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mehari

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Tout ce qui a été posté par mehari

  1. Faudra prévenir les US, chinois, philippins, indonésiens, japonais, indiens, bangladais, et probablement d'autres. Je crois qu'ils ne sont pas au courant. Par ailleurs, le "mix entre véhicule de cavalerie et véhicule d'appui feu", ce n'est pas la définition du MBT?
  2. La question d'interopérabilité du stock munitionnaire est inintéressante au long terme car les lourds doivent passer sur 130 ou 140mm via le MGCS. On pourrait alors récupérer les stocks de munitions de 120 des Leclerc (en supposant qu'on ne veuille pas les améliorer et qu'ils ne périssent pas) mais il faut voir si c'est le choix est vraiment idéal. Et la question n'est pas que de masse mais aussi de recul... "Digne d'un 120" mais en fait "digne des premiers 120". La munition MECAR M1060CV (tirée par le canon Cockerill 105mm et personne d'autre) part à 1620m/s et perce 560mm RHA incliné à 60° à 2km. Si je ne me trompe pas, ce sont les performances de la munition OFL 120 F1 et c'est mieux que des trucs comme le DM23, le M829, etc. mais moins bien que l'OFL 120 F2, le K279, le M829A1 et autres (et certainement moins bien que les dernier trucs comme les SHARD). Ceci dit, ça fait mal quand même et c'est la munition de 105 avec la pénétration la plus importante parmi celles dont on connaît la pénétration. Si on veut encore augmenter ça en restant sur du 105 OTAN, il faut créer un GLATGM permettant de s'affranchir des trajectoires directes pour attaquer par le dessus. Ou alors, on fait ce qui semble être la tendance sur les concepts de MBT qu'on voit ces temps-ci et on case un lanceur MMP sur le côté. Le Zorawar LT semble être montré avec quelque chose de ce style. Le problème est qu'il faut alors faire de la place pour du stockage spécifique ATGM qui ne prend pas la même place que les obus de 105mm (30cm plus long au moins). Tu peux toujours le coller sur le côté de la tourelle mais la masse est conséquente (45kg), ce qui est à prendre en compte. Je crois que je préférerais mettre une paire de MMP pour l'attaque BLOS et utiliser la différence pour l'intégration de drones dans la tourelle.
  3. Il faut voir ce qu'on veut exactement. Mais à 38t, on est quasiment à la masse d'un T-72A ou d'un Type 10 (en configuration de base). J'ai un peu de mal à accepter ça en blindé léger. Si le Type 15 fait la même masse dans sa configuration sur-blindée qu'un AMX-30, il démarre à 33t. L'Harimau fait 30-35t et le Sabrah oscille entre 30 et 33 (et pourrait probablement être beaucoup plus léger si il ne faisait pas 3.67m de haut). Et il y a plus léger. Le Type 16 fait 26 tonnes tandis que le projet Zorawar LT indien vise les 25 tonnes. Enfin, n'oublions pas le transport en A400M qui impose une restriction de masse à 32 tonnes. À mon avis, les AEV et ARV lourds devraient être dérivés du MGCS. C'était d'ailleurs le plan pour l'accompagnement du Leclerc (AEV/ARV dérivés mais ça n'a jamais été réalisé).
  4. Note que c'est un peu comme ça que je vois idéalement les BLB dans un scénario de haute intensité. Les blindés au centre pour enfoncer le dispositif ennemi (si possible) et les blindés légers profitant de leur plus large mobilité opérationnelle sur les côtés et en seconde ligne. Cependant, dans ma tête, une force blindée légère est toujours constituée de chars et d'IFV, juste en plus léger. Typiquement, une force basée sur des IFV Patria AMV avec des chars légers dans le mix (façon Type 16 mais sur le châssis finlandais). Idéalement, une telle force serait "semi-amphibie" et capable de franchir des obstacles humides bloquant autrement les forces lourdes (mais pas forcément capable de faire de l'assaut de plage depuis un LPD, d'où "semi-amphibie"). On est pas parti dans cette direction cependant.
