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Accord entre la DGA et le CNRS, pour travailler ensemble sur les logiciels d'IA et les technologies quantiques >
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Bruno a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Content de voir que malgré la pandémie du Covid-19, son programme d'essai ne souffre pas de retard par rapport au planning mentionné l'an dernier (le programme tout court, lui, accuse 3 ans de retard par rapport au planning initial qui prévoyait la livraison à la MN en 2017 ; mais bon, c'est pour ainsi dire devenu une "norme internationale" pour un gros matériel militaire innovant d'un haut niveau technologique...). Plus que le MDCN, la vraie munition "game changer" du Suffren sera la torpille F-21 "Artémis", du moins si elle tient vraiment ses promesses (discrétion, résistance aux leurres, portée maxi de + de 100 km...). Pourvu que tout aille bien, et vivement que le "Suffren" entre en service : dans le contexte actuel très tendu avec l'agressif et mégalo sultan Erdogan, ce sera un vrai moyen de nature à dissuader les turcs d'aller trop loin dans la confrontation au large des côtes lybiennes ou chypriotes. Je dirais même plus : la menace potentielle invisible qu'il pourra faire peser sur l'armada ottomane qui parade et provoque depuis des mois en Méditerranée, aura selon moi un effet dissuasif plus fort (et à moindre coût !) qu'un déploiement du groupe aéronaval. -
Décidément on aurait vraiment du rester sur le nombre des 11 FREMM (le nombre initial de 17 au tout début du programme était sans doute irréaliste), qui aurait permis d'en louer 2 ou 3 à un bon client extérieur sans mettre la Royale complètement à poil ! Si jamais, il est vraiment envisagé de "prêter" 2 des 6 premières FREMM aux grecs, pour les remercier de nous commander 4 FDI, je pense que l'EMM doit gueuler pour que ça ne se fasse pas, en rappelant notamment qu'avec seulement 4 FREMM dédiées à l'ASM la sécurité de la FOST à Brest, et même des sorties SNA à Toulon, ne sera plus assurée * Un compromis acceptable serait alors de prêter les FLF "Lafayette" modernisées, dont la MN a un besoin disons moins crucial que celui des 8 FREMM. *...(car si les 2 FREMM CADA, Alsace et Lorraine, auront bien les même capacités ASM que les autres, elles ne sauraient être trop souvent mobilisées pour sécuriser les sorties et entrées des SNA à Toulon. Ou alors c'était pas la peine de payer pour développer cette version spécifique !)
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Première démo publique du JAS-39 Gripen-E, à l'occasion du show aérien de Kauhava, en Finlande ! (On dirait qu'il n'a pas l'agilité du Rafale, mais quoiqu'il en soit c'est un très bel oiseau ) >
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Comment étaient les pluies sur Mars, lorsqu'elle avait une véritable atmosphère ? Nouvelles hypothèses scientifiques > https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/mars-etaient-pluies-mars-elle-etait-habitable-16088/#xtor%3DAL-80-1[ACTU]-16088[Comment-etaient-les-pluies-sur-Mars-quand-elle-etait-habitable--]
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Bruno a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Heum, tu es bien sûr de ça ?? Car, sans être fausse, la remarque concernant l'énergie nécessaire au conditionnement de l'Hydrogène (le pressuriser à 350 Bars, etc...), vaut finalement pour toutes les autres énergies : Quelle énergie dépense t-on pour extraire le pétrole, le transporter, ensuite le raffiner et le transporter jusqu'à ses consommateurs finaux ? Pour le charbon ? Quelle énergie dépense t-on pour extraire l'Uranium du sous-sol, et le rendre utilisable dans les réacteurs des centrales nucléaires ? Combien d'énergie consomme t-on ensuite pour la déconstruction (+ l'éventuel recyclage) des centrales thermiques ou nuke en fin de vie ?? Pas certain que si on fait le calcul du "rendement final", en tenant vraiment compte de tout le cycle depuis l'extraction de la matière brute, le bilan soit défavorable à l'Hydrogène... Sachant, "en prime", qu'on n'est pas loin du rendement maximal possible concernant les énergies "classiques" (pétrole, gaz, charbon, nucléaire), alors que la filière Hydrogène n'en est qu'à ses débuts, et a donc une bien plus grande marge de progrès en matière d'efficacité globale ! (Sans oublier son avantage "géostratégique" : elle n'implique pas d'importer en masse du pétrole, du gaz ou du charbon, auprès de fournisseurs qui sont parfois tentés d'exercer un chantage, de monter subitement les prix, etc... L'électricité servant initialement à produire le H2 sans pollution peut venir des ressources renouvelables que nous avons, voire du nucléaire que nous avons déjà aussi) -
