais ) et soute en pied , le système d’approvisionnement de la tourelle est situé directement sous cette dernière, donc suspendu dans le local « Relais » . Pour le 76 haut perché des Fremm it - serais curieux de voir les détails de l'empreinte sur toit Pour Fremm it ma remarque HS valait surtout pour la mature EMPAR idem des ciao duilo ( si ça passe sur un 7000 t , question pour un 6000t ) bref sont pas allés de mains mortes . C’était une observation en passant pour avoir vécu cette problématique lors de la refonte J11 du Cassard en 92 dont de rajout de la tour avait altéré la stabilité après avarie au point de proposer un plan de lestage. En tenue à la mer les FAA avaient des stabilisateurs actifs 2 paires @pascal Artillerie en sabord , tu peux préciser ta pensée stp, chuis qu'un pov bouchon gras à étouper la mazout dans des fonds ?
  7. E. Chiva : « La direction générale de l’armement doit éclairer l’avenir » - L'IHEDN : Institut des hautes études de défense nationale Emmanuel Chiva : « La direction générale de l’armement doit éclairer l’avenir » Emmanuel Chiva, nommé délégué général pour l’armement cet été, livre à l’IHEDN sa vision sur les grands enjeux du secteur, dans le contexte actuel. Rappelant les origines et les missions de la Direction général de l’armement (DGA), Emmanuel Chiva détaille les menaces et les défis qui s’annoncent. « Nous devons investir des champs multiples », explique-t-il, citant ces ruptures technologiques amenées à devenir des ruptures géostratégiques. En préambule de son intervention, le DGA a rappelé ce que recouvre le terme « armement », à savoir la capacité à subvenir à tous les besoins des forces armées : l’équipement individuel (armes, protection individuelle et munitions), les véhicules, les systèmes de communication, les outils de commandement, le renseignement, mais aussi le soutien associé à tous ces matériels, ainsi que les moyens de préparation opérationnelle. « L'enjeu principal de l'armement, c'est de réaliser le mariage entre ces différents besoins, rappelle le DGA. C’est la recherche permanente d’un équilibre ». M. Chiva a ensuite précisé les missions dévolues à la DGA : équiper nos armées de façon souveraine, préparer le futur des systèmes de défense, soutenir les exportations, promouvoir la coopération européenne, et développer la base industrielle et technologique de défense (BITD) française et européenne. « Plus largement, la DGA a un rôle d’éclaireur, elle doit préparer l’avenir. Son rôle ne se limite pas, comme on l’entend souvent, à l’achat d’armes, rappelle Emmanuel Chiva. Notre institution doit porter une stratégie globale pour fournir à nos forces armées les meilleurs équipements. Nous leur devons cette performance ». L’innovation pour ADN L’année dernière, la DGA fêtait ses 60 ans. « C’est l’aventure nucléaire qui lui a donné naissance, rappelle Emmanuel Chiva ; elle est donc l’héritière de cette histoire militaire, intimement liée à la technologie, aux innovations. Et l’histoire de l’innovation technologique n’est pas toujours linéaire : l’innovation, c’est une question de timing, c’est le produit d’un contexte international, et celui-ci peut aussi bien être un moteur qu’un frein. Nous avons pu le constater durant les décennies qui ont suivi la Guerre froide, avec la baisse des dépenses militaires (« les dividendes de la paix », disait-on dans les années 1990) ; et au regard de la situation actuelle ». La période actuelle représente un tournant, selon M. Chiva : « l’accélération du rythme des innovations et la démocratisation de l'accès à de nouveaux domaines technologiques (pour certains régaliens) transforment notre façon d'appréhender les enjeux ». Les opérateurs privés ont aujourd’hui des capacités d’investissements qui peuvent dépasser celles des États : « la société américaine Amazon, par exemple, investit 28 milliards de dollars par an dans la recherche ; c’est bien supérieur au budget de Défense d’Israël (17 milliards de dollars par an). Cette comparaison donne une idée de la mutation du monde dans lequel nous évoluons. Une mutation accompagnée d’un profond changement des espaces de conflictualité », note Emmanuel Chiva. Les nouveaux espaces de conflictualité « Nous assistons aujourd’hui à une véritable ‘arsenalisation’ de l’espace. Les fonds marins aussi sont le théâtre d’activités nouvelles », constate M. Chiva, qui cite en exemple le récent sabotage d’infrastructures sous-marines observé en mer Baltique. La France, on le sait, a défini une nouvelle stratégie spatiale, en 2019, et s’engage dans la maîtrise des grands fonds marins. Le DGA ajoute à ces nouveaux espaces de conflictualité « les champs immatériels » : le cyberespace, la guerre informationnelle et la guerre cognitive. En matière de cyberdéfense, la DGA est l’expert technique référent du ministère des Armées : 20% de ses effectifs techniques travaillent dans la cyberdéfense (soit environ 800 personnes - la loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit d’atteindre le nombre de 1100 personnes dédiés à ce secteur, soit 10% des effectifs totaux de la DGA). La guerre informationnelle, c’est la