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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Encore un qui n'a rien compris ... le marché spot de l'électricité ne représente que 5% de achat ... l'essentiel des achats d'électricité se fait de gré à gré ou via des contrat futur. ... et oui parfois l'électrique à un prix négatif aussi. Si le vendeur à besoin de s'en débarrasser plutôt que de réduire la charge de son unité de production.
  2. Les microturbo ne sont pas jetable, il peuvent fonctionner très longtemps notament sur les drones remorqueur de cible. Les microturbo ne fonctionne pas en tout ou rien, la poussée est réglable en fonction de l'alimentation en carburant. --- Mais effectivement les autorités certificatrice n'aime pas certifier ce genre de moteur, le TRS-18 n'est plus certifié par exemple, alors qu'il l'a longtemps été. --- Il y a des gens qui confient leur vie à ca ... https://www.jetcat.de/en/productdetails/produkte/jetcat/produkte/Professionell/p400 pro
  3. Ca s'appelle une incertitude en physique, en math ça n'existe pas vraiment d'ailleurs ... et le calcul des incertitudes est très bien maitrisé dans l'artillerie. C'est d'ailleurs pour ça qu'on plante nos obus de Caesar dans un terrain de foot, et que nos radars de contre batterie et les soft qui vont bien font de la trajectographie radar très précise pour peu qu'on connaisse l'aérologie et quelques élément de méteo. L'incertitude au lancement c'est la direction et la vitesse initiale qui est mal maitrisé par le tireur. Mais une fois le projectile en vol, c'est parfaitement déterminé la vitesse et la direction, et le radar capture ça assez finement s'il poursuit la cible quel seconde. A partir de la on calcule assez facilement la trajectoire complète, et on affirme à mesure de la poursuite. Mais très rapidement on a une idée précise de la trajectoire d'un objet balistique. Sans trajectographie fine les petits intercepteurs Iron Dome bon marché -C'est pas plus gros ni rapide qu'un RAM - serait d'ailleurs incapable de réaliser leur mission. D'ailleurs Iron Dome est assez limité comme systeme il n'est sensé engagé que les projectiles balistique de portée inférieure à 70km donc avec une vitesse initiale modeste, dans les 900m/s.
  4. Pas vraiment besoin, l'analyse d'une partie de la trajectoire suffit à connaitre les paramètres de vol de l'engin balistique, et donc à calculer les éléments de la trajectoire complète, y compris le départ du coup, et la cible. C'est comme ça qu'on fait de la contre batterie par radar, et qu'on déclenche l'alerte de la zone ciblé pour que les gens se mettent aux abris. La connaissance d'une portion de trajectoire suffit à décrire toute la trajectoire, c'est déterministe.
  5. Visiblement elle a surtout contrarié la fille de la patronne ...
  6. 150km² c'est tout juste un cercle de 14km de diametre.
  7. La rocket ne pousse que quelques seconde apres le décollage, le reste de la trajectoire est purement balistique, c'est assez prévisible. Si tu sais ou vont tomber tes obus d'artillerie, parce que tu connais la direction de départ la vitesse, et l'aérologie, c'est pareil avec les obus de l'ennemi. Un fois que le radar les a en poursuite, rapidement tu as une position et un vecteur vitesse, et rapidement une trajectographie assez propre. L'incertitude venant plutôt de la qualité même de la rocket. Après c'est de l'artillerie, la CEP peut être de la taille de deux terrains de foot ou plus si c'est tiré de loin, mais ca ca doit être estimé dans le soft qui fait la trajecto et qualifie les points d'impact potentiel. Après pour la priorisation ça ne doit pas être public tant c'est sensible. Pourquoi un quartier plutôt qu'un autre par exemple. Pour le retasking des missile Iron Dome c'est du LOAL ... donc ca doit etre retaskable ... le souci c'est l'énergie, si la nouvelle cible est à tiziouzou et 20 seconde plus tard, pas sur que le missile ait suffisament d'énergie pour s'y dérouter.
