ARMEN56

N’empêche que les images sont d’une excellente définition et illustratives d’une foule de détails quant aux équipements extérieurs , au hasard le plaquage tuiles du mâtereau LRR qu’on ne retrouve pas sur nos FDA, arrière bloc cheminée aussi Et au passage pas de suie sur les ilots en raison d’une aérologie bien travaillée

j'ai ces données à peu près équivalentes dans mes calepins , 7000/8000 nm à 8 nds et qqs en transit mixte sachant que le paramètrage du "Shortfin" autorisait à faire bien mieux

Pour les aficionados voilures fixes et tournantes sur porte avions , sur certaines images son observe que le pont en est "blindé"....... https://www.seaforces.org/marint/Royal-Navy/Aircraft-Carrier/R-08-HMS-Queen-Elizabeth.htm

même écho par la "bande" , je reste cependant perplexe en attendant de voir

Oui mais la remarque de @Scarabé s‘inscrit dans de redesign des écubiers des BASM pour atténuer le ragage des chaines sur leur bulbe hydro Pour FDI on avait déjà fait la remarque des risques encourus en regard d’une étrave inversée bulbée sonar, de la proximité de l’écubier encastré et des dégâts que cela pourrait occasionner lors ragage sur le composite du bulbe ? On observe une zone bâchée à hauteur de l’écubier tribord ; est ce qu'effectivement NG prépare pose des panneaux SER ? idem FLF FDA Delta , sachant qu’on en a pas sur FREMM de mémoire ou bien revoit le design pour faire pareil que sur BSAM au risque d’une illumination SER ou alors une verrue avec des angles pentus de 10 à 15° pour éviter dièdres et trièdres ( là je sens que je suis entrain de délirer un max , vite une cervoise … )

pas d'exigence SER sur BASM , or une "verrue" de ce genre signerait

https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:6976873651975376896/ ça avance , on modifie l'écubier ?

Un connaisseur qui a pratiqué suis du même avis non pas que je veuille réactiver Kéroman ( quoique ) Mais pour "assurer" nos bordures ; manche , atlantique , med...et puis pour ceci déjà posté x fois et je le referai encore ; c'était dans un rapport de "Serge Koening" patron des soums med de janvier 2000. mais suis dans le HS

Le processus de fabrication des frégates bravo et FLF ; tronçons fait à Brest et à Cherbourg puis transit par barge vers Lorient pour assemblage , n’est pas réaliste pour du soum même si dans le temps , Dubigeon et d’autres on fait des Daphnés . De plus mes veilles oreilles se souviennent avoir entendu ici que l’opération PERLE , si même excellemment réussie aurait plomber le calendrier des Barracuda …blablabla De l'acier navire de surface DH36 ou similaire c’est pas du HLES , bref former Souder du HLES à la machine ou en manuel requière une ligne métier indus pérenne Après quoi ? on soude à Cherbourg des coques virolées vides qu’on envoie chez Pierre/Paul/jacques pour habillage et retour Cotentin pour assemblage ? Voir cependant s’il est possible de sous traiter les ensembles coque fines massif toussa ailleurs sachant que tout ce qui est composite est manufacturé Lorient Du moment que rien ne perturbe nos programmes nationaux et dès fois qu’une « fenêtre météo » chausse pied pour caser un export « why not » , mais cà risque d’être chaud qd mme. C'est un avis intuitif ne connaissant pas le potentiel de l'outil cherbourgeois et sa capacité de "digestion"...eu cependant écho hier d'une personne qui m'est très proche .

Causerie anniversaire de vendredi Savoir tout de même que sans attendre l’après Barracuda , le site de Cherbourg est entrain de se réorganiser pour SNLE NG3 , ce qui n’est pas rien . Alors les chantiers UK et US sont à saturation , et nous aurions la capacité de répondre à une nouvelle offre Aussie construction Cherbourg sans perturber nos programmes nationaux , notre défense nationale ?

