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olivier lsb

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Tout ce qui a été posté par olivier lsb

  1. Le Liban est-il un état failli et bien trop faible face au Hezbollah, ce qui rendait l'application de la résolution 1701 parfaitement illusoire et ouvre donc la voie à Israël ? Ou bien est-ce un état souverain et capable d'assurer son autorité partout sur le territoire ? Faudrait savoir car pour l'instant, j'ai lu les deux théories qu'on m'oppose en contradiction. Qui a parlé des américains ici, à part toi ? C'est une fixette.
  2. C'est effectivement toute la question. Israël a t-il les moyens et les actifs militaires et renseignements pour asphyxier le Hezbollah ? On peut en douter. Veulent-ils tenter le coup pour remodéler stratégiquement l'ordre régional, ou simplement "tondre le gazon" pour reprendre l'expression de Goya ? Il se pourrait même qu'ils en aient les moyens militaires, mais que par cécité stratégique ou calcul politique, se refusent de remplacer véritablement le Hezbollah. C'est surtout sur le plan stratégique qu'ils commettent trop régulièrement des erreurs préjudiciables à la stabilité du coin. Il y a un aspect sécuritaire de court terme, la réalité physique des missiles balistiques tirés depuis le Liban, qui implique que le Hezbollah prenne les coups attendus. Mais la critique que tu formules est parfaitement entendable, et en partie entendue par Israël: c'est avec le chef ultime qu'il faut traiter, et celui-ci se trouve de plus en plus en négociations directes. Si les moyens sont là, l'un n'exclut pas l'autre. Il y a là un constat très vrai et donc une quasi impossibilité de discuter: les sunnites sont en voie de normalisation de leurs relations avec Israël, le régime religieux de Téhéran fait reposer son existence sur une velléité (vraie ou supposée, peu importe à ce stade) de destruction d'un autre état, en vue de capter un leadership réel ou fantasmé sur une tierce communauté de gens (les musulmans dans le monde): curieux attelage stratégique, pas vraiment iréniste dans son essence, et qui au mieux, devrait soulever quelques sourcils quand à la pérennité d'une telle intention. J'observe bien que l'époque n'est plus aux considérations morales, mais à force de défendre tout et son contraire dans un souci d'équilibre et d'auto-critique "flagellante", on contribue à faire émerger de vraies pots pue. Faire de la destruction d'un état l'axe de survie d'un autre état, en prétendant défendre au passage la Palestine sunnite, dont les chiites iraniens se moquent bien dans le fond: what could go wrong 30 ans plus tard ? Rien ne va la dedans et l'irruption contemporaine d'une compétition religieuse mondiale entre un état chiite et une collection d'états sunnite aura été à l'origine d'une bonne partie des désordres actuels.
  3. J'étais pas sur la Palestine mais le Liban, un pays qui a été successivement désoccupé par Israël et la Syrie, puis réoccupé en quelque sorte par un agent de l'étranger. La Palestine, c'est un dossier bien trop complexe pour faire des raccourcis moralisateur sur l'occupé et l'opprimé. Soutien aux Ukrainiens qui émane d'une autorité libre, démocratiquement élue, transpartisane et qui a officiellement formulé ses demandes d'aide successives à ses partenaires: une coopération loyale et respectueuse des peuples. Si demain l'Ukraine veut arrêter de se battre, ils peuvent en décider ainsi. Le Hezbollah, organisation terroriste, serait donc représentative et représentante des intérêts et intentions de l'état Libanais ? Curieuse façon d'apprécier l'état et les nations. Je n'étais pas dans un soutien unanime et totale à Israël, loin de là. Mais faire du Hezbollah un équivalent de l'Ukraine et placer implicitement Israël sur le même plan que la Russie, faut quand même avoir perdu quelques repères.