manipulation de l’information, qui a pour but la déstabilisation. Différents moyens sont employés à ces fins : l’intelligence artificielle, les médias, ou les deep-fake. « Une course à l’armement technologique est engagée pour parvenir à déjouer ces menaces », indique le DGA. La guerre cognitive ? C’est la capacité d’agir sur le cerveau d’un adversaire, par la déstabilisation des émotions, par la création de simulations gustatives, auditives ou olfactives. « Nous allons la voir en action dans un futur proche », prévient Emmanuel Chiva. Un écosystème dynamique et créatif La guerre en Ukraine a par ailleurs mis sur le devant de la scène des armes low-tech ou low-cost, comme les drones. « Je fais la différence entre low-cost et low-tech, il ne faut pas se tromper : on confond basse technologie et robustesse. La robustesse, c’est un objectif simple. Il suffit simplement de répondre au besoin », explique M. Chiva. Cela induit un changement de méthodologie à la DGA, illustrée dans la commande de « munitions rôdeuses » : plutôt que de « sur-spécifier » les systèmes souhaités, avec un volumineux cahier des charges, la DGA fixe aux industriels l’objectif, les effets à atteindre. « Nous faisons confiance à leur créativité », explique cet ancien entrepreneur, qui souhaite créer un écosystème dynamique, comprenant plusieurs milliers d’entreprises duales (à la fois civiles et militaires) : « Nous avons créé un Fonds innovation défense (FID), qui est doté de 200 millions d’euros ; j’espère le porter à 400 millions d’euros pour investir dans ces sociétés, afin de leur permettre de se diversifier, d’accroître leur expertise dans le marché de la défense, tout en conservant un marché primaire qui les empêche d’être ‘arsenalisées’ ». « Nous devons investir des champs multiples », explique M. Chiva, qui cite ces ruptures technologiques amenées à devenir des ruptures géostratégiques. « Le quantique : il y aura un avant et un après. Le premier qui arrivera à décrypter une information quantique aura un avantage stratégique sur les autres. » La France n’est pas en retard dans ce domaine. « Elle est même en pointe, pour ce qui est des capteurs quantiques », rappelle M. Chiva. Cette technologie, qui permet, de cartographier les océans avec une précision millimétrique, sera bientôt au service de la Marine nationale ; « elle sera la première armée au monde à utiliser cette technologie », se félicite M. Chiva. Renforcer les liens avec la communauté IHEDN « Nous conduisons des projets complexes (en étant maître d’œuvre de bout en bout). Pour éclairer l’avenir, la DGA doit (comme les soldats) prendre des risques, dit M. Chiva. Elle doit le faire dans la rédaction des contrats, dans la gestion des projets, et accepter, parfois, d’échouer ». Il cite en exemple la mission spatiale américaine Apollo 13, « durant laquelle, rien n’a marché, et qui constitue aujourd’hui l’ADN de la Nasa. Je milite pour que le principe de précaution (qui peut nous paralyser) devienne un principe de prudence, et nous autorise à prendre des risques ». Emmanuel Chiva rappelle ce qui constitue la ressource essentielle de la Direction générale de l’armement : « c’est la ressource humaine. Nous avons des enjeux de recrutement, de fidélisation, il nous faut attirer les des talents, leur proposer des parcours (…) La communauté IHEDN, à laquelle je suis profondément attaché, a un rôle très important à jouer : vous êtes militaires ou civils, industriels, élus ou journalistes, vous êtes des acteurs de la réflexion, vous êtes des ambassadeurs en puissance », conclut le DGA. « Ceux qui seront demain aux commandes du porte-avions nouvelle génération ou du chasseur du futur sont à l’école aujourd’hui. Nous avons donc le devoir d’écouter la jeunesse ; l’IHEDN est ce monde où les anciens et la jeunesse ont beaucoup à apprendre les uns des autres, pour constituer cette communauté qui nous est indispensable à l’avenir ».
  8. J'ai ramé pas mal pour arriver au bout , d'où peut être des coquilles de redondance D’abord c’est en écoutant JM Jancovici lors l’audition du 02/11/2022 en rapport de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France qu’à une question sur la CSC affectant nos centrales , il a renvoyé l’interlocuteur vers ces explications de LEWANDOWSKI https://www.youtube.com/watch?v=oweVFXFFh04 Ensuite cette problématique de corrosions me m’est pas indifférente puisque d’active j’ai été impliqué dans la recherche de solutions curatives des circuits eau de mer des bâtiments de surface justement affectés par des pathologies de corrosions. Non pas de CSC mais d’autres type de corrosion pourtant sur des matériaux « cuivreux » parfaitement adaptés au confinement eau de mer. Alors les collègues et moi-même avons aussi été confrontés à de l’inattendu en certaines formes de corrosions localisées jamais observées en retex , en particulier la corrosion sous dépôt inhérente à la présence de bras mort dans certaine portion de collecteur . Sinon les seuls cas de CSC que j’ai observés l’ont été sur des chauffe eaux en inox proche de la nuance 316 L , corrosion sous calorifuge dans des cycles de régulation de température
