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Donc on paye le développement d'un avion pour ne pas en profiter? Objectivement, je ne pense pas que les programmes militaires soient financièrement/économiquement rentable surtout si on n'a pas d'intérêts militaire.
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Israël, Royaume-Uni, Turquie et peut-être même Inde. Ils souhaitent plus ou moins être autonome et se servir de leur armée sans les USA.
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Je pense que ça dépend énormément de l'avenir du Rafale. Et personnellement, j'ai du mal à l'imaginer. On pourrait très bien avoir un Rafale qui sera "éternellement" modernisé et toujours très crédible dans 40 ans (les F15 et F16 le sont toujours et ils ont presque 30 ans de plus que le Rafale) mais on pourrait aussi commencer à le pousser vers la retraite dès ce quinquennat en développant son successeur (au lieu du nouveau standard) C'est une décision que la France doit prendre et la Belgique peut nous convaincre de choisir le Rafale plutôt qu'autre chose.
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Mais non. C'est juste que Airbus est une entreprise européenne donc c'est normal de la choisir de la part d'un pays européens. Ensuite je crois qu'Airbus n'a finit aucun avion en France (ni les A3X0MRTT, ni les A400M, ni les Typhoon ou les C101) donc si Airbus veut être considéré par la France comme un avionneur militaire, il faudra bien produire en France. Maintenant ce n'est que du pur hasard si la France a plus de retour économique que l'Allemagne... Je crois que ce n'était pas du tout le sujet. Nos aventures industrielles (le Rafale, le Neuron...) sont suffisantes pour trouver des exemples ou on se lance seul sans vouloir en assumer le coût.
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Airbus peut produire des Rafale sous licence ? Je verai bien l'ouverture d'une usine d'assemblage à Toulouse pour répondre aux besoins européens (pour les besoins français, on garde l'usine de Dassault)
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je n'ai pas dit qu'il y avait de soucis. Je répondais juste à la question initiale, donc à savoir si on allait conserver le rythme de 11 avions. Normalement l'an prochain on devrait encore avoir un petit doute (une livraison de 23 avions ne ferait que rattraper le "retard" des années précédentes) mais dès 2019 on devrait être sur qu'on a augmenté la production. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ce tableau ne décrit que les livraisons. On a eu plusieurs années avec assez peu de livraisons. Entre 2013 et 2017, si on a produit 11 avions par ans, il en resterait 12 à livrer. Maintenant si dés l'an prochain, on livre 22 avions par ans, ça veut dire qu'on a déjà commencé à produire à double régime depuis plus de 2 ans. -
Comme déjà dit, les -5 n'étaient pas nos seuls vecteurs air-air. On avait aussi des 2000C et même certains F1 (et quelques F8 mais il vaut mieux ne pas les compter). Théoriquement même les 2000D pouvaient assurer certaines missions air-air (guidé par le sol ou un AWACS vers une cible peu menaçante) Et surtout, on parle d'une période pas très glorieuse pour notre aviation de combat. Je ne souhaite pas à nos alliés de se retrouver dans la même situation.
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Faudrait déjà qu'ils puissent sortir. Je suis peut être méchant, mais quand je lis moins de 50 F35B qui seront partagés entre la RAF et la RN, guère plus pour l'Italie, des flottes d'une trentaine d'avions pour les "petits" pays européens ... J'ai vraiment l'impression qu'on fait dans le symbolique.
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De toute façon, c'est suffisant pour rouler en ville, pas besoin de plus. Donc pas de raison de se plaindre.
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Il appartenait aussi à l'industriel de proposer une solution cohérente compatible avec ses capacités. Un programme double avec deux avions, un tactique issus des casa en plus gros et un "stratégique" issus d'un A3X0 aurait pu être proposé et aurait peut-être été plus adapté.
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[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'espère qu'avant de s'engager pour le pétrolier, on aura une idée de notre futur PA. Si en 2040 on se retrouve avec 2 PA conventionnels de 70 000 tonnes, on aura pas les mêmes besoins que si on se retrouve sans aéronavale ou juste avec un PAN comme le CdG. -
Vu le nombre de F22, je ne suis pas sûr qu'il soit présent dans tous les plans de bataille américain. Même l'USAF risque de souvent utiliser ses F35 sans le soutien des F22.
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Enfin pour le C160, il aurait suffit de faire une première série complète. Lors de la 1er série, les allemands ont commandé 110. La France a commandé 50 avions de la première série, puis 29 de la seconde série. En commander 21 d'une troisième série (à la place des 14 C130 ?) ne ferait qu'atteindre le nombre initialement commandé par les Allemands. Et si on rajoute qu'on a "gaspiller" 6 Transall pour les transformer en H ou G et on en a prêté 4 à l'aéropostale, on a encore diminué de 10 notre nombre d'avions de transport. Notre première série aurait du être vraiment beaucoup plus importante. La seconde série n'a servie qu'à limiter la casse, on aurait du en commander 30 de plus (et peut-être même plus si on avait développé la version AWACS qui aurait pu précéder les E3F d'une dizaine d'année) Et lors de la seconde série, il aurait fallu investir plus que juste dans la chaîne d'assemblage. En 1981 avec le C160NG, on avait juste rajouté une perche de ravitaillement au C160F de 1965. A la même période, le C130 est passé du E au H et il a gagné presque 25% de puissance. La même évolution sur le C160 aurait fait utiliser des moteurs de presque 7000 ch. A mon avis un des problèmes du C160 vient aussi d'une "mauvaise" gestion industrielle. On a tout produit en quelques années donc quand on a voulu produire plus d'avions (pour l'export ou pour nos propres besoins) on a du revendre les avions d'occasions (pour la Turquie) ou reconstruire une usine (pour nous et l'Afrique du Sud) Cela veut aussi dire que quand on a relancé la production, une grosse partie du budget qui aurait du être consacré pour le développement d'amélioration a été "gaspillée" à reconstruire une usine qu'on aurait pu conserver. Si on s'était contenté d'une production au ralentit (1 par mois par exemple) on avait de quoi maintenir la production pendant plus de 20 ans (ce qui nous aurait permis de ne pas reconstruire l'usine et d'être toujours en production quand la France s'est équipé des C130H) donc avec les évolutions régulières, on aurait peut-être même pu remplacer les premiers C160 du début de la production par les derniers produit donc on aurait pu se contenter de développer une nouvelle version plutôt qu'un A400M. En plus produire un "équivalent" du C130 nous aurait permis d'avoir une petite partie du marché de 2000 avions de transport tactique. Pour la France, on peut aussi rajouter que l'absence d'avion de transport "à long rayon d'action" (C141, DC10... voir même une variante de l'A300) nous a forcé à utiliser les C160 pour des missions ou il est inadapté donc ça nous a convaincu d'acheter des C130 à peine plus performant pour ce rôle.
