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Dépeupler Gaza, l’objectif assumé du gouvernement israélien L’arme de la faim est utilisée par la coalition de Benyamin Nétanyahou pour inciter les Palestiniens à abandonner leur terre. Elle ambitionne de les masser dans une « ville humanitaire », dans le sud de l’enclave, en prélude à leur possible transfert vers des pays étrangers. Un Palestinien blessé alors qu’il attendait l’aide humanitaire, dans la ville de Jabaliya, dans la bande de Gaza, le 22 juin. Poussés par la faim, la soif, la peur de mourir sous les tirs imprévisibles de l’armée israélienne, les habitants de Gaza sont-ils travaillés au corps, consciencieusement, pour céder à ce régime et finir par quitter l’enclave ? Si le rêve d’un Gaza sans Palestiniens est poussé dans les milieux d’extrême droite depuis le 7-Octobre, porté par un courant en faveur de la colonisation intégrale de Gaza, le gouvernement n’avait pas pris de mesures organisant concrètement le départ des habitants de l’enclave. Désormais, au moment où la dégradation de toutes les conditions de vie, ou de survie, des Gazaouis prend une tournure paroxystique, cette possibilité de dépeuplement a un cadre concret. Israel Katz, le ministre de la défense, en a formalisé les contours, le 7 juillet, en annonçant l’intention du gouvernement de créer sur les ruines de Rafah, dans le sud de l’enclave, une « ville humanitaire ». Environ 600 000 personnes sont supposées – dans un premier temps – être massées dans cette structure créée dans une zone presque totalement rasée. Une fois à l’intérieur, une unique voie de sortie serait offerte : quitter Gaza pour une destination à l’étranger. La destruction de Gaza et l’éventualité d’en chasser les habitants palestiniens, désormais, avancent de pair. Dahlia Scheindlin, analyste politique israélienne, le confirme : « Je ne pense pas qu’il y ait eu, dès le 7-Octobre, une stratégie définie visant à l’expulsion de la population de Gaza. Mais la politique menée par le gouvernement tout au long de la guerre semble conduire de façon inévitable vers cette situation. Des versions de cette idée ont été mises en avant par des responsables politiques ou militaires, parallèlement aux actions [militaires] menées dans Gaza dont le but était de rendre certaines zones invivables. » L’« annexion sécuritaire » de l’enclave Le 4 février, Donald Trump appelait à transformer Gaza en une « Riviera » vidée de ses habitants actuels. Mardi 22 juillet, la ministre de l’innovation, des sciences et de la technologie israélienne, Gila Gamliel, a repris l’idée et la méthode en diffusant sur X sa version générée par intelligence artificielle de ce Gaza sans Palestiniens, tout en prenant soin de rappeler qu’elle plaide, depuis octobre 2023 pour une « migration volontaire » des habitants de l’enclave (2,1 millions d’habitants). Le même jour, une conférence baptisée « La Riviera de Gaza, du rêve à la réalité », à laquelle prenaient part un ensemble de députés et d’activistes procolonisation, était organisée au sein de la Knesset, le Parlement israélien. Bezalel Smotrich, ministre de l’économie, figure de l’extrême droite et chef du Parti sioniste religieux, y a appelé à l’« annexion sécuritaire » de l’enclave, une « partie inséparable d’Israël ». A été évoquée, notamment, la construction de villes destinées à être habitées par des Israéliens, avec université, campus, parc réservé à la tech, ainsi que des hôtels sur le front de mer. Tout ceci ayant aussi pour avantage, selon Bezalel Smotrich, de « résoudre le problème de logement des nôtres ». Cela ne risque pas de heurter une grande partie de l’opinion publique en Israël. Depuis le mois de mai, les sondages montrent qu’entre 70 % et 80 % de la population juive israélienne soutient l’idée de voir les Palestiniens expulsés de Gaza, même si certains sondés estiment que l’hypothèse est « peu pratique, mais souhaitable ». Effrayés par la perspective de ce passage à l’acte à grande échelle, seize spécialistes