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Le taux de vacance commerciale a doublé en vingt ans et atteint des niveaux record. L’essor d’Internet, la concurrence de la périphérie et les nouveaux modes de consommation participent à la dévitalisation des cœurs de ville. Une de plus. En mai, la boutique Naf Naf de la rue Saint-Martin, à Soissons (Aisne), a baissé le rideau, alors que le sort de l’enseigne, en redressement judiciaire, est toujours incertain. Autour, les commerçants s’inquiètent pour Pimkie, également en souffrance. Ces dernières années, Mim, Camaïeu ou encore Minelli ont déjà clos leurs portes. Dans cette ville, 8,3 % des locaux sont vides, selon Codata, une société spécialisée dans la production de données concernant l’immobilier de commerce. Il en va ainsi dans toute la France : partout ou presque, les rues commerçantes se vident de leurs échoppes, perdant peu à peu leur dynamisme. Entre 2004 et 2024, le taux de vacance moyen des magasins dans les centres-villes est passé de 5,94 % à 10,85 %, selon Codata. Avec une franche accélération après la pandémie de Covid-19. Pour aboutir à ces résultats, Codata a étudié, dans 390 cités de plus de 15 000 habitants, les « périmètres d’attractivité commerciale », ces zones où se concentrent les magasins. Il ne s’agit donc pas d’un taux de vacance sur l’ensemble du territoire, mais ces chiffres donnent une très bonne idée de la vitalité des centres-villes – ou plutôt de leur lente déliquescence. Dans 15 % d’entre eux, plus d’une boutique sur cinq a baissé le rideau, et un quart d’entre eux affiche un taux compris entre 12 % et 18 %. « Et encore, ces chiffres n’intègrent pas la série de fermetures de 2025 », note Frédérique Macarez, vice-présidente de l’association Villes de France. La vacance commerciale affiche des « niveaux record », abonde Pascal Madry, directeur de l’Institut pour la ville et le commerce, en rappelant qu’elle est aussi élevée dans les centres commerciaux et galeries marchandes (16,07 %). Méthodologie de l’étude Société spécialisée dans la production de données concernant l’immobilier de commerce, Codata effectue des relevés de taux de vacance lors de campagnes de recensement de terrain réalisées une fois par an. Ainsi, 390 villes, dont la population est supérieure à 15 000 habitants, ainsi que les commerces de périphérie, sont étudiées, soit 300 000 emplacements analysés chaque année. Les relevés sont effectués dans des « périmètres d’attractivité commerciale », c’est-à-dire des zones où les commerces sont concentrés (rues commerçantes, densité de commerces, présence d’enseignes nationales…). Il ne s’agit donc pas d’un taux de vacance sur l’ensemble de la ville. La carte de France qui se dessine à partir des données de Codata montre de grandes agglomérations – à l’exception de Lille et Marseille –, globalement moins touchées, mais où la situation se dégrade. La façade atlantique résiste, le Sud souffre particulièrement. Paris n’échappe plus à la purge : à l’exception des Champs-Elysées et de l’avenue Montaigne, pré carré des enseignes de luxe, toutes les artères commerçantes ont des dents creuses. Dans le 14e arrondissement, avenue du Général-Leclerc, entre un Naf Naf et un Petit Bateau, l’ancien Zara, exploité de 1999 à 2024, n’a pas trouvé preneur. Pas plus que l’ancienne surface Undiz qu’exploitait la chaîne de lingerie du groupe Etam. Rue de Rennes, le Kookaï, inauguré en 1995, fermé début 2023, est muré. Flambée des loyers Toutes ces enseignes souffrent d’une consommation bridée par un pouvoir d’achat contraint et un drastique changement des habitudes de consommation, en particulier depuis la pandémie de Covid-19 et la poussée inflationniste qui a suivi l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022. Les enseignes discount type Action sont plébiscitées pour réduire les factures non alimentaires. Et, pour se vêtir, les Français dépensent de moins en moins : environ « 4 % de leur budget, contre 10 % en 1970 », rappelle Vincent Chabault, auteur du livre Sociologie du commerce (Armand Colin, 2024). A l’évidence, les jeunes de 2025 ne sont plus le carburant des boutiques de mode – piliers historiques des rues commerçantes – comme le furent leurs