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SI çà n'est que les droits de douane çà sera pas très grave. Pour Panama je reste ... dubitatif. Je ne sais pas si les US ont remarqué mais ce canal est de moins en moins empruntable sans eau pour gérer ses écluses. https://www.qualitairsea.com/newsroom/fret-maritime/articles/secheresse-au-canal-de-panama-repercussions-sur-les-acheminements-maritimes Années 2023 et 2024 : impact de la sécheresse sur le Canal de Panama Depuis 2023, une sécheresse sévère, amplifiée par le phénomène El Niño, affecte gravement le niveau d'eau des lacs qui alimentent le canal. Contrairement au canal de Suez, le Canal de Panama dépend entièrement de l’eau douce, ce qui limite fortement le nombre de navires pouvant transiter quotidiennement. Chaque passage de navire nécessite environ 200 millions de litres d'eau douce, prélevés principalement des lacs artificiels Gatún et Alajuela. Du fait de la sécheresse, l'Autorité du Canal de Panama (ACP) a dû restreindre le tirant d’eau des navires ainsi que le nombre de passages autorisés, avec seulement 18 navires par jour, contre une moyenne de 39 navires avant la crise. Exercice 2024 : un recul important Le nombre de passages de navires dans le canal de Panama a chuté de 29% sur l'exercice 2024 qui s'étend du 1er octobre 2023 au 30 septembre 2024, par rapport à l'exercice 2023, en raison de la sécheresse. Selon les données fournies par l’Autorité du canal de Panama (ACP) à l’AFP, 9.944 navires ont transité par le canal de Panama au cours de l’exercice 2024, contre 14.080 navires lors de l’exercice 2023. 423 millions de tonnes de marchandises ont transité par le canal en 2024, soit 17% de moins que sur l'exercice 2023 (511 millions de tonnes). La majorité des navires ayant traversé le canal étaient des porte-conteneurs (2. 773), des chimiquiers (1. 808), des gaziers (1.561) et des vraquiers (1.278). Conséquences logistiques et économiques Délais prolongés : avec la diminution du nombre de navires autorisés à passer, les retards s'accumulent, affectant les délais de livraison des marchandises. Capacité réduite : l'Autorité du canal de Panama a annoncé des restrictions sur la taille et le poids des navires entraînant une diminution des capacités de transit par rapport à la capacité habituelle du canal. Recherche d'itinéraires alternatifs : les principaux transporteurs maritimes reconfigurent leurs services via le canal de Suez. Bien que cette route alternative puisse contourner les problèmes du canal de Panama, elle entraîne également des temps de transit plus longs, une consommation de carburant plus élevée et des complexités logistiques supplémentaires. Impact sur les temps de transit : ces changements devraient prolonger les temps de transit vers les côtes Est et du Golfe des États-Unis de plusieurs jours. Augmentation des coûts opérationnels : les trajets plus longs et la consommation supplémentaire de carburant entraînent une hausse des coûts opérationnels. Surcharges à anticiper : certaines compagnies maritimes ont mis en place des surcharges telles que la Panama Canal Emergency Surcharge (PCES), depuis janvier 2024 afin de couvrir les coûts supplémentaires. Trafic maritime via le canal de Panama : quand un retour à la normale est-il prévu ? Perspectives 2025 Selon l'administrateur du canal de Panama, Ricaurte Vásquez, un retour à la normale est espéré avant février 2025, avec l'arrivée du phénomène La Niña, qui devrait apporter des précipitations plus abondantes. Pas de chance alors : El Nina sera court et de faible intensité : https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/meteorologie-toujours-pas-nina-vue-faut-il-attendre-118642/

Ce qui serait une erreur en soit. Le groenland est le seul actif suffisamment maousse pour permettre à l'Europe de rester dans la course.

C'est bien le plan actuel. Mais pour les adaptations ils vont avoir 7 ans de retard. Rien n'est faisable sans un moteur qui fourni plus d'énergie qui ne sera pas dispo avec 2028/2029 et un PTMS qui devront être installé sur tous les F-35 existant avant d'espérer améliorer le reste. Ils ont d'énormes problèmes de budget et se prépare à se fâcher avec les derniers acheteurs de dette qui pouvaient leur rester : les européens. Ils ne leur reste que leur propre population et industriels. D'autre part Trump se prépare à faire le ménage dans les administrations en utilisant l'allibi du mur de la dette. On verra le résultat mais le timing semble à l'avantage des chinois.