Les "attaques en règle sous l'horizon radar" peuvent normalement déjà être détectées à environ 15-20 km, par l'Héraklès actuel, qui fonctionne en bande S, justement choisie car elle est la plus adaptée à la détection d'objets en surface, non ?? Et sinon, dans le cadre du déploiement d'un GAN, il y a surtout la couverture aérienne assurée par les E-2C (et bientôt E-2D) "Hawkeye" du PA. La plus grande portée du nouvel Héraklès doit théoriquement permettre de détecter les avions lanceurs de missiles à vol rasant, avant qu'ils ne les larguent, et dans l'idéal l'action de largage des missiles ; du moins si on considère que la plupart des missiles anti-navires air-surface aujourd'hui en service ont une portée effective qui ne dépasse pas les 200 km. Par contre, s'il s'agit de Brahmos, de Kalibr, de Tsirkon, ou du dernier missile chinois supersonique à longue portée, là effectivement le couple Héraklès-Aster sera en grande difficulté : l'équipage devra croiser les doigts pour que les missiles soient détectés et abattus dans les 5 à 15 derniers kilomètres de leur parcours... Comme tu dis, gérer la circulation aérienne n'est sans doute pas vraiment utile au-delà de 300-400km ; mais bon, la portée de l'actuel Héraklès est souvent mentionnée comme étant de 200 km (sur un avion de combat standard, avec une SER entre 1 et 2 mètres carrés). Et pour le "Héraklès +", il y a peu de chance pour qu'elle dépasse les 300 km... A ma connaissance, nos seuls navires capables de détecter des avions de combat standard à au moins 400 km sont nos 2 frégates de type Horizon, au moyen de leur S-1850M fonctionnant en bande L. Et "à fortiori", elles en seront encore plus capables vers 2027-2028 après leur refonte à mi-vie. Sauf bonne surprise, la version du radar AESA SeaFire-500 montée sur les 5 FDI, avec ses panneaux à 12 modules, n'offrira sans doute pas une portée vraiment supérieure à l'Héraklès boosté des 2 FREMM CADA ; son grand intérêt sera plutôt le rafraîchissement hyper-rapide de l'information (20 à 30 fois/seconde d'après ce que j'ai compris) par rapport aux radars tournants (où c'est 1 à 2 fois/seconde), et le fait qu'il n'y aura pas de zone masquée par la présence d'un mât derrière.
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Ouais, à voir si le radar Héraklès boosté (40 modules émetteurs-récepteurs au lieu de 32, mais ça reste un PESA, pas un AESA) tiendra ses promesses, avec une portée d'engagement censée être augmentée d'au moins 50km par rapport à l'Héraklès standard, pour pouvoir profiter à fond de l'allonge de l'Aster-30.
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Un partenariat entre Renault Trucks et Saipol (filiale du groupe Avril) pour que les poids lourds du premier puissent facilement, avec des modifications techniques mineures sur les véhicules anciens, et d'emblée sur ceux qui sortent d'atelier à partir de maintenant, tourner indifféremment soit avec du gazole, soit avec le carburant 100% végétal "Oleo-100" (à base d'huile de Colza) développé par Saipol > https://www.enerzine.com/renault-trucks-et-oleo100-une-transition-energetique-100-francaise/31953-2020-07#comment-91149 Quand les camions RT tournent avec l'Oleo-100, ça ne donne pas un transport "0 émission", certes, mais avec une réduction de 60% des émissions de CO2, et de 80% des fameuses "particules fines" (redoutées des asthmatiques), pour un coût global similaire à celui du gazole fossile, c'est très intéressant ! LE genre de solution pragmatique, économiquement viable et 100% nationale, qui est appréciable, et convient à tout le monde.
