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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. http://www.nytimes.com/2009/09/24/world/asia/24military.html?_r=1&hp
  2. http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/8273191.stm
  3. http://zonedinteret.blogspot.com/2009/09/espions-et-forces-speciales-pour.html
  4. tiens ;) 1 FOBNIJRAB, le 13 août 2009 GTIAKAPISA Tactique de contre insurrection en KAPISA TASKFORCE KORRIGAN La population au centre des préoccupations : la raison plutôt que le coeur ColCHANSON Alors que les élections s'organisent dans un climat de violence bien différent de la trêve qui avait permis leur déroulement 2004, la Kapisa compte aujourd'hui beaucoup plus d'insurgés qu'il y a 5 ans. Pourtant, dans l'intervalle, beaucoup ont été mis hors de combat, mais la source n'est pas tarie, et pourra toujours fournir plus de combattants. Ici l'insurrection est un phénomène essentiellement local pour des raisons géographiques et historiques ; l'amélioration de la sécurité ne trouvera pas de solutions sans l'appui volontaire de la population. En matière de sécurité, l'emploi de la force et la recherche de l'adhésion de la population ne doivent pas être séparés. Je traiterai ces deux aspects dans ce retour d'expérience mais en analysant plus particulièrement les effets de nos actions sur la population. Pour les besoins de l'analyse, on distinguera artificiellement les moyens d'action requérant la force (kinetic), des autres moyens (non kinetic), c'est­à­dire l'action directe sur les insurgés et l'action sur la population. 1 ­ L'action sur les insurgés L'élimination d'insurgés n'a réduit ni leur volume ni leurs activités en Kapisa En examinant l'évolution des contacts avec les insurgés sur une année complète en Kapisa (Annexe 1) nous pouvons vérifier un premier axiome de la contre insurrection : plus les activités militaires croissent, plus la guerre tend à s'enraciner durablement. La culture de guerre est telle qu'il est illusoire de croire que l'insurrection nous laissera la place sans que nous occupions réellement tout le terrain. Comme les forces armées, coalition et ANA comprises, n'auront jamais qu'une capacité d'occupation temporaire ou partielle, il­rtous 1 < faut renoncer d'emblée­à contrôler militairement toute la zone d'action. En Kapisa, les pertes insurgées qui résultent des affrontements sont majoritairement des autochtones et la vengeance est pratiquement une obligation sociale. Sur les 30 000 habitants de la vallée d'ALASAY, on ne compte finalement que quelques centaines d'insurgés. Le réservoir est donc inépuisable et suffira toujours à compléter les groupes à l'abri au fond de gorges resserrées, hors de notre emprise permanente. Les gains territoriaux sont invariablement remis en jeu la saison suivante lorsque les conditions sont à nouveau favorables aux insurgés ou lorsque la Force, profitant de l'accalmie, offre à nouveau des vulnérabilités. Tant que le 2 quadrillage d'une zone et son élargissement s'appuient principalement sur des actions de force, avec ce que celles­ci supposent de destruction, l'enchaînement fatal : + de contrôle = + de violence = + de morts = + d'insurgés restera difficile à briser. A moins de désamorcer la tendance par un contrôle qui userait moins la force, ferait moins de morts, et donc limiterait naturellement l'alimentation locale de l'insurrection. Comme l'abandon de la zone à l'adversaire ou le refus du combat consacrerait immédiatement la suprématie des rebelles, il nous faut gagner les affrontements en faisant le moins de morts possible. Parmi les procédés envisageables, la contre­réaction 1 , outre qu'elle limite les effets de la surprise, permet d'appliquer des ripostes proportionnées aux attaques. En fait, le choix est laissé aux insurgés de déclencher ou non le combat. Plus généralement, l'idée est de ne pas aller chercher les rebelles sur le terrain le plus favorable à leur combat préférentiel mais de les attirer dans des zones qu'ils ne pourront pas tenir. Cet aspect tactique de la contre rébellion en Kapisa ne sera pas détaillé dans ce retour d'expérience, il sera seulement esquissé en quelques phrases ci­après. Il importe d'abord que l'objectif des engagements offensifs ne soit pas la destruction mais l'attrition de l'adversaire et que notre supériorité technique soit valorisée lors de chaque affrontement. Cela suppose d'accentuer la pression sur les réseaux insurgés en appréhendant les rebelles connus en liaison avec l'ANP qui doit mener une véritable action anti­terroriste pilotée par des OMLT police efficaces. Ces méthodes sont susceptibles de pousser plus rapidement les insurgés aux extrêmes : le terrorisme (IED, attaques suicides) qui les désolidarisent de la population ou le ralliement (par exemple par la voie politique du HiG) qui est une pratique coutumière en Afghanistan. Partant du principe qu'une action sur les insurgés n'est efficace que si elle a des effets sur la population supérieurs aux dégâts qu'elle peut engendrer, les actions directes sur les insurgés doivent aussi être planifiées puis évaluées principalement en fonction de leurs effets sur la population. A cet égard, les pertes subies par les Taliban ne doivent être considérés comme autant de bulletins de victoire, indépendamment de leurs conséquences sur l'image de la coalition au sein des populations. Pour la Kapisa, en considérant que les pertes adverses restent limitées sans remettre en cause le succès tactique, l'action sur la population doit monopoliser tous les efforts. 2­L'actionsurlapopulation La conquête des habitants des vallées Gagner les coeurs et les esprits. Ce qui parait beaucoup plus concevable est de gagner la confiance d'une partie de la population. Ici la confiance vient du respect que l'on inspire et de l'estime que l'on suscite et qui sont jugés sur notre façon d'employer la force et d'après les bienfaits qui apportent nos réalisations concrètes. Plus le traitement du volet sécuritaire est coercitif, plus la question des lignes d'opération de la gouvernance et du développement est complexe : comment gagner la confiance de la population, c'est­à­dire comment la persuader que l'avenir ­ selon ses propres critères ­ sera 1 La contre­réaction peut se résumer à préparer méthodiquement des manoeuvres à double détente : 1 er temps (armer le dispositif) provoquer l'ennemi pour le faire se dévoiler par l'ouverture du feu. 2ème temps (actionner la détente) déclencher l'action principale par la manoeuvre et le feu des éléments prépositionnés et des appuis. 