  5. Là tu m'as perdu. Le 4 RCh et le 1 RIMa appartiennent à des brigades de type différents. Le 4 RCh se trouve dans les légers (BIM) tandis que le 1 RIMa se trouve dans une BLB (la 9 BIMa). Sinon, je pense que si on parle d'un "AMX-13 new look", on peut exclure quelque chose dans la gamme 30-40 tonnes. Pour commencer, parce que c'est plus un AMX-30 new look qu'un AMX-13 (je sais que la définition de "char léger" a un peu évolué au fil des années mais quand même) et que si on cherche le même rapport de masse entre le MGCS et l'EBCL qu'entre l'AMX-13 et l'AMX-30, on doit plutôt aller chercher du côté d'un véhicule de 20-25 tonnes. Ça peut être un peu faible mais les 30 tonnes sont un maximum. Sinon, on fini juste par faire un char bon marché un peu plus léger mais qui au final est un AMX-30 ou Léo 1. Par ailleurs, on peut très bien mixer l'EBRC et l'EBCL dans les éléments médians. Lors de l'expérimentation Javelot mentionné ci-dessus, on avait une "division" qui ressemblait à ceci: On peut très bien imaginer une BLB dotée d'un "régiment de reconnaissance" sur EBRC avec un format combat-reconnaissance inspiré des régiments EBR et contenant également un escadron de reconnaissance de brigade et de 3 (ou 4) "régiments de combat" avec un mix de compagnies EBLC et VBMR. On notera par ailleurs que ces régiments de reconnaissance peuvent être employés "universellement" dans les brigades (à l'image de ce que font les Italiens).
  6. C'est probablement l'idée la plus sensée mais pour en faire quoi? Le MGCS est le remplacement évident des Leclerc donc cette partie là est facile mais que faire des chars légers? Je suppose qu'on peut s'arranger pour mettre une double dotation sur le char léger (appelons le Engin de Combat Blindé Léger (ECBL)) pour que les régiments des BB puisse passer de l'un à l'autre pour des déploiements expéditionnaires mais c'est douteux comme usage. L'autre possibilité est un déploiement au sein des BLB voire des BIM/BP mais comment est-ce que ça s'insère dans le schéma EBRC/VBMR, qui seront toujours là en ~2040 (j'espère). Les deux devraient alors cohabiter. On pourrait attribuer des ECBL aux RI pour former des RIA à la façon de la 7e DMR mais ce n'est pas vraiment l'habitude en France. Quand bien même, ça ne fait pas beaucoup de véhicules et on perd un nombre important de personnel débarqué par élément blindé léger qu'on ajoute. Ça pose certaines questions: Est-ce qu'on veut un ECBL chenillé ou à roue? Chenillé: permet une création de système "relativement" similaire au MGCS pour double dotation dans les RC lourds, meilleure mobilité tactique, plus léger À roues: meilleure mobilité opérationnelle, meilleure cohérence de force dans les brigades "tout roue", potentielle interopérabilité partielle avec d'autres éléments (Jaguar par exemple) Combien d'ECBL par RI (médian)? 1 compagnie: besoin de 112 véhicules, perte de 21 pelotons d'infanterie 2 compagnies: besoin de 224 véhicules, perte de 42 pelotons d'infanterie Présence d'ECBL dans les BIM/BP? 1 compagnie par brigade? Dans le meilleur des cas, je vois un besoin de 256 véhicules, plus un option de 96 autres si on fait la double dotation dans les RC lourds, plus l'instruction et (en croisant les doigts) une composante de réserve en plus soit entre 400 et 500 unités, au prix d'une solide diminution de l'infanterie et d'une prédominance extrême des véhicules de combat dans l'armée française, si on ne touche pas aux éléments EBRC.
  7. Les Nimitz font 100kt. Certes, le PANG en est plus proche qu'il ne l'est du CdG actuel mais ça reste une grosse différence. Pour ce qui est du reste, je pense qu'il faut avant tout étudier l'usage des PHA (ou de leur remplacement) en tant que porte-drone, soit en support de leurs opérations amphibies, soit pour servir de solution de rechange quand le PANG est en maintenance (ou occupé ailleurs). Et ensuite, on peut discuter d'un navire dédié à ce rôle. Mais c'est un navire qui va devoir exister dans un contexte où le PANG et les PHA(-NG) existent. Dans un contexte purement franco-français, c'est un navire qui devrait aussi exister en plus du besoin en escorte que les éléments mentionnés préalablement demandent et il faut voir si la France peut se payer une telle chose (surtout si on suppose qu'il a besoin de ses propres escorteurs).
