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À l'époque de Sarkozy, la Bulgarie était un client potentiel pour 8 Rafale. C'est peut-être à nouveau d'actualité. Une micro flotte ne coûterait pas forcément trop cher.
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Des 747 ou des DC10 ? Ou même des navires voir juste des camions. Et suivant les missions, un seul A400M peut parfois suffire pour remplacer l'AN124. Les AN124 ne sont pas souvent à pleine charge avec plus de 100 tonnes de charge marchande. Et si on se limite aux charges hors "gabarit" (qui ne peuvent pas rentrer dans un avion de ligne classique et imposent un A400M) on devrait souvent pouvoir remplacer l'AN124 par un ou deux A400M et des avions de lignes. On peut aussi appliquer des procédures pour se passer d'un très gros porteur. Déjà il suffit de démonter la charge puis la réassembler après coup pour pouvoir la mettre dans plusieurs avions. Ensuite pour les charges difficilement dissociables (comme les blindé), on peut très bien les pré déployer pour réduire significativement nos besoins de transport lourd. Actuellement on utilise les AN124 parce "qu'on les a". Ils font partie de nos moyens de transport aérien, donc ils seront utilisés même pour transporter une "petite" charge, vu qu'on manque d'avions de transport hors gabarit (la disponibilité des C130 ou C160 est vite ridicule surtout pour une mission à grande distance) mais aussi d'avions de transport classique (seulement 5 A310 ou A340) Rien que l'A330 Phoenix qu'on devrait mettre en service l'an prochain devrait pouvoir accumuler les heures de vol et effectuer du "transport lourd".
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- A400M
- C-130 HErcules
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Un avion de combat moderne, c'est juste un avion de combat qui peut participer pleinement à un conflit moderne. Il faut à mon avis trouver une définition la plus large possible si on veut éviter la campagne de pub qui impose d'acheter le dernier gadget. Il faut se rappeler que le but c'est d'assurer une mission, pas d'avoir des moyens. Un B52 (modernisé comme ceux actuellement en service) me parait bien plus moderne qu'un F117 retiré du service depuis 10 ans. Les caractéristiques de la cellule sont beaucoup moins importante que le système d'armes. Un avion de combat moderne occidental doit par exemple avoir la L16. Et s'il fait du CAS, il faut aussi prévoir une liaison de données avec le sol. En fait, il faut un système de communication "moderne" pour un avion de combat moderne. Il faut pouvoir échanger avec les autres. On ne se contente plus d'une simple radio, mais on parle de liaisons de données (voire de fusion de données) vu qu'on récupère et échange énormément d'informations. Maintenant, il ne faut pas confondre moderne et futuriste. Le F22 est par exemple trop moderne (incompatible avec les non F22) pour être facilement utilisable. C'est à mon avis, le point principal, il faut un système de communication moderne pour participer à un conflit moderne. Maintenant ce n'est pas non plus un dogme ni le seul critère, il reste possible de compenser une faiblesse par d'autres qualités. On peut ensuite regarder d'autres critères de modernité. Pour presque chaque équipements, il y a des modernes et d'autres qui le sont pas mais rendent quand même service. On peut parler du radar qui doit être AESA plutôt que mécanique. Ça permet une plus grande polyvalence, une meilleure fiabilité, une plus grande agilité et à priori une plus grande discrétion... Le réacteur et le reste de l'avion doit être facile (pas forcément économique) à entretenir pour avoir une bonne disponibilité. L'idéal serait de pouvoir approcher les 24H/24 en l'air en cas de besoin. À ce niveau, la numérisation devient un atout. On peut continuer avec un avion facile à piloter. La mission d'un pilote n'est pas de piloter son avion, mais de larguer des missiles ou des bombes. Une mission est assez complexe pour qu'on ne souhaite pas que 99% des capacités du pilote soient accaparés par le pilotage de l'avion. Le but est à la fois de permettre au pilotes de se concentrer sur d'autres tâches (gain sur la complexité des missions) que de lui permettre d'accumuler les heures au combat (en temps de crise, on a besoin de moins de pilotes) ou de réduire le temps de formation (pour user le potentiel de l'avion avec uniquement des heures utile). Évidemment, il faut aussi un système d'armes moderne (des missiles modernes, de bonnes contre mesure ...) sinon on n'a pas d'intérêt à l'utiliser. Une fois qu'on a tout ça, on peut (enfin) regarder les performances physique de l'avion. On le veut extrêmement maniable (même si plus personne ne fait de dogfight) furtif (même si presque plus personne n'utilise les pénétration supersonique ou basses altitude, qui était une forme de furtivité) très rapide (en supercroisiere, même si le mirage IV montre qu'on peut aller aussi loin avec la post combustion et que plus personne n'utilise sa vitesse de pointe) mais ça ressemble plus à une description d'un avion adapté à des besoins spécifiques qu'à la description d'un avion "moderne". Sinon, on peut réutiliser le principe des génération et comparer. Un avion moderne est un avion plus performant/adapté qu'un avion plus "vieux". Au moins l'avantage du terme moderne, c'est qu'on parle aussi de modernisé.