  9. Pour information la vidéo de l’audition publique au sénat relative aux problèmes de corrosion sous contrainte rencontrés sur notre parc nucléaire J’ai essayé de retranscrire les interventions de Cédric LEWANDOWSKI (EDF) et de Bernard DOROSZCZUK ( ASN) . http://videos.senat.fr/video.3062141_635a18e41a210.corrosions-sous-contrainte-dans-les-centrales-nucleaires---audition-publique Cédric LEWANDOWSKI de 10’ 05’’ à 29’ 15’’ transcription au mieux Phénomène inédit inattendu (à l’endroit où les fissurations corrosion sous contrainte CSC , des circuits auxiliaires des circuits primaires , sont apparues) Automne 2021 lors visite décennale de Civaux 1, EDF découvre des anomalies atypiques sur des portions de tuyauterie RIS( réseau d’injection de sécurité) , réseau inactif donc à l’arrêt en fonctionnement normale , la fonction RIS est d’injecter de l’eau dans la cuve du réacteur en cas de brèche dans le circuit primaire , circuit très important pour la sécurité du réacteur . La portion de collecteur concernée est celle qui est directement connectée au circuit primaire avant la première vanne d’isolement . En terme de dimensions cela concerne une tuyauterie de 300 mm de diamètre d’épaisseur de 3 cm sur une longueur d’une dizaine de mètre. Lors des décennales sur l’ensemble du parc nucléaire, on effectue des contrôles pour déceler des défauts de fatigue thermique ( mécanisme d’endommagement induit par des fluctuations de température lié à la présence de tourbillons d’eau chaude . Pour rechercher ce type de défaut on effectue des contrôles par ultra sons . L’analyste des échos détermine présence de fissure dans le métal Fin 2021 on identifie sur Civaux 1 des défauts mais qui ne correspondent pas à de la fatigue thermique . Les portions de tuyaux sont découpées pour être remplacées et expertisées au LIDEC à Chinon . Et c’est à l’issue de ces expertises labo que l’on découvre qu’il ne s’agit pas de fatigue thermique mais bien de la CSC . Fissures de taille significatives puisque 6 mm de profondeur sur toute la circonférence de la tuyauterie . Elles se sont développées à proximité des soudures et non dans la ZAT . La CSC est une fissuration progressive fondée sur un interaction avec un matériau , ici un acier inoxydable austénitique 316L , un environnement l’eau qui passe dans le tuyau , eau avec les composant chimique bore …etc et une sollicitation mécanique résiduelle de soudage ou une sollicitation inhérente au fonctionnement de ce circuit . La CSC est donc de fruit l’interactions complexes avec des paramètres. EDF a déjà rencontré à la fin des années 90 des cas de CSC liés à des pollutions , un recensement avait été effectué sur ce cas de CSC et aucun risque n’avait été identifié sur les lignes RIS auxiliaires connectées au primaire d’où le caractère in attendu des récentes découvertes . Des cas de csc ont été identifiés en 2020 au Japon à OHI 3 en milieu primaire sur un acier de nuance proche du 316L. Les constats sur Civaux 1 conduit EDF à stopper Civaux 2 pour effectuer les mêmes contrôles pour y découvrir les mêmes défauts de csc et dans la foulée sécurité oblige ( pas débat interne ) EDF stoppe 2 autres centrales du même palier dans les Ardennes Un autre évènement survient en parallèle sur le réacteur de Penly 1 en visite décennale une indication de CSC est relevée sur une tuyauterie d’injection d’eau RIS confirmée par une expertise labo au microscope . L’ensemble du parc nucléaire est donc concerné par un défaut générique Réglementation est claire notamment l’arrêté du 10/11/99 , concernant la surveillance des réseaux du primaire après la découverte d’un défaut de cette nature , le maintien en service ne peut se faire qu’après une instruction technique longue et approfondie . Il est apparu à EDF que seul la réparation était à privilégier pour assurer un retour rapide des réacteurs sur le réseau . EDF a alors établie une stratégie de contrôle pour avoir un vision précise de l’état du parc en une relecture a posteriori de l’ensemble des centrales. Suite à ces travaux 7 réacteurs supplémentaires vont être mis à l’arrêt. Les appareils de contrôles par ultra son sont adaptés à de la fatigue thermique et non à la CSC . Ils ne peuvent pas donner une idée précise de la profondeur des fissures et c’est pour cette raison qu’EDF est obligé de prélever des échantillons de tuyaux pour une analyse fine des fissures. C’est un grand chantier d’expertise puisqu’au premier semestre 2023 ce sont 115 soudures différentes qui ont été analysées , 230 échantillons ont été expertisés avec des microscopes de haute précision . C’est cet ensemble de travail titanesque qui a permis d’avoir une bonne compréhension relative des phénomènes fissuration et d’affirmer que la prépondérance de la CSC ; - est due à la géométrie des lignes de tuyauterie RIS parce qu’elles déterminent les niveaux de contraintes - que les réacteurs de 900 Mw 32 réacteurs et les réacteurs de 1300 mw dit P4 ( 8 réacteurs sont peu ou très peu sensibles à la CSC - que les réacteurs de 1300 Mw dit P’4 ( 12 réacteurs) et les réacteurs N4 sont sensibles ou fortement sensibles