  4. Je crois qu'on ne s'est pas bien compris: le Hezbollah, c'est l'Iran (qui embauche des Libanais). Le chiisme, c'est l'Iran. Dire que le Hezbollah a une agence qui lui est propre, et qu'il serait capable de se vendre au plus offrant, c'est aussi pertinent que de dire demain la préfecture de police de Paris répondra seulement au FBI, parce qu'un partenariat global plus intéressant que celui de l'Etat, lui aura été proposé.
  5. Est-ce qu'on devrait renoncer à la laïcité pour s'épargner l'opération spéciale de Daech envers les mécréants français ? Pas sûr que ce soit une attitude saine à expliquer à ses administrés, ni porteuse de beaucoup d'espoir et de confiance sur l'indépendance de son pays, surtout si l'autocensure doit porter sur des sujets aussi inoffensif que la langue ou la culture, alors qu'il n'y a pas mort d'homme (pas vraiment les contextes d'actions armée engagées pour cause humanitaire, mais c'est encore un tout autre débat). Mieux vaudrait surtout rappeler la qualité et surtout la responsabilité de l'agresseur, peu importe son niveau d'hurluberlusme. Ca reste la plus sage des précautions.
  6. Il ne faut pas non plus surjouer la surprise. Lorsqu'il est question dans les discours entendus à droite à gauche qu'il faut "éradiquer" le Hezbollah, c'est pas tant sur le plan de l'intégrité physique de ses membres (Libanais) et encore moins de celle des chiites du Liban dont il est question, mais de l'agencement / asservissement de la politique de "l'organisation armée Hezbollah", aux seuls intérêts Iraniens. Que des Libanais en fassent partie, c'est une conséquence presqu'accidentelle et non une cause, c'est la nécessité incontournable de recruter une main d'œuvre locale pour un travail d'influence et d'ingérence aux frontières d'Israël, non délocalisable par essence. Il n'y a cas voir les poètes avec qui Nassrallah prenait le thé au moment de son exécution, pour achever de s'en convaincre. Faire semblant de ne pas comprendre que le problème posé par le Hezbollah est en réalité un problème d'ingérence de l'Iran dans toute la région, c'est faire le jeu des extrémistes de tout poil. Le retour à la raison et à un semblant d'unité politique au Liban devra être effectué sous la pression saine de ses citoyens, mais l'excavation des ingérences politiques les plus dures et les plus ancrées pourra difficilement se faire sans un appui extérieur.
  7. Comme chacun sait, la ligne de front à Kherson est l'une des plus critiques du conflit, et fait donc l'objet de la plus grande attention des russes, qui détruisent systématiquement tout objectif militaire identifié, dans un contexte de surabondance des moyens militaires.
  8. Et donc ? Va au bout de ton raisonnement. Parce qu'une lecture normale des choses consisterait à constater que des hurluberlus, y'en a partout sur tous les sujets, et qu'ils peuvent bien braire tant qu'ils veulent, ils ont des frontières et une juridiction intangible qui le leur permet. Et pas un mètre de plus.
  9. Je ne cherche rien et je n'ai aucune explication évidente ni aucun prêt-à-penser. Je réagissais au départ, sceptique, au post du camarade Coriace qui proposait une conclusion "cause-conséquence" un peu simpliste et tout sauf évidente, entre le retour à la résolution 1701 par l'état Libanais et les attaques d'Israël sur son sol.
  10. Ces deux premières phrases sont parfaitement contradictoires: soit ça n'était pas faisable, et on ne voit pas bien comment ça le serait plus aujourd'hui, et alors Israël serait bien dans son droit "politique" (et non légal, qu'on s'entende bien) d'aller faire appliquer ce que l'état Libanais ne peut appliquer. Soit c'était vraiment faisable, et Israël prend un risque en matière de droit ONUsien, mais alors l'état Libanais devient par ricochet complice, ou au moins suspect, d'avoir attendu complaisamment 18 ans pour agir. Bref, ce n'est pas très convainquant. Je loue vos efforts messieurs, mais vos arguments sont très circonstanciels, et sans vouloir vous manquer de respect, pas très inspirés. Je reconnaitrais bien volontiers à la classe politique Libanaise la capacité d'un grand cynisme et d'une grande perfidie, surtout si leur pouvoir venait à être mis sérieusement en jeu. Mais c'est le genre de déclaration qui fait plus que tâche à l'heure qu'il est, sans qu'on puisse bien voir ou tout çà mène l'état Libanais, ni comment il se positionne face à Israël et au Hezbollah.