3 meilleur avec la coalition que contre elle. Le volet sécuritaire impose de protéger les habitants des vallées, les deux autres obligent de les convaincre, voire de les séduire. Ainsi, le lendemain des combats de la vallée de SHPEE (7 août 2009), la shura fut unanime pour désapprouver la violence créée par ces affrontements directs, mais elle considérait en revanche que les forces armées devaient participer activement à la sécurisation des travaux pour la construction de la route bitumée dans leur vallée. L'attitude des forces de la coalition. Au­delà des règles habituelles de comportement des troupes en opérations extérieures, qui fixent le seuil minimum de respect et d'adaptation aux moeurs locales, il en faut bien plus pour nouer avec les autochtones des relations pouvant conduire à la confiance réciproque. D'abord, il n'est pas raisonnable de demander cela à de jeunes gens. Ensuite, les unités déployées doivent inspirer le respect, car si la mission de sécurité n'est pas de détruire, elle est bien de s'imposer par la force chaque fois que nécessaire et sans concession. Face à un adversaire non conventionnel et déterminé, une posture de guerre et une vigilance permanente et sont des garanties de sauvegarde. Cette attitude d'autodéfense coupe naturellement la Force de son environnement. Finalement la mission exige de se montrer dissuasif tout en l'étant le moins possible, de batailler le matin avec les insurgés du village dans lequel il faudra distribuer des fournitures scolaires aux enfants l'après­midi. Ces changements d'attitude permanents demandent intelligence et force de caractère. Ils ne peuvent être exécutés que par des soldats calmes et froids. Le rôle du commandement est donc de dépassionner le conflit. Plutôt que de chercher à conquérir le coeur des habitants, la Force doit chercher à endurcir le sien. C'est peut­être le seul moyen de ne pas tomber dans les extrêmes que sont la haine d'un côté et la compassion de l'autre et qui et empêchent de trouver le point d'équilibre, celui du respect et de l'estime que l'on doit partager avec la population. . Pour ce qui est de l'attitude individuelle et collective, il faut cesser de faire peur à la population en croyant dissuader les insurgés de s'attaquer à nous. Cette attitude peut sembler rassurante mais elle est sans effet sur les insurgés et contreproductive pour la population. La réversibilité doit rester de mise : chaque fois que la sûreté immédiate n'est pas en jeu, les soldats doivent présenter un attitude confiante ­ dans leur propre force et envers la population. Les chefs de contacts doivent clairement donner l'ordre d'orienter le canon vers le bas ou d'enlever casque et lunettes quand ils ne sont pas en situation exposée. Les convois roulant au centre de la route à grande vitesse et les warning shot doivent rester exceptionnels et toujours justifiés. La population, qui ressent très bien le niveau réel de menace dans sa sphère quotidienne, ne comprendra notre attitude qu'à ce prix. Les troupes française possèdent et cultivent depuis longtemps un certain regard sur les populations qu'elles côtoient qui, sans être insensible, n'est ni affectif ni compassionnel. Un humanisme militaire en quelque sorte, qui permet le mieux d'appréhender son environnement en restant moralement prêts à utiliser la force. Cette aptitude, indispensable à la conduite de nôtre mission en Kapisa, ne doit pas être abandonnée par mimétisme de nos alliés. Au­delà de l'apparence extérieure et de l'attitude, il faut également prendre garde à ne pas fonder le raisonnement tactique sur l'emploi des moyens techniques, comme le font souvent nos alliés, au prétexte qu'ils garantissent une certaine suprématie. La tactique reste notre sauvegarde ultime et la meilleure manière d'épargner la population. 4 Engager le dialogue avec la population en Kapisa Pour de nombreuses raisons, il n'est pas envisageable que la population de Kapisa, en particulier dans le sud et l'est, bascule à court terme dans le camp de la coalition. Au mieux elle collaborera dans la limite où elle y trouvera un intérêt immédiat et surtout financier. Les liens avec l'insurrection sont étroits et nombreux, on peut presque dire que chaque famille compte des insurgés dans sa parentèle. L'histoire de la vallée, sa richesse et son peuplement particulier en fait une zone complexe très hétérogène et depuis longtemps rebelle à toute autorité extérieure. Il semble d'ailleurs que les motivations idéologiques aient peu de prise sur les habitants de la région. Les aspirations des uns et des autres sont surtout matérielles et le rejet des étrangers simplement atavique. Toute occasion est bonne pour engager la conversation. Il ne faut pas hésiter à dire la vérité sur ce que l'on pense de la situation sans juger selon nos critères occidentaux. Les représentants des villages et des vallées, rassemblés en shura qui constituent autant de micro sociétés, sont partie prenante dans les conflits familiaux, claniques, fonciers, politiques ou délictueux. Le clientélisme fait partie du modèle social et s'organise en système défensif palliant l'absence de pouvoir administratif central. Le choix, que l'on cherche à imposer à la population, de soutenir soit la coalition soit l'insurrection, répond à une logique simpliste qui voudrait que la coalition représente naturellement le progrès et la paix par opposition aux Taliban représentant l'obscurantisme et la guerre. La majorité des familles ont des intérêts dans les deux camps et ne choisiront donc jamais définitivement. L'important est que, par le biais des anciens et des maleks, la population sache que nous sommes parfaitement conscients de cette complexité. Le dialogue fondé sur cette base évite deux travers majeurs : la dévalorisation généralisée des Afghans aux yeux de nos soldats et le dédain des habitants envers des Occidentaux naïfs et drapés de certitudes. Renter dans le jeu du dialogue avec les représentants coutumiers signifie qu'il faut accepter les conséquences de la corruption. Ce terme mérite néanmoins d'être relativisé au niveau local et rapporté au clientélisme envahissant qui organise en grande partie les règles de vie des collectivités de Kapisa. Il n'est pas question ici de trafic de drogue et d'armes à grande échelle ou de réseau de criminalité organisée, mais plutôt de corruption quotidienne à tous les niveaux de l'administration ou des réseaux commerciaux. Une connaissance approfondie des véritables réseaux d'influence permettrait de répartir les bénéfices de la corruption et de s'en servir comme d'un moyen d'action sur les lignes de fractures entre les communautés. Il faut cependant prendre garde à ne jamais remettre en cause la légitimité de la force et s'assurer que notre action n'est pas contraire aux règles élémentaires de morale et d'humanité. Les flux