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Aucun des visuels montré n'est cohérent avec les autres. Les images de démonstration ne correspondent pas à l'état final des plans, mais à l'état actuel au moment où ils ont été dessinés, tout simplement. Cela n'a aucune importance, il ne faut pas ergoter, on verra le résultat final.

Ce n'est pas l'étrave inversée qui permet de remonter l'avant d'un pont, c'ets l'inverse. L'étrave inversée impose de remonter l'avant d'u pont si l'on ne veut pas mouiller ses apparaux de pont et ses systèmes d'armes. Sur une étrave classique, il est toujours possible de mettre un pont supplémentaire, c'est une question de choix. Non. Clairement non. Un équipage féminisé ne réduit pas le nombre de couchages sur un navire avec des cabines de 4-2-1. Et ce même sans avoir des hygiènes par cabine. C'est uen contrainte artificielle que certains se rajoutent intellectuellement.Il suffit de mettre des portes aux douches et aux toilettes pour que ça marche.

C'est un peu léger comme analyse. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/04/06/l-afrique-n-est-pas-victime-de-ses-frontieres_4610391_3212.html https://www.cairn.info/frontieres-d-afrique--9782271080622-page-9.htm Ces frontières sont tellement nulles que depuis 1963 tous les pays africains ont choisis de les rendre intangibles : http://www.peaceau.org/uploads/charte-de-l-oua-fr.pdf Je crois que Mouammar Kadhafi a eu son temps pour mettre ses projets en œuvre de 1969 à 2011. Ils ont surtout été impérialistes, avec des unions bancales avec ses voisins ou l'invasion des autres.

A étudier. Mais je suis a priori contre, car avoir des hangars trop spécialisés réduisent la flexibilité et la capacité d’accueillir des choses non imaginées initialement. Comme des avions étrangers, une horde d’hélicoptères ou des véhicules blindés. Ensuite, avoir deux hangars superposés, cela pose des contraintes de hauteur. Cela joue sur les ascenseurs et aussi sur la stabilité du navire.

Parmi les pays qui ont des statistiques fiables. Par exemple, à La Réunion ou à Mayotte il y a davantage de cas (référencés) qu'aux Comores ou à Madagascar.

Je ne saisis pas le problème énergétique. Une EMALS a besoin au maximum d'une énergie de 122MJ. Énergie qui est générée en 1 minute par un générateur de 2MW. Le problème des EMALS ce n'est pas la puissance électrique en tant que telle (ça, on sait faire) mais son stockage. Donc, une EMALS à pleine puissance c'est 2MW de puissance électrique dédiée pour réussir à tirer un coup toutes les minutes. Pour 4 catapultes, cela veut dire 8MW. C'est même pas la moitié de la puissance propulsive d'une frégate. Ou alors je me vautre complètement dans les calculs?

Je ne vois pas ce qui l'empêcherait. TOUS les navires de la MN font des passages sur boucle acoustique. Plusieurs fois au court de leur vie même. De rien. Tu peux être à la tête des programmes de la Marine, car c'est déjà ce processus qui est mis en oeuvre :D

Le poids oui, mais ça en me semble pas être un critère limitant sur un navire d'un tel déplacement. C'est surtout plus fiable. Les deux catapultes du CDG sont actuellement utilisées systématiquement dans les séquences de catapultage. Il ne s'agit pas de redondance mais d'un impératif opérationnel. En effet, plus le temps pour envoyer la pontée d'avion est long, plus le carburant des avions ayant décollé en premier sera réduit, et donc leur autonomie. C'est la troisième/quatrième qui devient une redondance, ou une amélioration opérationnelle. En outre, la puissance n'est pas non plus le facteur limitant. Ce qui l'est, c'est l'aménagement du pont : combien d'avions puis-je préparer en même temps?

Pourquoi seulement deux catapultes? A 70 000 tonnes il devrait y avoir la place pour trois voire quatre, non? En tout cas je parie sur 3, pour ma part. 10 balles. Davantage que politique, je dirai que al décision n’est pas simplement militaire. La pérennité de l'industrie nucléaire embarquée, mais aussi le modèle RH des atomiciens (et de leur école) dépend du nombre de réacteurs. Personnellement je préfèrerai un classique. Mais je n'ai pas voix au chapitre :) Et c'est tant mieux car je n'ai pas tous les détails de toutes les clés.

Pour avoir fait l'armement d'une frégate toute fraiche sorties de Lorient voici trois ans, et été affecté sur d'une autre revenant de son DLD (déploiement longue durée, la première croisière lointaine d'un navire militaire français), non, je suis désolé, je ne vois pas de quoi tu parles. Je n'ai pas vu d’industriel finir le navire une fois celui-ci parti du chantier. J'ai vu sur BSAM ou BSAOM la partie télécommunications être installée à Brest, car il s’agissait d'un contrat transverse de la DIRISI avec un autre industriel. J'ai vu les essais de performance* se dérouler durant des années au fil des opportunités. *Essai de performance: différent des essais techniques. L'essai que j'appelle technique est fait par le chantier (parfois avec un équipage de conduite militaire) sous la supervision de la DGA et sert à vérifier la conformité au cahier des charges. L'essai de performance est réalisé par l'équipage militaire selon une liste établie par le CPPE (commission permanente des programmes et des essais) avec pour but de vérifier la capacité pratique du navire à accomplir ses missions. Nombre de ces essais de performance sont réalises durant le DLD mais pas tous, et ces essais ne sont pas que techniques mais aussi organisationnels.

