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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    [Rafale]

    Le drone porte missile aussi il décolle d'un plateforme habité ... un drone ce n'est autre qu'un missile de plus.
  2. Rien de plus que notre rocket de 68mm qui dispose aussi d'une tete HEAT, d'un tete HE, et d'un tête à fléchette anti blindé. Il y a en tout 4 taille de fléchettes j'avais fait l'inventaire dans le forum. La Type 23 HEAT https://cat-uxo.com/explosive-hazards/rockets/68mm-type-23-rocket La Type 26P HE frag https://cat-uxo.com/explosive-hazards/rockets/68mm-type-26p-rocket La SPMV avec différente charge de fléchette ici 36 "moyennes" https://cat-uxo.com/explosive-hazards/rockets/68mm-spmv-rocket Il existe une variante avec 6 grosses fléchette, et deux variante avec des fléchette plus petite x60 et toute petites x 500 Depuis se message ou la plus petite flechette faisait la masse d'un projectile de doucette il existe deux tailles plus petites de fléchette, une taille 7.62 une taille 5.56 comme sur les hydra.
  3. 1 milliards ça n'a été que le budget d'une année exceptionnel - 1993 - , depuis toujours autour 500 millions. Et cette organisation est bien le résultat de la déportation des arabe par l'ONU elle même !!! C'est le résultat de sa propre faute ... ni un hasard ni une fatalité ... ... accessoirement les donateur à l'UNRWA le font volontairement ... il n'y a pas d'obligation les états sont libre de donner ou pas, et du montant qu'ils donnent en conséquence du bordel qu'ils ont mis. Le budget de l'UNRWA sert à abonder largement l'aide sociale des palestinien résident dans les camps de réfugié du Liban, de Jordanie et de Syrie, pays qu'on a forcé à accueillir des réfugiés ... et qui ne seront jamais citoyen local.
  4. g4lly

    [Rafale]

    L'ASMP il est piloté par qui ? Le M51 pareil ?
  5. J'ai regadé auss ca ressemble beaucoup à la vidéo j'ai pas vu d'incohérence. Peut être pour protéger Dnipro et les voies logistique, ou des déploiement F-16 dans le coin pour les rapprocher un peu du front.
  6. La munition existe déjà et a été commandé par l'allemagne il y a dix ans ? Elle ne marche pas ? Je sais que les américains ont abandonné leur programme bien avancé de mini torpille anti-torpille, et que leur programme de tir de munitions supercavitante - pourant les munitions sont de simple fleche anti-char à peine modifiées - contre les mines notament.
  7. Au sud ouest de Dnipropetrovsk ?! Surprenant.
  8. En même temps "un des seuls" c'est parfaitement relatif comme expression ... puis c'est de bonne guerre de servir la soupe à MBDA.
  9. Tous les systeme DCA high end sont sensé le faire ... pas forcément tous aussi bien ou dans les memes conditions ... mais c'est la base aujourd'hui puisque les missile balistique sont souvent "hypervéloces" - terme qui ne veut pas dire grand chose d'ailleurs -.
  10. Coté Siversk, les russes ont percé vers l'ouest depuis Bilohorivka vers Serebrianka. La situation se dégrade rapidement dans le secteur les russes s'approche de Siversk à 3 ou 4 km, au nord, à l'est et au sud.
  11. C'est surtout qu’Israël n'a pas 1 milliards de rab' à donner à ses ennemis !!! En plus qui va fournir la force de travail ?! Les israéliens ? Si comme tu le rapport tous les palestiniens sont des terroristes en puissance ... c'est la seule issues non ?
  12. Le budget n'a rien de faramineux !!! Et c'est bien l'ONU qui a déporté ces gens ... alors le minimum c'est d'assumer ou de devenir une organisation paria ... ... UNWRA gère les camps de 6 millions de réfugié, en gros elle propose tout le service universel, santé, aides sociales, l'éducation, la scolarité etc. etc. En gros le budget c'était au maximum 187$ par réfugiés ... depuis 2013 c'est retombé à 80$ par réfugié.