à la ccs il en ressort également que les zones sensibles à la csc sont délimitées par une soudure et au delà pas de constat de csc Tout ces éléments combinés à les calculs de sûreté et des calculs de tenue mécanique de tuyauterie a conduit EDF a présenté à l’autorité de contrôle ASN une stratégie de contrôle et de réparation. Au bilan , sur douze réacteurs , dix font et ont fait l’objet de réparation sur les circuits . Sur les dix chantiers - 6 sont terminés - 1 autre devrait se terminer courant novembre , - les 3 autres pour la fin de l’année . Un point qui n’est pas de détail sur les réparations , elles sont réalisées sur des modes opératoires semblables ce ceux effectué à l’origine . Parce que ces procédés ont fait l’objet de qualification et qu’en si peu de temps il serait impossible de qualifié un autre procédé . Ce grand chantier a mobilisé plusieurs industriels dont Framatome et Westinghouse ( soudeurs venus d’Amérique du Nord . EDF aurait souhaité que les chantiers soient plus nombreux , gestion radio protection afin de minimiser la dosimétrie . Prouesse de développement d’une nouvelle technique ultrason adapté à la CSC pour bien sonder les 3 cm de métal cet outil évitant des découpes supplémentaires . A ce stade EDF a une compréhension assez fine du phénomène et conscient des efforts de R et D à effectuer pour décrypter ces mécanismes complexes . EDF a aussi réuni 15 experts de la métallurgie du monde entier , des documents leur ont été communiqués sous confidentialité . Ce collège d’experts , en confirmant la bonne orientation d’EDF a établi un certain nombre de recommandations et approfondissement sur La température du circuit Le Taux d’oxygène Ces experts ont émis une avis favorable sur les nouveaux types de contrôle par ultrason. Tout en soulignant le bien fondé du remplacement des tuyauterie à l’identique , certain experts ont proposé de mettre en œuvre la méthode « overlay » , solution de réparation consistant à manchonner par soudage des parties fissurées , procédé qualifié par les normes Us . EDF examine la pertinence de cette solution. Conclusion La sécurité demeure la priorité absolue , à aucun moment EDF à transiger avec la sécurité malgré la décision difficile de mettre à l’arrêt des centrales en plein hiver Corolaire du point précédant , une relation de qualité avec l’ASN ; confiance dialogue et transparence irréprochable En liaison avec l’ASN de disposer d’un état précis de la situation Bernard DOROSZCZUK ( ASN ) de 29’41’’ à 46’08 transcription au mieux Insistance sur 4 points 1 ) la fissuration de CSC est un problème sérieux qui a été traité sérieusement . C’est sérieux car elle comporte de réel enjeu de sûreté pouvant conduire à une brèche sur un circuit auxiliaire directement connecté au circuit primaire sans pourvoir l’isoler Une brèche de cette nature peut être considérée comme une situation accidentelle avec des dommages à l’installation et une perte du réacteur potentiellement durable .éventuellement avec des rejets modérés à l’extérieur . Il ne faut absolument pas minimiser l’impact d’un tel événement .cette csc est générique puisque constatée sur les 4 réacteurs du palier N4 et les 12 réacteurs du palier P’4 . Les fissures constatées ne sont pas négligeables, elles sont évolutives et peuvent atteindre le 1/4 de l’épaisseur avec peu de marge par rapport à la taille du défaut critique pouvant entraîner une rupture de la canalisation en cas de déclenche d’injection d’eau du circuit RIS La CSC est difficile à détecté car la fissuration n’est pas droite comme celle d’une fissure de fatigue . Sa progression est en ligne brisée en suivant le joint du métal . Les outils de contrôle n’étaient pas adaptés à la CSC d’où difficulté de caractériser la taille des fissures La CSC est un sujet difficile à traiter et dans ce cas d’espèce inattendue vu le type de matériau utilisé et inédite dans cette ampleur sur la totalité du parc mondial . EDF ne pouvait donc bénéficier d’aucun retex pouvant accélérer le traitement de ce phénomène C’est un sujet difficile à traiter car nécessitant des interventions en milieu dosant ; protection. et intervention limitée dans le temps 2 EDF a déployé un plan d’investigation conséquent très rapidement en posant plan stratégique de contrôle et réparation. Stratégie approuvée par l’ASN fin juillet . Le premier semestre 2021 a été consacré à un plan d’investigation basé sur des découpes , des expertises et des justifications de sûreté a permis de dégager une vue plus complète sur l’état du parc . Ce plan d’investigation était indispensable pour comprendre le phénomène et d’identifier les zones des réacteurs les plus concernées . Plan d’investigation jugé pertinent par l’ASN, à permis d’identifier les géométries des tuyauteries concernées et les contraintes thermomécaniques comme étant les principaux facteurs d’influence des fissures . Les soudures avec forte énergie de soudage et sans arasage constituent également un facteur aggravant du développement des fissures de CSC. Les soudures liées aux réparation doivent être particulièrement soignées pour éviter l’apparition de nouvelles