aînés. En 2010, 57 % des dépenses des 18-25 ans étaient réalisées dans les boutiques de chaînes exploitées au cœur des villes ou dans les centres commerciaux, selon l’institut Kantar. Un chiffre tombé à 46 % aujourd’hui. Terminé le shopping en meute chez Jennyfer et Primark : désormais, les jeunes scrollent sur leurs téléphones pour choisir leurs vêtements. Internet les attire davantage que les centres commerciaux Créteil Soleil, dans le Val-de-Marne, ou Cap 3000, à Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes). Ils y consacrent près d’un quart de leurs dépenses d’habillement, contre 6,4 % en 2010. En France, Internet représente environ 29 % des ventes d’habillement, selon l’Institut français de la mode (IFM). Shein, la plateforme chinoise de fast-fashion, capte 3 % de ce marché. Et la seconde main pèse 11 %. Le Net, neuf ou d’occasion, c’est autant de « chiffre d’affaires en moins, rapporté au mètre carré d’un magasin », observe Cédric Ducrocq, fondateur du cabinet de conseil Diamart. Cette baisse de la consommation fragilise d’autant plus les boutiques que les loyers commerciaux – ils peuvent représenter 30 % des charges d’exploitation – ont flambé. Les gérants n’ont d’autre choix que de se serrer la ceinture. « La moitié d’entre eux se versent une rémunération inférieure au smic », rapporte Pierre Bosche, président de la Confédération des commerçants de France (CDF). Jusqu’au jour où cela ne tient plus : alors ils ferment. A la concurrence d’Internet, ses prix cassés et sa livraison à domicile en un temps record, s’ajoute celle des zones périphériques. « [Elles sont] desservies par un parking gratuit. Les consommateurs y trouvent une maison de santé, une supérette, des casiers connectés pour récupérer une commande et une boulangerie Marie Blachère. Le centre-ville, considéré comme cher et difficile d’accès en voiture, ne leur est plus indispensable », explique Vincent Chabault. « Sentiment d’abandon » Ces changements obligent aussi les grandes enseignes à revoir leur stratégie. « Elles se focalisent sur les meilleurs emplacements, cherchent aujourd’hui à acheter du flux sécurisé, en réduisant leur parc de magasins, mais en augmentant les surfaces », expliquait Malo Lacroix, directeur des marchés de capitaux de détail pour le courtier en immobilier Newmark, au Salon de l’immobilier des espaces commerciaux, à Paris, le 11 juin. Il cite en exemple « Inditex, qui exploite 26 % de boutiques de moins qu’il y a cinq ans, mais 24 % de surface commerciale en plus en France ». Depuis 2015, environ 5 000 points de vente exploités par des chaînes ont fermé, explique Gildas Minvielle, directeur de l’Observatoire économique de l’IFM. « La France en compte encore 20 000. Mais il y en a trop au regard de la santé du marché », poursuit-il. Dès lors, les locaux vacants peinent à trouver preneur. Il faut désormais compter « quinze mois en moyenne pour recommercialiser un grand commerce », observe Cédric Ducarrouge, responsable du marché locatif chez la société de conseil en immobilier JLL. Et la situation n’est pas près de s’arranger. « Après la désindustrialisation, la tendance est à la décommercialisation », résume Vincent Chabault : ces rues aux boutiques murées, aux vitrines occultées de publicités sauvages, nourrissent le « sentiment d’abandon » des populations de zones peu dynamiques et « le vote des extrêmes », ajoute-t-il. Un sujet qui a de fortes chances d’animer les élections municipales de 2026. Frédérique Macarez, également maire Les Républicains de Saint-Quentin (Aisne), admet avoir peu de « pouvoir pour lutter contre les locaux vides » aux mains de propriétaires privés. Une taxe sur les friches commerciales existe pourtant depuis 2008. Et, en 2018, l’Etat a monté le programme Action cœur de ville, politique publique destinée à soutenir l’attractivité des villes moyennes (6 milliards d’euros engagés sur la période 2018-2022) au travers de la réhabilitation de logements et de locaux commerciaux. Une seconde phase (2023-2026) du programme élargit le périmètre d’action, notamment aux entrées d’agglomération (avec une enveloppe de 5 milliards d’euros pour quatre ans). « L’intention est bonne, mais les moyens ne sont pas à la hauteur des enjeux », fait remarquer Pierre Bosche, le président de la CDF, qui défend le petit commerce. L’Etat cherche de nouvelles pistes pour réimplanter des magasins, en particulier dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Le 28 mai, Véronique Louwagie, ministre déléguée chargée du commerce, et Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la ville, ont missionné Frédérique Macarez, Dominique Schelcher, PDG des hypermarchés et supermarchés U, ainsi qu’Antoine Saintoyant, directeur par intérim de la Banque des territoires. Leur tâche : « Formuler des propositions (…) qui permettent aux commerces de se développer et aux élus locaux, avec l’appui de l’Etat, de pouvoir davantage soutenir et développer une offre commerciale variée. » Ces trois experts doivent rendre leur rapport fin septembre. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/07/07/apres-la-desindustrialisation-la-decommercialisation-la-lente-agonie-du-commerce-en-centre-ville_6619591_3234.html
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Je suis toujours désagréablement surpris qu'il n'y ait pas de proposition sur le sujet de la défense active de aéronef. Les DIRCM sont devenu presque la norme sur les aéronef US - du moins c'est embarquable - qui doivent voler près du sol, cargo tactique, hélicoptère ... ... mais ici meme l'équipement de l'A400M tarde, alors que des produits sont déjà disponibles et distribué. J'ai du mal à savoir si on pense que les solutions sont pas assez intéressante, s'il y a une absence de besoin, ou si on a d'autres pistes. Concernant les DIRCM puissante - celle qui détruise le missile - il me semble qu'il y a encore deux impasses, la détection à priori optiquement ce n'est pas assez robuste, et la puissance embarqué/projetable - en gros stocker et projeté l'énergie est soit trop lourd soit trop encombrant encore -. Concernant les DIRCM incapacitant l'optronique d'un missile... elle sont essentiellement orienté vers les missile IIR court portée, ce qui est presque une niche concernant les menaces d'un chasseur.
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Europe de la Défense ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Salaire_de_la_destruction -
Ekranoplan et autres engins à effet de sol
g4lly a répondu à un(e) sujet de Duralex dans Asie / Océanie
Il y a quantité de projet en cours pour des avions-bateau, à priori les réglementation pourrait les assujettir aux normes des bateaux plutot qu'à celles des avions ce qui est particulierement avantageux. En Asie on attend un grand marché de la mobilité à ce sujet, parce que ce genre d'engin serait assez facilement électrifiable. Exemple -
Ça a toujours été la grande hantise des GAN US que cela vienne de la flotte de SNA, des navire de surface, et/ou des bombardier du PaVa. D'autant que le PaVa disposait d'armement spécifique destiné à attaquer les pont plat par le haut pour les mettre hors combat par un seul coup au but au milieu du pont d'envol. Et aujourd'hui avec la crainte du targeting à longue portée ... on a ca. Avec l'IRST dans le bidon.
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Ca va prendre deux secondes au spotters, ils connaisse par coeur la moindre trace d'usure, la moindre couleur, la moindre antenne spéciale etc. etc. tout juste s'ils n'identifient pas chacun des modele au bruit spécifique de ses moteurs. Pour les services secret l’ère de la transparence totale est un véritable supplice ... qui rend le renseignement humain ingérable de plus en plus souvent, sauf à utiliser des ressource jetable.
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[MEDOR]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
Disons que c'est bien plus brutal que d'habitude, ou que dernièrement. Le Liban est toujours sous bombardement régulier, des ministres appellent à l'annexion de la Judée Samarie, les dégât fait en Israel vont probablement faire réagir quand à la relative vulnérabilité du pays, au Yemen les houthis sont toujours un gros caillou dans la chaussure de l'économie etc. -
Pourtant le CV90 le fait, Vextra le proposait aussi ... A mon sens le sujet c'est plus la gamme de masse de l'engin qu'on doit porter pour dimensionner la mécanique, les trains roulant etc.