A un moment ils vont devoir se concentrer sur des cibles prioritaires. Trump a bien l'intention de s'emparer du Groenland, du Canada et de Panama. Ils ne vont pas pouvoir faire tout çà en même temps sans laisser tomber d'autres choses.

EN 2016 les chinois n'avaient pas agité le chiffon rouge avec un avion de 6gen suffisamment avancé pour tutoyer le f-35. Les chinois fabrique en plus très vite.

SI il est beaucouo plus efficace que la première fois. Ce coup-ci on sent que le tout Washington ne se défaussera pas.

Qui sème le vent récolte la tempète. Cà marche encore mieux quand il y a plusieurs semeurs : https://www.opex360.com/2025/01/07/un-rapport-met-en-garde-contre-un-possible-conflit-entre-israel-et-la-turquie/

Nouvelle video de l'AMX-10RC en Ukraine par un anglophone.

J'en parlait juste au-dessus. Dans la course aux armements le F-35 est un boulets dès qu'il s'agit de le faire évoluer.

Désolé. J'ai pu la regarder avant qu'elle ne devienne privée. Elle montrait un équipage de la 37ème dans la razputitza et ensuite un capitaine dirigeant la maneuvre depuis son PC près de Pokrovsk. L'AMX n'était pas à la fète mais les Ukrainiens habitués n'en était pas moins contents. Je pense qu'elle a été retiré parce qu'on pouvait avec quelques renseignements entendue dans la vidéo savoir où était le PC.

L'article de Lagneau sur opex360 éclaire quelques questions et apporte des éléments intéressants mais surtout diablement intriguant comme le niveau de performance innateignables aux technologies actuelles. C'est quoi une architecture "super shot" ? https://www.opex360.com/2025/01/04/knds-france-diffuse-des-images-impressionnantes-de-son-canon-ascalon-en-action/ Lors de l’édition 2024 du salon de l’armement aéroterrestre EuroSatory, KNDS France fit savoir que le système ASCALON pouvait être « équipé de différents tubes de 120 à 140 mm », le changement de calibre étant effectué en moins d’une heure. Et de souligner que « ce concept innovant, tout en proposant un potentiel de croissance important, offre des niveaux de performance inaccessibles aux technologies actuelles ». La prochaine campagne d’essais consistera à effectuer des tirs avec un canon ASCALON intégré à une tourelle de char de combat. Il est prévu qu’elle ait lieu au cours de cette année. Quoi qu’il en soit, plusieurs rapports parlementaires publiés lors de l’examen du projet de loi de finances initiale 2025, en octobre / novembre, ont souligné la nécessité de soutenir le système ASCALON dans la perspective du MGCS. Mais en attendant, KNDS a lancé une offensive sur le terrain médiatique en diffusant, via les réseaux sociaux, des images impressionnantes des derniers essais de l’ASCALON, tant en calibre de 140 mm que de 120 mm. Elles ont ainsi mis en avant la possibilité de changer rapidement de calibre de canon en utilisant la même culasse ainsi que les performances des obus flèche développés pour ce système [comme le 120 APFSDS « Shard »], ceux-ci ayant perforé deux dalles de béton armé séparées de plusieurs mètres avec une extrême précision. L’ASCALON a « quatre caractéristiques essentielles », a récemment résumé François Groshanny, directeur du programme « Char de combat futur » chez KNDS France, auprès de RFI. « D’abord, un niveau de puissance délivré à la bouche et à la cible jamais égalé. On a là une capacité à changer de calibre en moins de 30 minutes. Troisième caractéristique, il est extrêmement compact, donc on utilise une architecture dite super shot. Dernière chose, on travaille beaucoup à l’intégrabilité de ce canon en tourelle pour avoir une empreinte à l’intérieur de la tourelle qui est minimale et donc on pourra loger plus de personnel en châssis », a-t-il détaillé.

