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Pakal

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Tout ce qui a été posté par Pakal

  1. Et les Indiens et les Chinois me semble t'il, mais c'est vrai qu'installer une piste oblique un tremplin et des brins d'arrêt nécessite une adaptation conséquente, voire un nouveau PA. Cela dit l'adaptation du Juan Carlos au F35B n'est pas évidente non plus
  2. Les essais imminents en Inde du Rafale M sur un tremplin STOBAR devrait inspirer la marine espagnol pour étudier une solution similaire
  3. Pakal

    [Rafale]

    A partir du moment où il a une rupture technologique entre deux appareils, on s'attend à ce qu'il y ait une rupture dans la numérotation associée voire dans le nom lui même. Le bon exemple est le proto MD550/Mirage 1 qui a donné suite au Mirage 3
  4. Pakal

    [Rafale]

    Je te crois, mais c'était une faute marketing de l'avoir baptisé Rafale A alors que les versions opérationnelles s'appellent Rafale B et Rafale C. Ce qui fait que les concurrents nous renvoient toujours la date de premier vol du Rafale A comme étant le début du rafale et jamais celle du rafale C. C'est une leçon à retenir pour la dénomination des différents protos et versions à venir du SCAF
  5. Lancement d'un dirigeable de détection anti missile https://twitter.com/IAFsite/status/1455805427162226692 Aujourd'hui (mercredi), le lancement d'une plate-forme aérienne, l'une des plus grandes du genre au monde, permettra de détecter et d'avertir des menaces avancées. Ceci après un processus de développement et de production de plusieurs années par le directeur de Homa à Mapat, l'agence américaine de défense antimissile, et en coopération avec l'Air Force et l'IAI.
  6. Il me semble en plus que le PA espagnol (identique au PA australien) ne supporte pas la chaleur des réacteurs du F35B
  7. Pakal

    [Rafale]

    La dispo est trop souvent plombée par les indisponibilités liées aux remises à niveau entre les différents standard. C'est flagrant sur l'A400M, ça peut l'être aussi pour le Rafale (passage au F3R)
  8. Les suspensions en prennent un coup avec la force de recul du mortier, j'espère que cela ne nuit pas à la précision
  9. Pakal

    Armée de l'Air Irlandaise

    Mais il y a un autre paramètre à prendre en compte: A ce jour ils n'ont aucun pilote formé sur des jets. Le temps de transformer leurs pilotes de PC9 en pilote de jet va prendre au minimum entre un et deux ans, sans parler du temps nécessaire pour contractualiser cette formation avec un centre de formation de pilotes de chasse extérieur (Français, Italien, Britannique, Américain, Suisse, Suèdois...). Ca prendrait moins de temps d'équiper leur armée de terre de SAMPT ou Patriot mais on ne fait pas de police du ciel avec de la défense sol air
  10. Pakal

    Véhicule Blindé de Gendarmerie

    Avantage par rapport au Griffon / Serval: 2 portes latérales supplémentaires qui permettent de gicler hors du véhicule sur 3 côtés à la fois et pas uniquement par la rampe arrière
  11. Pakal

    L'Inde

    Développement et tests d'un drone furtif par le DRDO: https://twitter.com/i/web/status/1452238994205462528 https://twitter.com/i/web/status/1452237325648515077
  12. La présence de mines sur le terrain, pour éviter d'y placer des sentinelles, ne date pas d'aujourd'hui
  13. Pakal

    Luftwaffe

    Moi j'ai compris que si F35, sous entendu c'est un investissement de long terme, il faudra l'intégrer avec le FCAS ce qui s'avérera compliqué, alors que si F18, sous entendu c'est du court/moyen terme, et pas d'intégration prévue
  14. Pakal

