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Si tu préfères, on peut aussi redevelopper une catapulte hydraulique. C'est une technologie qu'on maîtrisait à l'époque ou on faisait des catapultes française (pour hydravions...) Quel que soit la technologie utilisée, il sera très dur d'avoir une fiabilité irréprochable. Industriellement, on va probablement devoir s'équiper d'une machine outils (hors de prix) qui risque de ne pas beaucoup servir. Et il ne faut pas se leurrer, une catapulte, ça demande beaucoup de puissance. Pendant la seconde guerre mondiale, sur certaines classes de PA, les catapultes pouvaient consommer jusqu'à 50% de la puissance du PA. Au moins l'EMALS permet d'utiliser les dernières technologies. J'extrapole probablement, mais si la technologie des catapultes se rapproche de celle des canons électromagnétiques, ça pourrait être potentiellement très intéressant.
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A l'époque les 2000 aussi étaient neufs. Quand la France a décidé de développer le Rafale indépendamment des constructeurs du Tornado, on a essayé de convaincre d'autres pays de participer. Pour l'Espagne, la France a été prise de vitesse et pour la Belgique ... bah ça n'a pas marché non plus.
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Ce qui est important, c'est d'être capable de faire XX 000 heures par ans. Tant que le taux de disponibilité n'est pas le facteur limitant et n'est pas responsable de l'annulation de missions (contrairement au budget alloué) et qu'on reste capable sous xx jours de remettre en état presque tous les avions (donc qu'on a assez de réacteur par exemple donc qu'on a réellement xxx avions et non 60% d'avions et 40% de carcasses d'avions) la disponibilité n'a pas beaucoup d'importance. Surtout que même si on arrive à avoir 100% de disponibilité, est-ce qu'on a le personnel associé ? Entre les permissions, les stages, les arrêts maladie... je ne suis pas sûr que la disponibilité de nos pilotes soit supérieure à celle de nos avions.
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Je crois que ça fait presque 30 ans qu'on a essayé de vendre le Rafale aux belge pour la première fois...
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Et les Yak 130... Enfin c'est sur qu'avec un coût de fabrication plus faible, avec moins d'heures de vols par pilotes et moins de pilotes par avions, la Russie peut "facilement" aligner presque 1000 avions. Mais ça ne veut pas dire qu'ils ont une armée 5 fois plus puissante que la nôtre. Quoique si on compare les mig31 et Tu160 au mirage 2000 -5 ou N, on n'est pas vraiment gagnants.
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Bah comme tout le monde, on a un budget donc on obtient XX avions. Par manque de budget, alors qu'ils avaient demandé 100 avions remplaçant de l'Etendard IV, ils n'ont reçu que 70 SuE. Je ne dis pas qu'avec 30 SuE de plus ils auraient pu déployer 2 GAN, mais ça aurait aidé. Le budget reste le principal problème. On n'a pas de budget donc pas assez d'avions ou de PA.
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Sur ce coup, vu qu'ils ont envisagé le Gripen avant de se payer des F16 au prix des Rafale, je pense en effet qu'on n'a pas su vendre le Rafale. Avec le Rafale, je suis persuadé qu'on pourrait répondre aux besoins de la quasi totalité des pays. Il faut juste qu'on arrive à adapter notre présentation. (Pas besoin de faire la pub du SCALP par exemple)
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C'est bizarre, on dirait que le Rafale (ou le Typhoon ou même le F18) n'a même pas été envisagé. Parce ce que je comprends qu'on préfère du F16 au Gripen, mais si le budget le permet (presque 3 milliards...) la question des autres avions devrait se poser.
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On pourrait aussi dire 2 * 90 = 180 Et F35 : 1 * 125 kN Les 2 avions ont quasiment la même puissance si on ne compare pas avec et sans la post combustion.
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1,6 milliards pour 14 avions, ce n'est pas véritablement bon marché. Le Rafale pourrait presque être commercialisé à ce prix (enfin tout dépend de ce qu'il y a avec)
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En fait l'OTAN, c'est une alliance politique, mais c'est aussi une organisation qui a son budget (qui ne représente qu'une petite partie des budget militaire de chaque pays) et ses personnels (militaire d'un pays membre détaché à l'OTAN et quelques civils) et même son matériel. A mon avis, c'est cette contribution financière qui est en cause et non les 2% du PIB. Vu que les USA représentent plus de 50% du budget de l'OTAN (je parle de l'organisation, pas de l'alliance) c'est probablement eux qui compensent quand un pays ne paye pas. C'est bizarre le fonctionnement de l'OTAN, mais beaucoup de pays ne sont pas vraiment réglo. Les militaires européens de l'OTAN font par exemple beaucoup de formation. Ces formations sont payés par l'OTAN (donc à plus de 90% par un pays autre que celui du stagiaire...)