Je ne vois nulle part qu'un passage à Brest se fera pour y intégrer les armements. Ni même qu'un passage à Brest se fera, d'ailleurs. La coopération avec Naval Group en signifie pas un passage à Brest, c'est peut être là l'écart de compréhension? Je tiens à signaler qu'il n'y a plus de chantier de construction de Naval Group à Brest, au demeurant. Il n'y a que de l'entretien et réparation réalisés au sein de l'emprise des bases navales. Oui. Tous les navires militaires, (même ceux sortant de Naval Group Lorient), passent dans un arsenal militaire pour y recevoir des équipements n'étant pas dans le domaine de compétence des chantiers. Comme les communications chiffrées. Non, ils auraient dû recevoir des équipements spécifiques en Russie, mais rien de prévu ou de réalisé à Brest.

C'est officiel ça?

Mouais. Viser juste dans une telle étendue, avec une cible mobile, c'est le rêve ultime de la boucle OODA. Pour l'instant, le temps de ciblage semble trop long. Et c'est sans compter le temps de vol qui demande un recalage final fin, ou une mise à jour en vol. Enfin, la précision à une telle vitesse sur une cible n'est pas aisée non plus. En outre, ces doctrines du missile tueur ultrapuissants ne prévoient jamais que les systèmes de guidage puissent être détruits ou brouillés.

Les M51 n'ont rien à voir avec la dissuasion en tant que tel. Il s'agit d'un plan à long terme de BITD, en soutenant Arianespace

Si les porte-avions sont menacés par les détection et missiles venus d'en haut, c'est le cas pour tous les navires. en effet, un porte-avion vu d'en haut n'est guère que 4 fois plus de surface qu'un de ses escorteurs. Donc si l'on arrive à avoir une précision pour un porte-avion, le reste des navires de surfaces sera lui aussi condamné. D'où la généralisation qui est faite dans ce sujet, je présume sur la fin des navires de surface. Mais en ce qui concerne l'élaboration d'une solution de tir, je suis très circonspect sur la faisabilité de la chose. Et donc la réalité de la menace. Telles les carabistouilles du CEMM.

Comme quoi, tout change. Depuis peu, les OSC et les élèves de l'Ecole Navale suivent la même campagne Jeanne d'Arc et sont gérés similairement. Depuis maintenant une dizaine d'années, l'accession au grade de CF (capitaine de frégate) n'est plus un acquis (acquis social?), et le grade de lieutenant de vaisseau (LV, capitaine dans les autres armées) est même devenu un grade terminal envisagé, quel que soit le cursus d'entrée.

Non, les étraves ont de l'effet lorsque le navire a de la vitesse, pas à la dérive. Si, on peut faire les deux. C'est juste que je pense que l'étrave n'est pas la panacée, mais juste une solution de plus.

Ce look :D Totalement d’époque.

Ca réduit le tangage et la résistance ajoutée sur houle. Quand c'est bien calculé avec la longueur du navire et les mers rencontrées. C'est pas non plus fantastique dans mes souvenirs. Rajouter 10m de navire était souvent équivalent en efficacité. La réduction de tangage permet d'augmenter la plage d'opération pour les ravitaillements, afin d'avoir un grande plage (de mers possibles) commune avec celles des navires ravitaillées. La réduction de résistance ajoutée sur houle, ça permet de maintenir la vitesse en mer formée, donc de transiter plus vite entre le port-d'appui et les unités engagées sur zone.

Je cite le BO : A Saint-Nazaire on sait faire vite les études des navires de croisière. Mettre au goût du jour ceux d'un BPC ne devraient pas prendre plus de 6 mois si la volonté est là. Et il semble y avoir des créneaux de libre chez aux Chantiers de l'Atlantique pour construire. Nombreux sont ceux qui disaient qu'il était impossible de construire du nucléaire à Saint-Nazaire pour des raisons de sûreté, je pense qu'ils se trompent profondément. Car je vois mal un navire de 70 000 tonnes quitter Saint-Nazaire sans propulsion.

C'est juste. Mais faut-il pour autant crier avant d'avoir mal? Ce qui est totalement faux. Le CEMA, comme le CEMP, n'est pas choisi selon un équilibre entre les différentes chapelles des armées pour assurer un équilibre interne. Non, il est choisi par le politique en fonction de la personne. Parceque les chapelles internes aux armées sont totalement méprisées par le politique. Ok, j'essayerai de m'en souvenir. Pas en 2036 mais au moins lorsque notre René Coty prendra sa décision, dans quelques mois ou années.

Et oui, étrave droite pour les français. Ca me rapelle mes calculs en 2012 quand j'étais stagiaire à l’hydrodynamique de chez STX

De 1953 à 1974, il y avait en effet 3 vrais porte-avions en France.

A mon avis, mais ce n'est que mon avis, vu les faibles nombres de vols commerciaux et les restrictions mondiales de circulation, l’officier en question est déjà à bord depuis des mois et aurait de facto été présent, à défaut de participer.

Surveiller à la verticale, c'est devenu assez simple de nos jours : il suffit de rajouter une plaque d'émissions de radar posée sur le toit des superstructures. Je suis d'ailleurs surpris que personne en l'ait fait, si la menace est identifiée comme crédible et dure à traiter.