    Luftwaffe

    https://esut.de/2021/10/meldungen/30168/tornado-nachfolge-bundesregierung-nimmt-stellung-zu-beschaffungskriterien/ Au sujet de la succession des Tornado, Rien de neuf mais enjeu qui refait surface suite à une question récente de parlementaires FDP: via google traduction améliorée: Successeur de Tornado : commentaires du gouvernement fédéral sur les critères d'approvisionnement. Début de l'année dernière, le ministère de la Défense a annoncé son intention d'acheter des F/A-18F Super Hornet pour remplacer le Tornado dans son rôle de porteur d'armes nucléaires. Dans une réponse du gouvernement fédéral le 29 septembre à une petite demande du groupe parlementaire FDP, le BMVg a désormais expliqué ses critères de sélection du successeur de Tornado. Le ministère écrit que la sélection des avions de combat est basée sur trois critères de base. Premièrement : « L'Allemagne maintiendra ses capacités OTAN sans interruption et tiendra donc ses promesses envers l'OTAN. L'introduction de systèmes d'armes disponibles sur le marché en temps opportun est nécessaire pour le transfert de capacités. » Deuxièmement : « Les industries de défense allemande et européenne doivent être impliquées. Le savoir-faire technique et industriel doit être préservé en Allemagne et en Europe et les nouveaux développements doivent être encouragés. » Troisièmement : "L'avenir de l'armée de l'air sera le système d'armes de nouvelle génération (NGWS) développé et construit en Europe dans un futur système de combat aérien (FCAS)." Sur la base de ces critères, quatre types d'avions de chasse ont été examinés plus en détail. Il s'agissait de l'Eurofighter, du F-15 de McDonnell Douglas, du F-18 de Boeing et du F-35 de Lockheed Martin. La sélection s'est réduite à l'Eurofighter et au F-18 en 2019. Avec la proposition technique du ministère fédéral de la Défense d'avril 2020, des chiffres précis ont ensuite suivi. Ainsi, en remplacement du Tornado 40 Eurofighter (rôle : appui air-sol) avec une option pour 15 autres, 30 F/A-18F Super Hornet (rôle : participation nucléaire) et 15 growlers EA-18G (rôle : électronique combat) doivent être procurés par la volonté. Selon le BMVg, cette décision a été prise sur la base de risques plus prévisibles et donc calculables et d'un meilleur pronostic du rapport coût-bénéfice par rapport aux modèles F-15 et F-35. Les considérations opérationnelles et les aspects de la sécurité des vols plaident en faveur du F-18, notamment en ce qui concerne le rôle de la participation nucléaire, comme l'écrit le BMVg. Le document indique que parmi les types d'avions examinés, seule la combinaison du F / A-18F et de l'EA-18G peut garantir un degré élevé d'assurance et de capacité de survie dans les scénarios de déploiement envisagés. En vue de l'achat éventuel du F-35, Berlin a vu le danger d'envoyer un signal politique se détournant du futur projet européen NGWS/FCAS. En outre, l'achat d'avions de combat F-35 signifierait que leurs capacités devraient être intégrées dans le FCAS, et cela compliquerait considérablement le projet. Le ministère de la Défense ne voit pas non plus une capacité indispensable dans la furtivité du F-35. La signature réduite n'est efficace que sous certaines conditions et dans une zone restreinte, de sorte que les avantages qui en résultent sont chèrement payées en termes de charge utile et de performances. Il n'est pas clair si l'aspect des achats harmonisés avec les autres partenaires européens qui poursuivent également le concept de participation nucléaire a joué un rôle. Sur les cinq pays, l'Italie, les Pays-Bas et la Belgique exploitent ou prévoient déjà une flotte de F-35. Seules l'Allemagne et la Turquie se positionneront probablement différemment. À la suite de la proposition technique du ministère fédéral de la Défense d'avril 2020, selon le gouvernement fédéral, de nouvelles mesures ont été prises pour préparer l'approvisionnement et la certification rapides des modèles américains. La décision finale du Bundestag sur l'approvisionnement devrait être prise conformément au BMVg à la fin de 2022 ou au début de 2023 afin d'être en mesure d'assurer un maintien continu des capacités pendant la fin de la vie utile du Tornado en 2030. Cependant, il reste à voir si la décision du Parlement interviendra réellement à ce moment-là, en raison du rôle de la participation nucléaire joué par le Tornado, de la période législative encore à ses débuts. Surtout compte tenu des nouvelles majorités au Bundestag, une décision de poursuivre la participation nucléaire est tout sauf certaine. Une fois les négociations de coalition conclues, les futurs partis au pouvoir devront être à peu près parvenus à un accord sur cette question, dans la mesure où ils veulent agir résolument comme un seul gouvernement.
  15. https://www.timesofisrael.com/in-landmark-visit-uae-air-chief-in-israel-to-observe-blue-flag-exercise/ Le chef de l'AA EAU en observateur de l'exercice Blue Flag en Israel où il a pu voir évoluer les F35 israéliens et italiens, les Typhoon britaniques et allemands et ... les Rafale français
  16. L'offre eurofighter pour la Finlande vue côté allemand: https://www.behoerden-spiegel.de/2021/05/07/eurofighter-angebot-an-finnland/ Via google traduction amélioré: Le consortium Eurofighter a fait sa meilleure offre finale (BAFO) à la Finlande. La Finlande envisage de remplacer ses F/A-18C/D à partir de 2025. Les autres candidats au contrat sont les Boeing F/A-18E/F Super Hornet et EA-18G Growler, Dassaults Rafale, Lockheed Martins F-35A, ainsi que Saabs Gripen E/F et GlobalEye. La décision est attendue à la fin de cette année. L'offre Eurofighter est soutenue par l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie et l'Espagne. Il comprend plus de 80 lots de travaux pour les entreprises finlandaises, y compris une chaîne d'assemblage final, la construction et la maintenance de réacteurs, et des projets de recherche et développement qui seront dirigés par MBDA. S'exprimant lors d'un briefing la semaine dernière pour confirmer la soumission BAFO de l'Eurofighter, le député Jeremy Quin, secrétaire britannique à la Défense, a déclaré : « Le partenariat Eurofighter proposé représente le meilleur package global pour la Finlande ! Il est abordable pour le citoyen finlandais ; il assure la sécurité d'approvisionnement grâce à une implication industrielle qui crée des emplois de haute technologie pour la durée de vie de l'avion, et il offre des capacités militaires exceptionnelles, le tout soutenu par un partenariat gouvernemental. » Dans son discours vidéo, le secrétaire d'État allemand au ministère de la Défense, Benedikt Zimmer, a décrit l'Eurofighter comme "l'épine dorsale de la défense aérienne" et a souligné que les investissements actuels dans la flotte de l'armée de l'air allemande maintiendront l'Eurofighter en service pendant de nombreuses décennies à venir. "Nous comptons sur l'Eurofighter car il nous offre robustesse, fiabilité, des coûts d'exploitation abordables et un degré élevé d'autonomie, en particulier lors de la génération et de l'analyse des données de mission", a déclaré Zimmer. «Avec nos amis du Royaume-Uni, d'Italie et d'Espagne et notre forte industrie aérospatiale européenne, nous veillerons à ce que l'Eurofighter soit prêt à relever les défis à venir et que sa technologie comble le fossé avec les futurs systèmes aériens européens
  17. Pakal