israéliens de droit international ont publié, le 10 juillet, une lettre ouverte dans laquelle ils arrivent à la conclusion qu’un tel plan constitue, en soi, un « ordre manifestement illégal » donné à l’armée. « Si ce plan devait entrer en vigueur, il ne constituerait pas une évacuation, dans le sens légal du terme, mais relèverait de la mise en place de camps de détention de masse, dont le premier but serait le nettoyage ethnique et les expulsions », ajoutent-ils. D’autres voix, outrées mais isolées, se sont élevées en Israël contre ce projet, comme celle de l’ancien premier ministre, Ehoud Olmert, qui a déclaré, lors d’une interview au Guardian, au sujet de la « ville humanitaire » : « Je suis désolé [mais] il s’agit d’un camp de concentration. » Sans effet. Benyamin Nétanyahou a demandé à la hiérarchie militaire d’étudier rapidement la faisabilité de cette structure et même retoqué, selon la presse israélienne, le premier état des propositions de l’état-major, qu’il juge trop onéreuses. Lors de sa visite aux Etats-Unis, début juillet, il avait déjà développé cette idée de départs massifs de Gaza. Aux côtés du président américain à la Maison Blanche, il déclarait : « Le président Trump a eu cette vision brillante. Cela s’appelle le libre choix. Si les gens veulent rester, ils peuvent rester, mais s’ils veulent s’en aller, il faut qu’ils puissent le faire. » Des propos énoncés peu après avoir annoncé qu’il soutenait la candidature de Donald Trump pour le prix Nobel de la paix, avant d’affirmer que « plusieurs pays » étaient prêts à « offrir de meilleures perspectives d’avenir » aux Palestiniens qui quitteraient Gaza. Alors que les pays de la région, en tout premier lieu l’Egypte, ont signifié qu’ils ne comptaient pas jouer ce rôle, David Barnea, le chef du Mossad, le service de renseignement extérieur israélien, s’est rendu à la mi-juillet à Washington pour obtenir, selon le média en ligne Axios, un appui afin de tenter de convaincre plusieurs pays, comme l’Indonésie, la Libye ou l’Ethiopie, d’accueillir des Palestiniens. « Il n’y a rien qui relève de “départs volontaires” » Des informations dans la presse israélienne font état d’une réticence du chef d’état-major, Eyal Zamir, face à ce projet, considérant que les soldats n’ont pas pour mission de garder un camp d’internement géant, et que l’opération aurait un coût très élevé, chiffré dans les médias israéliens dans une fourchette allant de 10 à 15 milliards de shekels (de 2,5 à 4 milliards d’euros). Certains responsables gouvernementaux, eux, continuent de défendre cette perspective comme une poursuite de la guerre, sous forme de tactique contre-insurrectionnelle. C’est le cas de Zeev Elkin, député de Nouvel Espoir, un parti à la droite du Likoud et membre de la coalition de Benyamin Nétanyahou. Il affirme : « Plus vous séparez le Hamas de la population et plus le Hamas va perdre. » Michael Sfard, avocat spécialiste de longue date de la défense des droits des Palestiniens dans les territoires occupés, n’avait pas, « même dans [ses] pires cauchemars », imaginé qu’une telle situation se produise : « Le plan de cette soi-disant “ville humanitaire” est un plan pour un transfert de population, suivi d’une déportation. Dans le droit international, il n’est pas nécessaire de pousser des gens à monter dans des camions à la pointe du fusil pour se rendre coupable de ce type de crimes. Le fait d’imposer des mesures coercitives suffit, par exemple si vous obligez un groupe [de personnes] à se déplacer pour essayer d’échapper à la famine, ou si vous détruisez leurs logements, l’infrastructure de santé, l’accès à l’eau, etc., explique le juriste. Le langage utilisé par les responsables israéliens est mensonger. Dans le contexte de Gaza aujourd’hui, il n’y a rien qui relève de “départs volontaires”. Les habitants de Gaza n’ont strictement aucun choix. » https://www.lemonde.fr/international/article/2025/07/24/depeupler-gaza-l-objectif-assume-du-gouvernement-israelien_6623497_3210.html