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[MEDOR]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
La menace lié au regain de tension forcément ... c'est une menace en soit quand de plus en plus de pays se font ouvertement et durablement la guerre. D'autant plus dans une zone aussi économiquement importante. -
co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Et donc qu'elle est la conclusion ... que dans le cas précis d'une ancienne ferme, des arbustes se sont développé parce qu'ils n'avait pas assez de prédateur, et que le climat et le sol était assez favorable. Super ... et on fait quoi avec ça maintenant? Refait la même expérience dans l'ouest américain et ton ancienne exploitation deviendra un désert ravagée par les Mustang sauvage. Refait la même chose dans le nord de l'Europe, tu obtiendras une prairie boréale. Refait la même en Namibie tu obtiendra un désert de sable. J'ai bien compris que la foret te faisait rêver ... mais ce n'est pas pour autant que c'est le biome idéal partout, ni qu'il soit plus ou moins vertueux qu'un autre. Je redonne l'exemple de la séquestration du CO2 ... les forets de feuillus en zone tempéré sont de mauvais séquestrateurs par exemple, alors que les prairie "naturelle" sont bien plus efficace, pour une raison assez simple l'immense majorité du CO2 est séquestré dans le sol ... par en aérien. Les partie aériennes ont même plutôt tendance à être des émetteurs nets.- 2 325 réponses
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co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Rien que la notion d’entièrement sauvage a peut de sens ... ... la c'est pareil tu es dans la mythologie. Il n'y a pas de nature forestière qui serait dénaturé pour faire des prairie, la prairie est un environnement au moins aussi naturel que la foret, en général plus naturel d'ailleurs, parce que plus primitif. La prairie était là avant la foret, c'est le biome de base pour les végétaux. Concernant la séquestration CO2 pareil une prairie séquestre bien plus qu'une foret de feuillus ... les forets de feuillus finissent meme pas déstocker via méthanisation et respiration.- 2 325 réponses
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co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Oui ... mais qu'ils pâturent naturellement ou de maniere organisé ca ne change pas radicalement la donne. Si des animaux pâtures ... la foret ne se développe pas par l'opération du saint esprit meme dans une zone favorable. De meme si la pression des herbivores est forte la foret régresse, la prairie aussi d'ailleurs. Au delà de ca tout un tas de climat du globe ne sont pas favorable aux arbustes, ce qui donne de la savane, des prairie boréales etc. --- Les Mustang sauvages aux USA https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2020-03-24/aux-etats-unis-les-mustangs-sont-devenus-une-menace-pour-lenvironnement-et-leconomie-db8e7f38-4d97-4377-a12d-20c417c26cfb- 2 325 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Des expérience à la con ... dans un monde clos ... duquel on a retiré ce qui nous arrangeait. Ce n'est pas de la science une expérience ... la science c'est une multitude d'expérience, qui en général posent plus de question qu'elles n'y répondent, et qui petit à petit finissent pas faire naitre des consensus. Je peux te refaire la meme expérience changer deux paramètres et obtenir un résultat opposé.- 2 325 réponses
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co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
C'est essentiellement parce qu'on a éliminé les grand herbivore sauvage en leur volant leur habitant ! Dans le meme temps les grandes prairies US meurrent - se désertifie - de surpopulation de grande herbivore ...- 2 325 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Et la nature est dépourvu d'herbivore?! Rien que le nombre d'insectes devrait te mettre la puce à l'oreille ... et tous les herbivores méconnu du sous-sol, mais aussi tous les rongeurs.- 2 325 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Surtout pour qu'ils pousse il faut que les pousse ne soit pas consommé avant même d'avoir largement grandie ... ce qui est loin d’être le cas. Même en dans un zone fermé - grillagé 80% des pousse replanté ne sera jamais adulte, c'est d'ailleurs un des scandales des plan de "reforestation" financé par l'état, on paie des exploitant forestier pour des coupes à blanc, puis on les paie pour replanter des pousses qui ne repousseront jamais un putain de jackpot, et le pire c'est que même si ça repoussait ça ne séquestrerait presque aucun CO2 parce que les condition d'élevage du bois sont telle que le niveau de séquestration n'a absolument rien à voir avoir une foret diversifié un peu naturelle -. Mais bon tant que l'écologie sera enfermé dans des mythologie dont même un enfant de 5 ans douterai ...- 2 325 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Les forets sauvages sont un mythes complémentent délirant d'ailleurs. Non seulement elles ont toujours été exploité par l'homme aussi loin remonte l'homme, mais encore plus par les animaux. Les animaux traces des chemins, sélectionnent de la nourriture, organisent l'espace - barrage de castor - etc. ce qui modifie infiniment plus profondément qu'on ne le pense l’écosystème. Mais dans un monde ou plus personne n'a de culture paysanne ... ce genre d'évidence ne l'est plus que pour une toute petite minorité en occident.- 2 325 réponses