  13. Le plus amusant dans cette diatribe ... c'est que même Israël qui conspue l'UNRWA ne peut pas s'en passer ... parce qu'ils - les israéliens - seraient absolument incapable de survenir aux besoins des 2.5 millions de réfugié en territoire occupé/cerné ... Sinon l'organisation c'est 30 000 personnes quasi toute issues des réfugiés eux même ... En même temps tu vas prendre un poste dans la bande de Gaza toi ?
  14. Chez TDA il existe une rocket aéroporté 100mm ... C'est déjà assez solide comme engin. Il faudrait une expression du besoin pour que TDA relance cette rocket et mette dessus des solutions moderne de guidage. Mais a priori il n'y a pas de "besoin" ...
  15. Les contre-mesures pour navire de surface ce sont les Canto ... Qui fonctionne en mode confusion/dilution... Pour le moment pas de changement sur le sujet. Pas de leurre remorqué, pas de solution active type torpilles antitorpille, ni canon a superca station.
  16. Le maillage existe, ou existait ... mais le rail est devenu la dernière roue du carrosse parce que l'infra est très couteuse. Donc on entretient plus que les lignes les plus rentable, ou les lignes largement subventionnées. Et on est pas obligé de rouler à 300km/h pour faire un trajet pratique ... pendant longtemps les trains roulant à 160 ou 200 km/h étaient déjà considéré bien plus rapide que la voiture. Avec les limitations de vitesse sur les autoroutes et le trafic ... ça ne s'est pas arrangé.
  17. La guerre ayant lieu en Ukraine 94' ... il est assez trivial que l'immense majorité des destructions y est lieu ... comme pendant la guerre de 14-18 par exemple? Y a t il un débat à ce sujet ?
  18. Il est vraiment bindé ... ça fait toute la différence. Et la surmasse lié au blindage, à obligé à adapter la base roulante, moteur plus puissant, suspension, frein etc. ça chiffre vite.
  19. https://www.lemonde.fr/international/live/2024/10/09/en-direct-guerre-au-proche-orient-au-moins-400-000-palestiniens-coinces-dans-le-nord-de-la-bande-de-gaza-selon-l-unrwa_6347109_3210.html L’armée israélienne affirme que « quiconque » se trouve dans le sud du Liban « met sa vie en danger » L’armée israélienne a émis un nouvel ordre à l’adresse des habitants du sud du Liban, affirmant « continue[r] d’attaquer les sites du Hezbollah » et leur enjoignant de ne pas rester dans la région. « Aux habitants du sud du Liban, prenez garde ! (…) Il vous est interdit de rentrer chez vous jusqu’à nouvel ordre, afin d’assurer votre sécurité. Vous devez vous abstenir de vous diriger vers le sud. Quiconque se dirige vers le sud met sa vie en danger », a relayé le porte-parole de l’armée israélienne pour les médias arabes Avichay Adraee, dans un communiqué diffusé sur X. Dans un communiqué distinct, l’armée d’Israël affirme poursuivre ses opérations dans le sud du Liban, déclarant avoir « démantelé des rampes de lancement qui constituaient une menace pour les communautés du nord d’Israël », ainsi que tué plusieurs membres du Hezbollah « lors d’affrontements rapprochés et de frappes aériennes » et détruit « plus de cent cibles » du mouvement chiite libanais, « au cours de la journée écoulée ».