    Armée de l'air Argentine

    Les argentins et les indiens doivent s'attendre à ce que les anglais fassent pression sur les américains et les israéliens pour ne fournir ni réacteur ni électronique. Cela dit ils pourraient racheter des Tejas "d'occasion" tout juste sortis d'usine directement à l'armée de l'air indienne pour contourner.
  18. En plus de ses qualités manifestes, nous avons déjà parlé des réponses apportées sur certaines "faiblesses" perçues du Rafale (Furtivité, Mise en réseau, Optronique intégrée, Capteur IR multidirectionnel, Viseur de casque, fusion des données etc..) mais il reste un dernier point non discuté qui, semble t'il, a eu un rôle non négligeable lors de la dernière consultation Suisse: l'Intégration supposée du F35 avec leur futur système de défense sol air (Patriot en l'occurrence). Qu'en est il, ou qu'en sera t'il, pour les finlandais ?
  19. Pakal

    L'Inde

    Dans le cadre de l'exercice Blue Flag qui se joue en ce moment, l'Inde a envoyé 5 Mirage 2000 I en Israël
  20. Moi je trouve curieux qu'il faille attendre 3 mois pour faire ces essais. Est ce du à la non disponibilité de la rampe inclinée côté indien, à quelques modifications mineures à apporter au rafale M pour que ça soit optimal, à la disponibilité d'un rafale M pour faire ce test, au temps indien ?
  21. Pakal

    L'Inde

    C'est encore mieux, j'étais parti sur 10m de large au vue des photos, donc effectivement si les 34 pieds sont confirmés ça passe au chausse-pied Avez vous la longueur exacte ?
  22. Pakal

    L'Inde

    Pour le Mig29 ok mais pour le SH18 il y, a me semble t'il, un pb de longueur
  23. Pakal

