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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Cela fait germer des idées de se renforcer en Inde.
  2. Le coût du carburant de synthèse sera plus raisonnable qu'aujourd'hui.
  3. Il y aura des surgénérateurs qui produiront des carburants de synthèse
  4. Je propose 2116 pour la fin envisagée de la ligne Gripen parce que le Brésil a signé en 2014 il y a 11 ans et ils ont livré 13 Gripen donc à peu près 1 par an et comme il en reste 91 à livrer....
  5. Non les f-35 TR3 ont reçu un logiciel tronqué qui leur permet d'être utilisé pour l'entraînement mais pas pour le combat (ceci afin que l'USAF accepte de réceptionner les F-35 en stock ce qui fait de la place et permet de continuer la production) La version complète du logiciel TR3 était prévue pour Juillet 2025 mais je n'ai pas entendu le JPO trompéter que ça y était ce logiciel était disponible, faut dire que je n'ai pas cherché
  6. 32 F-35 pour $ 4,6 milliards, j'espère pour les Polonais que ce n'est pas un contrat FMS
  7. surtout que LuxAviation c'est juste une compagnie de location, pas une partie de la commission européenne.
  8. 5,5 G ou 9 G mais il y a une butée qu'on peut enfoncer si la situation est désespérée c'est comme ça qu'en démo il tire 11 G, la dégradation structurale est à 16 G.
  9. Tout le monde sait que l'omnirôle c'est 11G. =====> [ ]
  10. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Le Rafale s’envole vers de nouveaux horizons https://www.areion24.news/2025/06/04/le-rafale-senvole-vers-de-nouveaux-horizons/ 4 Juin 2025, 3 pages de présentation des standards 4 et 5 par Arvind Badrinath Ingénieur général de l’armement
  11. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Cela dépend de ce que l'on veut faire: une aile delta n'est pas très pertinente pour se poser sur un porte avion, l'avion arrive trop vite, les canards couplés créent des tourbillons sur l'extrados qui augmentent la portance et donc l'avion peut arriver moins vite, après avec des FCS de compétition, tu peux utiliser les canards couplés pour régler l'instabilité qui devient donc indépendante du centrage et qui facilite l'accrochage des armes n'importe où. Cela fait beaucoup d'avantages par contre les canards à long bras de levier sont des gouvernes plus classiques qui augmentent l'autorité en tangage.
  12. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    pour décoller ce qui compte c'est la portance comparée au poids, pas la vitesse, et les canards couplés, c'est mieux que les canards à long bras de levier pour ça!
  13. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    j'ai dit proche du supersonique : il s'agit juste de faire chauffer, on peut adapter la vitesse en tenant compte des contraintes que je ne connais pas.
  14. Pourquoi tout miser sur Washington est un pari dangereux, et comment bâtir une autonomie européenne partagée (sans braquer les USA) Thèse. Oui, la menace russe impose de rester arrimés à l’OTAN aujourd’hui. Mais parier « dix ans » sur un parapluie américain politiquement instable, c’est transférer à Washington un risque existentiel qui nous appartient. L’autonomie stratégique européenne n’est pas un caprice français: c’est une assurance-vie collective, et bien conçue, elle renforce l’OTAN au lieu de la concurrencer. Les coûts cachés de la dépendance US (et ils arrivent vite) Volatilité politique US : un cycle électoral peut suffire à défaire budgets, exportations d’armement, transferts et ISR partagés. Faire « de la lèche » n’achète pas de garanties juridiques. Pouvoir de chantage : tarifs punitifs, contrôles extraterritoriaux, pressions sur les choix industriels européens. Ce n’est pas théorique : on le vit déjà. Hiérarchie OTAN de fait : l’Europe reste “demandeuse”, donc faible dans la négociation — y compris sur la Chine, où nos intérêts diffèrent. Dépendre massivement des USA aujourd’hui augmente notre vulnérabilité