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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. C'était pour signaler que les changement d'alphabet de langue officielle etc. sont avant tout des coups politiques ... la population elle elle fera comme ca l'arrange.
  2. Le Rafale aussi je peux te le convertir à l'arrache en bombardier d'eau ... 8000L ... il fait aussi nounou ... frappe dans la profondeur ... reconnaissance ... lancce satellite ... intercepteur ... Et je suis sur que je peux te raconter la meme histoire avec le Tigre, le Leclerc etc. Mais en pratique ce sont tous des équipements qui coutent deux reins et demi et que l'industriels essaie de valorisé en faisant mine de les rendre absolument indispensable. En meme temps un avion capable de lourder 16t par sa rampe c'est le minimum minimorum qu'il soit capable de lourder de l'eau ... à la place d'un tank.
  3. A la base le kazakh une langue turque s'écrit en alphabet arabe - comme chez les ouïghours -, qu'on leur impose l'alphabet grec ou latin c'est du pareil au meme en fin de compte. A mon sens l'idée c'est surtout de s'éloigner de la sphère russe et de se rapprocher de la sphere turque, qui elle aussi à latinisé le turc depuis l'Orkhon en passant par l'arabe. C'était avant tout un projet politique visant à se tourner vers l'occident, et à se séparer des arabes.
  4. A Srebrenica, trente ans après le génocide, le « cercle vicieux » du déni La Bosnie-Herzégovine commémore, le 11 juillet, le massacre de 8 000 Bosniaques par les forces du général serbe Ratko Mladic. Mais dans ce pays toujours divisé entre Bosniaques musulmans, Croates catholiques et Serbes orthodoxes, le travail de mémoire est loin d’être consensuel. « Bienvenue au Las Vegas de Bosnie, on attire au moins autant d’attention [que la ville américaine]. » Mercredi 9 juillet, le maire de Srebrenica, Milos Vucic, manie une forme d’humour un peu spéciale, à deux jours des commémorations du 11 juillet qui doivent marquer les trente ans du génocide survenu en 1995 dans sa ville. Ce Serbe de Bosnie, par ailleurs cousin du président de la Serbie, Aleksandar Vucic, ne participera pas aux cérémonies prévues pour rendre hommage aux plus de 8 000 Bosniaques musulmans tués en quelques jours par les forces du général serbe Ratko Mladic, dans ce qui est considéré comme le pire massacre de civils commis en Europe depuis la fin de la seconde guerre mondiale. « Je n’ai pas été invité et je ne vois pas pourquoi je devrais y aller alors que mon adjoint [un Bosniaque] ne vient pas ici », explique cet élu de 37 ans, lors de la petite contre-cérémonie qu’il organise dans un quartier à majorité serbe de sa commune. Décorée de drapeaux serbes, se déroulant au rythme de l’hymne serbe, elle est dédiée aux seules victimes serbes de cette guerre qui fit en tout environ 100 000 morts entre 1992 et 1995. « Les Serbes ont été tués de façon beaucoup plus horrible que les Bosniaques, par exemple décapités, comme on le voit dans certains pays musulmans, mais est-ce que vous avez déjà lu quelque chose sur eux dans la presse internationale ? », s’indigne M. Vucic, en critiquant le supposé « deux poids, deux mesures » du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), qui a condamné définitivement M. Mladic en 2021 pour génocide. Peu importe que les morts serbes commémorés mercredi par quelques dizaines de Serbes rassemblés autour du maire de Srebrenica n’aient pas péri à cette date précise ou que le commandant local des forces bosniaques, qu’ils accusent d’être responsable de leur mort, ait systématiquement été acquitté par la justice internationale et bosnienne, l’essentiel est d’afficher une contre-programmation en vue du 11 juillet, qui devrait attirer cette année des dizaines de milliers de personnes. Plusieurs hauts responsables européens, comme le président du Conseil européen, Antonio Costa, ou le ministre chargé de l’Europe français, Benjamin Haddad, sont attendus dans cette commune de l’est de ce pays des Balkans. Passage du camion funéraire transportant les cercueils des sept victimes bosniaques récemment identifiées, à Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, le 