TarpTent

Décollage parfait. on va suivre, comme les 1,4 millions de spectateurs sur le stream officiel. EDIT 1 : T+7min - le booster a mené tous les tests attendus avec succès. Il a perdu un Raptor dans la montée, mais il a à nouveau prouvé sa résilience. Il est censé pouvoir en perdre 3 sans être impacté. Globalement, les images sont simplement superbes, y compris celles du Starship. Comportement nominal du Starship, pas de fuites pour le moment et cut off des moteurs réalisé avec succès. On croise les doigts à partir de maintenant pour le Starship. EDIT 2 : T+8min40 - pour le moment, le Starship continue sur sa trajectoire, et le comportement est nominal. En attente du largage des maquettes de satellites Starlink v3. Jusqu’à présent, SpaceX n’avait jamais réussi à ouvrir puis refermer sa porte proprement. EDIT 3: T+18 min - Porte ouverte, largage en direct des maquettes, en cadence. Le Starship vient donc officiellement de démontrer une capacité opérationnelle (limitée, ceci dit, pour le moment). Le Starship navigue à 192 km d’altitude, et 26000 km/h. Là encore, les vues caméra sont excellentes, et instructives. EDIT 4: T+29min - La porte apparaît refermée. Maintenant, on attend les 40 prochaines minutes pour la réentrée après rallumage du Raptor en guise de simulation de désorbitation. EDIT 5: T+37:50 : rallumage d’un Raptor pour une courte durée effectué avec succès. Toujours pas d’explosion. EDIT 6 : T+43min - l’assiette du Starship vient de significativement changer, et reste stable. Début de rentrée atmosphérique, on est toujours à 103 km d’altitude et 26700km/h. Pour le moment, tout se déroule de façon très fluide. C’est beau à voir. SpaceX va enfin pouvoir commencer à récupérer quelques datas sur ses nouvelles tuiles, notamment celles métalliques à refroidissement actif. Les Images d’entrée avec le plasma en temps réel sont juste extraordinaires avec des couleurs incroyables. Je ne suis pas près de m’en lasser, de ces vues. EDIT 7 : T+47min La jupe s’est détruite en partie, mais pour le moment, ça ne semble pas changer grand chose. Cause inconnue. T+50min - 74 kms d’altitude, ça commence à vraiment chauffer. Les vues restent très impressionnantes, et les ailerons avant souffrent. EDIT 8 : T+55min - 62 kms d’altitude. 20000 km/h, ça tient pour le moment, et le jour s’est levé sur l’Océan Indien. Starship vient de passer le pic de chaleur, est est toujours stable. EDIT 9 : T+57min : 1 aileron arrière souffre vraiment, ceux avant semblent résister en dépit d’avoir été entamés. L’ensemble continue d’être contrôlable manifestement. 52 kms d’altitude, 14500 km/h. EDIT 10 : T+1h - test de stress maximal des ailerons, en les faisant se déployer pour changer l’assiette du Starship et tester le maintien du contrôle. L’ensemble répond vraiment bien. Il reste 2 min avant que le Starship devienne transsonique. EDIT 11 : Toutes les cases de la checklist de test sont cochées jusqu’à présent, et avec des résultats très satisfaisants. Il reste celles du Belly flip et de l’amerrissage, avec en bonus la précision attendue par rapport à la bouée cible. À T+1h 3min, Starship subsonique, 18 kms d’altitude. EDIT 12 : D’après les vues caméra, tous les ailerons bougent et font leur travail, même si l’aileron arrière droit a vraiment pris cher. T+1h06min Belly flip, redémarrage des moteurs, amerrissage à la verticale DEVANT LA BOUÉE !! Sur l’ensemble de ce vol, il y a un paquet de vues qui sont mémorables, et Starlink aura été au rendez-vous sans la moindre coupure de flux vidéo. Conclusion : Ce vol de test se sera déroulé parfaitement de bout en bout. Reste à voir maintenant les enseignements qui seront tirés par SpaceX de celui-ci.