  20. https://www.lemonde.fr/international/live/2024/10/09/en-direct-guerre-au-proche-orient-au-moins-400-000-palestiniens-coinces-dans-le-nord-de-la-bande-de-gaza-selon-l-unrwa_6347109_3210.html Selon le directeur de l’UNRWA « au moins 400 000 » Palestiniens sont piégés dans le nord de la bande de Gaza Dans un communiqué publié sur X, Philippe Lazzarini, le directeur de l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a fait savoir qu’« au moins 400 000 personnes [étaient] prises au piège » dans le nord de la bande de Gaza. « Les récents ordres d’évacuation des autorités israéliennes obligent les gens à fuir encore et encore, en particulier le camp de Jabaliya. Beaucoup refusent parce qu’ils savent trop bien qu’aucun endroit n’est sûr dans la bande de Gaza », poursuit-il avant d’ajouter : « Les abris et les services de l’UNRWA sont obligés de fermer, certains pour la première fois depuis le début de la guerre. » Le directeur de l’UNRWA alerte également sur « la faim [qui] s’étend et s’aggrave à nouveau » dans l’enclave palestinienne, où se retrouvent assiégés plus de deux millions d’habitants. Selon M. Lazzarini, la « récente opération militaire », de l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza « menace également la mise en œuvre de la deuxième phase de la campagne de vaccination des enfants contre la poliomyélite. »
  21. Pour compter le nombre de batiment détruits de route endommagé etc. il faut faire de la cartographie dynamique. Or ca se fait à la main ... via des communauté de mapper, notament OSM. La base de donnée géographique étant dynamique, on peut facilement calculer le nombre de batiment, le type de batiment étc. à un moment donné ... puis à un autre moment ... et savoir quel batiment n'est plus etc. Sauf que pour ca il faut une campagne de mapping propre à des moments clef, de maniere à etre sur d'avoir un état exhaustif des choses. C'est ca qu'essaie d'orgniser HOT. Sans ça ... il n'est pas possible d'avoir une vision précise des choses, même par comparaison photographique assisté par ordinateur, c'est trop peu précis. Or comme expliqué ici ... ce genre de campagne pour tout un tas de raison, on évite de les mener dans des zones de conflits. Donc pour quelles soient mené il faudra attendre la fin des combats, au moins localement. Le probleme est le meme avec Gaza. Quand un tremblement de terre ou un Typhon ravage haiti, la communauté remappe l'ile en quelques heures ... ca permet au secours d'avoir un outils de navigation à jour dynamiquement. A Gaza ca pourrait etre fait, mais ca ne l'est pas pour les raisons expliqué plus haut.
  22. A ce propos ... https://www.hotosm.org/updates/la-cartographie-en-situation-de-conflit/ La cartographie en situation de conflit Des événements et des expériences récentes, dont les événements survenus l'an dernier en Afghanistan et la guerre en Ukraine, ont incité HOT - et l'ensemble de la communauté de cartographie humanitaire - à réexaminer ce qui peut être fait dans le context de OpenStreetMap, sur le plan éthique et pratique, pour aider les populations touchées par des conflits. Cette question n’est pas nouvelle ; beaucoup d’entre nous ont participé à la cartographie de zones touchées par des conflits à un degré ou à un autre. Cependant, jusqu’à présent, HOT n’a pas créé d’ensemble officiel de politiques et de lignes directrices portant spécifiquement sur les risques et les dommages occasionnés par la cartographie aux populations en situation de conflit. Bien que les données génèrent généralement des impacts positifs, elles peuvent aussi engendrer des risques et des préjudices imprévus pour les personnes. Dans des circonstances pacifiques, il est important de toujours veiller à ne pas nuire à autrui en révélant, par exemple, des informations privées et/ou des informations personnelles identifiables (IPI). Les risques qui découlent du type de données qui proviennent des méthodes de cartographie à distance, telles que les tracés des rues et bâtiments, sont bien connus, et le secteur humanitaire s’accorde à dire que le potentiel de risque est limité. Par conséquent, les organisations, les communautés OSM et les autres parties prenantes sont normalement libres de créer des projets Tasking Manager partout où cela s’avère utile pour leurs opérations, la meilleure pratique étant