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La Suède a acheté 200 Gripen avant de se rendre compte qu'une centaine serait suffisant. La France n'a pas de Rafale dont elle voudrait se débarrasser.
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L'Inde comme la France devrait structurellement être un allié des USA. Les américains peuvent préférer que les indiens disposent d'une aéronavale correcte, donc ils ont tout intérêt à vendre cette technologie.
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C'était pas plutôt 3 mini PA à l'époque des Invincibles ? Pour en avoir toujours 2 de disponible ou pour pouvoir assurer une permanence sur zone.
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Techniquement, même une levée d'option doit être un nouveau contrat. Pour un pays comme l’Égypte ou une commande d'avions de combat ne fait pas polémique et n'implique pas des débats à rallonge, rien n'empêche de signer tous les ans une petite commande. Leur vendre presque tous les ans une dizaine de Rafale serait même mieux que de leur vendre une fois tous les 10 ans une grande quantité d'avions.
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Personnellement, je trouverais aussi utile d'avoir quelques avions bien usés presque à bout de potentiel. Cela permettrait d'avoir des cellules à "économiser" qu'on pourrait déployer en outre mer pour avoir une présence ponctuelle (3 avions faisant 100 heures par ans, donc approximativement le coût d'opération d'un unique avion) mais ça permettrait aussi d'alimenter un marché de l'occasion pour les pays qui volent peu et qui n'ont pas besoin d'un avion capable de faire 10 000 heures (à 100 heures par ans, rien que 2 000 heures de potentiel, c'est très correct) On aurait aussi un Retex pour savoir si on peut augmenter significativement le nombre d'heure de vol annuel sans trop de conséquence sur le MCO. Techniquement ça nous permettrait d'envisager de réduire (ponctuellement) notre flotte sans réduire notre activité donc de pouvoir répondre à une commande urgente d'un client export sans conséquence à court terme (le temps de se faire livrer de nouveau rafale).
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C'est à mon avis une des questions principales. Pour peu qu'on arrive aussi à motiver les armées de l'air avec une version "bombardier à long rayon d'action/ravitailleur" et que plusieurs pays participent, on devrait pouvoir envisager une série correcte. Le moteur est presque ce qui coûte le plus cher. Si on veut un moteur ITAR free et qu'on n'opte pas pour un réacteur, on risque d'avoir un choix très limité de moteur. Si on exclue le TP400 et qu'on veut un moteur à hélice, on risque d'être obligé de se limiter à un avion trop petit.
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20 minutes, ça permet quand même plus de 100 km (et encore plus si c'est à haute altitude et qu'on finit en version planeur). S'il s'agit d'une patrouille trop lointaine, ça laissera 20 minutes pour appeler les secours et s'écraser à proximité d'eux. En plus 20 minutes, ça permet aussi d'avoir une chance de redémarrer le moteur. Ce serait à calculer mais je pense que ça serait suffisant pour sauver la plupart des vies.
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C'est le plus puissant turbopropluseur occidental. C'est aussi celui qui sert pour un des plus rapides avions occidentaux. On peut envisager un mono moteur aussi performant qu'un transall ou un multi moteur très gros. On pourrait aussi envisager de s'en servir pour un hélicoptère très lourd. En plus c'est un moteur qui a coûté une fortune à développer et qui est censé représenter la pointe de la technologie européenne. Ce serait bien qu'on ne s'en serve pas que pour l'A400M.
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Légalement, l'A400M réponds à toutes les normes civiles donc pourrait être considéré comme un avion civil. Enfin le problème, si on veut faire un avion de transport de passagers (pour le fret c'est juste un A400M), c'est qu'on aura un gros porteur (120 tonnes) mais relativement lent donc limité au court courrier. Le marché pour un avion de 3 ou 4 00 places avec moins de 3 000 km d'autonomie risque d'être très limité. Il s'agirait plutôt de les larguer. S'il s'agit de missiles, il faudrait les larguer sur une palette qui pourra ensuite les tirer.
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S'il faut développer un avion de mission, ce serait peut-être bien de conserver un quadri-TP400. Ce sera un gros avion (mais pas autant que le Tu142) mais ça permet de conserver une grosse partie de l'A400M. En fait, il suffirait de changer le fuselage (plus fin et avec une soute) et on peut conserver la voilure, les moteurs, l'avionique... Un A400M de mission serait idéal comme Patmar/Surmar (endurance, vol à basse altitude, vitesse variable...) avec de nombreux avantages comme une capacité de ravitaillement en vol (il reprend le nez de l'A400M donc sa perche de ravitaillement), la possibilité d'être ravitailleur (il reprend ses ailes donc les pods de ravitaillement en bout d'ailes donc serait normalement plus performant que l'A400M) et avec un gros potentiel de bombardier lourd (capable de voler en TBA, grosse autonomie, soute énorme) Un couple transporteur/avion de mission en quadri réacteur TP400 serait comparable aux couples C160/Atlantic ou C130/P3 orion voir même au couple An22/Tu95 ou Tu142.
