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Tout ce qui a été posté par DEFA550
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Mauvaise mémoire. Le concept "omnirole" existait déjà à cette époque, même si ce sobriquet a été attribué plus tard. Ce qu'on observe aujourd'hui (drones, réseaux, etc) était déjà anticipé. Ce n'est ni un hasard ni un coup de chance si c'est aujourd'hui le seul à pouvoir piétiner les plate-bandes du F-35. Il y en a qui font des trucs pour aujourd'hui et s'aperçoivent que c'est un truc d'hier lorsqu'il devient disponible, et d'autres qui envisagent le futur pour y obtenir une solution adaptée. Tout simplement.
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@jackjackJe suis sûr qu'en cherchant bien on trouvera quelqu'un qui à écrit avoir fait un aller-retour sur Mars avec un F-35. Le cherry-picking donne de la satisfaction, ça ne renseigne pas.
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Sauf que tu n'as ces capacités qu'avec du personnel convenablement entraîné et un environnement correctement dimensionné, donc avec un certain nombre d'heures de vol et les capacités de maintenance qui vont avec. L'idée ici n'est pas de trouver une mesure moins biaisée, c'est d'en trouver une qui donne une valeur moins désagréable.
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Je me fiche de qui il est et de ce qu'il fait comme métier. Ses remarques trahissent des compétences certaines.
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A priori oui, vu que c'est le but recherché (amélioration de la durée de vie, dans le contexte du F-35), mais ça peut aussi servir à supporter des efforts supérieurs avec une durée de vie identique. C'est précisément pour ça que c'est intéressant. Un avis neutre vaut mieux que celui d'un perroquet payé par LM.
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Ce n'est pas la "ram" proprement dite (d'abord parce qu'il n'y a pas "une ram" mais un emploi de multiples matériaux à de multiples endroits, ensuite parce qu'il n'est question que du revêtement qui, s'il participe à la furtivité du truc, ne peut pas être qualifié de RAM si ça n'en est pas, genre guide d'onde qui dirige l'énergie vers un endroit où elle est absorbée par un véritable élément "RAM"). Sinon je ne connais pas ce gusse, mais il maîtrise indéniablement les bases, donc bonne vidéo pour résumer la situation.
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j'aurai dit martelage, pas brasure.
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Non, je suis factuel. C'est toi qui cherche des arguments pour justifier ta position initiale, au lieu de ré-évaluer cette position à la lumière des informations qui te sont données, quitte à exploiter ces informations à charge en y dénichant de nouveaux angles d'attaque qui ne t'effleuraient même pas l'esprit au départ. Je déteste ce genre de méthode. Ca réclamait une campagne d'essai pour ouvrir le domaine d'emport, la mise à jour de la documentation, la formation des personnels (pilotes et mécanos), la mise en place/adaptation/rénovation de l'environnement (ateliers, équipements, outillages, etc), et donc un joli chèque avec plein de zéros. Si ASTAC est encore là, c'est parce qu'un chef a sorti les oursins de ses poches, ce qui demande un peu plus d'arguments solides qu'un simple caprice.
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"The exact location and types of systems detected by Spectra can be recorded for later analysis, giving Rafale operators a substantial built-in SIGINT/ELINT capability while completing specialised dedicated intelligence platforms." Fox 3 N°1 page 3 Juin 2001 En fait, tu n'as juste pas les fondamentaux
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Il serait temps ! Tu as juste 20 ans de retard sur le sujet... En effet, on n'a pas mieux. On n'a pas mieux que le Rafale non plus. Ni mieux que le Meteor. Ah... les joies de la rhétorique et de l'argumentation irréfutable...
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@jackjackUn commentaire, peut-être ?
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Pour "ligne de vol" ça me fait penser à la "piste" chez nous : Tout ce qui touche au quotidien sur les avions en ligne (préparation avant vol, après vol, entretien, changement de configs, etc).
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Oeuvre de la division SS Das Reich, le 9 juin 44 à Tulle (tous pendus aux balcons de la ville, un 100ème s'est échappé in extremis), le lendemain à Oradour. C'est encore dans la mémoire collective.
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Tu as réagis au principe de ralliement du radar, ce qui consiste d'une manière générale à lui ordonner de regarder dans une direction précise et d'y rester pour suivre une cible. De fait, le but recherché n'est pas la discrétion ou la passivité, mais bien d'augmenter la précision des mesures ou la qualité du suivi en concentrant l'attention d'un capteur vers une cible donnée (donc de la suivre plus précisément, la détection ayant eu lieu par ailleurs). Par exemple, tu peux imaginer vouloir rallier le radar sur une cible suivie par un missile IR encore sous l'aile pour avoir la télémétrie (distance, vitesse relative, ne serait-ce que pour alimenter les calculateurs s'il faut commuter en passe canon) ou une meilleure résistance au décrochage pendant les évolutions (histoire de pouvoir rapidement rallier de nouveau le missile sur cette cible s'il la perd). L'intérêt premier d'être discret/passif c'est de cacher ta présence, pas seulement ta position réelle, de sorte à ne pas éveiller l'attention, ne pas être activement recherché et conserver le bénéfice de la surprise. Emettre sporadiquement de manière active, c'est risquer de ruiner cet avantage, à la suite de quoi la discrétion ou la passivité perdent une partie de leur intérêt.
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En attendant, pas plus tard qu'hier, c'est un 2000D qui reniflait du côté de la frontière nord de la Pologne. Si on est spécialiste ça permet de mesurer l'étendue de l'ignorance des autres, sinon... c'est le meilleur moyen de se faire pirater le cerveau.
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Ben... Le problème c'est un peu que tu mets grosso-merdo 4 concepts distincts dans la même phrase, si bien qu'au final on comprend les mots mais pas le sens du propos. Parler d'un "mode LPI" apparemment sélectionnable à l'envie alors que c'est une caractéristique intrinsèque ça brouille un peu le discours, le tout suivi par une distinction "détection/guidage" pour un radar à balayage électronique qui travaille essentiellement en TWS (le Fox 1 c'est "has been"). Bref, le radar, soit il fonctionne et participe comme les autres capteurs au recueil d'informations pour élaborer la situation tactique avec une certaine précision, soit il est éteint et ne sert plus à rien. Le mot clé dans cette phrase, c'est "précision". Chaque capteur apporte sa pierre à l'édifice, avec ses propres caractéristiques (acuité, précision des mesures). Se priver de l'un d'entre eux a un coût instantané sur cette précision, ce qui relativise quelque peu l'idée de pouvoir faire aussi bien avec moins (ce qui me semble être le fil conducteur derrière "Il peut être allumé mais en mode lpi et uniquement au moment de la détection et non du guidage."). La détection ne constitue pas une "piste", et ce n'est que le reflet d'une mesure à l'instant T laquelle est en principe remise en cause à l'instant T+x. Quand ce "x" se chiffre en dizaines de secondes, voire en minute, mieux vaut éviter les approximations des conditions initiales.
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Ca ne fait des ravages que si on y croit. La prophylaxie ad hoc est de faire attention à ce qu'on met dans notre cerveau.
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Rhôôôooooo !!! C'est pourtant une exclusivité remarquable...
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Ils n'en sont pas encore au TB-30 ---> [ ]