9 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Si de nombreux bâtiments de cette ville sont toujours profondément marqués par les traces de la guerre avec leurs impacts de balles, ce sont surtout les esprits des 13 000 Serbes et Bosniaques restés vivre dans ces lieux désolés qui n’arrivent pas à sortir des conflits de mémoire. Comme dans tout le reste de la Bosnie et jusqu’à Belgrade, dans la Serbie voisine, la plupart des Serbes refusent toujours de reconnaître la nature génocidaire des massacres et continuent de faire de Ratko Mladic un héros. « Un crime terrible a été commis, mais il ne s’agit pas d’un génocide », a ainsi répété, lors d’un autre rassemblement, samedi 5 juillet, Milorad Dodik, le président de la Republika Srpska, une des deux entités qui constitue ce pays toujours divisé entre Bosniaques musulmans, Croates catholiques et Serbes orthodoxes. Un village de la municipalité de Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, le 9 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Soutenu par la Russie et ses alliés, le chef des Serbes de Bosnie se joue des mandats d’arrêt internationaux « Mensonges » Homme fort des Serbes de Bosnie depuis quinze ans, ce nationaliste prorusse souffle régulièrement sur les braises du conflit en refusant de reconnaître les verdicts de la justice internationale ou en menaçant de faire sécession des fragiles institutions centrales bosniennes. Et depuis qu’elle a été remportée pour la première fois par un Serbe en 2016 à la faveur du recul du nombre d’habitants bosniaques, la mairie de Srebrenica s’est alignée sur ses positions. Ainsi, avant chaque 11 juillet, la municipalité colle des affiches pour les seules commémorations serbes ou plante des photos de victimes serbes au bord de la route menant au mémorial de Potocari, le lieu où sont enterrés les 8 000 hommes bosniaques qui avaient été séparés des femmes et des enfants avant d’être massacrés. Une affiche avec le portrait de Milorad Dodik, président de la République serbe de Bosnie, à Visegrad, en Bosnie-Herzégovine, le 8 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » « Les Serbes font toujours le parallèle entre leurs victimes et celles des Bosniaques, mais la réalité était que les victimes serbes étaient surtout des soldats, alors que les Bosniaques étaient surtout des civils. Tout ce cercle vicieux ne mène nulle part », s’indigne Muhamad Avdic, un Bosniaque qui a fait le choix en 2008 de revenir habiter dans sa ville natale. La commune n’est plus que l’ombre de celle de son enfance, mais il espère un jour y retrouver la trace de son père disparu pendant la guerre. Muhamad Avdic, un survivant de la guerre, à Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, le 9 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » « Mes voisins serbes savent tous ce qui s’est passé, mais ils croient plus Milorad Dodik et Aleksandar Vucic que ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux, ils croient plus les mensonges que la vérité », a également déploré Hasan Hasanovic, le directeur du mémorial de Srebrenica, lors d’une conférence organisée en juin à Berlin par la fondation allemande Heinrich-Böll. Si les Serbes et les Bosniaques peuvent certes à nouveau vivre côte à côte sans s’affronter, les sujets de divergence émergent rapidement dès qu’ils abordent leur mémoire du conflit. « Quand je vais boire des cafés avec mes amis serbes, beaucoup pleurent comme moi à cause de la guerre, mais d’autres ne veulent pas s’afficher dans le même bar de peur de ce que les gens pourraient dire », explique Musan Durakovic, un Bosniaque blessé pendant la guerre, et revenu vivre il y a quelques années à Srebrenica. Il reconnaît que les signes nationalistes serbes qui jalonnent le paysage de la Republika Srpska, comme ces fresques à la gloire de Ratko Mladic, « lui font mal », mais il préfère insister sur « ces Serbes normaux qui lui disent qu’ils sont désolés, même s’ils n’osent pas le dire en public de peur des représailles ». Une fresque en hommage aux forces serbes à l’entrée de la ville de Visegrad, en Bosnie-Herzégovine, le 8 