de consulter les communautés (OSM) concernées chaque fois que cela est possible. La collecte de données de terrain présente plus de risques de préjudice que la cartographie à distance. En toutes circonstances, HOT ne s’engagera ou ne soutiendra la cartographie sur le terrain, que si les personnes de toutes les communautés potentiellement concernées sont consultées et donnent leur consentement avisé (avec une préférence forte que les activités soient menées par les communautés locales dans la mesure du possible). Même dans les situations pacifiques, une analyse du contexte et des risques doit être effectuée afin de s’assurer que le potentiel d’utilisation négative des données soit atténué. Dans les zones de conflit actif, émergent ou de forte intensité, un ensemble de considérations très différentes s’appliquent. Les principes humanitaires et la protection des populations touchées sont la priorité et sont au cœur des préoccupations. Notre réflexion actuelle à ce sujet peut se résumer comme suit : 1. Par défaut, dans les zones de conflit actif, HOT n’effectue, ni ne soutient la création de données cartographiques supplémentaires, qu’il s’agisse de la digitalisation via le Tasking Manager ou de la collecte de données sur le terrain. Dans ces situations, les principes humanitaires sont prioritaires : humanité, neutralité, impartialité et indépendance. Ces principes complètent souvent l’approche communautaire de HOT, mais il arrive aussi qu’ils soient en contradiction. Il est possible d’envisager des exceptions à la position par défaut de non participation dans les contextes de conflit; par exemple si des partenaires humanitaires de confiance en font la demande directement en fournissant des renseignements précis, fiables et à jour. Cependant, HOT ne s’engage pas tant que l’analyse du contexte et l’évaluation des risques potentiels pour les personnes ne sont pas complètes et de qualité (ce qui, dans les situations où l’expertise nécessaire n’existe pas à l’interne, implique de consulter des experts externes sans intérêt dans le projet[1]). Les dommages indirects, y compris le risque de compromettre les principes humanitaires en prenant parti, doivent également être pris en compte. A moins que les analyses d’information et de diligence, qui prennent en compte les connaissances et les opinions des personnes concernées et que leur consentement éclairé soit obtenu; que cette la récolte de données ne permettra en aucun cas d’identifier, de cibler ou de nuire de quelque manière qui que ce soit, et que les données répondent à un besoin clair, impérieux et urgent de sauver des vies, HOT s’abstiendra de cartographier [2]. Généralement l’accès aux données OpenStreetMap et leur utilisation par les partenaires humanitaires est soutenu par HOT. Par exemple, HOT continue de fournir des jeux de données sur le Humanitarian Data Exchange (HDX) pour le Yémen, le Sud-Soudan, etc. Dans certains cas, les communautés locales peuvent demander que la cartographie soit suspendue pendant un conflit. C’est le cas en Ukraine, où un grand nombre de contributeurs OSM et d’autres membres de la communauté ont indiqué qu’ils avaient des raisons de croire que les données OSM étaient utilisées par des acteurs militaires pour nuire à la population. Sur la base de cette demande de la communauté, HOT a décidé de ne participer à aucune cartographie en Ukraine jusqu’à nouvel ordre. 2. HOT soutient l’action humanitaire pour une migration et un déplacement sûrs dans les régions et les pays limitrophes des zones de conflit lorsque le partenariat avec la communauté et les partenaires humanitaires est solide et que l’impact est bien défini. Dans un passé récent, HOT a soutenu d’importantes opérations de réponse humanitaire autour de la crise des Rohingyas au Bangladesh et au Myanmar, ainsi que lors de la guerre civile en Syrie, dans les zones touchées par les conflits dans l’est de la République démocratique du Congo et dans la guerre civile au Soudan du Sud. Pour ces deux derniers, HOT a mis en œuvre des projets en Turquie, en se concentrant sur les réfugiés en milieu urbain à Istanbul et dans la région nord-ouest et ouest de l’Ouganda. Les projets adjacents et/ou liés à un conflit impliquent nécessairement des personnes vulnérables et des situations où il est difficile de savoir ce