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Certains pays s'en servent pour détecter les tirs d'obus. Donc la plupart des drones doivent pouvoir être détecté.
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Le F35 est aussi (surtout ?) prévu pour être l'avion de la coalition qui attaque avec la supériorité numérique. La capacité air-air n'est pas si indispensable que ça vu que l'adversaire sera en infériorité numérique. Et pour la PO ou la défense aérienne contre quelques chasseurs russes ou chinois égarés, ce sera quand même suffisant. C'est un peu comme le F16, mais en exagéré. En air-air, le F16 ne s'en sort face aux Mig29 et Su27 que grâce à la qualité de son système d'arme (ou au fait qui soit du bon côté de la coalition quand il est déjà présent et guidé par un AWACS face à une cible qui n'ose pas allumer son radar)
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est une possibilité que j'ai du mal à envisager et qui me ferait vraiment râler, mais théoriquement, ça reste envisageable. Cela voudrait dire qu'il y a un premier "miracle" qui fait que les F35 (au moins A et B) sont vraiment performants (de part ses performances brutes mais aussi par son coût) mais aussi une "catastrophe" qui fait le Rafale devient presque aussi obsolète que le Typhoon. -
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ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Personnellement, ce qui me parait le plus grave, ce n'est pas qu'on dispose de si peu de stock (je commence à avoir l'habitude, on doit avoir une armée prévu pour des conflits de faible intensité ou pour un gros mais de très courte durée avant le passage au nucléaire) mais qu'on ait une capacité de production/régénération ridicule. Si notre industrie/économie n'est pas capable de produire plus que la moitié ou le tiers de ce qu'on consomme par an, ça veut dire qu'on a un problème et qu'il est temps qu'on passe en "économie de guerre". Économiquement, les stocks coûtent cher donc c'est normal qu'on en ait assez peu, mais si on n'a que 3 ans de réserve et qu'on consomme 2,5 fois plus que ce qu'on produit... c'est qu'il y a un problème. Soit on doit produire plus, soit on doit consommer moins. Je ne sais pas à quel point on est trop engagé en OPEX, mais si on veut continuer à ce rythme, on va avoir besoin de relancer notre complexe militaro-industriel. -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
En fait, la question me parait encore plus ouverte pour le mode de lancement. Surtout si on vend des Rafale M "STOBAR" à l'Inde, un PA STOBAR serait tout à fait crédible. S'il s'avère que le Rafale ne se vend plus et qu'en 2020 on arrête sa production, il sera peut-être cohérent de s'équiper de la "7eme merveille" qu'est le F35 donc la solution d'un PA STOVL est peut-être même crédible. Autant le mode de propulsion ne concerne que notre politique interne et la taille de nos navires ravitailleurs, autant le choix du mode de lancement implique beaucoup plus. Cela concernera le type d'avions qu'on peut envisager (le STOBAR ne demande pas trop de modification, le CATOBAR implique de renforcer le train avant et limite à une masse maximale qui dépend de la taille/puissance des catapultes, le STOVL implique un avion complètement différent) et les relations qu'on acceptera d'avoir avec les USA (donc si on peut avoir des catapultes américaines) -
90.550 oui, ils ont (encore) changé de nom. J'avais pas fait gaffe, mais sur ton lien, tu cites justement une mission armée de l'air. La mission de couverture des LRU c'était en 2016.
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ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
L'avantage de prolonger le CdG, c'est aussi que ce n'est pas le "même budget". C'est un argument bidon, mais politiquement le budget d'entretien est beaucoup plus facile à obtenir que celui d'acquisition. Personne n'a fait de commentaires sur l'IPER à plus d'un milliard d'euros alors que le PA2 est un sujet de politique nationale même si DCNS avait fait une proposition pour un PA2 à seulement 1,8 milliard d'euros. -
J'ai du mal à comprendre le "en principe" à l'armée de terre. La plupart des missions du giraffe sont quand même au profit de l'armée de l'air. Le contrôle de la 3ème dimension doit être à l'armée de l'air sinon ça ne sert pas à grand chose d'avoir 3 armées. En plus s'il faut faire des missions de contrôleur aérien civil (pour dire à l'avion de ligne de ne pas rester sur la trajectoire) je ne suis pas sûr que l'armée de terre en soit capable.
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Ce serait aussi valable pour l'Égypte. Là c'est plus dans l'optique d'optimiser la production entre les 2 sites. Ce qui permet d'avoir plus de marge en France pour produire pour d'autres clients.