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Lire aussi le récit : Article réservé à nos abonnés Balkans : le poison du déni vingt-cinq ans après le massacre de Srebrenica « La réconciliation ne peut pas venir d’en bas » « La réconciliation ne peut pas venir d’en bas, ceux qui sont au pouvoir doivent prendre la décision de régler le passé », a aussi l’habitude de répéter M. Hasanovic, persuadé que beaucoup de Serbes sont otages de leurs dirigeants nationalistes. S’il refuse de qualifier Ratko Mladic de criminel de guerre, même le maire de Srebrenica, Milos Vucic, aime se présenter comme un rempart face aux tendances plus nationalistes. « Moi, j’essaye de regarder l’avenir, en respectant le passé. Si je peux faire travailler ensemble Serbes et Bosniaques ici, cela peut être un exemple pour toute la Bosnie », assure l’édile, en misant sur une très improbable renaissance économique de ce coin de Bosnie déserté par ses habitants faute de perspectives. Le pope orthodoxe Srdjan Lalovic à côté d’une fresque dédiée aux victimes serbes des guerres passées, dans une église d’un village de la municipalité de Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, le 9 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Mais il suffit d’écouter le pope orthodoxe Srdjan Lalovic pour entendre les mêmes propos qui ont servi de justification idéologique à Ratko Mladic et à l’ancien chef politique des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, pour éliminer ou expulser les Bosniaques des territoires à majorité serbe. « On n’a pas besoin de la Bosnie, les musulmans étaient tous des Serbes avant d’être convertis par les Ottomans », défend-il, en montrant fièrement la nouvelle fresque de son église dédiée aux victimes serbes des guerres du XXe siècle. « Nous sommes un seul peuple et on pourrait trouver une langue commune si l’Occident n’intervenait pas dans nos affaires », estime ce prêtre de 39 ans, en blâmant, comme beaucoup de nationalistes serbes, une prétendue responsabilité de l’OTAN dans la dissolution de l’ex-Yougoslavie. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Commémoration du génocide de Srebrenica : la communauté internationale passe en force sur fond de polarisation Luka Babic, moine orthodoxe et ancien combattant pro-serbe, sur le lieu de l’église orthodoxe qu’il est en train d’ériger illégalement devant un des cimetières de victimes bosniaques, dans un village de la municipalité de Srebrenica, en Bosnie-Herzégovine, le 9 juillet 2025. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Dans les collines surplombant Srebrenica, Luka Babic, le père supérieur d’un monastère orthodoxe, reçoit dans la maison rouge aux allures d’église orthodoxe qu’il est en train d’ériger illégalement juste devant un des cimetières de victimes bosniaques. Ce moine portant une longue barbe affiche une allure guerrière avec son veston militaire couvert de symboles russes et des forces paramilitaires serbes qui ont commis de multiples crimes de guerre pendant les années 1990. Pour lui, la paix avec les Bosniaques n’interviendra « jamais ». « C’est un combat multiséculaire entre nous », théorise-t-il entre deux rakias, le digestif balkanique traditionnel. Visiblement protégé par les autorités serbes locales, il multiplie les provocations en installant des tombes orthodoxes juste à côté du carré musulman. Vendredi 11 juillet, il a prévu de « célébrer la libération de Srebrenica » depuis sa maison-église.
  5. Souvent le goulet d'étranglement du fonctionnement d'une base, ce n'est pas la piste - ca se répare en quelques heure - ni les avions - on peut en amener d'autres en volant - ni meme le carburant sur place - on peut faire venir des camions - ... mais les équipements spécifique à la mise en oeuvre des avions. Certains équipement n'existent pas en quantité et n'ont pas vraiment de rechange. Et si ces équipement ne sont pas bien caché lors d'un raid, ils peuvent être détruit ce qui rend inopérable tout un tas de truc. Que les avions dispose d'abri bunkerisé c'est bien, mais il faut espérer que les équipement les plus critiques puissent aussi être mis à l'abri, dispersés, protégés.
