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Le Rafale est évidemment adapté à tous leurs besoins, mais il ne faut pas la même pub. Pour la Belgique, c'est l'avion idéal pour une OPEX vu que les Rafale français seront sur place. Mais pour la Suisse, c'est l'avion idéal pour la PO avec son autonomie et sa maniabilité à basse vitesse. C'est évidemment possible, mais négocier simultanément avec 4 ou 5 pays et leurs entreprises va être très compliqué. Ça me parait quand même plus simple de gérer 4 ou 5 contrat presque indépendant.
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Puis il faudrait aussi reculer les plans canards, écarter un peu les entrées d'air pour avoir un vrai biréacteur et pour pouvoir installer un train avant plus grand (ce qui permet d'avoir des charges un peu plus grande et/ou envisager une version navale) Je crois que ce sera tout pour la structure, maintenant pour l'avionique, il faudra remplacer le radar par un AESA capable de suivi terrain. En radar européen, il faudrait opter pour un RBE2. Ensuite pour le réacteur, ce serait bien de le remplacer par un réacteur plus polyvalent et moins optimisé pour l'interception (haute altitude et haute vitesse) S'ils veulent ça, je crois que Dassault peut se charger de ces modifications.
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En plus l'assemblage permet de bien connaître l'avion donc d'être capable de le réparer ou d'assurer une future MLU.
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On peut proposer, mais ces pays n'ont pas les mêmes besoins. Et si on veut proposer des compensations industrielles, ça va être compliqué. Si on propose à la Belgique de nous acheter des Rafale assemblés en Inde, je crois qu'ils vont nous rire au nez.
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Des Rafale, c'est vague. Entre un F1 et un futur F4, il y a une grosse différence. À mon avis, presque aucun avion ne peut menacer le Rafale, mais ils peuvent nous forcer à développer un nouveau standard.
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+1 Dassault est obligé de trouver des clients pour maintenir la chaine de production mais aussi pour payer le développement des mise à jours pour rester au niveau de la concurrence. Entre les EAU, le Canada, la Belgique et l'Inde, on a 4 gros clients potentiels et il faut aussi rajouter des petits clients comme la Malaisie. On a quand même des chances de se trouver un client qui nous permettra de tenir encore quelques années.
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A propos du lien, on voit bien un rafale avec réservoirs conforme et supersonique? J'étais dans l'optique que les CFT devaient servir surtout pour des configurations lourdes avec les gros bidons, donc quand l'aérodynamique est déjà bien dégradé.
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C'est aussi une façon de savoir ce qui existe et peut être fait pour rédiger un cahier des charges pour le "chasseur" franco-allemand. A la fin des années 70 ou au tout début des années 80, la France avait testé des F18. C'était officiellement pour envisager de remplacer notre flotte, mais c'était aussi pour savoir ce qu'il fallait demander à Dassault. Maintenant s'il peuvent se rendre compte que le Rafale est déjà très bien vis à vis de la concurrence (et pas uniquement face à un typhon inadapté) ce serait déjà très bien. Il "suffirait" de les convaincre politiquement pour vendre des Rafale. Les américains ont l'avantage d'être la référence, un avion n'est bon ou mauvais que par rapport aux productions américaines. On peut acheter un F35 sans regarder ses caractéristiques techniques vu qu'on sait qu'il sera suffisamment performant (au moins pour l'OTAN) mais un client potentiel du Rafale va vérifier que notre proposition est correcte.
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À relativiser très fortement. C'est presque le PIB français, mais par rapport au budget militaire américain sur 50 ans, ça devient presque raisonnable.
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Le Canada est un pays historiquement allié de la France comme la Belgique. Personnellement, ça ne me dérange pas du tout qu'on leur refile les plans complets de la dernière version du Rafale. Et ce serait tellement bien d'équiper un des pays majeur de l'OTAN que je ne demande pas à ce qu'on fasse des bénéfices sur ce contrat.
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Innovations dans l'aéronautique/aviation civiles
ARPA a répondu à un(e) sujet de Skw dans Aviation de ligne, d'affaire...
Je l'ai lu, mais je ne comprend pas trop pourquoi. On va avoir une batterie prévue pour se décharger en moins de 2 heures (je doute que l'avion ait plus de 2 heures d'autonomie à la puissance maximale) donc techniquement si on a la puissance suffisante, il ne faudrait que 2 heures pour recharger. Il faudra probablement se brancher presque directement sur une centrale nucléaire, mais ça pourrait être suffisant. Vu qu'il y a de toute façon une escale de probablement plus d'une heure entre deux vols, il devrait être assez facile de recharger l'avion. Pour du très court courrier, ça me parait assez réaliste. Surtout si on considère que les batteries vont représenter une grosse partie du prix de l'avion, ce ne sera pas vraiment du gaspillage de laisser une cellule d'avion autour des batteries en charge.- 56 réponses
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Innovations dans l'aéronautique/aviation civiles
ARPA a répondu à un(e) sujet de Skw dans Aviation de ligne, d'affaire...