Il était membre du FLN sur la fin et auparavant il a longtemps été psychiatre pour les hôpitaux français, et donc aux premières loges des horreurs de la guerre civile... C'est d'ailleurs pour cela qu'il est en quelques sorte maudit en France. Il a notamment été remis sur le devant de la scène - médiatiquement - par Taubira qui connait particulièrement bien son œuvre.

Pas dans la gauche que je fréquente ... et en général personne ne connais Fanon, il est maudit en France et même aux Antilles. Sa réputation est essentiellement le fait des études postcoloniales soutenue par les universités anglo saxonne. On peut faire un sondage ici si tu as un doute ...

C'est croustillant après Fukushima

Les primes et les clauses vont juste s'adapter ... ... l'important c'est la capacité à évaluer le risque le cout et donc les primes et clauses associées. Au pire les gens se déplaceront vers des zones plus assurables. Le niveau de pertes probable s’intègre dans tout investissement il n'y a pas de raison qu'il n'en soit pas de meme pour l'immobilier, le foncier résidentiel et tertiaire, le foncier agricole etc. Celui qui a quelques hectare de vigne "champagne" qui coutent un rein dans quelques année il ne pourra plus y produire que du sidi brahim ... d'un autre coté certain produiront ailleurs du champagne à sa place.

Personne ne lit Frantz Fanon en France... Ceci expliquant peut être cela.

La gestion des transports collectifs est une notion assez compliqué... Est ce qu'on parle de robotaxi ou d'autobus ? Aujourd'hui le transport en communication classique de première nécessité... Transport scolaire, bus locaux, TER... Est très largement subventionné. Et ça ne l'empêche pas d'être cher. Le transport "longue distance" lui c'est encore plus compliqué sauf bus et avion qui ont des coups d'infra très modeste. Aujourd'hui a deux en bagnole tu es moins cher qu'en train par exemple... Pourquoi le transport en commun pourrait ne pas baisser plus que le transport particulier... Parce qu'il est soumis a tout un tas d'autres contraintes au delà de l'énergie, des taxes sur la mobilité l'infrastructure etc. Qui augmentent a priori aussi vite que pour les véhicules plus petit... Voir plus vite. Un bus diesel bientôt te coûtera plus cher en adblue qu'en GO, et tout est a l'avenant. Ce qui me fait dire qu'on risque plus de voir un glissement vers des mobilités partagé à l'échelle locale avec du paiement a l'usage, du robotaxi etc. mais plutôt sur des petits véhicules bien vu par l'opinion genre kei car électrique etc. Le bus qu'il soit électrique ou pas sera toujours une nuisance localement. C'est gros comme c'est gros c'est bruyant et ça abîme les chaussées etc. Accessoirement en zone rurale va remplir un bus à par au horaires scolaires... Moi je passe mon temps a voir passer des bus vide... Et les usagers se plaindre qu'il n'y a pas assez de rotation et trop d'attente aux correspondance. D'ailleurs de plus en plus de ComCom mettent en place des services de bus a la demande pour éviter de faire rouler des bus de 60 places vides. --- Concernant le coût de l'énergie le transport n'est vraiment pas le plus a plaindre. L'agriculture est touché de plein fouet par exemple. Explosions du coût des intrants explosion du coût d'exploitation des machines. A terme une énergie trops chère - essentiellement des taxes d'ailleurs - c'est une agriculture qui produira infiniment moins. Si on ajoute l'adaptation au changement climatique... La pillule risque d'être dure a avaler. Infiniment plus que pour le transport.

La question c'est surtout sur quelles bases négocier ... pour le moment il n'y a pas grand chose de commun. A priori une finlandisation de l'Ukraine n'est plus du tout à l'ordre du jour... donc c'est une issue assez improbable. L'échange de territoire ne règle en rien le "probleme russe". Je ne suis meme pas sur qu'offrir tout la rive orientale du Dniepr suffise à négocier, du moins tant que la rive occidentale est OTANisé d'une manière ou d'une autre. La neutralisation - au sens de la rendre incapable d'action anti russe que ce soit militaires, économiques, politiques etc. - de l'Ukraine libre, est un sujet douteux, on voit pas trop qui pourrait garantir quoi... du moins à part en faire une sorte d'état failli, ou microscopique. Donc à mon sens on est pas encore assez avancer dans les pertes pour qu'on commence à voir une début d'alignement d'une pensée d'équilibre en Ukraine et Russie. Le plus intéressant c'est que plus le conflit avance plus un compromis acceptable s'éloigne. A mesure que l'Ukraine bombarde Moscou depuis Kiev ... le discours russe de zone tampon devient de plus en plus délirant par exemple.

