Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

true_cricket

Members
  • Compteur de contenus

    2 875
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par true_cricket

  1. Heu... il y a des prés et des champs à La Réunion. A Bourg-Murat.
  2. A posteriori, vu les votes en Thuringe, cela s'avère un mauvais pronostic.
  3. Je voisd beaucoup d'approximations, probablement dues à un manque de connaissance du milieu. Je me permet donc de corriger de çà et là. Un point d'appui à Djibouti, à tout casser. Pour quelle menace, exactement? Alors ce n'est pas du tout, mais alors pas du tout comme cela que les marchés publics se passent pour ce type de navires. Il n'y a pas de gâteau à se partager entre les industriels, il y a des appels d'offres, avec des règles précises et des recours. Gné? Une corvette qui aurait autant d'armement qu'une FDI? Soit un système ASM complet (sonars et torpilles), un lot de missiles anti-aériens et le radar qui va avec (option, un peu moins de missiles AA et quelques MdCN à la place), une tourelle pour l'appui-feu, le combta naval et les missions de police. Je fais grâce de l'autonomie (alors que j'estime que c'est bien utile pour rester longtemps en mer, et pas seulement pour aller loin). Et bien non, je ne vois pas cela sur les corvettes. Désolé. Pas tout cela à la fois. Et au fait, quelles sont les missions de la Marine Nationale? Défendre le territoire national ne demande pas des navires surarmés. C'est pour aller porter le fer loin qu'il faut ces navires. Un phrase censée ! C'est le besoin qui défini l'outil.
  4. Des légumes frais. Des nouilles, probablement importée, car je n'ai pas vu de champs de blé. Ce qui me chagrine, c'est que le lait local coûte parfois plus cher que le lait importé, et ce malgré le coût du transport et celui de l'octroi de mer. Tout est venu en une fois par bateau, c'est vrai. Vu que je venais de métropole j'ai pris des vêtements, un grille-pain, un fer à repasser et un micro-onde. Les meubles, je n'en sais rien, ils étaient dans le logement avant que je ne l'occupe. Tout comme la machine à laver et le four.
  5. A part mon téléphone (qui vient d'Asie) et l'essence, non, j'ai du mal à voir. C'est peut être que je consomme peu. Un ordinateur tous les 3-4 ans. Non merci. Mayotte, c'est le mille-feuille du malheur :D
  6. Ils sont juste trop c**s. Vouloir absolument un mode de vie comme en métropole alors que tout peut venir de pas loin. Habitant La Réunion, et issu de métropole pourtant, je consomme les produits locaux.
  7. 35 LCS commandés au total, 20 construits. Zéro opérationnels. Au mieux, je vois le double de Naval Group. Au pire je vois moins bien.
  8. Le karma, peut être. Les australiens polluent l'atmosphère comme des gros sales, et là, retour de bâton. Regardez ce bilan carbone électrique : https://www.electricitymap.org/?page=country&solar=false&remote=true&wind=false&countryCode=AUS-SA
  9. Mais qu'est ce donc que cela? Les USA font des frégates maintenant?
  10. Il faut donc convaincre de la pertinence des chalands rapides (mais pas trop rapides, sinon les clients vont prendre des LCAC hors de prix) dans la doctrine amphibie d'une pays, si l'on veut vendre du LCAT. Pas aisé !
  11. Ben non. On a bien des cas pour les personnes irradiées sur le coup. Mais pas pour leurs descendants ou les habitants des lieux. https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2018/02/medsci20183402p171/medsci20183402p171.html
  12. Ce que je me demande si les personnes pensent d'abord aux missions avant de s'emballer. Une FLF ne fait pas des missions de "corvette", ni une FS. Et les deux navires n'ont pas besoin d'être identiques car ils ne sont pas confrontés aux mêmes menaces ni aux mêmes environnements. Et puis les mutations de personnel entre navire de même type, bof bof. La Marine Nationale est bien rodée et est capable de faire évoluer ses militaires entre différents types de navire. C'est même mieux quand il y a de la diversité dans l'emploi sur des navires différents, cela évite la sclérose intellectuelle. En ce qui concerne le projet en lui-même, ce qui me chagrine -en plus de la volonté multinationale qui me semble u peu forcée- surtout c'est : La versatilité à tout prix, c'est tout pourri. Car dans les faits, les équipements démontables ne le sont pas, et les équipages sont rapidement spécialisés. Mais bon, rien de bien grave. C'est un projet exploratoire, pas un engagement d'achat.
  13. Les personnes qui trouvent les français arrogants n'ont jamais travaillé avec un hollandais.
  14. Praceque l'on ne commande pas un navire pour le plaisir de faire des grandes séries, mais bien parcequ'on a des missions à lui faire réaliser. Quand au concept d'économie d’échelle en construction navale, c'est mineur. C'est du vent, c'est du pipeau même, dirai-je. Qu'est ce qui est lissé? Le coût de conception (sauf s'il y a de nombreuses sous-versions, comme c'est malheureusement souvent le cas dans un produit avec de nombreux pays concernés). L'outil industriel. Sauf si l'outil existe déjà (c'est ce cas ici car les navires sont petits), ou qu'il y a de nombreux chantiers (pour des raisons de "partage du gâteau", qui à terme risquent fort de surenchérir les coûts). Un navire reste une construction à l'unité (sauf les navires en plastique moulé). La mise au point. Rien à redire là dessus. Une seule grosse mise au point pour toute la série. La maintenance. Via une mutualisation des commandes et des stocks... sauf si les doctrines de maintenance divergent, car les navires sont employés différemment (ce qui risque d'être le cas). Sauf si les commandes de rechanges ne sont pas assez grosses pour faire pression sur le fournisseur et qu'il baisse ses coûts. Sauf si la structure commune de maintenance devient un monstre bureaucratique, ou bien qu'elle n'arrive pas à avoir la réactivité nécessaire et qu'au final la disponibilité chute. Voilà en quelques minutes les nombreux écueils qui me viennent à l'esprit et qui montrent que les grandes séries, ça peut très bien donner pire que moins cher. Et surtout, à la fin, s'il y a un défaut de conception, ou une inadaptation à l'emploi, il se retrouve sur tous les navires du continent !
  15. true_cricket