qui peut se produire, et nécessitent donc un niveau élevé de diligence dans l’analyse du contexte et de l’impact. Cependant, s’ils n’impliquent pas de cartographie dans la zone de conflit active, il n’y a pas de condition par défaut pour que HOT n’y participe pas. 3. Le principe humanitaire d’impartialité est important, ce qui signifie qu’il faut fournir une assistance sur la base du plus grand besoin non comblé, du potentiel de sauvegarde des vies et de l’allègement des souffrances; et non de la couverture médiatique, de l’intérêt des donateurs/bailleurs de fonds ou des demandes des partenaires. Avant d’examiner les demandes et de commencer le processus d’évaluation des risques, nous nous demandons si les besoins sont urgents et non comblés. Dans les crises très médiatisées, il y a souvent de nombreux acteurs qui fournissent une assistance similaire à celle que HOT pourrait fournir. Dans ces cas, les besoins ne sont pas nécessairement non comblés, ce qui renforce la position par défaut de non-participation. Sur l’Ukraine Il existe plusieurs initiatives communautaires dans les pays qui accueillent des réfugiés ukrainiens, et HOT a proposé de soutenir ces initiatives. Par contre, au moins une demande nous est parvenue d’une communauté qui ne se trouve pas actuellement dans la zone de conflit actif, bien qu’il existe des spéculations crédibles selon lesquelles le conflit ukrainien s’étendra à cette région. Dans ce cas, HOT a malheureusement refusé d’apporter son aide. Encore une fois, la protection des populations contre les risques directs résultant d’activités de cartographie de HOT, a préséance. La communauté OSM Ukraine identifie également des données et des modifications potentiellement dangereuses et a demandé à la Fondation OpenStreetMap (OSMF) d’interdire les utilisateurs qui semblent persister à créer des données relatives à la situation militaire. HOT n’est impliqué dans aucune de ces questions, mais est prêt à aider et à conseiller si nécessaire. Nous avons ajouté des données supplémentaires linguistiques à nos exportations HDX concernant l’Ukraine. À la demande de nos partenaires, toutes les exportations comprennent des champs pour name (nom le plus couramment utilisé, généralement ukrainien), name:uk (nom ukrainien), name:ru (nom russe), et name:en (nom translitéré et traduit en anglais, si disponible). En principe, toute activité de HOT autour d’un conflit émergent actif tel que l’Ukraine consistera principalement à essayer de faire coïncider les besoins et les demandes de la communauté (OSM) avec les priorités des partenaires humanitaires dont les conversations et les opportunités sont suivies de près. Prochaines étapes À partir de cette étape, les réflexions sur ce sujet se traduiront par des orientations et des politiques concrètes. Comme toujours, les dirigeants, le personnel, les communautés, le conseil d’administration et les membres votants de HOT sont impatients d’entendre ce que les gens pensent ! La conversation est loin d’être terminée. HOT est actuellement engagé dans un projet visant à élaborer une politique et une boîte à outils plus solides en matière de protection des données. Cela comprendra notamment un examen beaucoup plus approfondi des questions relatives à la cartographie et aux données dans les contextes humanitaires et de conflit. HOT est très intéressé par les commentaires des communautés humanitaire, des données ouvertes et de cartographie. Notes de bas de page: [1] Par exemple, si une agence humanitaire travaillant avec un gouvernement particulier demande le soutien de HOT, il ne suffit pas d’accepter l’analyse du contexte de cette agence et de ce gouvernement, nous devons également inclure le point de vue des personnes de l’autre côté du conflit pour nous assurer que personne n’est compromis, et donc consulter des personnes connaissant ce contexte qui ne sont pas spécifiquement incités à considérer le projet comme inoffensif. [2] Il n’est pas possible de réduire le risque pour les personnes à zéro (comme ci-dessus); il existe toujours un risque potentiel . Par conséquent, il n’est éthiquement permis d’envisager la cartographie que s’il existe des arguments bien établis en faveur d’un avantage qui l’emporte sans ambiguïté sur le risque potentiel.
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