fissures CSC . On a donc 16 réacteurs ( 12 P’4 et 4N4 ) : - 7 de ces réacteurs étaient couverts par le plan d’investigation d’EDF ( découpes analyses des causes …etc ) - 3 sont encours de contrôle - et 6 réacteurs restent encore à examiner d’ici mi 2023 au plus tard . Les contrôles seront effectué avec un nouveau procédé non destructif par ultrason , encore non qualifié ,et il se pourrait alors pouvoir découvrir des fissures plus importantes que celles observées lors des découpes . Il faut rester prudent sur la disponibilité d’une filière industrielle déjà sous tension ; contrôleurs , tuyauteurs soudeurs , il convient donc de renforcer ces capacités industrielles pour faire face à l’ampleur des travaux en perspective. Au moment de la construction des soudures de réparation ont été effectuées , ces soudures induisent des champs de contrainte pouvant favoriser l’apparition de fissures plus rapides de CSC . Toute ces soudures cartographiées devront être expertisées par la nouvelles technique de contrôle . A l’issue de ces contrôles l’ASN donnera son avis , D’ici fin 2025 , engagement calendaire d’EDF tous les réacteurs ( 32 au total ) y compris ceux de 900 mw peu touchés devront être contrôlés. 3 vu le caractère inédit et les enjeux de sûreté la CSC nécessite un besoin de transparence et de partage du retour d’expérience vis à vis du public dont l’ANCCLI (Association Nationale des Comités et Commissions Locales d’Information) et CLI (Commissions Locales d’Information) L’ASN a effectuer 38 inspections sur ce sujet et suit de très près les opérations sur les chantiers . L’ASN a mis en ligne sur son site internet un dossier csc consultable, Prouesse de développement d’une nouvelle technique ultrason adapté à la CSC pour bien sonder les 3 cm de métal cet outil évitant des découpes supplémentaires . A ce stade EDF a une compréhension assez fine du phénomène et conscient des efforts de R et D à effectuer pour décrypter ces mécanismes complexes . EDF a aussi réuni 15 experts de la métallurgie du monde entier , des documents leur ont été communiqués sous confidentialité . Ce collège d’experts , en confirmant la bonne orientation d’EDF a établi un certain nombre de recommandations et approfondissement sur La température du circuit Le Taux d’oxygène Ces experts ont émis une avis favorable sur les nouveaux types de contrôle par ultrason. Tout en soulignant le bien fondé du remplacement des tuyauterie à l’identique , certain experts ont proposé de mettre en œuvre la méthode « overlay » , solution de réparation consistant à manchonner par soudage des parties fissurées , procédé qualifié par les normes Us . EDF examine la pertinence de cette solution. Conclusion La sécurité demeure la priorité absolue , à aucun moment EDF à transiger avec la sécurité malgré la décision difficile de mettre à l’arrêt des centrales en plein hiver Corolaire du point précédant , une relation de qualité avec l’ASN ; confiance dialogue et transparence irréprochable En liaison avec l’ASN de disposer d’un état précis de la situation Bernard DOROSZCZUK ( ASN ) de 29’41’’ à 46’08 transcription au mieux Insistance sur 4 points 1 ) la fissuration de CSC est un problème sérieux qui a été traité sérieusement . C’est sérieux car elle comporte de réel enjeu de sûreté pouvant conduire à une brèche sur un circuit auxiliaire directement connecté au circuit primaire sans pourvoir l’isoler Une brèche de cette nature peut être considérée comme une situation accidentelle avec des dommages à l’installation et une perte du réacteur potentiellement durable .éventuellement avec des rejets modérés à l’extérieur . Il ne faut absolument pas minimiser l’impact d’un tel événement .cette csc est générique puisque constatée sur les 4 réacteurs du palier N4 et les 12 réacteurs du palier P’4 . Les fissures constatées ne sont pas négligeables, elles sont évolutives et peuvent atteindre le 1/4 de l’épaisseur avec peu de marge par rapport à la taille du défaut critique pouvant entraîner une rupture de la canalisation en cas de déclenche d’injection d’eau du circuit RIS La CSC est difficile à détecté car la fissuration n’est pas droite comme celle d’une fissure de fatigue . Sa progression est en ligne brisée en suivant le joint du métal . Les outils de contrôle n’étaient pas adaptés à la CSC d’où difficulté de caractériser la taille des fissures La CSC est un sujet difficile à traiter et dans ce cas d’espèce inattendue vu le type de matériau utilisé et inédite dans cette ampleur sur la totalité du parc mondial . EDF ne pouvait donc bénéficier d’aucun retex pouvant accélérer le traitement de ce phénomène C’est un sujet difficile à traiter car nécessitant des interventions en milieu dosant ; protection. et intervention limitée dans le temps 2 EDF a déployé un plan d’investigation conséquent très rapidement en posant plan stratégique de contrôle et réparation. Stratégie approuvée par l’ASN fin juillet . Le premier semestre 2021 a été consacré à un plan d’investigation basé sur des découpes , des expertises et des justifications de sûreté a permis de dégager une vue plus complète sur l’état du parc . Ce plan