  8. L'offensif de Koursk à montré que les russes sont bien plus nombreux que le renseignement l'estimait ... et ça trouve l'estimation du renseignement occidental pourrait être largement fausse. Certain pense que les russes, du moins le volume de force disponible serait au moins 60% de plus que celui estimé. Ça expliquerait pourquoi les russes n'ont pas eu à déplacer beaucoup d'unité du Donbass vers Koursk ou Kharkiv pour contenir les attaques ukrainienne. Et qu'en même temps ils aient pu accélérer leur manœuvre tout le long du front. Certes principalement sur certain point mais pas des moindres. ils ont repris pas mal de position sur le Dniepr ils mettent une pression non négligeable devant Zaporizhzhia. ils ont repris Staromaiorsk. ils sont rentré dans Vuhledar en plus d'avoir presque fini l'encerclement. ils sont au portes de Pokrovsk ils sont au centre ville de Toretsk ils sont dans Chasiv Yar rive ouest ils manœuvrent manière assez vicieuse autour de Lyman. Kupiansk est sous pression croissante meme si c'est lentement mis en place. De toute évidence et même au dire des soldats ukrainiens, les russes on d'une manière ou d'une autre réussi à maintenir le surnombre tout le long du front, et à avancer. Alors même qu'ils avait déjà allongé un peu le front à Kharkiv, et qu'on les a un peu forcer à allonger le front à Koursk. Quant au matériel, les russes consomment gentiment en ce moment, avec de nombreuses offensives mécanisé relativement massive. Parfois des dizaines de char, et autre vci en rase campagne, avec quelques soutien fumigene d'ailleurs c'est à noter.
  9. C'est facile quand t'es blindé grâce au vente d'hydrocarbure
  10. Celui utilisé que j'ai vu tirait plusieurs rocket une par une ... J'ai vu des extraits mais il y a plus de 5 rocket a bord.
  11. Les russes bombardent Nikopol avec des drones - genre quadcopter - mais qui lance des rocket, comme des HdC ... ca semble assez nouveau. Les russes continuent à bombarder la ville de Zaporizhzhia ... il se murmure que les russes envisagea une offense sur cette ville. --- Vuhledar, l'enveloppement continue. Mais dans le mème temps les russes ont aussi attaqué directement la ville depuis l'est, et sont entré dans les premières maisons. Certains pensent même que les russes "contrôlent" déjà la moitié est de la "ville". --- La poche Nevelske est en train de se refermer. Difficile de savoir s'il y a encore de soldats ukrainiens dedans ou pas. Deepstate montre sur leur carte qu'a priori il y aurait encore des défenseurs, d'autre site pro-ukrainien montrent que non ... dans tout les cas à court terme la ligne de contact va s'établir en Hirnyk et Kurakhove.
  12. ZF, à son tour en crise, va supprimer jusqu'à 14.000 emplois Voilà un signe supplémentaire des graves turbulences que traverse le secteur automobile Européen. Quand les premiers de cordée dévissent... Les déboires de Stellantis avec ses usines italiennes ou de Volkswagen, qui envisage de fermer pour la première fois de son histoire des usines en Allemagne, montrent que les grands groupes, surtout Européens, sont confrontés à une crise de plus en plus forte. Mais n’oublions pas que quand les grands constructeurs dévissent, ils entraînent avec eux toute une chaîne. Les équipementiers sont en souffrance, comme en témoignent le récent dépôt de bilan de Recaro et du fabricant de jantes BBS ainsi que le rachat de Leoni par le groupe chinois luxshare. Pour d’autres, c’est la compression de personnel, comme l’ont annoncé Bosch, Valeo ou encore le fabricant suédois de batteries Northvolt.. L'équipementier automobile ZF Friedrichshafen, célèbre notamment pour ses systèmes de boîtes de vitesses, a annoncé que jusqu'à 14 000 emplois seraient supprimés d'ici 2028. Cela concerne particulièrement les sites situés en Allemagne, apportant un nouvel exemple à la crise que traverse actuellement le secteur outre-Rhin. ZF Friedrichshafen AG, ou ZF Group en abrégé, a été fondée en 1915. L'entreprise opère dans quatre domaines technologiques principaux : le contrôle de mouvement des véhicules, la sécurité intégrée, la conduite automatisée et la mobilité électrique, exploitant 162 sites de production dans 31 pays et employant environ 168 700 personnes dans le monde. Au cours de l'exercice 2023, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de 46,6 milliards d'euros. Dettes, concurrence, guerre des prix L'une des principales raisons des mesures d'austérité est l'endettement élevé du groupe, alors que ZF avait déjà entrepris des restructurations et une politique d'économies drastiques. Ces dettes résultent essentiellement de la politique d'acquisition de l'équipementier automobile TRW et du