  11. L'argument est spécieux, je reconnais bien volontiers. Mais pourquoi alors revenir dessus aujourd'hui, reconnaître qu'une part du boulot de leur côté n'a pas été fait ? Pour aussi faible que soit l'état libanais, ce n'est pas encore Israël qui dicte leurs communiqués.
  12. En l'occurrence, leur part de la résolution 1701 fut respectée. Après, si tu veux me faire dire qu'aucun état n'a le cul propre ses engagements internationaux... Vendu !
  13. On pourrait aussi se demander pourquoi le Liban a attendu 18 ans pour se rappeler qu'il avait une résolution à appliquer, qui trouvait ses fondamentaux dans les espoirs de paix ou de cohabitation auxquels elle espérait contribuer. Reconnaître aussi tardivement qu'il existe une obligation juridique restée sans application, ça sonne quand même comme un aveu de responsabilité. Il est de bon ton de ne pas se montrer trop dur avec l'état Libanais, du fait de sa grande confessionnalisation et de sa faiblesse notoire: je trouve au contraire que c'est une excellente raison de lui demander d'autant plus des comptes sur sa gouvernance.
  14. Séquence présentant un assaut débarqué, tirs de couverture le temps de miner un bâtiment, puis rembarquement et destruction dans la foulée
  15. Quand tu observes que l'armée Libanaise est essentiellement chiite, est-ce que c'est à ton avis : - le fruit du "chaos sociologique", qui pousserait économiquement, intellectuellement cette frange de la population vers l'armée nationale ? - une stratégie patiente et assumée de l'Iran et du Hezb, pour conserver les meilleures recrues au sein du Hezb et verser le reste dans l'armée, pour la noyauter communautairement ? - une conséquence du partage institutionnel entre les communautés, l'armée revenant aux chiites indépendamment de l'Iran et du Hezb ? - "L", la réponse Liban ? Un contre pouvoir salaf le Hezb ? Et le Hamas, allié objectif du Hezbollah, ce sont des adorateurs de Fatima peut être ?
  16. Quelle ne fût pas ma surprise en découvrant tes propos sensibles au sort des civils bombardés, au risque inhérent à forcer les frontières et aux générations vengeresses qui, du fort au faible, se rabattront sur le terrorisme face à l'envahisseur. Je me suis dit que nos deux années et demi de débat commençaient peut être à faire évoluer les regards. Et puis j'ai relu le titre du topic et en fait, mal réveillé ce matin, je me suis gouré de sujet, j'étais pas sur l'Ukraine Shalom à tous ! Grosse journée en perspective sur ce fil...