Ou peut être pense y il sincèrement que quitter le pouvoir mènerai à une défaite du pays ... En gros que ses successeurs n'auraient pas la légitimité internationale pour assurer l'aide militaire.

Haroun Tazieff biologiste éminament connu

Pendant ce temps là sur le front : Pokrovsk Les russes ont a nouveau tester la défense de Pokrovsk par le sud ouest ... et sont partiellement rentré dans l'agglomération. Les ukrainiens annoncent contrôler la situation mais pour le moment ce n'est pas bien clair. Les russes auraient suivi la T-05-15 pour rentrer dans la ville - du moins dans l'agglomération - via des petits groupes, mais on n'arrive pas trop à savoir si tous se sont repliés ou pas. L'est les russes consolident le front devant Krasniy Lyman. L'avancée à l'air assez méthodique, après le rush le long du lac. Toretsk, Schcherbynivka est quasi encerclé dorénavant. Lyman. Les russes essaient toujours de pousser vers Novoselivka lentement. Même chose devant Zarichne.

Plus de détails dans les journaux locaux https://kyivindependent.com/potential-elimination-of-ukraines-anti-graft-infrastructure-signals-slide-into-authoritarianism-may-block-eu-integration/

La bonne nouvelle c'est que ça va donner du boulot au immigrés mexicains ... du moins ceux qui restent

Le chef de l’ONU a dénoncé « l’horreur » qui sévit dans la bande de Gaza, avec un « niveau de mort et de destruction sans équivalent dans l’histoire récente ». « La malnutrition explose. La famine frappe à toutes les portes », a alerté le secrétaire général, Antonio Guterres, mardi, lors d’une réunion du Conseil de sécurité. https://www.lemonde.fr/international/live/2025/07/22/en-direct-gaza-le-chef-de-l-onu-denonce-l-horreur-et-le-niveau-de-mort-et-de-destruction-sans-equivalent-dans-l-histoire-recente_6622839_3210.html

Ce qui est très amusant c'est que ce genre de solutions sont proposé depuis au moins 20 ans et que tout le monde s'en branlent ... aussi bien les railbus que les road rail bus https://en.wikipedia.org/wiki/Road–rail_vehicle#Road–rail_buses Mais que pourtant tel le marronnier ca revient régulièrement. Meme chose pour les tram-train et autre intermodalité. --- Pour faire simple le cout de MCO de l'infra est rédhibitoire par rapport au volume transporté. Ca impose une péage sur la ligne qui est hors des réalités économiques, là ou la route ne coute virtuellement rien, puisqu'elle est massivement emprunter par tous. A priori le véhicule léger qui empruntera la vielle ligne délabrée, ne sera pas vraiment plus économe en énergie que n'importe quel bus électrique... Et se verra imputer le MCO de la ligne qui ne sera pas si faible que cela, et en tout cas bien supérieur à la route d'à coté. Meme les lignes de bus locale ne sont pas rentabilisé, pourtant le bus ca coute peanuts. Et bien rien que le ramassage scolaire c'est une purge niveau budget. --- En général l’intérêt principal de ces solutions c'est le ré-usage des rail ancien - qui n'aurait pas encore était remplacé par autre chose - dans un environnement foncier très contraint, notament en ville ... mais les anciennes voies de chemin de fer inutilisé qui traversent encore les villes ne sont plus vraiment légions. L'autre intérêt c'est pour certaines zones ou le voie ferrée desserre des zones très mal desservie par la route. On trouve des vallée ou il y a une route potable sur un versant, et le chemin de fer sur l'autre, avec une connexion entre les versants qui n'est pas forcément évidente parce que le nombre de pont est réduit pas exemple. Mais là aussi ce sont des marchés de niche. Quant à la remise en service de ligne abandonné via des trains léger moins couteux à l'usage et à la MCO de la ligne ... ce n'est malheureusement viable qu'à grand coup de subvention, et c'est souvent incompatible avec le réseau ferré normal pour des raison de régulation et de certification. En gros souvent l'intermodalité est très limité pour les matériel léger, et on voit rarement un "tram train" ou un "bus rail-route" entrer en gare par exemple, du moins en France.