spécialiste des freins Wabco ces dernières années. Le groupe paie actuellement des centaines de millions d'euros d'intérêts qui manquent, par exemple, dans les domaines de la recherche et du développement. En outre, ZF, détenue majoritairement par la Fondation Zeppelin de la ville de Friedrichshafen, devra investir des milliards dans les années à venir pour maîtriser la transition vers l'électromobilité et les nouvelles technologies. A cela évidemment s’ajoute la concurrence toujours plus forte de la Chine, qui fait vaciller le puissant secteur automobile européen et la pression exercée par les clients pour réduire les prix et donc les coûts de production, tandis que le marché VE se contracte fortement depuis la fin de l’année 2023. Les sites Allemands particulièrment touchés Selon un article du "Welt", les suppressions d'emplois concernent principalement des postes administratifs et des domaines indirects. L'entreprise prévoit de mettre en œuvre des suppressions d'emplois par le biais de fluctuations naturelles, de programmes de retraite anticipée et de mesures "socialement acceptables". Les suppressions d'emplois touchent particulièrement les sites de Friedrichshafen, Sarrebruck et Schweinfurt. Environ 3 000 emplois seront supprimés à Friedrichshafen, 1 500 à Sarrebruck et Schweinfurt. Ces mesures font partie d'un plan de restructuration global, qui comprend également la fermeture de certains sites plus petits en Allemagne et en Europe. Le comité général d'entreprise de ZF a annoncé qu'il prendrait des mesures contre les suppressions d'emplois prévues et qu'il lutterait pour chaque emploi. "Cette annonce suscite des craintes alors que nous avons en réalité besoin de toutes nos forces pour livrer nos clients, faire face à la récession et nous transformer", a déclaré Achim Dietrich, président du comité général d'entreprise de ZF Friedrichshafen, dans un communiqué. Dietrich a critiqué ces projets comme étant simplement une mesure visant à réduire les coûts salariaux. "Cela ne s'attaque pas aux causes de la crise, mais masque plutôt les erreurs de gestion", a-t-il ajouté. Au début de l'année, le comité général d'entreprise avait organisé des manifestations en divers endroits, notamment à Friedrichshafen, pour attirer l'attention sur les licenciements prévus. ZF précise qu'il va désormais et à l'avenir se concentrer sur des segments porteurs à moyen et long terme comme les véhicules commerciaux, les châssis et les pièces détachées, alors que le secteur des transmissions pour les thermiques, hybrides, PHEV et VE souffre d'une baisse des commandes. https://www.leblogauto.com/actualite/zf--a-son-tour-en-crise-va-supprimer-jusqu-a-14000-emplois-96522
  13. Le projet c'est de déplacer la population du sud Liban vers le nord ...
  14. Un juste milieu entre quoi ... la France et les USA ? gloup gloup gloup ... ... à mon sens pour un francais la question ne devrait pas se poser, il n'y a pas de milieu, il y a seulement les intérêts de la France. Demande à un américains tu va voir ce qu'il en pensent des intérêts de la France lui ...
  15. Il se battent pour eux même pour personne d'autre ... et ils ont bien raison. Moi je les adore mais pour eux et chez eux. Mais en temps que francais je les considère au mieux comme des concurrents, voir comme des adversaires. Et c'est en oubliant que ce sont des adversaires qu'on se plaint après qu'ils nous on fait des coup de pute. C'est pas des "coup de pute" c'est juste des coups entre adversaires. Et sachant que c'est de très loin notre adversaire le plus puissant, c'est à mon sens de très loin le plus dangereux.
  16. Idealement sur les VBAE appui direct ... il faudrait y coller du 40 CT ... et une MAG. Mais malgré l'embonpoint probable du programme ca ne devrait pas rentrer.
  17. Polaris société de sport motorisé produit les MRZR, MRZR alpha et les Dagor etc. Ce n'est sont pas moins des engins militaires pour autant ?!
  18. Politiquement parlant c'est un fail. L'image d'Israel n'a jamais été aussi dégradé. Les palestiniens n'ont in fine pas été déporté. A priori la colonisation de Gaza n'est pas souhaitable. Et à part faire des nouvelles recrues pour les mouvement palestiniens, ou les pousser à la radicalisation, on ne voit pas trop le progres. En Cisjordanie c'est devenu ingérable, le Fatah ne controle plus rien, les colons font la loi. Pire l'ONU demande l'évacuation des territoires occupés. https://lactualite.com/actualites/lonu-adopte-massivement-une-resolution-demandant-le-retrait-des-troupes-israeliennes/ Condamnation de la CIJ concernant l'occupation https://news.un.org/fr/story/2024/07/1147211 Si avec ça Israël ne devient pas un état paria ...