d’investigation était indispensable pour comprendre le phénomène et d’identifier les zones des réacteurs les plus concernées . Plan d’investigation jugé pertinent par l’ASN, à permis d’identifier les géométries des tuyauteries concernées et les contraintes thermomécaniques comme étant les principaux facteurs d’influence des fissures . Les soudures avec forte énergie de soudage et sans arasage constituent également un facteur aggravant du développement des fissures de CSC. Les soudures liées aux réparation doivent être particulièrement soignées pour éviter l’apparition de nouvelles fissures CSC . On a donc 16 réacteurs ( 12 P’4 et 4N4 ) : - 7 de ces réacteurs étaient couverts par le plan d’investigation d’EDF ( découpes analyses des causes …etc ) - 3 sont encours de contrôle - et 6 réacteurs restent encore à examiner d’ici mi 2023 au plus tard . Les contrôles seront effectué avec un nouveau procédé non destructif par ultrason , encore non qualifié ,et il se pourrait alors pouvoir découvrir des fissures plus importantes que celles observées lors des découpes . Il faut rester prudent sur la disponibilité d’une filière industrielle déjà sous tension ; contrôleurs , tuyauteurs soudeurs , il convient donc de renforcer ces capacités industrielles pour faire face à l’ampleur des travaux en perspective. Au moment de la construction des soudures de réparation ont été effectuées , ces soudures induisent des champs de contrainte pouvant favoriser l’apparition de fissures plus rapides de CSC . Toute ces soudures cartographiées devront être expertisées par la nouvelles technique de contrôle . A l’issue de ces contrôles l’ASN donnera son avis , D’ici fin 2025 , engagement calendaire d’EDF tous les réacteurs ( 32 au total ) y compris ceux de 900 mw peu touchés devront être contrôlés. 3 vu le caractère inédit et les enjeux de sûreté la CSC nécessite un besoin de transparence et de partage du retour d’expérience vis à vis du public dont l’ANCCLI (Association Nationale des Comités et Commissions Locales d’Information) et CLI (Commissions Locales d’Information) L’ASN a effectuer 38 inspections sur ce sujet et suit de très près les opérations sur les chantiers . L’ASN a mis en ligne sur son site internet un dossier csc consultable, l’ASN est aussi impliquée dans les échanges internationaux avec leurs homologues régulateurs européens et nord américains asiatique et d’Afrique du Sud sont très demandeur d’information du ce sujet . Ces régulateurs ont demandé à leurs exploitants d’investiguer 4 enseignement à tirer à ce stade de ces évènements l’ASN en voit 3 principaux ; Tout d’abord un enseignement de prudence au vu de ce que a été fait , les connaissances de CSC sont encore évolutives . Le programme de contrôle serait réadapté à la connaissance d’éléments nouveaux ( tailles des fissures) prudence aussi sur les capacités industrielles déjà sous tension capacité qui demandent à être renforcée Second enseignement dans une démarche de défense en profondeur est d’aller voir les choses auxquelles on ne s’attend pas , elle doit être conforté et entretenu . C’est l’objet des plans de maintenance préventive des exploitants qui devront être complétés aux vues du retex de ces événements . Mais aussi de l’examen de conformité détaillés que l’ASN demandent aux exploitants de réaliser lors des visites décennales . Aller voir les parties de l’installation que l’on ne voit pas en exploitation normale par exemple les réseaux enterrés , câbles électriques.. Dernier point c’est la réaffirmation du besoin nombreuse fois exprimées par l’ASN est de disposer de marge pour la sûreté . En 2013 l’ASN avait émis un avis en ce sens dans le cadre du débat sur la politique énergique . Dans cet avis l’ASN exprimait le besoin de disposer de marge suffisante pour pouvoir faire face à la nécessité de suspendre momentanément pour des raisons de sûreté le fonctionnement de plusieurs réacteurs . Ce besoin à été réaffirmé à plusieurs reprises dans les rapports annuels . La situation actuelle illustre de façon impérative de restaurer des marges pour la sûreté dans le futur mixte énergétique à l’horizon 2050 Jean-Christophe NIEL ( ASN ) de 46’30’’ à 1h 01’ 21’’ non retranscrit , à écouter Quelques planches plus commentées en détail techniques Jean Claude DELALONDE et Yves LHEUREUX ANNCLI et CLI , non retranscrit à écouter Planches explicatives du rôle de l’ANCCLI et ses questions et attendus Questions réponses non retranscrit de 1h 31’ 14’’ jusqu’à la fin de l’audition , à écouter A 1h56’45’’ à signaler l’intervention du sénateur André GUOIL membre de la commission de défense ; « est ce que les centrales nucléaires embarquées des SNA SNLE et du CdG connaissent les mêmes problèmes ? Si à ma connaissance non , quels enseignements pouvons-nous en tirer ? Réponse de Cédric LEWANDOWSKI à 1h59’59’’. sur les questions très précises des installations embarquées de la défense sachez que nous avons des contacts réguliers , ils ont été informés de la nature des travaux sachant que nous sommes dans une situation très différente ( questions à reformuler au sein de la commission idoine )
  10. ARMEN56