Tu as oublié les leurres actifs remorqué par exemple ... ou les leurres actifs éjecté ... je ne sais pas ce qui est encore dans les tuyaux ni ou c'est sensé être installé.

parce qu'il n'est pas encore disponible ... donc le premier batch de char se fera sans lui. C'est une supposition. parce qu'à priori Leonardo ne veut pas se risquer à choisir le mauvais nouveau calibre commun OTAN ... vu que pour le moment meme l'avenir du MBT est compromis. Il faut bien comprendre que d'un certain point de vu c'est une espèce en voie de disparition... Donc elle propose une machin qui fait tout ce que fait l'ancien, avec un petit machin en plus, le tir à 30km. --- Plus de détails qui n'explique pas le lient entre l'obus et le canon https://www.edrmagazine.eu/leonardo-vulcano-120-mm-ammunition-guided-indirect-fire-capability-for-mbts ... Compared to artillery systems, which maximum elevation ranges between +65° and +75°, MBTs have a much lower elevation, usually under 20°; this of course limits maximum range when firing in indirect mode. “According to our preliminary estimates our Vulcano 120 will be able to cover the range from 10 to 30 km, considering an average 15° elevation,” Mauro Pellegri said. In his briefing he divided the new munition mission range in two areas, with different peculiarities and lethal effects. “When firing in the longer range sectors, the Vulcano 120 will have a top-attack approach. The munition, by its very nature, has a low cross-section, making it natively stealth, both because it is small and fast, and because of its geometry, which makes it particularly difficult to detect, even by current and future active defence systems installed on tanks,” the Leonardo representative said, hence the focus target representative of roof armour, discussed above. For engagements at range, the Vulcano 120 primary role, Leonardo considers a set of targets including communication centres, air defence systems, multiple rocket launchers, self-propelled artillery systems, infantry armoured fighting vehicles and alike, and MBTs, while at closer ranges, in its secondary role, the set of targets lacks MBTs. The higher angles of impact are obtained at longer ranges, while at those ranges residual impact velocity is lower. The projectile trajectory can be shaped, usually this starts some 5 km after firing, to optimise the compromise between the angle of impact and the residual velocity, hence kinetic energy, this shaping capacity being better exploited when firing at longer ranges. When reducing the range, impact velocity increases, however angles allow impact on the frontal area of an MBT, which is the most protected one. “This is why at those ranges we do not consider tanks a potential target,” Pellegri explained, although a direct hit would probably disable most of the tank functions, taking it out of combat albeit not destroying it. Of course should the enemy tank be within APFSDS range, this would be the round of choice for destroying it. Terminal effect is of no use if the round is not accurate. The SAL guidance sensor used on the 120 mm round is identical to that used on bigger calibre Vulcano rounds, it has the same part number, which allows economy of scale. Leonardo representatives explained. The round hosts a multi-constellation multi-frequency GNSS receiver, which operates with unencrypted satellite signals, an encrypted Galileo receiver being not yet available, the company underlined. However doing barrage jamming needs to know when the threat would come, while to spoof one, or most probably more than one, objects moving fast, is something considered nearly impossible. And anyway, should the action take place in a GNSS-denied environment, the round can be fired according to ballistic tables. In both cases, once within the identified target footprint, the seeker will be activated, as well as the designator, guiding the projectile towards the target within metric accuracy. At closer ranges accuracy is obviously higher, however considering a 0.2-0.3 mRad dispersion, when reaching a target at 10 km the error is considerable, hence the Vulcano guidance capability becomes key even at those closer ranges to reduce ballistic dispersion. click on image to enlarge The SAL version is however just the first development step, the second one considering the adoption of an Imaging Infra Red (IIR) seeker, which will make the round independent from third party target designation. “We have an IIR sensor already available, but it dates back to a few years ago; its Charge-Coupled Device( CCD) allows it to effectively carry out its role against naval targets, a relatively simple scenario considering the even background. To carry out the same role on land scenarios we need a new generation CCD and, together with our partner Diehl Defence, we are in an advanced characterization phase of our new IIR seeker,” Mauro Pellegri unveiled. The firing sequence will remain similar to that of the SAL version the main difference being that, once in the target footprint, the IIR seeker will be capable to autonomously identify its target thanks to its significant field of view, and hit it with utmost accuracy. This will however need a more detailed set of information to be fed into the round before firing; “We will need a certain amount of information to facilitate automatic target recognition and avoid any possible assignment error; these may include detailed information on the target nature, intelligence information even taken hours before, satellite information as analysis systems are all image based,” Pellegri underlined, adding that such round would represent a real breakthrough. The Vulcano 120 comes as a standard round, that can be used by any platform armed with a 120 mm smoothbore gun. The number of such rounds to be carried will of course depend on the mission, but the availability of such a round can extend the 120 mm platform mission, allowing it to cope with targets at long range, should artillery or close air support not be available. This will obviously need an evolution of the tanker mindset, while artillerymen should understand it will not erode their role, which by the way is more and more focusing on longer ranges, according to the deep fire concept. While simulations provide a 30 km maximum range, this is mostly limited by the tank barrel maximum elevation, muzzle energy being well sufficient to reach longer ranges. A platform equipped with a dozer blade, capable to rapidly create a ramp to increase real elevation might well fire at longer distances, providing the tank fire control system is fitted with the right ballistic tables. As for targeting, the increasing transparency of the battlefield, provided by airborne systems, such as UAVs, should be able to provide enough sensible targets and designation systems, awaiting for the IIR version of the Vulcano 120. The company presentation stated of a 40 months development time, including qualification, from T0; the stopwatch started turning in early 2025, so the new round should be available by mid-2028.