  6. Le RQ-4 vole à 18 000 m - certainement même un peu au dessus, il est spécifiquement conçu pour exploiter la couche atmosphérique 18.000<->20.000 altitude à laquelle selon les saison, on a l’atmosphère la plus calme, donc il n'y a pas de raison qu'il ne vole pas à 20.000m au besoin - au dessus du trafic civil classique, et au dessus de la plupart des trucs qui volent, dans la zone de calme atmosphérique. Il n'est pas complétement immunisé contre la DSA ou les chasseurs, mais c'est une zone assez particulière quand même, ou les missile aéropiloté ne sont pas super manœuvrant par exemple. Disons que ce n'est pas forcément le plus simple à attraper. En plus la réglementation de cette zone au delà de 18.000m est différente d'en dessous. Les autres volent tous - à ma connaissance - plus dans la tranche 7000<-> 10.000m ... avec un "plafond" parfois au delà vers 13.000m mais c'est l'altitude de vol d'un liner ... on est en plein dans le cœur de métier de la chasse et de la DSA, normalement tous les pays pas trop dépourvu ont de quoi engager ce genre de menace rien que pour la police du ciel. Donc même si l'EuroDrone est dans le haut du MALE ... ca reste à mon sens un MALE, pas un HALE. Et dans ce cadre il ne me semble pas forcément beaucoup plus à l'abri que les autres drones MALE un peu haut de gamme. D'autant qu'au niveau discrétion radar ça ne semble pas très recherché par exemple.
  7. Pendant ce temps sur le terrain : Soumy, le front est toujours actif meme si le front n'évolue pas de maniere importante, l'engagement est important dans les deux camps. La situation reste assez volatile mais dans un mouchoir de poche. Lyman. Au nord. Contres attaques ukrainiennes pour débloquer la situation qui devient compliqué. Les russes avançaient lentement mais sûrement de manière à envelopper Lyman par le nord. L'objectif russe est Shandryholove, qui ouvre la voie de Novoselivka, Drobysheve et Lyman. Kleban-Byk "reservoir". Yablunivka tient toujours bon à l'ouest meme s'il semble que les russes vont tenter rapidement de prendre la ville d'assaut. Il s'approche fortement à l'ouest et au sud. A l'est du lac la situation semble plus compliqué, il n'y a pas de localité pour faciliter la défense et les russes ont commencé à attaquer les dernieres tranchées qui les séparent du lac, sans succès. Novoekonimichne. Les russes sont entrés dans la ville par le sud. C'est une assez mauvaise nouvelle parce que la ville tenait depuis un bon moment meme si les attaquers russes s'en rapproché petit à petit. A priori les russes sont bien installé dans le sud de la ville, et donc les ukrainiens ne risquent de seulement pouvoir freiner un peu la prise de la ville. La suivante c'est Myrnohrad, beaucoup plus grosse, mais faisant partie de l'agglomération de Pokrovsk. Komar. Au nord, le village de Tolstoï a été repris par les russes qui l'avait en parti perdu. Ils en profitent de la dynamique pour pousser vers le nord, vers Ivanivka - Oblast de Dnipro comme Dachne -. Komar ouest. Les ukrainiens essaient de tenir la frontière de l'Oblast. Des défenses solides on semble t il était construite dans la zone pour empêcher les russes d'entrer dans Dnipro ici. On peut supposer donc que les ukrainiens ne vont que freiner les russes, puis tenir ferme les position plus aménagés qui défende juste devant la frontière, ou sur la frontière selon l'endroit. Huliaipole. A l'est les russes controlent désormais tous les villages qui commande la ville. A court terme La ville sera menacé sérieusement à l'est, en plus du sud. Les russes n'attaquent pas Poltavka, mais la ville et les autres au nord sont menacé par le fire control sur la route principale qui vient de Huliaipole. Étrangement le gros des bonnes route est parallèle à la frontière de l'Oblast - sud-ouest <-> nord-est -, ce qui n'aide pas la logistique ukrainienne qui vient du nord-ouest. Kamianske. On peut quasiment considéré l'agglomération comme prise. Meme chose pour Plavni. Meme si cela n'a rien de capital, la ville tenait depuis le début de la guerre ou presque, du moins depuis que les ukrainiens avaient rétabli un équilibre. Ça rapproche lentement les russes de Zaporizhzhia. 25km "seulement". On peut supposer que les ukrainiens ont accumulé beaucoup de ressource sur la rive oriental du Dniepr, mais à terme si les russes arrivaient à lancer une offensive aérienne sur les ponts le fleuve pourrait bien devenir un vrai probleme dans le coin. Entre Zapo et Dnipro il n'y a pas de pont sur le fleuve. En gros les russes avancent, et ont des billes à vendre à leur opinion publique et à leur militaire. Tout va dans le bon sens ou presque, même si ça y va à vitesse d'escargot. A priori rien qu'y n'incite à envisager des compromis concernant un arrêt des combats.