  17. A force de saper la crédibilité des outils de coopérations internationales et de diplomatie, par des faux tout à fait grotesques (et ce n'est pas la première fois que l'ambassade russe d'Afrique du sud est coupable du genre), la Russie décrédibilise peu à peu tous les corps intermédiaires pourtant essentiels à la bonne coopération entre pays. Leur responsabilité dans l'affaiblissement de l'ordre mondial (comprendre le bordel actuel, qui va ensuite tant faire gémir et relativiser l'Ukraine par rapport à qui de Gaza, qui du Sud-Soudan, qui du Yémen etc..) est aussi du à ce genre de spectacle idiot et démoralisant. Ne plus croire en rien, douter de tout et surtout de la parole officielle, partout dans le monde, reste une des voies d'action privilégiée des mesures actives. https://www.airandspaceforces.com/improperly-installed-parts-caused-f-16-to-crash-into-warehouse-in-may-2019/
  18. C'est d'abord une discussion à avoir au sein de l'UE, avant de retourner vers les pays partenaires avec une politique (laquelle ? Et pour quoi faire ?). La guerre civile syrienne a engendré son flot de réfugiés, c'est indéniable. Mais c'est l'Allemagne et un certain nombre de pays nordiques qui ont spontanément et librement accueilli, alors que rien ne les y obligeait. Dans la hiérarchie des risques et nuisances pour notre continent, ces zones géographiques (Afrique, MO) pèsent moins par ce qu'elles nous imposent, sinon par ce que certains membres de l'UE ont sciemment permis de faire, en l'absence d'obligations manifestes. On a involontairement "consenti" à cette déstabilisation, qu'on a réalisé un peu tard et a posteriori. Mais je n'y vois là rien d'irréversible ou d'irrémédiable, pour peu qu'un peu de capital politique se dégage sur ces questions. En revanche, nos marges de manœuvres sont bien moindres avec la Russie (pour ne pas dire inexistantes), qui s'impose en bloc et à ses conditions: raisons pour lesquelles je juge ce risque bien plus dangereux que nos propres erreurs vis à vis du MO et de l'Afrique. ..être vigilant sur tous les sujets et pays, depuis l'Allemagne et la Russie jusqu'à la dernière des jacqueries au Bhoutant. On est bien d'accord, je raisonnais simplement en termes de priorités et de ressources à y accorder, celles-ci étant limitées.
  19. Le pêché originel restant le refus de l'Ukraine, durant son mandat, d'incriminer Hunter Biden dans l'affaire Burisma, au bénéfice de la campagne de Trump. Qui essaie encore de comprendre Trump ? Si l'histoire de la tour de 2000 ans t'a surpris, je crois que tu n'es vraiment pas prêt pour ce "Si le bateau coule, tu préfères.... la mort par un requin ou l'électrocution par la batterie ?". C'était en juin dernier, lors d'un meeting électoral.
  20. C'est Israël notre allié ?? Le pays qu'on a globalement mis sous embargo pour les armes Fr ? Le pays qu'on met sur pied un d'égalité dans nos déclarations diplomatiques avec le très humaniste Hezbollah ? Le MO n'est pas mon sujet et m'indiffère parce que c'est loin de nous, que c'est au pire des nuisances pour l'UE et en aucun cas une menace pour nos intérêts vitaux sur le continent. La morale et l'éthique n'ont rien à voir dans tout çà. Et n'ont rien à voir non plus dans mon soutien à l'Ukraine d'ailleurs. Ce sont nos intérêts sécuritaires en Europe et notre autonomie en matière de défense qui m'importent, avec toutes les conséquences économiques que ça emporte. De ce point de vue là, il apparait évident et depuis longtemps que chaque poussée russe effectuée vers l'ouest et dans le vif des conventions internationales, joue contre nos intérêts en Europe. Lesquels sont coincés entre le marteau militaire russe et l'enclume économique américaine. Faire le constat qu'on ne peut s'en prendre qu'à nous même européens, n'empêche pas d'observer qu'on se porterait malgré tout beaucoup mieux sans l'impérialisme russe. Croire qu'il vaut mieux une nette défaite russe en Ukraine plutôt qu'une mise à l'épreuve militaire de l'UE et de l'OTAN dans quelques années, ça relève du bon sens et de nos intérêts les plus vitaux et primordiaux. Je ne sais pas à quel moment on refuse de voire cette évidence, à quel moment on considère sérieusement la possibilité d'un accord pérenne et durable avec les russes (qui je le rappelle, ne veulent pas dealer avec nous mais avec les US), alors même qu'on est d'une clairvoyance extrême, confinant parfois à la caricature, dès lors qu'il s'agit de questionner l'hégémonie américaine dans tous les domaines.