Pour faire évoluer leur MBT vers un engin d'artillerie semi direct en plus du role de feu direct ... l'évolution leur semble indispensable pour que le MBT conserve un role dans le champ de bataille moderne malgré ses vulnérabilité et son cout. Pourquoi ne pas tout équiper avec ... il faut voir le deal passer avec RHM pour savoir. Peut etre que les délais imposé à la livraison ne permettent pas la production du nouveau canon pour la premiere tranche d'engin par exemple. Pour le moment le canon italien tir au banc mais avant d'etre intégré dans le KF-51 il y a encore un peu de chemin à parcourir. Par contre j'ai pas tout suivi concernant les munition Vulcano et leur compatibilité, elle le serait avec le canon italien et pas avec l'allemand ? Ca me semble un peu surprenant le canon allemand n'ayant rien d'exotique. A moins que le nouveau canon accepte une pression en chambre encore supérieur au L55A1 de RHM ?! A moins que ce soit un souci d'intégration pour obtenir une élévation supérieure ?

A la base un buggy c'est un engin léger, moteur arrière et propulsion ... très très typé désert. Certes il y a eu des variations autour, en 4RM et plus polyvalent, boue etc. mais ca reste un engin lourd, couteux, et produit en tout petites série. La ou les quad agricole et les SSV sont produit massivement pour peanuts, et ont grosso modo le meme usage tout en étant bien plus compact. On se moquer des SSV chinois acquis par les russes à un moment. Ca coute 10 000$ au plus et ca transporte 6 personnes a 80 ou 90km/h sur plus ou moins n'importe quel terrain. Meme chose pour les quad agricole, ca pour plusieurs centaine de kilos sans broncher sans roule aussi à 100 km/h ca porte 2 personnes au besoin, et ca coute quelques millier d'euros. Mais surtout les deux engins sont super compacts et se dissimule vraiment très facile proche de la ligne de contact. Les buggy militaires sont toujours beaucoup plus gros ... moins facile à manipuler ou a réparer. Un quad ca se retourne à deux s'il faut réparer un truc.

C'est appliqué par les russes en localité assez régulièrement ... mais il y a de moins en moins de combat en localité, et les ukrainiens diluent largement leur positions défensive pour réduire l’intérêt de ce travail de sapeur. A priori ils ont des petits chenillés bricolés emport au moins 50kg d'explosif ce qui fait pas mal de dégât quand ca explose au rdc d'une habitation. Les ukrainiens eux utilisent plutôt des drones terrestre déposeur de mines AC par exemple.