financiers qu'engendré la simple présence de forces occidentales doivent être employés localement. En raison d'une multiplicité d'acteurs dont la majorité ne connaissent pas suffisamment le terrain et ne sont pas coordonnés, l'argent de la coalition échappe au contrôle du GTIA. La conséquence majeure est qu'une grande partie de cette manne passe entre les mains de nombreux intermédiaires internationaux, puis afghans par le truchement de contrats techniques avec la coalition, qui ne tiennent aucun compte des réalités opérationnelles. Ainsi, l'aménagement, le déplacement ou l'agrandissement des FOB des forces françaises représentent des budgets importants qui peuvent participer directement de la sécurité. Un ouvrier local payé pour des travaux de terrassement dans la vallée peut représenter deux insurgés de moins, l'ouvrier lui­même et le gardien sous contrat qui le protège. Il faut donc que les réponses aux appels d'offres répondent à des besoins opérationnels autant que 5 techniques. Certes, la qualité des travaux reste importante, mais pas plus que l'entreprise à qui l'on confiera les travaux, qui emploiera du personnel local et redistribuera les fonds au mieux de nos intérêts. C'est par dialogue avec la population et sur sa connaissance fine que la Force doit fonder sa politique d'investissement et ses priorités en matière de retombées financières, en accompagnement des actions sécuritaires. Le dialogue avec la population ne peut s'envisager que dans le moyen terme. Les motivations initiales qui amorcent le dialogue sont d'ordre pratique et financier. Les microprojets fournissent des occasions facilement exploitables pour entrer en contact avec les interlocuteurs représentatifs d'une zone. Cette première approche doit être poursuivie dans la mise au point des projets de développement plus complexes. En Kapisa, les infrastructures de communication sont prises en charge par les Américains et la relance agricole par les Français. Dans ce cadre, le dialogue ne peut être fructueux qu'après quelques années puisque les habitants nous jugeront sur les résultats obtenus. Ce dialogue doit surtout servir à faire avancer en parallèle deux lignes d'opération complémentaires qui s'alimentent l'une l'autre : l'amélioration de la sécurité et l'avancement des projets de développement. Il est tentant, car plus rationnel au premier abord, de faire précéder le développement par la sécurité. Cependant, compte tenu du niveau de menace persistant en Kapisa, si l'on appliquait cette règle les travaux de développement ne commenceraient jamais. En effet, l'expérience montre que certains projets de développement produisent directement de la sécurité comme les routes. Bien évidemment, un minimum de sécurité doit être fourni pour que les travaux avancent La sécurité et le développement doivent être menés de front et ne peuvent fonctionner que dans le cadre d'un dialogue entretenu dans la durée avec les représentants de la population. La convergence des lignes d'opération de la sécurité et du développement trouve son point d'application privilégié dans la construction des routes. En effet, il ne peut y avoir de construction de route sans un minimum de sécurité et l'extension de la sécurité passe par la construction de route. Les deux vont de pair. La Kapisa possède trois routes en construction, une route principale (MSR VERMONT, BAGRAM / NAGHLU) et deux routes secondaires (AFGHANYA et ALASAY) qui sont indispensables au déploiement efficace des forces de sécurité. Les routes présentent un aspect symbolique évident, c'est la manifestation visible de la présence et des efforts de l'Etat. Elles sont la condition d'un développement durable qui procure immédiatement des revenus aux travailleurs locaux et qui contribue à désenclaver les vallées et donc à réduire les antagonismes ancestraux. Surtout, elles produisent de la sécurité immédiate contre les pièges, moins facile à poser et plus faciles à détecter que sur les routes en terre. Elles apportent également la mobilité indispensable à l'action des forces de sécurité pour optimiser leur posture de réaction rapide. La population de Kapisa est massivement favorable à la construction de la route qui la rapproche de la capitale et d'un monde qui la fait rêver. La construction rapide des routes, surtout dans un environ peu sécurisé, est un des meilleurs moyens pour découpler l'insurrection de la population. Elle peut être une priorité avant même la dislocation des réseaux insurgés. 6 Conclusion Contrairement à d'autres théâtres, il faut arrêter de penser que le GTIA et l'ANA pourront, par un quadrillage serré du terrain, prendre le contrôle militaire de l'ensemble de province de Kapisa. En raison de la nature de l'insurrection, de la taille de la province et des troupes disponibles à horizon visible, le procédé qui viserait à se rendre maître du terrain par élimination de l'adversaire est voué à l'échec. La solution ne me paraît pas être dans la conquête militaire du terrain. Ainsi, seul un périmètre très réduit autour des postes avancés peut être considéré comme tenu pendant l'été. Elle n'est pas non plus dans l'élimination systématique des insurgés. L'érosion des effectifs rebelles au cours des affrontements ces dernières années n'a réduit ni nombre des insurgés ni leur emprise sur la population. Sur le moyen terme, il n'y a pas de victoire militaire à attendre. C'est l'exploitation des combats qui fait les victoires et donc la perception qu'en a la population. L'effet des actions militaires se mesure à l'effet psychologique qu'elles ont sur la population. Les opérations doivent être menées dans ce but unique. L'insurrection n'existe en Kapisa que grâce au soutien local car la majorité des rebelles, y compris les chefs, est autochtone. De plus elle est entretenue par des rivalités purement locales et des rapports de force qui ne trouvent pas leur origine dans l'idéologie talibane. Leur objectif n'est donc pas de se débarrasser immédiatement des étrangers, il est aussi de profiter de la situation pour changer l'ordre en place à leur profit, quitte à s'appuyer sur des «techniciens » étrangers à la vallée pour améliorer la rentabilité de la lutte. Plus que jamais, la solution se trouve dans notre façon de faire évoluer la population. Le bilan des deux premiers mois de mission de la TF KORRIGAN me conforte dans l'idée développée dans le plan de campagne : après la première phase préparatoire aux élections, visant plus spécialement à désorganiser les réseaux insurgés, la deuxième repose sur une meilleure prise en compte de la zone par l'ANA, qui doit libérer nos forces pour qu'elles se consacrent mieux à l'appui militaire au développement.
  5. g4lly