  8. Tu as vraiment un problème avec nature, biodiversité etc. si tu mélanges volontairement les notions et tes désirs on est pas rendu. Et non il n'y a pas que la jungle primaire - qui d'ailleurs n’existe pas - qui est naturelle. Et accessoirement ta biodiversité n'est même pas "naturelle". Il n'y a aucune raison qu'un écosystème trouve un équilibre en maximisant le nombre d’espèce. Exemple, quelle surprise, la biodiversité est avant tout lié aux conditions climatique ...
  9. Parce que c'est déjà une inquiétude aux USA ... pas besoin de charger la charrette. Les conservateurs US ont une peur bleue d'une recomposition des empire en Europe autour de l'Allemagne, faisant ami-ami avec la Russie - qu'on pourrait voir comme un wanabee empire -. C'est la raison pour laquelle ils sont dans une dilemme insoluble. demander à l'Europe de s'armer - ou s'aguerrir - , largement, pour être crédible et disponible, si les USA leur demande. Pour le moment l'Europe est vur comme un élément incapable de répondre à l'appel des USA attaqué - article 5 - par exemple - dans le Pacifique par exemple -. La relation OTAN est vue des USA comme une assurance à sens unique. tout en en gardant un contrôle étroit, et donc en restant indispensable. Le contrôle sur l'Europe est absolument indispensable pour ne pas risquer de se retrouver avec un adversaire dans le dos, le jour ou la Chine passera à l'offensive. Expliquer que l'Allemagne pourrait abandonner les USA c'est faire de l'Allemagne un ennemi en devenir. Avec le japon c'est un peu différent puisqu'ils se tiennent par la barbichette face à la Chine. L'ennemi commun crée de fait un destin commune. On voit mal les Japonais copiner avec les chinois, y a quand même quelques gros dossier entre les deux. Mais avec l'Allemagne plus vraiment d'ennemi commun - un truc sérieux à l'échelle de la Chine conquérante dans le Pacifique - qui soude la relation ... Avant y avait le PaVa mais plus rien n'y ressemble aujourd'hui.
  10. C'est sensé être un drone MALE non ? Donc accessible à n'importe quel chasseur.
  11. Le Mk 57 fait déjà 28 pouces et plus de 7.2m de long c'est pas encore assez ?
  12. Le porte aéronef en question qui peut lancer des drones, entre autres. Sur la maquette il y a au moins 3 drones différents. Un drone genre reco MALE patmar, un petit UCAV embarqué avec des ailes, et une aile volante embarqué qui semble nettement plus grosse. Si le drone ailé fait 6t MTOW ... le drone aile volante doit faire le double ou le triple. On note la présence de deux catapulte et trois brin d'arret. Vu le volume d'hélicoptere de manoeuvre présent on peu supposer que le machin est avant tout un porte aéronef d'assaut.
  13. Quatre Canadiens, dont des militaires, ont été arrêtés pour avoir voulu former une milice afin de prendre le contrôle par la force d’un territoire dans la région de Québec C'est des indépendantiste ?
  14. Le béton basique peu ferraillé ca se détruit assez facilement ... les M855A1 par exemple tape bien le béton basique d'habitation s'il n'est pas sérieusement ferraillé, ce qui est souvent le cas dans les pays pas bien riche. Ca dépend aussi beaucoup de la cohésion et de la dureté des granulat qu'il y a dedans.