Et pourquoi pas utiliser un treuil qui permettrait de faire accélérer très fortement l'avion donc de commencer le vol avec une vitesse "correcte" (pas celle de croisière, mais quand même plus de 2 ou 3 00 km/h) Un peu comme pour les planeurs, mais en plus gros et le but n'est pas d'atteindre une altitude suffisante, mais juste une vitesse suffisante. Le principale problème, c'est qu'il faut un moteur (électrique) de très forte puissance, donc consommant beaucoup d'électricité. Mais vu qu'au même endroit il faudra aussi recharger les batteries des avions, on aura déjà une alimentation suffisante. Cela imposera une piste longue, mais ce ne sera pas forcement problématique si ça permet de décoller silencieusement donc sans déranger les riverains.- 56 réponses
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Pour l'instant on utilise encore des RDY et des Antilope... Les PESA ne sont pas les plus obsolète et de loin. Tant qu'ils fonctionnent, ce serait dommage de les remplacer. Bon, si on trouve le moyen de s'en servir autrement (sur un autre vecteur comme les 2000 par exemple) ou qu'on arrive à les revendre (à un pays "pauvre" qui se contentera de Rafale PESA) ça se comprendrait, mais jeter des Radar en bon état... En plus vu que c'est presque plug and play, on pourra avoir une flotte uniforme de F4.2 en OPEX face à la Syrie ainsi que pour les FAS et la PO et reléguer les F4.1 en Afrique ou pour les missions d'entraînement. Même si le Rafale peut être modernisé, on va être obligé de gérer plusieurs standards matériels. On peut trouver des solutions pour se débarrasser "rapidement" des plus vieux, comme une revente ou une sur utilisation (En entraînement ou pour les missions de faible intensité qui n'ont pas besoin de mieux) mais on ne peut pas éviter d'avoir plusieurs standards.
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La meilleure façon de réduire les coûts de production c'est justement de ne pas produire. Si la modernisation peut s'appliquer en retrofit, pas besoin de relancer la production. D'ailleurs il faudrait moderniser quoi? À part son prix, il n'a pas beaucoup de défauts et il reste au niveau de la concurrence. Maintenant si un gros client accepte de payer pour relancer la production, on aurait tout intérêt à passer des petites commandes pour maintenir la production (10 par ans seraient suffisant ?)
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[Japon] Force nucléaire nationale en perspective ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Dissuasion nucléaire
En analysant les retombées radioactives ou en demandant à la communauté internationale? De toute façon, si on repère que le missile a été tiré depuis un sous-marin ça ne nous donnera pas la cible.- 21 réponses
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En pratique, on a surtout essayer de vendre des Leclerc neuf contre des léopard d'occasion modernisé donc c'est sur que le Leclerc était plus cher. Le Leclerc doit être un des rares char post guerre froide donc il a eu une production nettement moins importante que ces concurrent produit quelques années plus tôt.
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Pour des F4 ou des F16, ça a déjà été fait. Par exemple, les skyraider français avaient passé quelques années dans ce désert. Je veux bien que le F35 soit fragile, mais il devrait se conserver assez bien là-bas. En pratique même 15 à 18 prototypes (cas du Rafale si on considère les F1 comme des prototypes) c'est déjà énorme. Mais la on parle plutôt du premier standard ou de la première version. En autre exemple français, on pourrait parler du mirage III dont la première version a quand même concerné une centaine d'avions avant que le fuselage soit allongé. Dans "quelques" années quand le F35 sera vraiment mature, une modernisation sera peut-être plus utile que maintenant.
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Pour les américains, il n'y a pas vraiment de différences. En France on a les hangars de Chateaudun, l'équivalent américain c'est le désert.
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C'est exactement ce qu'on a fait avec 9 Rafale F1. On ne voulait pas payer une modernisation provisoire (F2) donc on les a retiré du service le temps que la version "définitive" (F3) soit disponible. Ce n'est pas si choquant que ça.
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Si ça se passe comme ça, il ne restera plus qu'à essayer de leur vendre des M et un PA pour remplacer le Bonaventure. Et vu la participation très régulière du Canada à toutes les coalitions, ils auraient probablement l'utilité d'un petit PA.
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On verra, mais ils sont bien capable d'avoir la totale. Pour bombardier, la construction sous licence des Rafale et une participation dans le développement des prochains standard va quand-même représenter plusieurs milliards. Soit l'equivalent de plusieurs dizaines voir centaines de CSeries. Si ça ne sauve pas la compagnie, ça va bien l'aider.
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Je me demande à quel point il doit être possible de faire participer les autres utilisateurs du Rafale au financement de ces améliorations. En soit tout le monde en profitera (si c'est possible en retrofit), donc l'Inde ou le Qatar pourraient bien contribuer au financement. À l'époque, on avait du mal à financer une amélioration pour un avion commandé uniquement par la France, maintenant que l'avion a une véritable carrière internationale, il doit être plus facile de financer une amélioration. Et s'il faut 300 ou 500 Rafale pour amortir un développement, c'est plus valable maintenant qu'à l'époque.
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On peut aussi rajouter que maintenant qu'on a trouver des clients "basiques" qui nous permettent d'assurer la production à "court" terme, on a aussi besoin d'un client bien riche et exigeant capable de payer de grosses modernisations qui nous permettront de maintenir le Rafale à jour à "long" terme.
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Pour rappel, il va y avoir plus de F35 que de Rafale en Europe.