  21. Où ne serions nous pas indépendants dans cette boucle OODA ? Le contrôle US existe, mais sous une forme plus pernicieuse, portant sur le chantage à la prochaine tranche d'aide. Aujourd'hui c'est le jeu, on y peut rien, mais à bien y réfléchir à deux fois avant d'invoquer les budgets et les coûts importants de la guerre et du soutien à l'Ukraine. La facture européenne est en train d'être disputée entre Russie et US, et on ergote encore beaucoup trop de façon pingre sur les enjeux sécuritaires de notre continent. Pas l'Irak ou l'Afrique ou Taïwan ou ce qui nous regarde pas hein, mais chez nous.
  22. J'ai lu que nous l'étions, mais que cela risquait d'impacter en retour le soutien US en armements. Cela revient au même dans le fond, nous payons cher nos faiblesses militaires, en se faisant capter une forme d'autonomie militaire par chantage au soutien. L'usage de la force oui, avec déplacements de frontières, beaucoup moins déjà. Et quand bien même un précédent existerait, rien ne justifierait de le renforcer par une jurisprudence Russe, accessoirement, une basée sur le chantage nucléaire. C'est une prime donnée aux régimes autoritaires, dans lesquels j'ai personnellement beaucoup moins confiance que les armes nucléaires sous contrôle démocratique. Mais je suis peut être un peu vieux jeu sur la question. Quand la Russie attaquera, peu importe les pleins pouvoirs: en l'absence du tampon Ukrainien, ce sera déjà trop tard et les conséquences sociales et politiques en Europe seront incalculables, à coté desquelles notre situation actuelle relève de la bonne rigolade.
  23. Pourquoi inefficiente ? On avait déjà partagé les vues satellites de l'aéroport dont je n'ai plus le nom, bourré d'avions russes et ou les Ukrainiens, contraints dans les RoE, on été contraints de viser les dépôts de munitions à la place. Eux même demande un élargissement de l'emploi des armements, y compris SCALP: c'est donc que les conditions en place ne sont pas satisfaisantes. Voilà ce qu'on en sait, sinon ça serait pas un sujet de désaccord public. Quand au renseignement US exclusivement utilisé et nécessaire pour l'emploi du SCALP, je te renverrais la pareil: on en sait rien, on peut en douter, nous en produisons également de façon autonome et nous ne sommes pas les seuls. Les moyens pour convaincre ? Ne pas créer de précédent international sur l'usage de la force pour régler des conflits frontaliers, d'autant plus via un chantage nucléaire. On ne parle pas d'une jurisprudence anodine. Et en Europe, nous sommes les prochains, vu le peu d'empressement des russes à nous faire la paix et l'amour, comme on aimerait plus souvent qu'on nous rende la pareil, avec notre diplomatie si conciliante et notre dissuasion conventionnelle si faible. Les pays "nonchalants" comme tu les désignes (lesquels d'ailleurs ?) se font de toute façon grassement payer par l'UE, pas foutue d'éviter le syndrome des masques COVID. Le reste, c'est de la communication mais sur l'essentiel, sois rassuré, ils sont bien indemnisés.
  24. Le rappel quotidien que non seulement les US discriminent leur aide à la tête du client, et que passe encore c'est le jeu, mais que ce faisant, s'arrogent également un droit de cuisage sur notre propre soutien ITAR-free. Mais cela ne semble pas déranger les pourfendeurs de VZ, qui tout en étant un incapable, semble en même temps couter trop cher en aide militaire insoutenable. Alors que l'emploi de nos armements, disponibles en quantité limitée et de manière inefficiente à cause des US, devrait être notre premier motif de mécontentement.
  25. Et Sputnik s'est plaint sur la plateforme américaine X, d'avoir été censurée par la chinoise. Défense de rire. https://www.lemonde.fr/pixels/article/2024/09/24/tiktok-supprime-les-comptes-des-medias-russes-rt-et-sputnik_6331135_4408996.html
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