    Ici on cause MBT ....

    C'est des petit ecran placé devant les deux yeux qui affiche tout et n'importe quoi ... et qui dispose d'un systeme de repérage dans l'espace, permettant de synchroniser l'affichage a la position de tete et parfois de tes yeux. En gros avec ca tu est bien a l'abri sous ton gros blindage et sous le casque tu a l'impression d'etre en cabriolet, le systeme reconstituant les images extérieur via les divers caméra et projetant l'image dans le casque en fonction de l'orientation de ta tete. Apres comme dans les jeu video tu peux superposer tout est n'importe quoi, comme une iconographie évoluer permettant de repérer plus facilement ami, ennemi, menace connue etc. etc. en gros on peu y afficher tout ce que le systeme de combat du tank sait et se servir du casque pour faciliter le ralliement des armements sur une cible comme on le fait avec le viseur de casque du tigre. Le gros interet c'est de garder l'équipage bien sous blindage ... mais avec la meme visibilité que s'il était la tete dehors ... voir mieux, sa vue étant "amélioré" par l'optronique qui zoome, voit dans l'IR etc. C'est une solution qui existe depuis les année 90 ... mais qui n'a a l'époque été mis en oeuvre que pour de la simulation et pas avec des image réelles augmentées. Les FLIR des jet ou des helo - le tigre allemand - par exemple utilisent la meme technique projettant les images dans le casque permettant au pilote de voler a vue par nuit noir a travers les yeux de la caméra IR, et de l'affichage des infos de vol dans le casque.
  6. g4lly