demain. L’argument « sans les USA on ne sait pas faire » est dépassé par les faits ISR/Spatial : l’Europe dispose d’une base robuste (constellations SAR optiques/radar, fusion multi-capteurs, industriels crédibles). C’est perfectible, mais déjà opérationnel et scalable en 24–36 mois si on mutualise. Aérien stratégique : l’UE a standardisé autour d’A330 MRTT (ravitaillement multi-nations) là où le KC-46 peine encore. Munitions & chaînes de tir : démonstration 2024–2025 : l’Europe peut industrialiser vite (obus, AD, drones, missiles) si la demande est claire et financée. C2/C3/C4 : la France (dissuasion oblige) et le Royaume-Uni maîtrisent des architectures de conduite de frappe de haut niveau, interopérables et exportables à l’échelle européenne. C’est un socle, pas une exception. L’autonomie n’exige pas l’autarcie ; elle demande de capter et agréger ce qui existe déjà en Europe. L’autonomie européenne n’est pas une « hégémonie française » Le vrai blocage allemand est politique : peur d’une Europe “à la française”. Réponse simple : gouvernance partagée. Gouvernance : confier la conduite à PESCO/OCCAR avec règles d’équilibre (workshare, codécision, audits de coûts). Triangulation : inclure le Royaume-Uni dans les modules critiques (nucléaire, maritime, ISR, munitions de précision). Londres y a intérêt, Paris peut l’y amener. Règle d’or : pas de “monopole national”, mais souveraineté collective sur les briques critiques (capteurs, liaisons de données, logiciels de mission, propulseurs, autodirecteurs, charges militaires, AD couches courtes/moyennes/longues). « Même temps » gagnant : OTAN maintenant, autonomie tangible à 3–5 ans L’Europe peut faire les deux sans se contredire : Bouclier air-sol (0–24 mois) Doubler la production de sol-air couches basses/moyennes (SHORAD/MRAD), unifier les couches C-UAS. Généraliser un filet radar bas coût + capteurs passifs, avec centres de fusion multi-nationaux. Munitions & frappes (12–36 mois) Cadence obus/drones/missiles ; co-développement d’un missile de croisière européen modulaire (air/sol/naval) et d’un loitering longue endurance. Stockages stratégiques mutualisés (munitions & pièces). ISR & C2 (12–36 mois) Constellation SAR/optique européenne de permanence + cloud de défense souverain. Liaisons de données OTAN-interop, clés EU-owned. Centres C2 bi-ou tri-nationaux adossés à l’OTAN (pas substitutifs). Maritime & fonds marins Task-groups européens permanents (Atlantique/Med) ; lutte mines et infrastructures sous-marines (énergie/data). Inde = partenaire d’industrialisation, pas “non-aligné problématique” Offrir à New Delhi une plateforme de co-production (munitions, AD, missiles, électronique), en échange d’accès préférentiels et de codéveloppement. Cela évite l’axe Inde-Russie-Chine et crédibilise l’Europe comme troisième pôle. Message à Berlin : l’autonomie renforce l’OTAN (elle ne la remplace pas) Moins de trou capacitaire côté européen = moins de charge pour les USA = OTAN plus solide. Clause 42.7 (UE) + dissuasions FR/UK = effet de verrou complémentaire à l’article 5. Dans un monde de rareté (munitions, métaux critiques, chaînes de valeur), ne pas sécuriser nos bases industrielles est une faute stratégique. Ligne rouge française (claire et rassurante) Ni anti-US, ni naïfs. On garde l’OTAN, on construit l’autonomie. Pas de « monopole français » : gains partagés, retombées industrielles en Allemagne (capteurs, moteurs, radars, logiciels). Liberté d’action : nos intérêts vitaux (France et Europe) ne dépendent pas d’un cycle électoral étranger. Rester uniquement sous le parapluie américain, c’est confortable jusqu’au jour où il se replie. Bâtir une autonomie européenne partagée est plus exigeant — mais c’est le seul chemin qui : rassure Berlin (gouvernance & workshare), respecte Paris (liberté d’action réelle), renforce l’OTAN (charge partagée), positionne l’Europe comme pôle stratégique crédible au XXIᵉ siècle.