  19. Le souci c'est que si le trauma est installé et que la patient n'arrive pas a sublimer... Le repos n'est pas possible.
  20. Les "voiturettes de golf" sont des produits militaires comme les MRZR le sont.
  21. Après avoir déployé des mouchard partout ... via les GAFAM. Le gouvernement américain veut interdire les véhicules connectés intégrant de la technologie chinoise ou russe Cette mesure porte sur les logiciels et les terminaux qui permettent à un véhicule de communiquer avec l’extérieur, notamment pour l’assistance à la conduite et la conduite autonome. Elle s’inscrit dans un durcissement de l’approche de Joe Biden vis-à-vis de la Chine. Le gouvernement américain veut interdire la vente aux Etats-Unis de véhicules connectés intégrant de la technologie chinoise ou russe, invoquant des risques pour la sécurité nationale. Le texte, dévoilé lundi 23 septembre par le ministère du commerce, porte sur les logiciels et les terminaux qui permettent à un véhicule de communiquer avec l’extérieur, notamment pour l’assistance à la conduite et la conduite autonome. Cette nouvelle mesure s’inscrit dans un durcissement de l’approche du gouvernement Biden vis-à-vis de la Chine. Mi-septembre, les Etats-Unis avaient déjà annoncé que les voitures électriques importées de Chine seraient taxées à 100 % à partir du 27 septembre. Avant même l’annonce de ces mesures, Pékin a jugé lundi « discriminatoire » l’interdiction envisagée. « La Chine s’oppose à la généralisation par les Etats-Unis du concept de sécurité nationale et aux mesures discriminatoires prises à l’encontre d’entreprises et de produits chinois », a déclaré un porte-parole de la diplomatie chinoise, Lin Jian, après la parution d’informations de presse. L’électronique est de plus en plus intégrée aux voitures modernes, et la plupart des véhicules sont aujourd’hui connectés à Internet par le biais du système de navigation. L’émergence des logiciels d’assistance à la conduite et de conduite autonome renforce encore l’importance des interventions extérieures dans le contrôle d’une automobile en circulation. Crainte de collectes de « données sensibles » « L’accès malveillant à ces systèmes pourrait permettre à des adversaires d’accéder et de collecter nos données les plus sensibles et de manipuler des véhicules sur les routes américaines », a justifié, dans un communiqué, le bureau de la sécurité et de l’industrie du ministère. Le gouvernement n’a pas précisé quels constructeurs ou quels modèles seraient susceptibles de tomber sous le coup de cette législation, dont le texte va être soumis à consultation durant trente jours, avant de prendre sa forme définitive. Sollicité par l’Agence France-Presse (AFP), le Conseil de l’industrie automobile américaine (AAPC), qui représente les trois géants de l’industrie, General Motors (GM), Ford et Stellantis, n’a pas donné suite dans l’immédiat. Il n’y a pas de véhicules de marque chinoise commercialisés aujourd’hui aux Etats-Unis, mais certains constructeurs occidentaux, comme Volvo (suédois, mais contrôlé par le Chinois Geely), Polestar, Buick (groupe GM) ou Lincoln (filiale de Ford) y vendent des voitures fabriquées en Chine. « Un risque sérieux » Au-delà, se pose la question des véhicules assemblés aux Etats-Unis mais pouvant utiliser des pièces chinoises. Les autorités américaines ont mené préalablement une étude afin d’évaluer l’impact qu’aurait cette mesure sur l’industrie, a expliqué une source officielle. De cette analyse est ressortie que la pénétration des logiciels chinois et russes était « minimale », a-t-elle précisé. Pour les terminaux, « c’est un peu plus compliqué », selon la même source. « Il y a davantage d’équipements chinois » en circulation hors de Chine, les interdire nécessitant « des changements de fournisseurs ». De ce fait, le gouvernement n’entend pas appliquer l’interdiction concernant l’appareillage physique avant 2029, afin de donner un temps d’adaptation nécessaire à l’industrie. Dans le cas des logiciels, en revanche, la mesure serait effective dès 2027. « Aujourd’hui, les automobiles ont des caméras, des micros, des GPS et d’autres technologies connectées à Internet », a mis en avant la ministre du commerce, Gina Raimondo, citée dans le communiqué. « Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour comprendre qu’un adversaire étranger bénéficiant d’un accès à ces informations pourrait présenter un risque sérieux pour la sécurité nationale et la protection des données des citoyens américains », a-t-elle ajouté. Dès lors, a expliqué la ministre, le gouvernement américain est résolu à prendre des mesures « proactives » pour « préserver les routes américaines de la technologie russe et chinoise ». Le Monde avec AFP