Les FLF sont équipés de 3 DA MGO de l’ex SACM ; 2 sont situés dans le local auxiliaire arrière et le troisième est localisé dans le local auxiliaire avant ( redondance et dispersion de source ) . Ces DA sont d’anciennes génération ne sont pas capotés comme les Isota des frégates Delta , en revanche ils sont montés sur plots élastiques et partant toutes les liaisons de tuyauterie ( huile , eau de mer , gazole , eau douce distillée, admission et échappement) sont découplés avec les flexibles ou des manchons coupleurs et de dilatation pour les échappements , tout ceci en regard des exigences fortes de tenue aux chocs et vibrations . Ici il s’agit non pas d’un local machine comme légendé par MM mais du DA2 situé sur bâbord dans le local auxiliaire arrière. Derrière l’opérateur on devine un climatiseur, en bas la caisse de traitement d’eau distillée , et le tableau électrique de commande du DA2. Les 2 boucles vertes « lyre cor de chasse » collées au moteur à mon avis font office de flexibles anti-vibrations intrinsèque moteur et permettent une meilleure latitude au branchement des raccords probablement brasés en évitant ainsi des contraintes de montage pouvant fissurer les brasures et initier des fuites de gasole …retex de gros incendie sur une FAA en sortie d’IPER , fuite à une brasure d’un tuyau de gazole Tous les DA sont par ailleurs équipes d’une vase d’expansion pressurisé sur l’eau HT , ce vase encaisse les dilatations volumiques de l’eau dont la température fluctue entre 60 et 90° Sur les FLF , on a 2 réseaux d’eau douce de réfrigération cooling ; - un réseau en boucle fermée d’eau à 20° qui assure la réfrigération des équipements des systèmes d’armes à partir de 2 stations séparées - un réseau en boucle fermée d’eau fluctuantes ( 26/37°) qui alimente les condenseurs des climatiseurs 80 en tout sur FLF , cette boucle est connectée à des échangeurs eau de mer à plaques pour évacuer les calories vers l’extérieur Ces 2 réseaux étant exposés à de la dilatation volumique inhérente aux fluctuations thermiques de la régulation, ils sont tous deux équipés d’accumulateurs OLAER tampon à vessie pré-gonflées , ces accus encaissent les augmentation de volume d’eau et accessoirement les coups de béliers Pour en revenir à cette lyre cor de chasse couleur crème de la tuyauterie en premier plan ; c’est vrai que de prime abord on pense dilatation thermique , ceci dit j’en reste perplexe pour les raisons évoquées .J’ai plutôt pensé à une lyre thermosiphon et plus encore à un « tracé assoupli » découlant du logiciel LACTUS (Logiciel d'Aide à la Conception de Tuyauteries Silencieuses). Par exemple, possiblement atténuer le bruit d’une chute d’eau ; dalotage hygiènes situés sur pont pal du dessus ?? Je n'en sais pas plus désolé ! Comme évoqué par Bernard Planchais et Patrick de Leffe il avait été prévu des volumes conservatoires de systèmes d’armes ; sonar d’étrave , VLS , bruiteurs NIXIE et autres et ceci dans la partie coque métallique . Le composite présentait l’avantage de gain de masse avait cependant pour inconvénient d’avoir un manque de latitude dans l’évolution du topside vu conception par bloc difficile à modifier sans reprendre l’ensemble ou en partie , sous réserve d’un non désamorçage ligne métier en la matière. On a vu que le refeat Sadral sur le toit composite fût une opération très lourde sens premier et second. Pour l’éventualité VLS B Planchais nous dit qu’il était prévu une conduite de tir Arabel, les premières esquisses illustrent bien cette option sachant que les produits dérivés FLF avec VLS ; - SW2 on a la « tour » Arabel dont le cooling est à l’eau à 20°C idem conception FLF par climatiseurs. - Delta on a Herakles dont le cooling est de l’eau à 6 °C Alors la question était de savoir si le multifonction SMART S des FAA pouvait être réemployé sur FLF . On avait dit , des contraintes de taille à cela ; - Thales avait prévu du cooling eau glacée pour les équipements de son radar en cohérence état des lieux FAA équipé d’un réseau à 8° bouclé produit par les 3 frigo air , son J11 était aussi branché sur ce réseau - Les FLF n’ont pas d’eau glacée mais un réseau d’eau à 20 ° , les baies du V15 sont connectée sur ce cooling - Thales pouvait il modifié les équipements pour une réfrigération à 20° ? A supposer que oui , avait on suffisamment de marge sur la puissance frigo à 20 ° FLF si non quid impact ? - En terme de masse , un SMART S à priori plus lourd pouvait il s’intégrer en lieu et place du V15 , si non faut changer de mâture composite si oui impact fréquentiel sur l’ensemble , tenue aux chocs etc…bref c’est pas du « papa dans maman » cette histoire

C'est sûr cà ? La dilatation c’est à la louche 1 mm / m à 100° or ici ça semble être un circuit froid hors périmètre du diesel , un MGO si on est bien sûr FLF ? À supposer qu’on soit très chaud dans ce piping ; pour éviter de se bruler si > 65° faudrait isoler or rien du tout ! Pis un dilatoflex hyper simple à monter serait pas mieux qu’une lyre à emmerder le tuyauteur ??