  15. C'est un peu ça la bizarrerie... ... Après ça dépend ce qu'on veut faire avec la construction. Et a quelle menace il est sensé encaisser.
  16. Pourquoi non international ? A partir du moment ou l'Arabie attaque les Houthis aussi bien depuis le Yémen que depuis l'Arabie, et que les Houthis font pareil c'est international. Non ?! Je donne l'exemple de l'Arabie parce qu'elle est frontaliere mais la quantité de pays étrangers qui sont allé faire la guerre aux Houthis au Yémen, et le nombre de pays cibles des Houthis en dehors du Yémen laisse peu de place à la non internationalité.
  17. En même temps dans le "privé" si tu n'as pas des conditions de travail potable tu ne trouves plus personne à embaucher c'est aussi simple que ca. Comme tu ne peux pas doper outre mesure les salaires pour demeurer un minimum attractif, autant retenir avec des conditions de travail agréable, ce qui ne coute pas bien cher en plus.
  18. Le problème pour des fortifications c'est surtout le ferraillage... C'est la ferraille qui tient tout.
  19. Ça change quelques chose ? C'est un état a qui on refuse juste le statut... Mais en pratique ils sont en guerre, et commanditent l'attaque de bateau de l'adversaire. Je ne vois pas trop en quoi ça change la fonction des marins en question...
  20. Entre 2019 et 2020 la demande mondiale de pétrole a baissé de 10% ... Les usages résidentiels c'est à peine 25% de la consommation d'énergie et il n'y a pas que du chauffage dedans. Pour les industries energy intensive elles ont quitté le continent ... Mais on paie cash le renchérissement de l'énergie dans les importation associées. Le COVID par exemple c'est moins 10% de consolation de pétrole mondialement... Et on est encore en phase de rattrapage. On consomme toujours moins qu'en 2019... Pour le PIB France on végète a 3 trilliards de dollars depuis 2008... Et les économies qui tirent le PIB mondial ne sont pas en Europe... Ce sont l'Inde et la Chine des ecomonies assises largement sur le charbon.
  21. La France n’est pas le seul pays rencontrant des difficultés de dynamisation de ses centres-villes. La plupart des villes d’Europe, en particulier d’Europe centrale, d’Europe de l’Est (à quelques exceptions près : Varsovie et Prague) et d’Europe du Sud ont assisté à un processus de « suburbanisation » avec une croissance plus rapide en dehors des centres-villes, tandis que la situation est précisément l’inverse dans les villes d’Europe du Nord, en particulier au Royaume-Uni, mais aussi en Allemagne, en Autriche et en Italie du Nord où les centres-villes se sont développés plus rapidement que leurs banlieues. Selon le document « Villes de Demain » de l’Union européenne, l’étalement urbain contribue fortement au déclin économique du centre-ville traditionnel. Celui-ci tend par ailleurs à générer une ségrégation sociale. Il résulte : • Soit de l’embourgeoisement croissant des centres urbains incitant les gens à rechercher un logement plus abordable en dehors des centres-villes, • Soit, au contraire, par la désertion des centres-villes pauvres et délabrés par les classes sociales aisées. Notamment le processus de privatisation des Etats­membres de l’Europe centrale et orientale, incite les lotisseurs privés à construire massivement dans les zones périurbaines en se voyant imposer peu de contraintes sur le plan de la qualité architecturale, de l’occupation du sol ou des éventuels plans directeurs. Ce phénomène peut également être renforcé par le zonage commercial non coordonné dans les zones périurbaines résultant de systèmes fragmentés de gouvernement local et de planification. Même si les pays du Nord connaissent moins l’étalement urbain, il n’en demeure pas moins que les villes connaissent malgré tout, notamment du fait de la crise économique et des évolutions de consommation (e-commerce en particulier), une vacance commerciale qui constitue un réel enjeu dans ces pays.