    Crash Rafale

    Normalement les pilotes ejectés allument une balise radio qui permet de les localiser rapidement ... et de communiquer avec ... en temps de paix pas de signal de la balise, pas de reste d'ejection parachute ou autre, n'est pas du tout de bonne augure. En cas de panne de balise et radio, le pilote dispose de moyen de localisation fusée, colorant etc. normalement ca passe pas inapercu surtout qu'il y a beaucoup de monde en recherche.
  7. Hummm pas sur que le SF aille plus loin que le EC225 ... le SF n'est pas un helo de SAR c'est un helo ASuW/ASW plus transport. Visiblement les specs niveau autonomie sont du même acabit ~1000km, je pense qu'une vrai version SAR du NH90 serait au même niveau. Le seul helo qui fait vraiment la difference c'est le Merlin SAR ... encore faut il avoir l'utilité des sauvetage a plus de 420nm ... En métropole on a pas la façade maritime qui impose ce choix, comme il s'impose au Portugal par exemple. Quelqu'un sait si l'EC-225 peut faire le transit sur une turbine pour améliorer l'autonomie?
  8. Le tigre ne risque pas plus que ca ... c'est les HdM qui font la plus belle cible.
  9. Pas sur que les VIP aime l'aménagement SAR :lol: les odeur de gasoil et de goémon.
  10. g4lly