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[Russie] Marine Russe - VMF (sujet général)
Bruno a répondu à un(e) sujet de Francois5 v2.1 dans Asie / Océanie
On est là dans les traditionnels interminables délais de la construction navale russe, depuis la chute de l'URSS... -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Bruno a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Ce problème de pouvoir stocker l'électricité (parfois excédentaire) produite quand il y a beaucoup de vent et/ou de soleil, pour pouvoir le restituer lors des périodes où la production instantanée devient quasi-nulle, peut-être résolu d'une manière maintenant connue, et qui est sans doute amenée à se développer : extraire de l'Hydrogène de l'eau par le vieux procédé de l'Electrolyse, puis le pressuriser, dans des réservoirs sécurisés, éventuellement sous-terre (par exemple ce projet, en France > https://www.industrie-techno.com/article/pour-bien-commencer-la-semaine-le-projet-hygeo-pour-stocker-de-l-hydrogene-vert-a-700-m-sous-terre.61174) ; puis des "piles à combustible" pourront au moment voulu le transformer en électricité. J'ai pu lire il y a qq semaines qu'il faut 1500 litres d'eau pour produire 100 kg d'Hydrogène, dont la combustion dégagera autant d'énergie que 300kg de super sans-plomb... Ca suppose de construire les infrastructures dédiées (électrolyseurs géants, + réservoirs à H2 pressurisés) à proximité des champs d'éoliennes ou des centrales solaires, et bien entendu le volontarisme politique pour investir dans cette solution. Pour l'instant, les plus grosse piles à combustibles ont une puissance d'environ 200KW, mais on sera très bientôt à 1 MW. Pour alimenter de nuit des grosses villes, il faudrait malgré tout en installer plus d'une centaine (ce qui après tout n'occuperait que 3 ou 4 hectares de terrain : ça se trouve !) ; mais on n'en est qu'au début de cette technologie et des projets de développement d'électrolyseurs géants et de piles à combustible d'une puissance unitaire de plusieurs MW vont forcément se concrétiser avant 2030. Petit florilège des projets confirmés de la filière industrielle de production/transformation de l'Hydrogène chez nous > https://www.industrie-techno.com/article/lhyfe-avance-vers-un-hydrogene-vert-produit-en-mer-avec-trois-partenariats-r-d.61076 https://www.industrie-techno.com/article/avec-sa-selection-par-le-fonds-deeptech-de-bpifrance-lhyfe-enfonce-le-clou-dans-la-production-d-hydrogene-vert.60656 https://www.industrie-techno.com/article/comment-mcphy-veut-industrialiser-l-electrolyse-alcaline-pour-produire-de-l-hydrogene-decarbone-a-cout-reduit.61141 Ou ce projet-ci, à Bordeaux (la date de 2022 étant maintenant retardée à 2023, car entre-temps il y a eu la pandémie du Covd-19...) > https://www.lesechos.fr/pme-regions/nouvelle-aquitaine/hydrogene-de-france-va-construire-son-usine-a-bordeaux-1163993 Bref, s'il est pour moi clair que les énergies renouvelables ne pourront pas satisfaire tous les besoins avant probablement la toute fin du siècle (vers 2100, quoi), il me semble aussi clair qu'avec les avancées technologiques en cours (augmentation du rendement des éoliennes et panneaux solaires, solution au problème d'intermittence de ces énergies via l'Hydrogène) on pourrait tout à fait d'ici 2040 en extraire environ 40% de notre électricité (voire 50% pour 2050 ?). Le reste étant sans doute à faire reposer sur des réacteurs Nuke améliorés, dans lesquels il faudrait aussi investir... Le rendement, parfois critiqué, des piles à combustible étant lui-même en passe de s'accroître > https://www.enerzine.com/meilleur-rendement-et-duree-de-vie-pour-des-piles-a-combustible/31048-2020-03 -
Tandis que la nouvelle torpille légère de Saab, la Torped-47 dont les tests de tir ont débuté en juin, est de diamètre 400mm. Elle est cependant moins longue que la Mu-90 (2m85 contre 2m95), et spécialement conçue pour la lutte ASM en mer baltique, avec un domaine d'excellence qui sera plutôt la zone littorale que les eaux profondes (la profondeur maxi exacte qu'elle peut atteindre est mentionnée comme d'au moins 300m, mais se trouve bien entendu classifiée). Vidéo promotionnelle du site de Saab, en complément de la vidéo du premier test de tir depuis une corvette Visby postée par Xav le 9 juin > https://saab.com/naval/weapon_systems/anti-submarine-and-anti-surface-warfare/lightweight-torpedo/
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Oui, à part que les hélicos de lutte ASM ont un sonar trempé... Là je vois mal un petit turboprop mettre en œuvre un sonar, ou avoir un détecteur d'anomalies magnétique (MAD) et un radar performant comme les gros turboprop (Atlantique Il, Orion...)
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Intéressant et séduisant, ce projet qui revisite le concept génial du OV-10 Bronco à la sauce moderne. Là où Icarus Aerospace va un peu loin dans sa com', c'est quand ils le vendent comme un potentiel avion de SurMar, voire de lutte anti-navires ASM ! >
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Ou l'art (dans lequel les américains excellent de + en +) de gaspiller un max de pognon : cela en perdant au passage beaucoup d'efficacité pour les missions d'appui-feu rapproché aux troupes (CAS : Close Air Support), en remplaçant un appareil relativement rustique et très manoeuvrable à basse vitesse & basse altitude, par un appareil ultra-sophistiqué valant 5 fois + cher, consommant 4 fois plus de kérozène, et pas du tout manoeuvrable à basse vitesse & basse altitude !...