C’est un article MM sous contrôle d’officiers généraux ( Amiraux, IGA ) ayant trempé dans la genèse de ce programme post guerre froide . A lire ici et là les divers ressentis ; peut être y comprendre aussi un sentiment d’amertume d’avoir « hérité » de navires sous armés , avec potentiel d’évolution garroté, ayant servi « d’échasse » (sous le label seaproven MN) aux programmes Delta et SW2 ( mieux boostés ) ?

Faut quand même pas pousser mémé dans les orties. Le bridge de l’Adroit a été conçu open space à l’image des AHTS dont B2M et BSAH se sont aussi inspirés , il existe du cloisonnement fonctionnel avec des rideaux anti-bruits c’est ainsi le PC AVIA est isolé du reste. La passerelle des POM peut aussi avoir son lot de critiques ( j’en ai fait sur les échappements ) sachant que, hors réglementaire , tout est pesé dans le compromis. Compactor ? ‘’atterissage auto ou pas ?’’ pour les Camcoptère ou Schiebel S 100 ils fonctionnaient à l'essence , il avait été question que Schiebel se lance dans une motorisation avec caburant lourd ( diesel) Ceci dit eau de vie longue vie aux POM

FS ou FLF ? Premier Commandant FS FLOREAL ; BERTHAUD Premier commandant FL LAFAYETTE ; DESMAREST

L’Adroit a été conçu/construit dans un budget contraint avec participation d’un club des investisseurs . Ce budget limité n’a cependant pas empêché de prévoir des extensions optionnelles au socle navire de base ; cas du propulseur d’étrave et d’une stabilisation active à aileron , prévu dans le bilan de puissance . . Pas de "touristes, curieux" donc pas de bruit en passerelle c’est la règle , celle de l’Adroit fusionnait plusieurs fonctions ; - Surveillance radar - Veille nautique - Communications diverses et variées - IPMS ; prop élec steering - Damage control - Helo UAV control - RHIB control - Artillerie et divers systeme de combat - Non lethal weapon ……. Le stockage de l’essence a été pensé dans les règle de l’art c'est-à-dire sur un dispositif bénéficiant d’un blindage balistique ou équivalent ET largable comme l’exige la règlementation. En revanche ,ce qui est dangereux à mon sens est d’avoir pour les OPV Argentins donné un feu vert pour avoir "refeaté" les installations de JP5 pour du jetA1 ce qui est strictement interdit par nos textes et la SOLAS......croisement de doigts on en parlait déjà ici .... http://www.air-defense.net/forum/topic/8422-opv-programme-de-renouvellement-de-la-marine-nationale/page/171/#comment-1282931

Oui mais conception en phase avec l’amiral Forissier et ses équipes , certes avec un retour d’expérience illustratifs forcement des plus et des moins (*) sachant que dans cette balance , la barcasse ( incubateur) avait label combat-proven il me semble. A la va vite quelques comparaisons (*) que l’on retrouve dans chaque rapport de TLD et de fin de premier commandement tout navire confondu. Ceci dit j’avais été stupéfait que les détails aussi précis du premier retex Adroit , ayant presque rapport de fin de commandement, ait été dévoilés par MM sur la place publique , donc aux yeux de la concurrence à s’en lécher les babines.

Très tôt la MN seule a pourtant accompagné la conception de ce navire dont l'objectif était démonstrateur - rampes arrière - plateforme hélo , hangar - passerelle 360 - mature unique avec un radar 2D haut ... Dans la spécification STCAN de 1982 , source sûre, c’est 4200 mn à 15 nds avec 80 t de gazole

peanuts peanuts en puissance installée et encore peanuts en bilan de puissance quand on lui affecte un coeff Ku d'utilisation Pour les Baudouin 12 P15 d'origine ==>620 kw au diesel pour 590 kw alternateur j'imagine que le 700 kw du Cumming c'est une puissance mécanique ; les cumming équipent d'autres barcasse dont les B2M il me semble , donc communalité rechanges .....700 pas très loin de 630 , on doit être dans l'épure volume masse et air comburant dont la ventilation initiale avait été calculée en tenant compte de cà évidemment sans oublier les lignes d'échappement dont pertes de charges admissibles turbos , et puis ils n'allaient quand même pas changer les grosses artères et TPF