  8. Je crois que la nomenclature devient un peu difficile à traduire quand on part sur les états non-Européens/anglophones. Voir aussi les Japonais et leurs destroyers...
  9. Parce que certains sont allergiques au terme "destroyer", dont la France.
  10. On parlait de croiseur à la base donc en soit, on parle d'emblée sur un gros machin.
  11. La réponse est assez simple en fait: les ATGMs. Le Colibri est semble-t'il prévu pour neutraliser un véhicule léger à 5km. Il ne va pas faire grand chose à un char. Contrairement à la Larinae qui est prévue pour neutraliser un véhicule blindé (note que ça ne veut pas dire un MBT mais supposons quand même que si). Oui, on peut probablement acheter quelques Switchblade 300 pour le prix d'un MMP (et vraisemblablement d'un ACCP). Mais bonne chance pour éliminer des MBT de façon consistante avec... Alors certes, l'ACCP ne va pas être aussi efficace en anti-personnel que la myriade de Switchblade, mais il sera au moins utile, ce qui n'est pas le cas du Switchblade 300 contre le MBT. Mais comme le dit @Ziggy Stardust, ce n'est pas l'un ou l'autre. Il faut un peu des deux.
  12. Ce n'est pas comme ça que fonctionne une munition rôdeuse. Pas exactement du moins. L'essence d'une LM est d'être lancée sur un secteur de patrouille, pour une mission d'ISR ou d'interdiction (par exemple), au dessus duquel elle vole jusqu'à ce qu'elle trouve une cible (suivant la tâche et le drône, du personnel ennemi, un véhicule, un radar, etc.). Si elle n'en trouve pas, elle retourne à la base (au mieux) ou est sacrifiée (au pire). C'est lent, ça demande une supervision quasi constante, ce n'est pas réactif et ça demande du personnel pour déployer et récupérer. L'autre problème, c'est la charge. Un petit FPV comme ceux qu'on voit en Ukraine porte classiquement une charge RKG-3, une grenade anti-char soviétique pesant 1kg et pénétrant 125mm. La version RKG-3EM (pour prendre le meilleur scénario) pèse 1.7kg et pénètre 220mm. Pour un char, c'est peu si on ne choisi pas très précisément son angle d'attaque. Si on veut, on peu mettre quelque chose de plus gros mais ça a un impact et la munition gagne en masse et volume. Avec sa charge de 1kg, un IAI Rotem L pèse déjà 4.5kg. IAI fait une version équipée d'une charge de 2.5kg (Rotem Alpha) mais ce drone là monte à 25kg... Il y a définitivement des munitions rôdeuses qui pourraient être déployées à bas niveau mais celle-ci emportent généralement des charges assez faibles, à vocation plus anti-personnelle. En ce qui me concerne, je pense que la priorité de ce côté doit être mise sur le déploiement de 4copter au niveau du peloton, destinés à l'observation et permettant, via la transmission de flux vidéos, de fournir des informations de tirs à des éléments d'appuis comme les sections anti-char et mortier. Ensuite, on pourrait considérer l'usage de trucs plus légers, équipés d'une petite charge anti-personnel, placé en cannister sur les véhicules. Le SpearUAV MCL est un exemple. Pour ce qui est des munitions rôdeuses à vocations anti-char, elle doivent à mon sens aller à l'autre bout du spectre, en remplacement des MMP dans les compagnies d'appui par exemple.
  13. L'intérêt est plutôt en usage loitering munition. En gros, comme pour les munitions rôdeuses à usage terrestre, elle est prévue pour être expédiée sur une zone de patrouille jusqu'à ce que quelqu'un signale un besoin (dans ce cas-ci un drone à éliminer). Si aucune cible ne s'est présentée, retour à la base, refuel et redécollage.