    Le(s) PA de la Royale

    peut être , voire aussi qu'on a aujourd'hui des outils plus performants en analyse de ruine structurelle que dans les années 90 , qu'on essaie de valider au réel le crash du F35 sur le C Winson aurait pu également susciter un regard .....
  11. C’est le hangar en composite qui a complexifié l’intégration des Sadrals sur le toit du hangar. Ce hangar n’étant pas conceptuellement prévu pour Il a fallut « béquiller » leur carlingage pour aller chercher du solide sur le pont principal quoique déjà existant en partie pour le sadral babord ( épontilles du SA Crotale). Avec un hangar acier c’était « fingers in the nose » vu les relatives faibles masses en jeu sinon on renforce le toit en acier , du déjà vu déjà fait D’ailleurs l’avia ( hangar , fly deck ) et système d’arme sur toit ont silhouetté les F67 et F70 avec leur Crotale . Ceci bien entendu avec toute la prudence de bonne gestion des poids dans les hauts . Alors rien n’empêche sur papier coin de table ou sur clavier azerty d’hyper charger les hauts ; plusieurs tourelles de bon calibre AV et AR sur toit du hangar et un topside arbre de noel en mode séquoia tiens ….à générer des attaques cardiaques à tous les archis plateforme . Plus sérieusement puisque Fremm est mis ici sur la table , depuis quelques années déjà la silhouette des Fremm.it m’interroge ( et pas que moi ) , d’ailleurs je me demande si on a pas déjà lesté les fonds ? fin du HS Les PO seront bien entendu réussis
  12. ARMEN56

    Le(s) PA de la Royale

    Information de Nicolas Drogi (*) Directeur DGATN sur linkedin « DGA Techniques navales DGATN a réalisé un essai de détonation d’une charge pyrotechnique sur une structure représentative du pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle Ce 1er essai à échelle réduite permettra d’évaluer les conséquences sur le navire de l’éventuel crash d’un aéronef armé ou en cas d’accident pyrotechnique lié au transport de munitions » Normal ce type d'essai ( retex USS Forestal) , mais pourquoi que maintenant ? …à moins que scénario plus dur pour le PANG (*) https://www.varmatin.com/marine/3-questions-au-nouveau-commandant-du-site-du-mourillon-de-dga-techniques-navales-790532
  13. ARMEN56

    Marine Britannique

    Oui çà doit être çà , du transit 15 nds A signaler que sur le PANG , en marge du design triple hélice retenu , une vidéo de xav nous avait montré une combinaison hybride POD/LA classique
  14. ARMEN56

    Marine Britannique

    on trouve de tout dans les config à trois hélices https://www.marinepropulsors.com/proceedings/2013/2A.1.pdf
  15. ARMEN56

    Marine Britannique

    tu as raison , une prolongation du plan mince ?
  16. "Remise à niveau opérationnel pour la frégate de surveillance Ventose A peine revenue d’opération CARIB ROYAL de lutte contre le narcotrafic en mer des Caraïbes, la frégate de surveillance (FS) Ventose a réalisé un stage de remise à niveau opérationnel (RANO) couplé à un contrôle « aviation » .Sept marins de la division entraînement de la Force d’action navale (DIVENT) et deux marins de la force de l’ aéronautique navale étaient à bord. Leur mission : confirmer la qualification opérationnelle de la FS Ventose et mettre à l’épreuve son équipage dans un contexte exigeant. A quai puis à la mer, l’équipage a mené plus de 110 exercices différents. Toute la chaîne fonctionnelle et les organisations particulières qui ont été évaluées à travers des manœuvres routinières et d’autres moins habituelles comme l’évacuation de ressortissants, les opérations de visite sans renforts commandos, la défense contre les attaques cyber, la conduite des opérations sans lien satellite. Après 12 jours intenses, l’équipage a reçu sa confirmation de sa qualification opérationnelle ! »
  17. ARMEN56

    Marine Britannique

    Pour la centrale , vu la fonction gouvernail actif j'avais pensé à son utilisation en mode vitesse lente/modérée ...sans en être certain , ni sur la distribution de puissance non plus
  18. ARMEN56

    Marine Britannique

    Théoriquement on a une distribution des poids par tranche d’allure « gaussienne » ; les tranches milieu pleine et chargées et du volume « déplacé conséquemment » ,les tranches extrêmes peu chargées avec devers et moins de volume en raison de la finesse …Avec des pods sur l’arrière la courbe en prendrait un sale coup Idem sur les CTM CMT, çà aide au positionnement dynamique, j'ignore quels étaient les exigences de chocs sur ce programme
  19. ARMEN56

    Marine Britannique

    Je reviens sur l’aspect propulsion triple hélices ; une centrale avec gouvernail actif et deux PODS Ce nouveau concept de frégate de 6000 tonnes 130 m devrait être taillée pour du 25/30 nds et donc avoir une puissance propulsive installé BHP de 30 à 40 Mw A supposer que l’on soit à Vmax sur les PODS , ceux-ci devraient alors pouvoir cracher 2 x 15/20 Mw je pense Pour mémoire les PODS BPC poussent la barcasse à 19/20 nds avec 14 Mw en deux PODS Mermaid de 7 Mw chacun avec un devis de masse > 400 tonnes ( 2 x 200 tonnes ) Bref avec apparemment si peu de matière ( maillage structurel porteur) j’ai du mal à comprendre comment caser ces 2 PODS sur l’arrière avec leur steering, pour que la poutre arrière tienne bien en dynamique sans trop fatiguer et surtout en dynamique choc Ici un POD ABB 15/20 M avoisine les 200 tonnes aussi https://library.e.abb.com/public/6c1b0250efd18e73c1257a530040dcf2/XO2100_XO2300_Product_Intro_lowres.pdf bonne question , je ne vois pas non plus ou alors une traine sonar déportée comme sur les DDG il me semble
  20. archhh 6 euros tarif du mémoire ATMA évoqué plus haut *
  21. ARMEN56