Dans les années 60 on a eu des programmes servitudes GAN/FOST hyper resserrés aussi ; A69 , F67 , C70….et tout ceci sous une organisation intégrée à la MN sous appellation CNR ( construction neuve et réparation) dont siège rue royale et son BE ( STCAN à Ballard ) avec une DGA en pointillée. Mode pleurnicherie on C’est ballot et perso mais je regrette cette époque ou des ingés militaires et cadre technique d’excellence ( ils alternaient « la mine » et le BE ) m’ont formé à ce métier . Mode pleurnicherie off

Les SAMAHE et autres systèmes équivalents sont étudiés pour travailler dans ces contraintes là , et au passage de la porte du hangar faire en sorte que le système soit flush pont pour éviter toutes coulures accidentelles de JP5 de rentrer dans le hangar ce qui serait impossible avec des rails de guidage soudés au pont

Bah te voilà muté à NG Ruelle pour valider ta solution « accro-branche » Cela dit je n’arrive pas à comprendre , on avait un SAMAHE qui assurait en toute sécurité la manip des hélicos de 5t , on l’enlève parce que plus de panther/dauphin mais des alouettes , c’est bien çà ? Les panther/dauphin reviennent et on voit qu’ils sont manipulés manuellement et limitation mer si < SST3 On a aussi l’alternative du chariot curtis https://www.cw-ems.com/indal/products/helicopter-securing-and-traversing/mantis-aircraft-tug/default.aspx mais celui n’empèche pas le renversement ni le glissement de l’hélico par mer formée ; pont gras , en excluant le verglas en zone pacifique. Au passage de la porte un violent coup de roulis et l’hélico percute les montants du hangar belles images , mais je reste malgré tout dubitatif ….en ne sachant pas tout

source opexnews Synthèse de l'introduction de Sébastien Lecornu (Ministère des Armées) lors de la table ronde "Économie de guerre" qui s'est déroulée hier à Balard avec à ses côtés la DGA - Direction générale de l'armement, le chef d'état-major des Armées, le CEMAT Pierre Schill, le CEMAAE Stéphane Mille, le CEMM Pierre VANDIER, Emmanuel Chiva, la SGDSN ainsi que les acteurs majeurs de la BITD. Le ministre des Armées a évoqué quatre points majeurs avec les industriels présents : 1 La question des stocks Le MINARM s'engage à se poser la question de ses propres stocks stratégiques pour transmettre une expression de besoin la plus précise possible. Il a aussi demandé aux industriels de s'interroger sur leur capacité à honorer leurs engagements et à améliorer leur réactivité. La question de la mutualisation des stocks, notamment de matières premières, entre les entreprises de la BITD doit être envisagée. 2 relation avec les sous-traitants Sébastien Lecornu a rappelé aux industriels présents la nécessaire vigilance vis-à-vis des sous-traitants hors France (voir hors UE). La connaissance et la maîtrise des chaines de production par les industriels est un point clé. 3 les questions de main-d’oeuvre Dans une situation de contestation, voire d'affrontement, il est inconcevable que la BITD soit confrontée à des problèmes de recrutement. Au-delà de la question de l'attractivité, une réflexion sur la construction d'une réserve industrielle doit être menée au sein de la BITD. 4 Visibilité Les exigences de l'économie de guerre en termes d'agilité et d'efficacité obligent le MINARM à simplifier son expression de besoin et les normes qui les entourent pour faciliter la capacité des industriels à s'organiser. Le ministre a par ailleurs insisté sur son besoin de visibilité vis-à-vis des industriels, sur la question des délais de production, qui doivent être améliorés. Concernant l'augmentation des cadences de production, elle devrait concerner dix types d’équipements. Sébastien Lecornu en a cité trois : le obus de 155mm, les CAESAr et les moyens de défense sol-air. Avec des objectifs ambitieux : passer de 30 à 12 mois pour l'assemblage d'un CAESAr chez Nexter. Dans un environnement de fortes tensions géopolitiques, le Ministère a incité les industriels à redoubler de vigilance dans un contexte propice aux attaques hybrides, comme des sabotages, contre les outils de production industrielle. La DRSD et la DGA seront sur le pied de guerre.

on en parle dans le LOS N°63 la Marine à voiles ....

d’autant qu’il me semble TOTAL avait des FPSO dans le coin ….piraterie toussa https://www.lesechos.fr/2018/06/total-renforce-sa-presence-au-nigeria-avec-une-nouvelle-plate-forme-geante-996789