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C'est probable, mais vu que le CdG est nettement moins puissant que les Clémenceau, je ne serais pas aussi catégorique. (Bon le nucléaire aide beaucoup, et je doute qu'on accepte de réduire d'autant la vitesse)
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Il ne s'agit pas d'un avion de combat, ça devrait passer. En plus la France va avoir besoin de remplacer ses alpha jet, un troc réacteur contre avion associé (ou juste les licences) pourrait être sympathique.
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Les appareils de fabrication "indigène"
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Reste du monde
Pas sera, mais aurait du être. Le programme a été abandonné à la fin de la Yougoslavie. Même si la Serbie a essayé de le relancer avec financement des EAU comme avion d'entraînement (White eagle, si je me souvient bien) il ne faut pas s'attendre à le voir voler. -
Accessoirement, si on augmente la longueur des pistes, on peut réduire la vitesse du PA et avoir les mêmes capacités aérienne. Le CdG avec des pistes de 75m et une vitesse de 27 noeuds est moins brutal que les PA de 32 noeuds avec une piste de 50m. Avec des catapultes de 90m, on doit pouvoir réduire la vitesse du PA. En fait, il est même possible qu'on n'ait pas besoin de plus de puissance si on veut un porte-avions plus grand et qu'on se contente du même type d'avions mais plus nombreux. En fait, si on parle d'un futur PA, plutôt que juste sa taille, il faudrait connaître sa propulsion et même s'il est Catobar ou STOBAR (à une époque ou les C2 sont remplacés par des V22 et qu'on risque d'être obligé d'avoir une version STOBAR de nos chasseurs embarqués pour l'export)
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Ce qui confirme que ce n'est pas 300m et 60 000 tonnes... L'entreprise avait 8 réacteurs. J'ai du mal à voir ce qui interdit un PA avec plusieurs réacteurs.
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On peut avoir plus de détails ou au moins un commentaire ? Sinon cette étude est partiellement fausse (le Brésil n'a plus de PA) et je voudrais bien une justification pour le PA de 300m (autre que faire le plus grand hors USA)
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Carrier Onboard Delivery - Alternatives aux Greyhound
ARPA a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Divers marine
Sinon il faut trouver un constructeur "amateur" qui fait des "grosses" approximations pour ses calculs et se retrouve "par accident" avec un avion dont le train supporte des appontages. Réglementairement pour obtenir la certification, le constructeur doit pouvoir démontrer que l'avion résiste à un usage classique avec un coefficient de sécurité de 1,5. Pour une production en très grande série et pour optimiser au maximum les performances de l'avion (et réduire son coût de fabrication), un constructeur type Airbus va se retrouver avec un coefficient de sécurité de 1,51. Un constructeur d'avion léger qui n'a pas autant d'ingénieurs de disponibles, qui prévoit une petite série (donc coût de fabrication presque négligeable par rapport au coût de développement) qui a moins de concurrence ou de pression des clients (il peut se permettre un surpoids qui va impliquer une surconsommation) ... va se retrouver avec un coefficient de sécurité de 2 ou 2,5 qu'il constatera lors d'essais destructif. L'usage militaire permet aussi d'envisager un coefficient de sécurité plus réduit et on peut aussi limiter ses contraintes (par exemple réduire sa charge utile, le C2 voit sa charge utile augmenter de 50% quand il est utilisé à terre) Avec un peu de chance, on peut aussi trouver un constructeur qui dispose d'une gamme assez vaste ou un avion est décliné en plusieurs version et qu'il serait donc possible d'équiper la version légère du train de la version lourde (cas de la famille A320 dont l'A321 est presque 50% plus gros que l'A318) Il ne faut pas se leurrer, un avion capable d'opérer depuis un PA sera forcement moins performant qu'un équivalent optimisé pour rester à terre. Pour le Rafale, on a une masse à vide augmenté de presque 10% et les 2 versions sont assez peu optimisé (la version terrestre a accepté un léger surpoids pour utilisé des pièces de la version navale et la version navale a par exemple acceptée d'avoir des ailes non repliables) Selon toute probabilité, si on veut faire un avion de transport embarqué, il faudra au minimum développer une version spécifique. Pilatus a donc l'énorme défaut de n'être ni français, ni américain, ni même anglais donc ne verra jamais sont développement financé par une aéronavale. Ce serait bien de connaître le cahier de charge aussi. En contrainte, en plus de la capacité à opérer depuis un PA, je verrais bien une taille la plus petite possible une fois "replié" probablement moins de 20m de long. Pour la mission du COD, il faut savoir si on se contente du transport (quel quantité ? quel distance ? quel vitesse ?...) ou si on prévoit aussi des missions annexe (parachutage, ravitailleur, AWACS, patrouilleur, bombardier lourd...) qui peuvent être assez contraignantes mais qui permettraient de crédibiliser le programme. -