Nouveau reportage sur l'AMX-10RC en Ukraine. Moins laudateur que le précédent mais toujours positif. https://www.youtube.com/watch?v=Y2m4ViiaExM

Pas vu passer d'éléments à ce sujet. Mais le sujet m'intéresse depuis longtemps. Pour moi il faut que les éléments de surveillance soit nomade et disponible au niveau de chaque section. Cette caméra soit lui servir d'élément avancé d'alerte drone ou présence au sol. Elle doit également faire parti d'un réseau global fournissant une image globale de la ligne de contact. Sa taille réduite doit lui permettre 1 - une mise en oeuvre sur n'importe lequel des supports même un soldat en mouvement. 2 - un déploiement discret éventuellement au-delà des lignes de contacts AU délà de la ligne de contact elle doit permettre d'envoyer un flux sécurisé pendant une période limitée. Tous ces éléments concourent à des caméra faibles coûts.

Surtout le nombre d'avions que tu peux mettre dans un budget. Et on n e sait pas pour les chinois le budget qu'ils y consacrent.

On pourrait pas attribuer le rôle de ravitailleur au PATMAR en plus de celui habituel ?

J'aimerais moi savoir si ces exports rapportent. Je pense que oui vu que l'Allemagne a coupé ses centrales nuke et que en hivers çà doit faire chaud aux fesses. Mais la consommation générale des industriels est ma grande question.

Rapport intégrale datant de 2023 des wargames joués au CSIS. Victoire à la Pyrrhus pour les US à tel point que le position globale des US pourrait en être affectée un temps. Les scénarii mettent tous en lumière la difficulté logistique d'une guerre à Taïwan très proche de la zone de défense chinoise impassable. Les MLR (Marines litoral Régiment) seraient très peu utile sauf certains scénarii. Par contre les bombardier à long rayon d'action seraient sur-employés. Le déploiement de MLRS (NSM) serait contrarié par la logistique de ravitaillement en munition et donc utile pour contrer un premier débarquement mais moins ensuite. Le prépositionnement de troupes / matériels / munitions ne sera pas possible sans provoquer les chinois. le résumé https://marinecorpscompasspoints.substack.com/p/compass-points-csis-reveals?utm_source=post-email-title&publication_id=1110868&post_id=153689893&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=re7g4&triedRedirect=true&utm_medium=email le rapport : https://csis-website-prod.s3.amazonaws.com/s3fs-public/publication/230109_Cancian_FirstBattle_NextWar.pdf?VersionId=XlDrfCUHet8OZSOYW_9PWx3xtc0ScGHn

Pour survivre il faut que la voiture se plie sinon c'est ton corps qui se plie. Contrairement à la légende les grosse berlines qui ne se plie pas ne protège de rien dutout.

Ben on peut dire que c'est de la TBA çà.

Il n'y a pas de si. C'est une certitude. Le directeur de projet assume la responsabilité mais ne prend pas de décision seul. Il est éclairé par l'équipe de marque de la Marine.

Non. Elle fait parti de l'équipe de marque de la maitrise d'ouvrage. Elle est intégré dès le départ et pendant toute la gestion. Elle prend aussi des décisions avec le directeur du programme concernant la gestion des incidents et le passage des différentes étapes et lors des réunions de revue de programme elle a la maitrise d'oeuvre en face à face.

Pas de nos armées mais de la Marine clairement oui. Et les marins n'ont encore jamais eu affaire à une très grosse boîte comme Airbus dont al maitrise d'oeuvre est très dure à contrôler.

Moi je dirais que c'est autant la marine (voit plus) que la DGA qu'il faudra blâmer dans cette histoire. Elle n'a aucune expérience d'AIRBUS et croit qu'elle va pouvoir les mener à la baguette. Je ne suis pas sût qu'elle a les rein suffisamment solides pour maîtriser AIRBUS si les difficultés sont celles que l'IGA a évoqué.

Je sens que la prochaine présidentielle en France va être dans la même veine. Ca va me sortir par les trous de nez. A la place des allemands çà me ferais ... très fort.

Non ! Seulement anti-airbus. Il rappel a chaque ligne les méthodes de derisquage de la Dga. Je remarque egalement que le vol a basse altitude est bien la grande specificitée des patmar. L'IGA rajoute les virages a fort facteur de charge qui implique des renforcements importants de structure et donc un allourdissement qui va limiter l'emport et les marges d'evokutions souhaitées par la Marine.