  22. https://www.europe-en-france.gouv.fr/sites/default/files/dossier_thematique_revitalisation_coeur_de_villes_vf.pdf
  23. g4lly

    L'Inde

    C'est le role de cette antenne déporté ... déplacer l'émetteur du brouillage/leurrage hors de l'enveloppe de l'avion. LA question c'est ensuite, est ce que la fusée de proximité déclenche en passant à hauteur de l'antenne ou pas ... et ça je ne sais pas. Ce que je sais : La longueur du "câble" est d'environ 100m ... donc le leurre peut naviguer 100m derrière le chasseur si celui ci a déroulé tout le câble. 100m c'est un bonne distance, à mon sens à cette distance la fusée de proximité n'a pas conscience de l'avion tracteur, et les effets de la charge militaire doit avoir peu de chance de faire de gros bobo au tracteur - je suppose que c'est pris en compte par les concepteur et les clients -. Le leurre se sacrifira au besoin, en gros le tracteur n'émettra plus du tout et tout le signal viendra du leurre de sorte que même en mode HoJ le missile sera nécessairement attiré par le leurre. Autrement on peut synchroniser les émissions du tracteur et de l'antenne remorqué pour produire une cible virtuel la ou ca nous arrange, en général pas directement sur le leurre si c'est possible. Si le leurre déclenche la fusée de proximité du missile c'est soit que le missile à touché directement le leurre - impact - soit qu'il est passé vraiment près. L'antenne remorquée est un petit objet, pas vraiment une cible typique pour un missile longue portée, il n'est pas improbable qu'il soit rejeté par la fusée de proximité s'il ne passe pas vraiment tout près. Autre chose qu'on ne sait pas c'est comment les Pakistanais établisse un hit à distance, s'ils y crois vraiment eux même. Est-ce que le déclenchement de la fusée de proximité est vu comme nécessaire à l'affirmation, ou est ce que l'accroche terminale par l'autodirecteur suffit. Dans les deux cas c'est possible. Même si je suis un peu dubitatif sur le fait que le missile déclenche en passant à la hauteur du leurre... néanmoins je n'ai pas d'élément pour savoir si c'est conçu pour ou pas. A mon sens à la base le leurre en question n'est pas à proprement parlé jetable, et donc je pense qu'il n'est pas prévu d'en consommer un pour chaque missile entrant. J'imagine donc qu'il y a une tactique qui permette d'éloigner le missile entrant suffisamment sans avoir à sacrifier le leurre systématiquement. Reste que souvent on propose l'équipement de plusieurs leurre tracté sur les avions, souvent plus ils sont grand plus on en colle, mais je ne sais pas si c'est lié à la dimension de l'avion, et donc à sa couverture pas suffisamment d'antenne, ou au fait que les leurres sont souvent détruits et que donc on en colle autant qu'on peut. Sur les bombardier US il me semble qu'on les colle par boite de 4 ... Les B-1B on 8 leurres par exemple. Concernant le prix du consommable on parle de 20 ou 30k$ l'antenne perdable. --- Concernant le X-guard Rafael sous les Rafale indien il me semble qu'ils sont emporter dans un pylône spécifique en point 3 ... donc les Rafale équipé semblent emporter deux leurres. C'est l'avion tracteur qui s'occupe de tout, et qui envoie le signal à reproduire par la fibre optique, pendant que le câble "cuivre" envoie le courant haute tension. Dans le leurre il y a juste un convertisseur qui transforme de signe optique en signal électromagnétique - bandes radar - assez puissant, et le passe au deux antenne - une secteur avant une secteur arrière -. En gros toute l'intelligence du systeme est à bord du tracteur, aussi bien les récepteurs, que le générateur de signal etc. Le mode de base du leurre est un mode répéteur, en gros il répète le signal du radar menaçant comme s'il se réfléchissait sur une grosse cible, en général en le modifiant à peine pour obtenir divers effets de déception sur la télémétrie, distance et vitesse, voir direction en conjonction avec les brouilleurs/leurres du tracteur. Une infos intéressante dans l'article, le temps déploiement ... l'antenne mettrait seulement 2 secondes à se déployer - maximum 100m à priori -, le systeme laisse penser qu'il s'inspire du moulinet de pêche pour les modes différencié lancer, récupération.
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