Le robot sapeur c'est déjà un grand classique. Un petit chenillé électrique avec entre 50 et 250kg d'explosif à bord ... et tu sapes une tranchée. Il y a juste à industrialiser le processus comme on industrialise la production de quad par exemple. Les ukrainiens le font pour le naval, et l'aérien, moins pour le terrestre. Mais les russes le font pour le terrestre, certes surtout en localité, il envoie un petit robot sapeur proche d'une maison à détruire et booom plus de maison. Le petit souci c'est que c'est un peu concurrent de l'artillerie précise, et je pense que c'est pour ca que ca perce pas plus que ca. L'autre inquiétude c'est la dissémination... donner l'idée à l'ennemi d'utiliser tel ou tel moyen ca risque de se retourner contre soi. Dans le cas présent les russes sont à l'attaque. La démocratisation de mines - au sens sapeur - mobile seraient leur serait plutôt favorable. Donc les ukrainiens n'ont pas trop intérêt à développer l'idée.

Il faut qu'il y ait un découplage mécanique pour que cela fonctionne. Tout ce qui est connecté à la coque lui transmet des ondes mécaniques... Et donc transforme la coque en membrane de haut parleur... Mettre les tuile anechoiquen dedans n'empêchera rien ici. Au mieux ça coupera les bruits transmis dans l'air vers la coque depuis l'intérieur du bateau. Même punition pour l'écho d'un sonar actif il ne sera pas coupé... Il existe des boîte interne qui coupe les bruits mais c'est d'un usage différents. On mets les objets bruyant dans des boîtes isolé accoustiquement - capotage - puis on suspend c'est boîte sur des silent block pour éviter le transfert des vibrations solides. On peut capoter ou suspendre tout et n'importe quoi voir des planchers entiers.

C'est trivialement une mesure privative de liberté ... https://www.cncdh.fr/actualite/ppl-prolongation-de-la-retention-administrative-le-president-interpelle-les

C'est sur que ca va au moins aussi vite qu'un chenillé léger genre Bradley et souvent plus vite si on roule sur une piste ou une route ou on pourra pousser 110 sans souci normalement. Dans le champ ca dépendra du champ. Mais je suppose qu'on envisage les assaut moto quand le terrain le permet, dans un champ fraichement labouré on évitera surement. Mais un des gros avantage des motos c'est la discrétion des prépositionnent. On peut les stocker tres près de l'objectif de maniere très discrete. De sorte que le chemin à parcvourir est très court. Parfois il suffit de jaillir d'une lisière et traverser un grand champ guère plus. Alors qu'un Bradley on devra le stocker à plusieurs kilometre pour éviter d'etre détecté et engagé avant l'assaut. Et évidement les 5 derniers kilometres laissent le temps au drones de mettre un tactique en place, et au défenseur de sortir des abris pour s'installer dans les positions de combat parfois pas toute proche. Avec des motos qu'on arrive a prépositionné à 500m ... c'est mort. La position sera parfois prise avant meme que les défenseurs - ou les renfort des défenseurs servant de sonnette - la rejoigne. En plus on peut produire des tactiques d'essain en moto ... avec de multiple point de départ qui se regroupe sur une cible au dernier moment, ce qui oblige le défenseur à dilluer ses moyens. C'est plus compliqué avec des blinder qui on tendance à concentrer les moyens dans une seul ou quelques grosses boites dont la cible est moins imprévisible.

Les petites motocross civil avec quelques modification concernant le silencieux par exemple font très bien le job... de tout facon en tout terrain pas besoin d'aller vite, meme une 450 4T n'est pas nécessaire ici. Mais en chinoiserie qui marche bien tu as des moto toute terrain typé trail rugueux en 450 4T pour 5000€ ... on est entre 40 et 50ch ca consomme 4L/100 ... ca roule jusqu'à 170 sur route ... donc ca roulera facilement à 110 sur piste propre voir un peu plus. Et en tout terrain c'est le terrain qui dictera l'allure. En prenant une chinoiserie potable en 250cc on doit encore etre moins cher et ca doit etre tout aussi suffisant pour un petit assaut moto à travers champ.