  15. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non mais il y avait de l'eau dans le circuit hydraulique là où il ne devrait y avoir que de l'huile. Moi j'aurais profité de la propension du F-35 à chauffer pour tenter de dégeler l'eau. Peut être voler basse altitude proche du supersonique (je ne sais pas si c'est possible avec le train sorti
  16. Oui ton abonnement va continuer d'augmenter parce que les renouvelables impliquent des frais important sur l'infrastructure et induisent des fluctuations de la production qui empêchent les centrale nucléaires de fonctionner en base. il faut savoir que l'électricité nucléaire comme les renouvelables a un coût de production proche de 0 (le coût du carburant est de 5% du coût de l'électricité) et donc ce que l'on paye c'est l'amortissement des investissements (qui sont importants dans les deux cas) et la main d'œuvre (qui est concentrée dans le cas du nucléaire et répartie dans le cas des renouvelable). Donc il y a beaucoup de similarité mais par idéologie les renouvelables ont la priorité pour écouler la production (il y a même des contrats où EDF est tenu de prendre toute la production sans conditions) ce qui fait que cela dégrade la rentabilité des centrales nucléaires et fait monter les prix par rapport à la période où il n'y avait que peu de renouvelable.
  17. Non mais ça va venir assez vite maintenant, même si ils ne le crieront pas sur tout les toits.
  18. La France contrainte de couper sa production d’électricité faute de débouchés https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/la-france-contrainte-de-couper-sa-production-delectricite-faute-de-debouches-149610/ Je savais bien qu'avec les conneries qu'on fait, il allait y avoir de l'électricité gratuite pour faire du carburant de synthèse.
  19. Oui, on peut faire du “Club Rafale” une rampe de lancement vers un NGF — à condition de geler une architecture de convergence et de phaser les capacités. L’idée : le Rafale F5/F6 devient le “laboratoire volant” et l’écosystème UCAV/cloud le tronc commun qui survivra au passage NGF. Cap sur NGF : plan de transition “Club Rafale” Gouvernance Architecte intégrateur unique (Dassault) avec droit d’arbitrage technique. Collège des opérateurs (France + clients) qui priorise des lots capacité financés volontairement. Contrats par briques (capteurs, EW, cloud, UCAV…) pour que chacun n’achète que ce qu’il veut sans ralentir les autres. Architecture de convergence (Rafale ⇆ NGF) Backbone numérique commun (réseau déterministe, time-sensitive), APIs ouvertes et couches logicielles modulaires (type open mission system) pour réutiliser les apps mission du Rafale sur NGF. Data fusion & IA en modules “portables” (calculateurs/accélérateurs standardisés). SPECTRA-NG / guerre électronique et cloud de combat comme socle transversal (mêmes formats de données, même sécurité, mêmes workflows). UCAV comme pont technologique Le “loyal wingman” sert de pathfinder NGF (HMT, MUM-T, gestion de nuées, délégation d’effet). Tout ce qui est validé avec Rafale+UCAV (liaisons, contrôle d’essaim, partage de capteurs) est reversé tel quel au NGF. Kits “NGF-ready” sur Rafale (no-regret) Cœur avionique commun (middleware, cybersécurité, conteneurisation). Orchestrateur MUM-T, nouveaux algorithmes de fusion, et pods/antennes préparés pour la même couche d’abstraction logicielle que le NGF. Simulateur & digital twin communs (mêmes modèles d’environnement, mêmes jeux de données). Marges techniques dès F5/F6 Dimensionner énergie/thermique/volume avec marge de croissance explicite pour éviter l’effet “piège” (capteurs + calcul + liaisons). Standardiser les interfaces capteurs/armes pour qu’un capteur “NGF” puisse voler d’abord sur Rafale (et inversement). Feuille de route indicative 2026–30 : F5.1/F5.2 = backbone commun + premiers UCAV opérationnels + cloud v1/v2. 