Pour ce troisième créneau, la météo est pour le moment favorable à 45%. Le compte à rebours est toujours actif.

Conclusions pour ce F-35 qui s’est crashé en Alaska ce 28 janvier : Le givre a "contaminé" les capteurs. La description du souci rencontré est quand même assez drôle : "La contamination par la glace des jambes du train d'atterrissage a provoqué une série d'événements en cascade qui se sont soldés par l'écrasement d'un F-35A Lightning II. […] Le bureau d'enquête sur les accidents a constaté que de la glace s'est formée dans le liquide hydraulique contaminé par de l'eau dans les jambes du train avant et du train principal, empêchant les jambes de se déployer complètement. Selon le rapport, les capteurs de "poids sur les roues" ont alors indiqué à l'avion qu'il était au sol et non en vol. En conséquence, le chasseur de haute technologie est passé en mode sol. "Cependant, parce qu'il était en fait en vol, l'avion était incontrôlable", indique le rapport. " Source : https://www.stripes.com/branches/air_force/2025-08-26/f35-alaska-crash-accident-report-18882235.html Pour rappel, le pilote s’était éjecté et il n’y avait pas eu d’autres dégâts qu’un F-35 tombant comme une feuille près des pistes. https://x.com/ondisasters/status/1960321135699980649?s=61

Le prochain tir du B1067 est prévu ce 28 août. Il s’agira de son 30ième tir. https://spacelaunchnow.app/vehicle/launcher/101/ Pour rappel, le B1067 a réalisé son 1er tir le 3 juin 2021, en mettant sur orbite la Dragon Cargo CRS-22. Il a donc effectué 7 tirs par an en moyenne, depuis lors.

SpaceX continue de développer discrètement son offre Starlink, avec un cycle d’évolution technologique rapide. Le satellite v2 a permis d’intégrer la communication laser entre satellites Starlink, puis des batchs de satellites Direct-to-cell ont été mis en service. SpaceX teste actuellement un nouveau laser de communication, qui permettra cette fois d’interconnecter la constellation Starlink avec des satellites tiers, voire des stations spatiales, avec des capacités techniques très appréciables : "Le « mini laser » Starlink présenté dans la vidéo d'aujourd'hui connectera des satellites tiers et des stations spatiales à la constellation Starlink. Le mini laser est conçu pour atteindre des vitesses de liaison de 25 Gbps sur des distances allant jusqu'à 4000 km, et a récemment été testé avec succès en orbite sur un satellite lancé sur Starlink G10-20." Autre aspect important à prendre en compte, puisque l’équivalent militarisé de la constellation Starlink - Starshield - développé par SpaceX est lui aussi opérationnel, cela signifie que cette technologie pourrait permettre à l’armée américaine de la faire s’interconnecter directement avec ses propres vecteurs de renseignement et de désignation. Cette constellation Starlink avait initialement été pensée pour être à long terme déployée autour de Mars. Toutes les évolutions actuelles servent donc également à développer ces briques, pour avoir dans le futur ces mêmes constellations disponibles autour de la Lune et autour de Mars, si SpaceX est retenu.

La météo aura donc eu raison de cette seconde tentative. report au 27/08, toujours 1:30 du matin pour nous.. Le compte à rebours a été arrêté à T-40 secondes. Sans doute frustrant pour SpaceX comme pour les observateurs.

Météo prévisionnelle annoncée favorable à… 55%, à l’ouverture de la fenêtre de tir, par SpaceX :

L’agencement est tellement propre et net, maintenant, pour les Bossters v2. Le V3 s’annonce assez différent, notamment parce que les Raptor seront bien moins protégés autour, avec une jupe ne couvrant quasiment plus ceux-ci. La route est maintenant totalement fermée, le pad a été entièrement évacué, et les chopsticks viennent de s’écarter du Ship 37. Tout est prêt pour commencer la séquence de remplissage des réservoirs. La météo s’annonce un peu incertaine sur place, avec une couverture nuageuse présente et surtout un peu de vent à surveiller, aux différentes altitudes :