  14. La payload du Roadrunner standard n'est d'ailleurs pas mentionnée. Les US avaient parlé d'une variante "non-cinétique" du Coyote précédemment mais j'ignore ce que ça veut dire exactement.
  15. Ils ont commandé plus que ça. Le total, c'est 49, dont 31 NFH 90 Sea Tiger (version ASW) et 18 NFH Sea Lion (SAR/Transport). Cependant, les frégates allemandes embarquent 2 hélicoptères chacune, ce qui doit aussi rentrer dans les calculs.
  16. mehari

    Marina militare

    Il reste la coopération avec les Néerlandais, Allemands et Danois pour le remplacement de leurs frégates AA.
  17. Est-ce que le Patroller n'est pas limité à 180km de rayon d'action? Si c'est le cas, la capacité de patrouille en Polynésie va être faible. Pour ce qui est du Reaper, peut-être mais l'Eurodrone est plus rapide et endurant.
  18. Ce qui serait une excellente solution, si les Harrier étaient encore produits. Or, les unités espagnoles vont arriver en fin de vie et auront besoin d'une décision vis-à-vis de leur remplacement... Pour ce qui est des drones, on verra à quel point ils pourront remplacer un appareil habité.
  19. Ça dépend des pays. Néerlandais (et belges), espagnols, danois, japonais et américains n'utilisent qu'un seul hélicoptère sur leurs frégates (mais dans le cas US, deux sur la série DDG-51 à partir du Flight IIA, aucun avant). Les britanniques étaient à 1 sur les Type 23 mais passent désormais à deux sur les Type 26. La France n'est pas un cas unique de ce côté.
  20. Sauf que si tu vas sur la datasheet, ça dit Interception range: up to 8km Interception altitude: up to 6km Min. interception range: 500m
  21. C'est un anti-char, donc je pense que c'est un peu le but. D'ordinaire, ça signifie un gros diamètre et un missile assez lourd mais je pense qu'avec du top attack, on peut se limiter de ce côté là. Pour limiter le coût ainsi que la masse et la complexité, probablement pas. Ça n'interdit pas d'autres variantes mais je pense qu'une version multi-fonction est une mauvaise idée, surtout alors qu'il existe des options tout aussi intéressante de ce côté là. Les AT4 existent toujours après tout et le CGM4 est une option encore plus intéressante. Inférieure au MMP, supérieur à l'AT4. Au delà de ça, mystère. Personnellement, je pousserais vers quelque chose au delà du kilomètre (plutôt autour de 2km) mais on peut aussi se limiter au champ d'action "classique" de la section (ca. 1km). Ces deux trucs contribuent massivement au coût en imposant un datalink et un poste de tir complexe et encombrant. On pourrait contourner ces problèmes avec un guidage laser mais ça demande la vue directe de quelqu'un qui maintienne le lock. De plus, c'est déjà offert sur MMP. Probablement une meilleure idée, diminuant la difficulté d'utilisation. Bonne idée aussi, considérant que l'ACCP est supposé servir au combat urbain. Le NLAW n'est pas cher mais sensible aux APS à cause de sa trajectoire et son mode de guidage perd rapidement de son efficacité avec la portée...