    Crash Rafale

    Bah en meme temps c'est le figaro :lol: la voix de son maitre
  11. g4lly

    Crash Rafale

    http://www.defense.gouv.fr/content/download/161474/1391934/version/1/file/communiqu%C3%A9+de+presse+n%C2%B02.pdf
  12. Le Felin remonte automatiquement l'info de positionnenent des soldat au CdG et CdS
  13. Le prix de l'essence en FOB est infiniment plus cher qu'a la pompe ;) donc réduire la consommation implique rapidement des réductions de cout de fonctionnement sérieuses. Il suffit de voir comment les marines luttent pour reduire les conso de combustible de maniere a continuer de naviguer a budget constant, l'année derniere y eu pas mal d'annulation alors que le fuel marine temps de paix est pas inabordable. Le gasoil temps de guerre civile en kapissa doit valoir son pesant de cacahouete :lol: Donc tout est bon pour économiser. Chauffage, ECS, électricité, avec des moyen classique. Chauffe eau solaire pour les douches, isolation des barraquements pour le chauffage, panneau photovoltaique, remortorisation plus efficace sur les vehicule ... Les pile a combustible ... recquiert du combustible :) c'est pas une solution magique a l'approvisonnement en combustible.
  14. C'est juste pour justifier leur position vis a vis de l'Iran ... Les US ca les arrange bien un monde sans nuke ... c'est les plus fort conventionnellement et de loin. Les Chinois ca les arrange déjà moins ... et les autres ca les arrangent pas du tout ... sauf pour des économies de bout de chandelles.
  15. Et puis l'océan ... le Chili tire énormément de ressource de l'océan et n'a pas de concurrent en face ... ni au sud et pas beaucoup au nord, donc il pourrait devenir la puissance maritime de l'atlantique sud oriental.
  16. Le probleme c'est que la cellule en alu riveté du dauphin va avoir l'air super old school en 2020 :lol:
  17. g4lly

    Ici on cause MBT ....

    C'est juste un démonstrateur de concept intégrant tout ce que propose Nexter ... a priori seul quelques élément seront intégré sur les Leclerc qu'il nous restera. La panoplie d'équipement de ce leclerc est longue comme le bras ... - drone jetable en nuque de tourelle - blindage reactif de toit - protection active 360° par charge a fragmentation piloté par radar. - detecteur de départ de coup/missile sonore/sismo, optique IIR/UV, radar. - detecteur de pointage laser et d'optique pointé, ladar. - eblouisseur IR et Laser, contre autodirecteur et optique. - periscope 360° permament avec traitement automatique genre chien de garde. - jupe complete basse signature optique et EM - poursuite automatique des cibles - fusion des données senseurs - IFF terrestre - missile tiré par le canon successeur de polyneige, POLY-NG + charge "creuse" CGN3D - mortier moyen calibre - interface tout écran + casque "réalité augmenté" ...
  18. g4lly

    Crash Rafale

    Les collisions s'est tres tres souvent des "erreurs humaines" ... Les balises radio il y en a mais c'est au pilote de les allumer.
  19. http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves_et_photos/24_09_09_afghanistan_deploiement_d_un_centre_operationnel_sur_la_fob_nijrab
  20. g4lly

    Crash Rafale

    Faut bien qu'ils meublent l'antenne ... vu qu'il y a pas d'info a part la dépeche du mindef. La collision a du etre severe pour que les deux appareils aillent au tas ...
  21. Les discours en question ont des objectif de politique intérieure rien de plus. A l'international les seuls qui comptent c'est USA et Chine. Les menaces envers l'Iran par exemple c'est le comble du ridicule. M'enfin si ca les aide pour motiver les troupes - de militants - aux prochaines élections ... pourquoi pas :lol: Quand a Kadhafi pourquoi bouder sont plaisir, plus il en fait plus on le courtise y a pas de raison qu'il arrete au contraire. Il est presque incontournable vis a vis de l'islamisme, du pétrole et d'une possible embryon d'organisation de l'Afrique.
  22. Les tireurs RPG aiment bien tirer a 950m ... version quasi ballistique ... parce que c'est le temps de vol avant l'autodestruction de la charge et que ca transforme une vulgaire charge HEAT en artillerie airburst. Dans ce mode d'engagement il se le tireur a prévu de s'abriter ... le temps qu'on voit la fumée du moteur il est déjà caché. Donc il risque pas trop trop grand chose. Sauf une volée de 30mm ... ou une bordée de 68.
  23. C'est un dolphin USCG visiblement ils servent toujours comme cela avec la cabine d'un seule tenant séparé juste pas la structure et quelques sangle ... d'ailleurs c'est plus pratique quand on installe 3 rangée de siege pour laisser de la place au jambres du rang 2 - qui a souvent que trois place vu la faible largeur cabine a cette endroit pour passer les jambes.
  24. Le rapport intégral dispo http://www.lepoint2.com/sons/pdf/rapport-chanson.pdf
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