Les anti- sont tout aussi ridicules, surtout lorsque c’est leur opinion de Musk qui sert de combustible à toutes leurs assertions, sans aucune compréhension du Programme et encore moins de prise de recul. On peut d’ailleurs rajouter dans le tas quelques journaux spécialisés dans le délit de sale gueule envers SpaceX, et qui ne se cachent même pas de faire de la désinformation majeure en la matière. Quoi qu’il en soit, et très factuellement : le décompte a été redémarré, et on a maintenant passé le T-6h avant la prochaine tentative. Pour préciser le pourquoi de cet horaire : il s’agit d’un tir qui se déroule à 18:30 heure locale, ce qui leur permet de bénéficier d’une phase ascendante "en plein jour", mais également d’avoir l’essentiel de la phase de rentrée atmosphérique du Starship qui s’effectue à l’aube côté Océan Indien. Ce qui est à la fois indispensable afin d’avoir des vues directes des caméras jusqu’à l’amerrissage (en incluant les caméras sur les bouées), mais également en terme d’image et de communication, puisque les 2 événements majeurs peuvent être ainsi retransmis auprès d’un très large public.

Le problème rencontré était une fuite sur un tuyau d’acheminement de l’Oxygène liquide. Le tuyau a été remplacé, et B-16 vient d’effectuer successivement 3 tests d’amorçage des Raptor. Le compteur reste pour le moment à T-12h. À voir s’il va être ré-démarré avec un temps inférieur, ou bien si le vol va glisser. Il est pour le moment toujours prévu cette nuit à 1:30 du matin, heure de Paris.

Souci avec le segment-sol, tir reporté mardi 00:30 du matin heure de Paris.

Le lancement est décalé à 1h50, toujours cette nuit.

Quelques superbes photos prises depuis la station spatiale chinoise : (les platistes chinois doivent rager de voir leur pays s’aligner sur la Nasa et les USA en déformant eux aussi leurs photos pour faire croire que la Terre est ronde)

Pour rappel, les attendus de ce 10ième vol de test : Starship Étage supérieur (Ship 37, version 2) : - Vol sub-orbital (pas de mise en orbite) - Déploiement de maquettes de satellites Starlink V2 jetable en utilisant le Pez Dispenser - Utilisation des COPVs à pression un peu réduite afin de conserver de la marge de sécurité - Diffuseur complètement redessiné et testé au sol après les échecs précédents - Améliorations du bouclier thermique : moins de tuiles pour test de résistance, plus quelques tuiles métalliques et activement refroidies - Démonstration de rallumage en orbite de Raptor pour valider le redémarrage orbital - Points d'accrochage fonctionnels pour les futures essais de récupération Booster Super Heavy (Booster 16, version 2) : - Angle de descente moins important (<17°) pour réduire le stress sur le tube de transfert de méthane - Séquence de réorientation et de redémarrage des Raptor modifié pour un retournement plus fluide du booster lors de la séparation - Atterrissage contrôlé avant immersion dans le golfe du Mexique (pas d'essai de capture) - Essai de combustion d'atterrissage non conforme : seulement 2 des 3 Raptors Raptor allumés - Système de secours : allumage du Raptor de l'anneau central si un échoue Il devrait y avoir une conférence technique par E. Musk avant ce vol, et un Raptor v3 sera notamment en exposition. Pour le moment, il y a 30 Raptor v3 (au moins*) qui sont déjà sortis des chaînes. *au moins, parce que le Raptor v3 numéro 30 a été photographié alors qu’il était en cours d’acheminement pour test à McGregor. Un Booster en comptant 33, SpaceX aura donc prochainement le volume nécessaire afin de réaliser un 1er test d’intégration sur Booster (ou sur Starship, s’il y a là une opportunité pour eux de contourner certains soucis du Starship v2).