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Visiblement tu n'as pas un comportement scientifique sinon tu aurais noté l'erreur grossière, de considérer un écosystème particulier - insulaire - et le prendre pour une généralité. La prairie est bien un écosystème parfaitement naturel ... en général les animaux sauvage qui y pâtures assure l'équilibre entre les divers végétaux qui pourraient y pousser, la diversité d'animaux pâturant assurant la diversité du prélèvement chacun ayant ses préférence ce qui limite la concurrence. C'est toujours du mal à comprendre comment on peut avoir une posture écologiste sans n'avoir jamais rien appris sur la "nature" ...- 2 325 réponses
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co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Heureusement que si la prairie est un espace naturel, c'est même celui qui capture le plus de CO2 ... ... la planète couverte de foret c'est une mythologie, tu as déjà vu des troupeaux de bisons brouter en foret?- 2 325 réponses
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Ce sont de config firewall, mais il me semble qu'il y a possibilité d'avoir un lanceur double sur le point trois aussi en plus de deux bidons sur le points 1. L'idée c'était surtout de faire remarquer que vu le peu d'avion disponible dans un GAN pour la défense de la flotte en cas de surprise, souvent on prépare des config' firewall avec le plus de missile possible ... pour effaroucher l'adversaire le temps de mettre du monde en l'air et d'élaborer des tactiques un peu plus élégante. Quelques soit l'adversaire il ne peut pas faire comme ci il n'y avait pas plein de missile en l'air ... va donc devoir adapter son attaque, la retarder, l'annuler etc. Même en portée limite, comme ont est dans une situation head on les missile ont toujours une chance de faire but. Et de toute façon ça ne sert à rien de faire collection de missile à bord, si l'attaque réussi ils iront par le fond avec le PA. Le Rafale étant un avion embarqué - d'autant plus sur un petit porte avion - il m'a toujours paru surprenant qu'il n'y ait pas d'expression du besoin de ce genre de config'. --- On sait si la configuration à un lien avec le marché indien? --- D'ailleurs le SH a une configuration encore pire ... 4x AIM-174B 4x AIM-120 2x AIM-9X 1x FPU-13 en cours d'ouverture.
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https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/07/06/apres-des-images-de-gendarmes-crevant-a-coups-de-couteau-un-canot-de-migrants-dans-la-manche-la-doctrine-de-la-france-en-question_6619300_3224.html Après des images de gendarmes crevant à coups de couteau un canot de migrants dans la Manche, la doctrine de la France en question La vidéo, tournée dans le Pas-de-Calais et diffusée vendredi 4 juillet par la BBC, accrédite l’idée d’un changement en cours du cadre d’intervention, côté français, lors de l’interception de bateaux dans la bande littorale. Image extraite d’une vidéo diffusée le 4 juillet 2025 par la BBC, sur laquelle des gendarmes français crèvent à coups de couteau un canot pneumatique chargé de plusieurs dizaines de migrants. CAPTURE D’ECRAN BBC « Le ministère de l’intérieur fait pleinement confiance au préfet et aux forces de sécurité intérieure. (…) Les gendarmes, avec de l’eau jusqu’aux genoux, sont intervenus pour sauver les personnes en péril. » Samedi 5 juillet, place Beauvau, on tente de circonscrire la polémique. Des images diffusées la veille par la chaîne anglaise BBC montrent des gendarmes, dans le Pas-de-Calais, s’avancer à pied dans la mer vers un canot pneumatique chargé de plusieurs dizaines de migrants et le crever à coups de couteau. Le gouvernement britannique s’est aussitôt félicité d’un « durcissement » de l’action des Français pour empêcher les traversées de la Manche, entreprise à laquelle concourt Londres à travers le versement d’au moins 760 millions d’euros à Paris depuis 2018. « Nous voyons de nouvelles tactiques utilisées pour perturber ces bateaux avant qu’ils ne commencent leur voyage », s’est réjoui un porte-parole du premier ministre travailliste, Keir Starmer. La crevaison des bateaux en mer n’est pas une pratique inédite. Une enquête parue en mars 2024, Le Monde (en partenariat avec le média à but non lucratif Lighthouse Reports) la documentait déjà. A l’époque, les autorités contestaient néanmoins y recourir. Sous la pression des Britanniques et face aux records de traversées de la Manche (plus de 20 000 arrivées depuis le début de l’année), le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, est décidé à franchir un nouveau cap. « Faire évoluer le cadre » Le 27 février, lors d’une conférence de presse au Touquet (Pas-de-Calais) en présence de son homologue britannique, Yvette Cooper, M. Retailleau a plaidé pour un « changement de doctrine d’intervention », évoquant la possibilité d’« arraisonner » les « taxi-boats », ces embarcations qui longent la côte et récupèrent