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Bien vu, Boule, j'avais pas noté ce point. Par contre un truc plus "classique" qui m'étonne c'est de voir les panaches de fumée grise s'échappant des moteurs (cf entre la 6ème et le 12ème seconde de la vidéo Youtube), dont le rendement énergétique semble donc laisser à désirer... J'imagine que ce ne sont peut-être pas les moteurs "définitifs" du bel oiseau ?
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Le magnifique grand hydravion chinois AG-600 a entamé ses essais en mer >
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En complément du post de Shorr kan, juste ci-dessus, une vidéo explicative sur le petit héli-drone de moins de 2kg qui se détachera de la sonde Perseverance, et qui sera le premier aéronef à voler sur une autre planète que notre bonne vieille Terre. Arrivée de l'ensemble sur Mars en février prochain (2021), si tout va bien >
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Covid-19 - Impact économique mondial
Bruno a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Les Etats-Unis franchissent le seuil des 150 000 morts du Coronavirus, et le total des cas recensés depuis le début de la pandémie approche les 4.5 millions. > https://www.worldometers.info/coronavirus/country/us/ Nul doute, qu'avec cela (et tous les arrêts maladie induits) leur culte de la "croissance" va, comme en Europe, devoir être mis en berne. -
C'est clair, et donc il faudrait commander 6 bateaux-mères (dans l'idéal 8, mais bon, j'essaie de rester raisonnable...) au lieu des 4 aujourd'hui prévus. Voilà une suggestion que le tout nouveau CEMM peut faire à Florence Parly, dans le cadre du volet industriel du fameux "plan de relance économique"
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En effet, les BRS n'ont "que" 25 ans, donc on peut supposer qu'ils seront soit utilisés à d'autres tâches pendant une bonne dizaine d'années (ou proposés aux marines à faible budget sur le marché export ?). ils ont plusieurs autres fonctions ? Vous m'en voyez ravi, très cher, en somme ils étaient des précurseurs des BMM / B2M, avant l'heure et en format réduit, quoi... Ces autres missions que tu cites pourront être remplies par les 4 "bateaux-mères" du SLAMF qui seront commandés dans un 2ème temps, avec une bien plus grande autonomie. Ceci dit, tu me feras remarquer qu'en raison de leur gabarit bien supérieur aux BRS de type "Altaïr", malgré les progrès faits par les motorisations ils consommeront plus : eh merde, voilà, tu as ruiné ma bonne humeur écologique de la semaine ! (Vilain, va !)
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Vu le gabarit et la masse bien + modestes des vedette-drones de Thalès (12-13m de long, contre 28m30) par rapport aux vieux remorqueurs de sonars aux noms d'étoiles (Altaïr, Aldébaran, Antarés), les partisans d'une réduction de notre dépendance au pétrole, et de la fameuse "transition écologique", (dont je suis) ne pourront qu'en être satisfaits : le drone de surface porteur d'un sonar remorqué et/ou de drones sous-marins consommera 3 fois moins (voire 4 fois moins) que cette barcasse à l'aspect de gros chalutier qu'est un BRS de type Altaïr. Le tout, avec de meilleures perfs quant à la détection de mines, ou de sous-marins indésirables. "What Else ?"
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Oui, c'est publié sur la page RSS du forum. A voir si les responsables de cette étude confiée à Naviris arriveront à trouver un compromis intéressant pour la fourniture de la nouvelle suite radar de veille & poursuite. Ce sera sans doute leur plus gros challenge, que d'arriver à ce que les 4 FDA de type Horizon conservent la même suite de senseurs, sans léser ou sacrifier l'un des grands électroniciens des 2 pays au profit de l'autre, sur l'autel de la coopération européenne. Thalès et Leonardo étant devenus rivaux, avec depuis peu des nouveaux produits relativement similaires (SeaFire-500 et Kronos, par ex) sur toute la fourchette des portées et capacités possibles.
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Mise en service pour 2023 concernant l'action des "drones de surface, porteurs de drones sous-marins" depuis nos côtes ; et sans doute pas avant 2025-2026 pour les "bateaux-mères" dont le modèle n'a pas encore fait l'objet d'une sélection, et dont la construction ne commencera, au mieux que fin 2021. Le SLAMF pourra théoriquement être déployé partout via des containers spéciaux, par avion ou navires Ro-Ro, mais cette solution promet d'être plutôt chère. La meilleure solution pour pouvoir le projeter en tout point du globe sera bel et bien celle de disposer des 4 navires-porteurs prévus.
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Après Kahdafi, une nouvelle Libye?
Bruno a répondu à un(e) sujet de Serge dans Politique etrangère / Relations internationales
Sans doute qu'ils attendent une prise de position du gars Donald, qui semble s'en foutre complètement ; et puis se rappeler que par ailleurs les British espèrent que la Turquie va participer au financement de leur très cher projet du nouvel avion de combat "Tempest", concurrent annoncé du SCAF franco-germano-espagnol...