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Si j'ai bien compris, oui ils payent la totalité à Dassault à la livraison (+ des acomptes pour lancer la production...) mais le problème c'est que pour payer, ils font un crédit à la banque. Pour l'instant ils arrivent à payer leurs mensualité "sans difficulté", mais on est pas sur qu'ils puissent payer plus. La plus grave, c'est que ça ne concerne pas que le Rafale, mais tout le commerce étatique égyptien, la Banque (indirectement la France) est à la limite ne plus vouloir rien leur prêter. Ils sont peut-être déjà tellement endétté que si on leur vend plus, ça imposera d'étaler un peu plus les remboursements, une vente supplémentaire pourrait n'impliquer un début de retour financier que dans 10 ou 30 ans. Soit statistiquement après un changement de gouvernement ou le nouveau ne souhaiterait plus reconnaitre les dettes de l'ancien. Pour l'Egypte, j'ai l'impression que si on ne leur prete pas d'argent pour acheter nos produits, ils vont juste aller voir ailleurs (producteur et banquier) ce qui ne les fera pas rembourser plus vite la dette qu'ils ont à notre niveau.
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S'ils envisagent de s'équiper de plusieurs porte-avions et de centaines de Rafale, un programme équivalent pour l'armée de terre pourrait impliquer 1700 chars. En pleine guerre froide, la France prévoyait 1500 Leclerc, la RFA avait reçu plus de 2000 Léopard 2. 1700 c'est beaucoup, mais pour un pays continent ou un pays en guerre, c'est normal.
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Ils ont beaucoup d'AN124 de stocké en attente de rénovation?
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À mon avis, il faudrait plutôt regarder du côté des Rafale en OPEX. En quelques mois, ils font leur cota de l'année et pour peu qu'un des Rafale fasse plusieurs déploiements ou reste sur place plus longtemps que prévu, on doit en avoir presque à mi vie.
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Armée de l'Air du Qatar
ARPA a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Afrique / Proche Orient
Tu aurais pu lire la suite. C'est vrai qu'ils n'ont été payé que très récemment, mais la promesse d'achat (a long terme) est très vieille. -
Oui, c'est le "vide vite", presque tous les jet en sont équipés. Les avions risquent d'être trop lourds pour pouvoir se poser juste après le décollage donc il fallait un moyen pour se débarrasser du trop plein de carburant. Maintenant je trouve ça bizarre qu'on s'en vante. C'est à la limite de l'acte de guerre si c'est intentionnel.
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17 m pour le Mig. A moins de faire une manip comme pour le Rafale ou il démonte son nez pour passer par le pont, il ne restera que le Tejas.
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Mais on peut faire rentrer quoi comme avion? Même le Gripen fait un peu plus de 14m. Et 16m de long, ça reste petits, moins qu'un Mig29.
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Personnellement, je ne connais pas assez le F35. Je veux bien qu'il soit miraculeux mais pour ça, il me faudrait plus que des arguments comme "Il vole". Et désolé si on doute de tes connaissances, mais on a l'impression que tu ignore des faits simple. C'est comme tirer un missile dans ses 6 heures radar éteint sur les coordonnées fournies par l'allié ? Ou larguer une bombe qui sera guidé par un autre avion ? Je ne nie pas que le F35 sera très bien. Mais les capacités du F35 que tu cites existent ailleurs. Quand tu dis que sa liaison de données sera plus furtive, ou que son IHM sera plus performante que la concurrence, on peut te croire, ils ont en tout cas le budget pour. Mais évite de dire que c'est le seul qui pourra faire quelque chose que presque tout le monde fait déjà. Ça décrédibilise ton message.
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Armée de l'Air du Qatar
ARPA a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Afrique / Proche Orient
D'après Wikipedia, l'accord de défense entre la France et le Qatar date de 94. Maintenant je ne sais pas ce qu'il comprend, mais on était quand même arrivé à leur vendre du Rafale dès les années 90 (dans le contrat sur les 2000, il était écrit qu'ils ne pouvaient lesremplacer que par des avions français) ils nous ont aussi aidé en Libye. Techniquement, je pense que le Qatar est un de nos meilleurs alliés. On n'a pas du tout les mêmes intérêts ni le même type de gouvernement... mais le Qatar respecte cette alliance. -
C'était un problème technique à cause du radar ou c'était par manque de besoin vu que le Rafale F1 était limité au air-air? Ou c'était un choix d'avoir d'abord développé les capacités air-air plutôt qu'air-sol avant de le rendre polyvalent ? On a mis en service le radar anémone en 94 et c'était aussi un radar à balayage électronique passif mais optimisé air-mer. Techniquement on ne devait pas être loin de pouvoir faire des RBE2 beaucoup plus tôt.
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Le Rafale remplace le mirage 2000N qui remplaçait le iv qui remplaçait le Vautour donc 4ème génération. Donc on parle d'un avion de 4,5 génération?