Tellement qu'il n'arrive pas à communiquer avec ses alliés... Le F22 est peut-être très bien, mais il a le très gros défaut d'avoir été produit qu'en trop petite quantité. Ça veut aussi dire qu'il sera très cher à moderniser (autant qu'un F35, mais il faudra amortir le développement sur 150 avions au lieu de 10 fois plus)
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Carrier Onboard Delivery - Alternatives aux Greyhound
ARPA a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Divers marine
A propos il y a déjà eu des opérations de parachutage ou de posé d'assaut depuis un PA? Les américains ont eu une flotte d'essex et autres PA de la seconde guerre mondiale qui ont été convertis en LHA alors qu'ils devaient toujours pouvoir emporter des avions de transport (C1, skyraider, Avanger...) Par rapport à un hélicoptère, ça permet quand même d'aller plus vite et plus loin. D'ailleurs vu que les Avanger et les Skyraider ont pu avoir une version transport, j'ai l'impression qu'on a presque choisi de s'en passer pour l'Alizé. -
Dans le principe, avec un avion qu'on modernise régulièrement au dernier standard et qui devrait avoir une durée de production plus importante que sa durée de vie, on va finir (en 2030 ?) par vouloir retirer du service des avions à bout de potentiel mais encore moderne. La revente à un utilisateur qui consomme moins de potentiel devrait être une solution plus économique. (Mais ça reste à confirmer, qu'est-ce qui fait qu'un Rafale est à bout de potentiel ? Il est possible qu'on ait du changer tous les équipements avant donc que ce soit plus rentable de s'en servir de pièces détachées que de le revendre.) Maintenant la question qui va se poser, c'est quand est-ce que ce sera rentable de les revendre ? La dernière fois, ça n'a pas suffit face au F15. Le Rafale est un peu plus mature depuis, mais fondamentalement ça ne change pas grand chose.
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Je pense qu'on commence à avoir assez de Rafale pour pouvoir compenser la revente de 5 ou 6 par une augmentation du nombre d'heures de vols par avions puis ultérieurement (3 ans) par des livraisons supplémentaires (le montant de la vente permet d'en commander d'autres). Ce ne serait pas l'idéal, mais si ça nous permet de nous gagner des marchés ou que ça nous permet de réduire nos déploiement en OPEX (cas particulier de nos alliés qui en pratique utilisent déjà les nôtres) on ne serait globalement pas perdant. Enfin même si je suis globalement pour qu'on revende/loue nos plus vieux Rafale, je ne suis pas pour les brader. Maintenant il reste à définir leur valeur comparative à des avions neufs et le nombre dont on peut réellement se passer, mais je manque de données pour ça. C'est possible qu'on doivent se limiter à 10 ou 20% de réduction par rapport au neuf et qu'on puisse difficilement se passer de plus de 2 ou 3 avions. Pour la plupart des clients potentiels, l'économie sera trop réduite et concernerait une micro flotte pour être utile. Mais on n'est pas à l'abri d'une bonne surprise. Pour un client spécifique, ça permettrait de rester dans le budget et de se faire livrer rapidement tout en permettant à la France de se débarrasser de ses plus vieux modèles et d'avoir une flotte plus homogène. Accessoirement, ça permet aussi d'avoir un Rafale moins performant à vendre. Si politiquement on ne veut pas vendre des AESA à un pays potentiellement litigieux (l'Argentine ? ) proposer des vieux PESA permet d'avoir un Rafale qui fait moins peur et ça coûtera moins cher que de développer un radar spécifique.
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Malheureusement beaucoup de pays sont dans cette situation. Un chasseur moderne ça fait envie, mais c'est rarement gratuit. C'est vrai... Mais pas forcément plus qu'il y a 20 ans. A mon avis, presque tous les pays pourrait devenir le 4eme export. J'ai vraiment du mal à voir ce qui va faire se décider un pays ou un autre. On pourrait avoir les EAU qui viennent de recevoir un avis d'un utilisateur du F35 et qui pourraient conclure que le Rafale F4 est donc suffisant. Ou alors un pays exotique comme le Pérou ou le Tchad qui commande un très petit nombre de Rafale "d'occasion". Vu la polyvalence du Rafale, il répond aux besoins de tout le monde, il suffit que les conditions politique permettent sa vente et c'est gagné.
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Carrier Onboard Delivery - Alternatives aux Greyhound
ARPA a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Divers marine
En fait je pensais à un assaut aéroporté massif ou une dizaine (ou plus) de C2 parachuteraient plus de 300 commandos à chaque rotation. Mais pour cette capacité, il faudrait réduire le nombre de chasseurs pour avoir de la place pour les C2 et réduire aussi le nombre de personnel aéronautique pour laisser de la place pour plusieurs centaines de commandos (de quoi assurer plusieurs vagues) Mais c'est vrai que même avec des effectifs bien plus réduit, ça doit pouvoir être utile. -
Actuellement, il n'y a qu'un standard, mais quand même des capacités différente. Entre le RBE2 PESA et le dernier AESA, ça doit donner l'impression de 2 avions différents. Évidemment il est possible de changer de radar, mais ça doit être assez rare. Et j'ai cité l'exemple du radar, on pourrait aussi parler des lance leurres ou de l'OSF. La différence F4.1 et F4.2 ne sera peut-être pas plus importante.