Lancement : Lundi 25 août à 01:30 du matin (heure de Paris) En effet, sur le site de SpaceX, le compte à rebours indique toujours un lancement dans la nuit de ce dimanche 24/08 à ce lundi 25/08. https://www.spacex.com Stacking complet réalisé : Techniques Spatiales est prêt à lancer le live du tir dès 00:30.

Le tir se rapproche mais il n’est plus forcément programmé pour ce dimanche. Tout du moins, il y a eu des Notam contradictoires. Les Notam émis hier couvraient du lundi 25 août 23h30 UTC (soit le mardi 26/08 à 1h30 chez nous…) au 27 août, puis du 02 septembre au 08 septembre, dans les mêmes tranches horaires. Aujourd’hui, un Notam a été émis pour couvrir le 24 août, mêmes horaires. Dans tous les cas depuis la France, le tir aura lieu entre 1h30 et 3h du matin, dans la nuit de dimanche à lundi, ou un autre matin de la semaine. En attendant, Boosters 16 vient d’être juché sur le pas de tir Pad 1, en prévision de ce 10ième tir. Le Notam émis pour le 25 août et les jours suivants, pour les USA et Cuba : Et celui couvrant le 24/08, pour le Mexique :

Je suis assez d’accord, ils ont eu sur le sujet une inversion de priorités que je trouve personnellement bizarre avec ce second étage : tout a été misé sur la rentrée atmosphérique et la récupération de celui-ci plutôt que de valider au plus vite la mise en orbite a minima de satellites Starlink. Or le Starship v1 avait déjà démontré sa fiabilité pour atteindre l’orbite (en quasi-orbite, en réalité). Certes, les dispositions internes du Starship n’étaient pas optimales, mais avec 2 ou 3 autres Starships v1, la mise en orbite de mini satellites pouvait être démontrée rapidement. Le passage direct au Starship v2 a considérablement retardé aussi cette capacité-là. Il est certain que par rapport aux contrats avec la NASA, la priorité doit être mise sur les capacités de rentrée atmosphérique et de récupération en vue d’une version habitable du Starship, de même avec la solution de ravitaillement, l’essentiel du règlement s’effectuant au passage de chaque jalon défini. Mais dans les faits, le principe d’itérations rapides qui a parfaitement fonctionné avec Falcon 9 et les 1 ers Starships vient de les mettre dans les choux (encore plus avec E. Musk qui est allé batifoler loin de SpaceX pendant plus d’1 an) Pour les 100 tonnes, on attendra encore un peu, d’abord parce que la capacité théorique du v1 était de 50 tonnes, ensuite parce qu’il n’y a aujourd’hui aucune ouverture permettant la mise en orbite de grosses charges. Là aussi, on peut déplorer que l’accent n’ait pas été mis sur cet aspect, et le 1er vol réussi de la New Glenn a encore enfoncé le clou en la matière. Après, sur le long terme, ça n’est qu’une péripétie, mais qui va coûter très cher en terme d’image à l’entreprise et surtout à E. Musk : pour ceux qui ne suivent pas, les critiques commencent à émerger pointant du doigt SpaceX - et donc E. Musk - du fait du retard pris avec Artemis III, comme principal responsable de l’échec d’ores et déjà quasi-acté du retour d’astronautes sur la Lune avant les Chinois. Evidemment, c’est absolument crétin, mais comme l’objectif est d’identifier des boucs émissaires pour éviter au gouvernement en place de prendre la balle en dépit de ses propres décisions et errements, et saborder un nouveau futur opposant en politique, autant commencer le plus tôt possible. (Les suiveurs non-attentifs sont juste là pour crier bouh, pas pour réfléchir.)

Le Booster vient de recevoir son FTS. La météo ne semble pas très clémente pour ce dimanche, il faudra attendre encore quelques jours avant d’avoir une certitude sur la date effective du prochain tir, même si SpaceX maintient pour le moment le décompte en place.