les migrants directement à l’eau pour éviter les interceptions sur les plages. Jusque-là, une instruction du préfet maritime de mars 2023 avait ouvert la voie à l’interception d’un « taxi-boat », dans le cas où « moins de trois personnes » seraient à bord. Le ministère de l’intérieur veut aller beaucoup plus loin. Si, lorsqu’il était secrétaire général à la mer, de 2022 à 2024, Didier Lallement s’était opposé à toute opération de lutte contre l’immigration clandestine en mer, son successeur, Xavier Ducept, a été mandaté pour « formuler une proposition visant à faire évoluer le cadre (…) en raison notamment des enjeux de responsabilité pénale liés à toute interception effectuée pour une autre raison que le secours ». Cette réflexion n’est pas encore tout à fait aboutie, même si les Britanniques voudraient que des annonces soient faites lors du sommet franco-britannique, le 10 juillet. M. Retailleau y a aussi intérêt, alors qu’il négocie pour obtenir une enveloppe budgétaire supplémentaire de la part des Britanniques. L’attente se fait d’autant plus pressante que les négociations sont laborieuses autour d’un accord franco-britannique sur le modèle de l’accord Union européenne-Turquie. Celui-ci prévoirait la reprise par la France d’un migrant arrivé en small-boat en contrepartie d’une admission légale au Royaume-Uni d’un autre migrant présent en France. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Trois ans après le plus grave naufrage de migrants dans la Manche, des traversées toujours plus mortelles Sollicitée sur le sujet des interceptions en mer, la ministre de la mer, Agnès Pannier-Runacher, assure au Monde qu’il n’y a « pas de divergence » et appuie la démarche : « Il faut intervenir dans les premiers mètres où on a pied, précise-t-elle. On doit pouvoir appréhender le passeur avant la montée des migrants. » D’après nos informations, les tensions sont pourtant récurrentes entre le ministère de l’intérieur et celui de la mer sur ce sujet. « Jusqu’en 2025, on a eu des arbitrages favorables de Matignon », relate une source anonyme au ministère de la mer. « Ça va être un carnage » Une situation qui souffre de plus en plus de contestation : « En mer, il y a plein d’endroits où on fait autre chose que du sauvetage, argumentait, il y a quelques mois, un cadre du ministère de l’intérieur interrogé par Le Monde. La Marine fait par exemple de l’abordage de bateaux qui transportent des stupéfiants. Dans la Manche, on pourrait peut-être aussi arraisonner des bateaux, être plus offensif. » « Plusieurs fois, l’Etat s’est posé la question, poursuit la source au ministère de la mer. Mais si vous arraisonnez, un jour ou l’autre, ça va cabaner. Faire de la police en mer, cela nécessite une doctrine d’emploi et, une des possibilités, c’est de devoir faire de la reprise de vive force d’une embarcation. Ça demande des compétences techniques très spécialisées et qui ne sont pas maîtrisées par l’ensemble des forces de l’ordre. » Une vision partagée par des marins sauveteurs du littoral nord. « S’il y a un mouvement de panique, les gens tombent à l’eau », prévient l’un d’eux sous le couvert de l’anonymat. Un second appuie : « Un départ, c’est 80 personnes qui hurlent. Si jamais vous rajoutez de la pression policière, ça va être un carnage. Il y a des gros phénomènes de marée, les gens peuvent tomber dans un trou d’eau. Aujourd’hui déjà, 80 % des morts ont lieu très près des côtes. » Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les naufrages de migrants se succèdent dans la Manche En mars, l’association Utopia 56 a saisi la justice du cas d’une femme turque tombée dans le coma en novembre 2024 après que des gendarmes ont crevé le canot pneumatique dans lequel elle se trouvait, provoquant la chute à l’eau de passagers. Quinze personnes au moins sont décédées lors de tentatives de traversée depuis le début de l’année. Si certaines ont été victimes du naufrage de leur embarcation en mer, une partie sont mortes étouffées à bord des canots ou noyées lors des phases d’embarquement. « Les gens meurent dans les 300 premiers mètres du fait de la précipitation des départs, considère Félicie Penneron, coordinatrice de l’antenne de Grande-Synthe (Nord) de l’association Utopia 56. Depuis cet hiver, on a été davantage témoins de départs en “taxi-boat” pour échapper à l’intervention policière. Les risques sont plus élevés, notamment d’hypothermie. On craint de plus en plus de brutalités et de mises en danger. » Julia Pascual
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Le plus compliqué c'est la rampe effectivement et il doit y avoir un minimum d'électronique de géolocalisation et pointage dessus. Il s'agit quand meme de viser au bon endroit, meme si une partie de solution de géolocalisation peut être déporté sur des véhicules topographique pas forcément facile à cibler. Je ne sais pas trop comment sont pointé les différents type de missile ... si c'est à l'ancienne via implantation de référence - mire - topographique, ou si c'est plus moderne avec un solution d'implantation topo embarqué et autonome - comme ton téléphone qui est capable de te donner ta position et le nord par exemple, meme si c'est un nord un peu pourri souvent -.