  22. La grande panne de l’industrie européenne La production industrielle recule dans la plupart des pays de l’Union européenne. En cause, un manque de compétitivité face à la Chine et aux Etats-Unis, alors que le rapport Draghi a appelé récemment à des investissements massifs pour éviter un « décrochage ». Le symbole est aussi fort qu’inquiétant : la production industrielle des quatre premières économies européennes est dans le rouge. Selon des données de l’agence publique Eurostat révélées le vendredi 13 septembre, l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne enregistrent, sur un an, une baisse de leur production de biens d’équipement et de consommation durables. Au-delà de ce premier carré, la tendance frappe l’ensemble du Vieux Continent. Entre juillet 2023 et juillet 2024, la production industrielle a diminué de 2,2 % dans la zone euro et de 1,7 % dans l’Union européenne (UE). Mais sur cette période, les baisses les plus fortes enregistrées par Eurostat ont concerné la Hongrie (− 6,4 %), l’Allemagne (− 5,5 %), l’Italie (− 3,3 %) ou la France (− 2,3 %). Quelques pays, moins nombreux, affichent à l’inverse des performances en hausse ; c’est le cas du Danemark (+ 19,8 %), de la Grèce (+ 10,8 %) ou de la Finlande (+ 6,4 %). Le recul observé témoigne du manque de compétitivité de l’industrie européenne face à la concurrence américaine et asiatique, au moment où l’ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, s’est inquiété, dans son rapport remis le lundi 9 septembre à la Commission européenne, du « décrochage » de l’UE par rapport à la Chine et aux Etats-Unis ; les Vingt-Sept se condamnent à une « lente agonie » s’ils ne réagissent pas, dit-il. Les industriels européens pâtissent notamment d’une demande intérieure atone, d’une pénurie de main-d’œuvre qualifiée, mais surtout d’un contexte énergétique bouleversé depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, et la fin de l’accès au gaz russe bon marché. « L’UE est confrontée à des prix moyens de l’énergie près de deux fois plus élevés qu’aux Etats-Unis et en Chine. C’est un handicap majeur et structurel en matière de compétitivité et de productivité industrielle », explique Raphaël Trotignon, responsable du pôle énergie-climat à l’institut économique Rexecode. Outre-Rhin, la mauvaise santé de l’industrie a des effets dans les Etats d’Europe centrale – en Roumanie, en République tchèque et en Bulgarie, des pays très dépendants de l’automobile allemande. De son côté, la France accumule les retards : niveau de croissance par habitant, déficits du commerce extérieur et des finances publiques… les indicateurs sont mauvais. Le début de réindustrialisation enclenché depuis quelques années subit un ralentissement net ces derniers mois. Un défi pour le nouveau gouvernement de Michel Barnier et l’arrivée à Bercy d’Antoine Armand et du ministre délégué à l’industrie Marc Ferracci, nommés samedi 21 septembre. https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/09/23/la-grande-panne-de-l-industrie-europeenne_6328985_3234.html
  23. Israël produit des armes, et peut aussi s'en fournir ailleurs qu'au USA. Accessoirement les dépôts d'arme "joint" qui sont sur le sol israélien sont librement accessible aux israéliens. Il y a eu un peu de destockage vers les USA dans le cadre du soutien à l'Ukraine mais absolument rien ne dit qu'ils soient vide, c'est même certainement le contraire. Israël, du moins les gouvernants n'ont pas le choix, il n'y a qu'une issue, faire durer la guerre ailleurs, pour masquer l'échec à Gaza.
  24. Dans chaque maison libanaise il y a un terroriste ... c'est une certitude maintenant ... Israël va pouvoir organiser une nouvelle déportation, et sombrer toujours plus vers la mal. Quelle déchéance.
  25. D'apparence. Si on lui propose des profils qui ne lui conviennent pas, il suffit de les affecter à des commission de pacotille ou pire de les prendre comme commissionnaire sans portefeuille. Faire parti du collège mais n'y servir à rien ... quel pouvoir immense pour les états qui proposent.
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