    L'Inde

    Je confirme sur le Vikrant: en rallongeant légèrement l'ascenseur côté mer et en entaillant légèrement pour laisser passer les saumons d'ailes ça passerai de cette façon:
  24. Dans le cas probable d'une coalition "feux tricolores" voici deux ministres de la défense pressentis: Marie Agnès Strack Zimmermann (FDP) https://en.wikipedia.org/wiki/Marie-Agnes_Strack-Zimmermann Lars Klingbeil (SPD) https://en.wikipedia.org/wiki/Lars_Klingbeil
  25. Article sur le site Augengeradeaus sur les orientations de défense que prendrait une coalition "Feux tricolores" (Ampel = SPD+FDP+Grüne). Ce n'est pas réjouissant pour la coopération franco allemande qui n'est même pas mentionnée: https://augengeradeaus.net/2021/10/nach-den-sondierungen-grundlegendes-verstaendnis-der-ampel-koalition-in-der-sicherheitspolitik/ Traduction par google trad revue par moi Compréhension de base de la coalition "feux tricolores" dans la politique de sécurité Après les élections fédérales du 26 septembre, le SPD, les Verts et le FDP ont mené des discussions exploratoires sur une éventuelle coalition" feux tricolores" - et sont arrivés à la conclusion qu'ils voulaient pour une coalition gouvernementale des trois partis. Même si les pourparlers réels de la coalition sont toujours en suspens, un document de résultat donne un premier aperçu des positions communes des futurs partenaires potentiels - un aperçu de la politique étrangère et de sécurité. Dans leur document conjoint, qui a été publié avec la recommandation de négociations de coalition vendredi (aujourd'hui), le SPD, les Verts et le FDP ne dessinent bien sûr que des lignes directrices très approximatives. Ce n'est guère surprenant et des négociations détaillées sont encore à venir. Voici qq extraits des passages essentiels: La responsabilité de l'Allemagne envers l'Europe et le monde. L'Allemagne fait face à sa responsabilité mondiale. En tant que pays, nous ne pouvons faire face seuls aux grandes tâches de notre époque. Nous renforcerons l'Union européenne (UE) pour assumer nos responsabilités. Nous rendrons notre politique étrangère, de sécurité et de développement plus valorisante et plus européenne. Nous voulons accroître la souveraineté stratégique de l'Europe. (...) Nous sommes déterminés à rendre l'UE plus capable d'agir et plus démocratique et sommes attachés à une UE qui protège ses valeurs et l'État de droit en interne et en externe et renforce sa capacité d'action. Nous prônons une coopération accrue entre les armées nationales européennes. Notre sécurité et la protection de nos moyens de subsistance nécessitent une coopération mondiale, un renforcement des Nations Unies et un ordre international fondé sur des règles. Nous soutenons et renforçons des initiatives telles que l'Alliance des démocraties. L'alliance transatlantique est le pilier central et l'OTAN élément indispensable de notre sécurité. Pour nous, la sécurité d'Israël est une affaire d'État. Nos soldats apportent une contribution indispensable à la sécurité internationale. Nous améliorons leur équipement ainsi que celui de la Bundeswehr. Nous voulons renforcer le principe de la guidance intérieure. On veut revoir la mission d'évacuation de la mission en Afghanistan en commission d'enquête parlementaire. De plus, nous souhaitons évaluer l'ensemble du déploiement dans une étude avec une expertise scientifique. Les connaissances acquises doivent être préparées de manière pratique et prospective afin de pouvoir être utilisées dans la conception de futures missions allemandes à l'étranger. En regardant sous différents angles, nous voulons développer une compréhension commune du rôle de l'Allemagne dans le monde. La politique étrangère allemande devrait à l'avenir consister en un cadre qui agit et développe des stratégies conjointes entre les départements. L'objectif est la coopération multilatérale dans le monde, en particulier en lien étroit avec les États qui partagent nos valeurs démocratiques. Il s'agit également d'une concurrence systémique avec des États autoritaires et des dictatures. Nous voulons présenter une stratégie de sécurité nationale. (...) Nous avons besoin d'une politique offensive de désarmement et voulons jouer un rôle de premier plan dans le renforcement des initiatives internationales de désarmement et des régimes de non-prolifération. Pour une politique d'exportation d'armes restrictive, nous avons besoin de règles plus contraignantes et souhaitons donc coordonner un règlement européen correspondant sur les exportations d'armes avec nos partenaires européens. C'est très détaillé en - quelques - parties, comme l'annonce de la commission d'enquête et de la commission d'enquête sur la mission en Afghanistan. Pour l'essentiel, cependant, il s'agit de l'énoncé fondamental d'une politique étrangère et de sécurité sur la même base qu'auparavant. Intéressant ici : une coopération accrue des armées nationales européennes peut certainement être comprise comme un rejet d'une armée européenne, voire d'un leadership plus européen des missions internationales. C'est pour ainsi dire la formulation la plus faible dans ce sens, même si l'on dit que nous voulons accroître la souveraineté stratégique de l'Europe - aussi (encore ?) la formulation la plus faible possible pour elle. En revanche, étonnamment claires, de mon point de vue, les déclarations sur les exportations d'armes : Les trois parties semblent être en faveur d'une réglementation restrictive. Un certain nombre de points susceptibles d'être contestés sont laissés de côté : qu'adviendra-t-il de la participation nucléaire (et donc aussi du remplacement de la flotte vieillissante de Tornado ?). Comment un tel gouvernement de coalition, alors dirigé par un chancelier et ancien ministre des Finances Olaf Scholz, gère-t-il l'objectif de deux pour cent de l'OTAN ? Cela et probablement bien d'autres encore devront alors être discutés dans les négociations de coalition.
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