  22. Le diamètre n'est pas énorme (un chouïa sous les 90mm si je me souviens bien) mais avec le mode top-attack, ça devrait faire des dégâts. C'est la grosse question mais si les Allemands ont un missile qui coûte 75% du MMP, il va falloir se demander comment ils ont fait. Le missile est plus petit, le poste de tir disparaît, la transmissions de donnée disparaît. Techniquement, il y a toujours un double autodirecteur TV/IR mais il me semble grandement plus petit donc potentiellement moins cher (et c'est deux optiques séparés donc ça aide peut-être au coût)? Si on veut faire une version moins chère, on pourrait imaginer une version Enforcer X-FR avec uniquement l'autodirecteur IR, fabriqué en France. Ceci dit, quel est le seuil qui rend l'Enforcer X acceptable? 50% du prix? 25? Le prix du MMP s'élèverait apparemment à 198 k€ en 2018, en supposition une inflation standard de la zone euro, ça donnerait 251 k€ aujourd'hui, 227 k€ si on prend l'inflation plus modérée en France (dans les deux cas, ce sont des indications imparfaites, le prix du missile étant plus sensible à la crise des semi-conducteurs que celui de la patate). Du côté de l'Enforcer X, le prix est inconnu. La Bundeswehr a signé un contrat de 76 M€ en 2019 pour la livraison de 850 missiles Enforcer de base (soit 89k€ l'unité), ramené à l'inflation européenne depuis 2019, ça nous donne 111 k€ par missile, 106 si on prend l'inflation allemande sur cette période. Cependant, outre les réserves émises plus haut vis-à-vis de ce genre de calcul, il faut compter que le contenu exact du package commandé par les allemands est inconnu. Il peut inclure la formation, les simulateurs, les FCU, etc., sans oublier les coûts de développement. Tout ça pour dire que l'Enforcer de base coûte au moins 55% moins cher qu'un MMP. Est-ce que l'Enforcer X sera pareil? Est-ce que c'est suffisamment moins cher? Aucune idée. Coût du MMP: https://www.senat.fr/rap/a18-149-8/a18-149-81.pdf (obtenu via https://www.opex360.com/2023/05/09/larmee-de-terre-veut-un-nouveau-missile-anti-char-abordable-et-repondant-a-des-besoins-precis/) Coût de l'Enforcer: https://defence-industry.eu/mbda-deutschland-to-launch-full-scale-production-of-enforcer-weapon-system/
  23. D'une certaines manières, tous les pays disposant d'un bicaméralisme fort disposent d'une forme de majorité qualifiée. Dans les fédérations, ce système permet d'éviter les déséquilibres entre les états, et c'est aussi le cas en Europe. Cependant, à cause de son histoire, les citoyens et les états de l'UE ne sont pas représentés strictement par les chambres basses et hautes. À la place, on a d'étranges pondérations, des fonctionnements intergouvernementaux, etc. Le Conseil représente les gouvernements et pour éviter un déséquilibre entre nombre et démographie, on a la majorité qualifiée. À l'inverse, le Parlement ne représente pas les citoyens de l'UE mais les citoyens des états et du coup, la combinaison de la proportionnalité dégressive et du nombre maximal de députés par état limite également les déséquilibre (sinon, l'Allemagne aurait 18% des voix à elle-seule). Dans le cas, du Parlement, je ne pense pas que ce soit volontaire mais plutôt une conséquence du nombre minimum de 6 députés, du nombre maximal de 96 et de la proportionnalité dégressive, l'intention étant à ma connaissance bien que les citoyens de l'UE soient représentés. Quoiqu'il arrive, le résultat est le même avec chaque chambre qui fait un mix du travail. C'est un système imparfait et je considère qu'il devrait être remplacé par une chambre basse purement proportionnelle (du moins autant que possible, il faudra probablement un nombre minimum de sièges quoiqu'il arrive) et une chambre haute directement élue mais ce n'est pas le point le plus important à corriger (l'initiative législative prenant probablement la palme de ce côté là). Tout ceci ne règle pas la question de l'autre Conseil cependant. Si le Conseil de l'EU est un organe législatif, le Conseil européen est un organe exécutif ne disposant pas de second organe pour le contrebalancer. L'équilibre population-état doit s'y trouver de manière intrinsèque et si on y restreint l'unanimité, il faut une autre solution. Tant qu'il existe un Conseil Européen, il faut qu'il y ait une forme de majorité qualifiée dans ses votes.
  24. mehari

    L'artillerie de demain

    Je doute que les lanceurs soient ainsi répartis. Si je ne me trompe pas, le plan est d'équiper un bataillon du commandement de l'artillerie (à priori, le Groupe d'Artillerie I/63). Les batteries et pelotons seront distribués selon les missions. On notera qu'en Pologne et Russie, les roquettes de 122 appartiennent à la division. Les pays mettant ces éléments aux niveaux inférieurs sont généralement ceux qui ne disposent pas de divisions (Chine, Ukraine, Serbie).
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