    Le(s) PA de la Royale

    Il y a bien : La marine dans la guerre de Lybie: Relié – 2014 de Jean-Michel Roche (Auteur) Mais le porte-avion, de mémoire, n'y occupe qu'un chapitre.
  16. Dans le fond du sujet, on n'a aucune idée de cela, car aucun cuirassé "moderne" n'est conçu.
  17. Ah, mais vous n'êtes pas au courant? La peur a changé de camp. Dites bienvenue aux FREMM et à leurs sonars
  18. Rien à voir avec du blindage, il s'agit d'une question de structure. Les efforts sur la poutre navire : moment fléchissants et efforts tranchants, si vous voulez consulter le chapitre idoine d'un navire d'architecture navale. Concrètement, une torpille lourde actuelle ne touche pas le navire. Elle explose en dessous, et génère successivement une surpression puis une dépression. La suppression c'est l'onde de choc de l'explosion. La dépression qui suit, c'est la remontée de la bulle de gaz. La combinaison des deux brise la poutre-navire, ou a minima la plie. En effet, un navire qui n'est porté que par ses extrémités ou son milieu se plie tel un vulgaire trombone. Et pourquoi aucun navire moderne n'est-il donc blindé? Car les armes actuelles font fi du blindage, tout simplement. Pas la peine de se protéger contre davantage que du lance-roquette, le reste est tout simplement impossible. Il y a eu un changement de paradigme : la survivabilité ne se fait plus par le blindage mais par d'autres moyens. Généralement, soit la non-détection, soit la capcité de lutte contre les sinistres. Et tous les cuirassés japonais furent coulés. Donc quel est la valeur de l'assertion ci-dessus?
  19. Si moi. Mais vu la difficulté de se procurer un remplaçant, on fait avec.
  20. true_cricket

    Aéronavale US

    J'apprécie tout particulièrement la qualification de "gang" pour le personnel chargé du carburant.
  21. Les palestiniens. On parle bien de ces groupes de population dont les émigrés ont réussi à s'aliéner par leur extrémisme le soutien jordanien, puis libanais, puis égyptien? Qui pourtant étaient initialement acquis à leur cause.
  22. Si, c'est vieux. Ça fait déjà 29 ans depuis sa mise en service (et 35 ans depuis qu'il flotte). C'est un âge où 90% de la marine marchande met son navire au rebut. Mais surtout, il a débuté sa construction en 1982 (voici 38 ans), pour une conception encore plus ancienne. Donc de ce côté à aussi, il est vieux.
  23. La question est pour quoi faire? La seule chose que je vois est l'appui-feu terrestre. Et pour ce type de mission, on a les canons actuels pour le proche de la côte, puis l'aérien et l'artillerie terrestre lorsque l'on s'enfonce dans les terres. Oui ce serait très joli. Un forte expression de l'esthétique de la puissance. Un poids diplomatique et mmédiatique aussi. Mais une efficacité militaire, je ne sais pas.
  24. Plus l'on s'(approche des côtes, plus on s'expose à deux types de menaces. D'une part le nombre d'armes capable de frapper augmente. D'autre part, la discrétion inhérente à la dilution des navires dans la mer jolie diminue. Oui, tout navire est soumis à des menaces. Mais en haute mer, tant le nombre d'armes que l'élaboration d'une solution de tir sont bien plus complexes qu'en côtier. La dilution des moyens entre plusieurs navires se heurte à deux réalités : la taille critique pour avoir des capacités opérationnelles la taille nécessaire à la navigation hauturière. A vouloir trop marsupialiser
  25. Est-il pertinent d'exposer ses avions au feu des batteries côtières? Un navire de débarquement travaille proche des côtes pour raccourcir le temps de débarquement. Le tout dans des zones souvent exigües et ardues à défendre. Avoir un navire qui fait tout signifie aussi tout perdre lorsqu'il est mis hors de combat. Les cas américain est spécifique, leur doctrine d'emploi essaye de faire des l'amphibie en trans-horizon. Cela implique toute une batellerie spécifique. Le succès semble assez mitigé car dès que la zone est sécurisée, les navires reviennent à proximité immédiate des côtes, avec sa simplification logistique. Je ne sais pas d'où vous sortez ces informations mais les deux sont clairement fausses. Il n'y a aucune volonté ni aucun besoin d'avoir deux équipages sur tous les navires de la flotte (seules les unités à forte navigation ou à nombreuses alertes sont concernées). Et le CDG n'a pas l'ombre du début de la formation d'un second équipage. Car tout ce qu'il y a ci-dessous est de la confusion entre la gestion des niveaux de qualification individuels et collectifs, et le concept de double équipage. Quand cela est vrai car il y a beaucoup d'approximations
×
×
  • Créer...