Il y a maintenant un décompte officiel par SpaceX : Les attendus du prochain vol résumés ci-dessous :

SpaceX vient de publier une synthèse des investigations menées faisant suite au 9ième vol du Starship, ainsi que lors de l’explosion du Starship 36 au sol à Massey’s Range. Résumé par Techniques Spatiales, avec sources et liens ci-dessous : " - Le booster du vol 9 a explosé au sol suite à la trajectoire volontairement trop contraignante, qui a rompu la canalisation principale de méthane. -- Solution : adopter des angles d'attaque plus faibles. - Le ship du vol 9 a son système de pressurisation du réservoir de méthane qui a fui dans la coiffe, la faisant fuiter et faisant tourner tout le vaisseau sur lui-même. -- Solution : nouvelle buse de pressurisation de méthane. - Le ship 36 a explosé sur banc de test à cause d'un COPV défectueux qui contenait de l'azote. -- Solution : être plus rigoureux dans les critères d'acceptation des futurs COPV. " Le lien vers la synthèse technique de SpaceX : https://www.spacex.com/updates#flight-9-report On a également constaté pour le Booster le renforcement significatif de la colonne de méthane pour la prochaine itération de celui-ci : Les conclusions sont acceptées par la FAA, qui a à leur suite donné son accord pour le prochain vol :

Le second vol de la New Glenn (NG-2) est annoncé pour le 29 septembre, et lancera les sondes Escapade de la NASA. Escapade* est constitué de 2 sondes, Blue et Gold, qui étudieront autour de Mars les effets du vent solaire sur sa magnétosphère, et son rôle dans la “perte » d’atmosphère de cette planète. * pour Escape and Plasma Acceleration and Dynamics Explorers

Le prochain vol du Starship pourrait se dérouler au plus tôt le 22 août (2025). Si l’on attendra l’ensemble des notifications officielles - un NOTAM a été émis, mais rien de plus - , il reste au S37 à résoudre quelques soucis de tuilages qui étaient visibles lors de son récent tir statique et un ultime test d’amorçage mené cette nuit.

Je ne vois pas le rapport. D’abord parce que Starlink, c’est à ce jour plus de 8500 satellites actifs. Kuiper doit représenter 2300 satellites en 1ere tranche (3000 à la cible), et est mis en orbite aussi bien par Ariane que par la Falcon 9, Blue Origin et ULA. https://x.com/gregscott_photo/status/1955696226940125317?s=46 Ariane ne compte (comptait ?) que pour 18* lancements sur les 83 au total. Oneweb a une cible de 650 satellites et devait initialement être lancé majoritairement par Soyouz. Au final, l’essentiel a été mis en orbite par Falcon 9. Le prochaine tranche de 100 satellites sera prête en 2026. On verra qui réalise les lancements à ce moment-là. Quant à Iris2, il s’agit d’une constellation de 300 satellites annoncée pour 2030. Autrement dit, il y a encore le temps d’attendre. Bref, on ne « s’en fout » surtout pas, et ce simple rapprochement montre que l’on est vraiment pas sur les mêmes volumes et encore moins les mêmes cadences. Quant à la fiabilité, même si on sait pertinemment que les industriels derrière diffèrent, Ariane devait (re)faire ses preuves auprès des acteurs commerciaux après les aléas récents de Vega. *une partie a justement été reportée sur SpaceX.

"La première ailette de grille pour le propulseur Super Heavy de nouvelle génération. Les ailettes de grille redessinées sont 50 % plus grandes et plus résistantes, passant de quatre à trois ailettes pour le contrôle du véhicule tout en permettant au propulseur de descendre à des angles d'attaque plus élevés." "Ils seront également utilisés pour le levage et la capture du véhicule, rendus possibles par l'ajout d'un nouveau point de capture et un positionnement plus bas sur le propulseur pour s'aligner avec les bras de capture de la tour. Descendre plus bas réduit la chaleur qu'ils reçoivent des moteurs de Starship lors de la séparation à chaud et place l'arbre d'aileron, l'actionneur et la structure fixe à l'intérieur du réservoir de carburant principal du propulseur."

Sans tambours ni trompettes, lancement réussi pour Ariane 6, toujours en configuration 62.