2031–35 : F6 pré-séries = portage massif des apps mission NGF, HMT avancé, capteurs de génération suivante “compatibles NGF”. 2036–42 : démos/EMD NGF avec réutilisation du soft et des briques validées en ligne Rafale. ~2043–45 : IOC NGF au sein du Club ; co-opérations Rafale F6/NGF/UCAV totalement symbiotiques. Modèle économique & IP Financement par lots capacité (multi-pays, volontaires) ; achats groupés pour abaisser le coût unitaire. IP cœur détenue par le noyau (Dassault/Thales/Safran) ; contributions nationales = droits d’usage sur leur brique. Objectif : max ITAR-free pour préserver l’export. Tiers d’adhésion Core (co-finance la R&D clé et influence la roadmap). Contributor (finance des briques optionnelles, accès anticipé). Adopter (achète “catalogue” prêt à l’emploi). Réduction des risques Verrouiller très tôt les interfaces (tech & cyber). Piloter une marge thermique/électrique contractuelle. Tester en vol sur Rafale tout ce qui sera critique NGF (capteurs, EW, cloud, HMT) avant de le “geler” pour NGF. Clauses de “non-regret” Même si le SCAF repartait, tout ce qui est backbone, cloud, UCAV, apps mission restera réutilisable. Zéro travail perdu. En bref : oui, passer du Rafale au NGF dans un Club Rafale à maîtrise forte de Dassault est non seulement faisable, mais probablement le chemin le plus sûr (coûts, délais, souveraineté). La clé, c’est de figer l’architecture commune dès F5, d’y amarrer l’UCAV et le cloud, puis de glisser vers NGF sans rupture.
  20. Je ne m'inquiète pas pour Dassault, ni pour l'aspect stratégique Français, je m'inquiète pour la Suisse.
  21. La prise de conscience de cette situation est elle nouvelle d'après toi ou est ce que c'est en toute connaissance de cause que les politiques ont choisit le F-35? ChatGPT a dit : Réfléchi pendant 1m 21s Court : ce n’est pas une découverte pour les gens “dans la boucle”, mais beaucoup d’élus ont, au mieux, sous-estimé l’ampleur et le calendrier des conséquences (TR-3 bloqué, Block 4 re-baseliné, PTMS 80 kW, ECU). En deux temps Au moment du choix suisse (2021–2022) – Les risques de modernisation lourde et de coûts de maintien du F-35 étaient déjà signalés par le GAO et par la pratique FMS (où le prix est estimatif, pas garanti). La Suisse a pourtant retenu le F-35 pour “meilleur score” et “coûts les plus bas” selon l’évaluation officielle, et a communiqué un plafond ≈ 6 Md CHF pour convaincre politiquement. Actualités.admin+1dscu.edu Ce qui est devenu clair après (2023–2025) – Le saut TR-3 a dérapé, créant un backlog et différant la pleine “combat-ready”. Le Block 4 est chiffré à 16,5 Md $ et réorganisé. Surtout, la contrainte thermique (PTMS) est passée d’un besoin ~32 kW à un objectif 80 kW, avec à la clé l’usure moteur que le GAO chiffre à +38 Md $ si rien n’est fait. En parallèle, l’ECU (F135) a pris du retard. Tout cela nourrit mécaniquement la facture des clients FMS… dont la Suisse vient d’apprendre qu’il n’y a pas de prix fixe opposable. Breaking Defense+1Bureau Responsabilité Gouvernementale+2Bureau Responsabilité Gouvernementale+2Actualités.admin Mon verdict Les fondamentaux (FMS non ferme, modernisation à risque) étaient connus quand la décision a été prise ; donc il y a eu un choix politique en connaissance de cause sur ces points-là. En revanche, l’ampleur concrète du triptyque TR-3/Block 4/PTMS-ECU et ses effets budgétaires se sont aggravés et objectivés surtout depuis 2023–2025. La “prise de conscience” actuelle tient à ce durcissement (et à la fin de la narration du “prix garanti” côté suisse). Breaking DefenseBureau Responsabilité GouvernementaleActualités.admin En clair : ce n’était pas un angle mort, mais un pari (interopérabilité, réseau d’utilisateurs, capacités futures) fait en sachant qu’il y avait des coûts mouvants ; la facture réelle devient visible maintenant, parce que les jalons techniques ont glissé et que le cadre FMS n’en protège pas.
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