    Marine Britannique

    https://www.navylookout.com/in-focus-bae-systems-adaptable-strike-frigate-concept/ Une partie du lien traduite , saturation du texte lors post Sinon je reste encore interrogateur sur l'idée de PODS sur les navires armés , à moins que les fabs aient durci côté tenue aux chocs
  22. J’ai trouvé , il s’agit d’hélices trochoïdales à rotor biomimétique Ce sujet à fait l’objet d’un mémoire présenté à la session de l’ATMA 2020 "Evaluation des performances d'hélices trochoïdales Romain HURET - Naval Group – Hydrodynamics – Lorient (France) Philippe GOUBAULT - Naval Group – Naval Architecture – Nantes (France) Jean-Charles POIRIER - SIREHNA – Naval Platform Modelling – Nantes (France) Arnaud CURUTCHET - ADV TECH – Manufacturer of trochoïdal propellers – Talence (France) L’optimisation des performances propulsives des navires est un enjeu primordial et quotidien lors des phases de conception. Pour les navires de combat, il s’y ajoute la recherche constante de l’augmentation de l’opérabilité à travers l’amélioration des performances de tenue à la mer, de la discrétion acoustique et des performances manœuvrières.Dans ce cadre, Naval Group a étudié l’impact hydrodynamique sur les performances propulsives de l’utilisation d’un propulseur trochoïdal dessiné par ADV TECH sur une carène de frégate. L’étude a consisté en une campagne d’essais en bassin de traction visant à déterminer le point d’autopropulsion du propulseur derrière la carène. La campagne d’essais a également permis d’explorer l’influence des paramètres de réglage du propulseur. Les résultats ont ensuite été comparés à des simulations CFD, qui permettent d’évaluer les effets d’échelles de ce type de propulseur. Finalement, la puissance nécessaire pour propulser le navire est comparée à celle d’une propulsion conventionnelle." https://www.atma.asso.fr/fr/page-16/produit-3716/evaluation-des-performances-d-helices-trochoidales.html Un concept développé par ADV TECH « Bonjour, la différence entre un propulseur Voith et un propulseur ADVTECH réside dans la cinématique (le mouvement) des pales. Dans le cas des Voith le mouvement des pales peut faire penser à la brasse, tandis que pour les propulseurs ADVTECH c'est plutôt du Crawl. Cette différence de cinématique a un impact direct sur les performances. Dans le cas du Voith les vitesses d'avancement (CAD la vitesse du navire par rapport à la vitesse des pales) est inférieur à 1: c'est pour cette raison que les Voith n'équipent que des bateau lents dépassant rarement 15Nds. Dans le cas des propulseurs ADVTECH la vitesse d'avancement dans certaines conditions peut dépasser 2,5: ceci permet de faire des bateaux rapides. Une autre manière de comparer peut être la suivante: un propulseur ADVTECH tournera trois fois moins vite qu'un Voith de diamètre identique pour faire aller le bateau à une vitesse donnée ». https://www.bateaux.com/article/32143/adv-tech-un-propulseur-revolutionnaire-pour-remplacer-l-helice http://www.adv-tech.fr/adv-propulse-propulseurs-usv/
  23. DCN en son temps avait intégré un wedge sur les frégates Bravo Ca n'est pas du Voith ; Il s’agit d’un propulseur innovant , on le voit le modèle en action à 36’’ lors présentation innovations day de NG , le concept à un nom j’ai oublié
  24. FS , FLF et SW2 équipée du SAMAHE Fregate DELTA concept ASIST https://s2.q4cdn.com/767595508/files/doc_downloads/indal/naval/2022/INDAL-Brochure-2022.pdf Toutes les FS sont donc parties de Lorient avec leur SAMAHE monté . Aussi les FS ALPACI avaient leur SAMAHE, cependant démonté après coup suite à directives autorité , motivation ? (j’ai mon idée) Les rails SAMAHE première génération des FS sont boulonnés sur le pont avia . La partie extérieure en alliage d’aluminium avec bande de roulement inox est à surveiller de près vu gros risques de corrosion , effet pile anodique …..etc un merdier en maintenance Il n’existe pas de substitut au SAMAHE si on veut rester dans les critères de manutention avia par mer formée ( plaquage de l’hélico sur rail lors mvts verticaux en lacet ). Reste les manips par chariot motorisé on en a déjà parlé , c’est pas top voire dangereux si SST 5 , mais bon aux opérationnels et SSF de juger . Le CAMCOPTER substitut au SDAM qui si je comprends bien foire, n’arrive pas ici comme un cheveu dans la soupe , il a déjà fait l’objet de nombreux tests armée de terre , MN , chez les allemands aussi . « Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras » non ?
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