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co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
On étouffe aussi dans les églises de France pendant la canicule, les ouvrants ne sont pas occultable, une fois la masse du bati monté en température elle est très longue à redescendre, et les capacité de ventilation nocture sont quasi nulle. Pour les pays du sud, ils sont souvent aussi conservateur que nous ... donc souvent ce n'est pas beaucoup mieux. Ils ont surtout des adaptations fonctionnel ... en réduisant l'activité, et en rattrapant en période moins chaude, mais en pratique ca semble faire perdre 1 point PIB par an au moins. --- En ville il n'y a pas cinquante solution. Empêcher le soleil de chauffer le bâtiment, en l’empêchant de lécher les facades et les rues. Mais pour ca il faut repenser toute la ville, l'orientation des rues, la largement des rues, la hauteur des facade etc. Empecher le soleil de chauffer les toiture, la c'est facile, on peut végétaliser, et/ou utiliser les toitures pour produire de surfrace d'usage. Par exemple on peut faire des terrain de sport. Les cité radieuse utilisaient activement les toit terrasse pour le loisir et la culture, cinéma ou théatre en plein air, piste de jogging, piscine, bibliotheque etc. etc. Végétaliser largement l'espace public avec des grands arbres ... mais vraiment largement. Les bulles de fraicheur végétale ne fonctionne qu'à partir d'un certain volume de biomasse, et d'eau. Éviter comme la peste les grandes place minérale, comme les grand parking ... ou les couvrir d'une manière ou d'une autre. Repenser le couvert des chaussée, trottoir et autre. Pour éviter l'accumulation de chaleur. On sait faire des dallage ou des élastomère à faible émissivité, et assez réfléchissant au besoin, on le fait sur les pont pour éviter le contraste thermique dessus dessous. Prévoir des itinéraire piéton abrité/ombragé. Deux belles grande rangé d'arbre le long d'une piste cyclable ca incite à l'usage. "Troglodytation" ... réusage des espace souterrain ou couvert comme on le faisait dans les habitat arctique. Il est assez facile de climatiser un espace souterrain, grande station de métro et autre structure dérivant de structure souterraine déjà existante. On a pas de souci d'isolation par exemple, on a juste à rafraichir l'air qu'on recycle, et encore assez peu via solution double flux. Adaptation des transport public, notament des correspondances. Les bus climatisé c'est bien, les correspondance en plein soleil sous 40°C c'est un repoussoir.- 2 325 réponses
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Tu peux toujours coller une caisse de VBCI2 sur des trains roulant chenillés si tu veux ... mais ca ne sera plus vraiment un VBCI. Il faudra revoir la descente de transmission qui se fera en avant de la baie moteur et plus en arriere par exemple. Créer un passage pour la transmission à l'avant la ou est installer le réservoir de carburant ... etc. etc. En contrepartie tout ce qui est sous le VBCI disparait, on gagne 30cm, donc on peut tout faire descendre de 30cm. Évidement il faut tout revoir coté suspension et train roulant. Mais sinon effectivement ce n'est pas impossible ... c'est surtout pas très optimisé.