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AIR-DEFENSE.NET

g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Les Français ont donc très peu de renseignements sur une zone dont on sait, pourtant, qu'elle est infestée de talibans. Il n'y a pas non plus de commandement et de coordination sur le terrain entre les deux sections afghanes, les deux sections françaises et le groupe d'une dizaine d'hommes des forces spéciales américaines. Personne ne commandait vraiment... ... Oui, ils ont su quand ils ont quitté leur base de Tora, puis les ont vus venir de loin, entrer dans la vallée, progresser ensuite à pied vers eux. Ils disposent de fusils-mitrailleurs, de tireurs d'élite équipés de fusils Dragunov à lunette. Ils tirent d'abord sur les premiers éléments français. Ensuite, leurs snipers cherchent à éliminer le chef de la section, l'adjudant Gaëtan Evrard, blessé, et son radio, qui sera tué. Les talibans sont à cinq contre un. Les Français tentent de se regrouper pour se dégager du feu ennemi. Les avions et les hélicoptères américains arrivés un peu plus tard mitraillent les talibans qui essaient alors de s'imbriquer au milieu des Français. C'est presque du corps à corps. Un taliban surgit à 20 mètres de Dussat. Darchy lance une grenade et "sèche" l'insurgé. Au même moment, l'adjudant Evrard est touché à l'épaule. Ils sont quatre soldats à se serrer derrière un petit rocher. Le tireur d'élite Kevin Chassaing réussit à éliminer un sniper à 450 mètres. Mais les talibans ripostent, sautant de rocher en rocher. Alexis Taani, le radio, alterne bouche-à-bouche et massage cardiaque sur un blessé. Une balle lui traverse la main et frappe Buil, qui s'éteint peu après. Les talibans ont compris et concentrent leurs tirs sur ce petit groupe. L'adjudant Evrard est menacé. Taani se dresse devant lui pour faire écran. Des balles claquent dans son dos. Il vient de se sacrifier pour sauver son adjudant. Darchy et Chassaing le traînent sur la piste pendant que trois camarades vident leur dernier chargeur pour les couvrir. Le premier, Darchy, prend une balle dans le tibia. Chassaing tombe, touché à la cuisse. Un second projectile le frappe en pleine tête. Un taliban surgit devant Darchy. Il n'a plus que son pistolet automatique. C'est quitte ou double. A 20 mètres, il vide son chargeur. Le taliban s'effondre. ... Oui, ils descendent de façon espacée et crient pour se parler. A un moment, Gros comprend qu'ils sont arrivés à hauteur du secteur où se trouvent les corps de Buil, Chassaing et Taani. Ils devinent que les talibans dépouillent leurs camarades, récupèrent leurs armes. Marchand les entend rire. Il imagine la curée. Pour lui, c'est trop. Il lance une première grenade défensive quadrillée, qui en couche quatre ou cinq. Du coup, c'est le silence. Il veut jeter la seconde mais, blessé au bras, n'arrive plus à la dégoupiller. Gros voit quatre talibans se redresser au moment de la première explosion. D'une rafale, il en tue deux. Deux autres se mettent à vociférer dans leur radio. Une nouvelle grenade ramène le silence. Il détecte un autre taliban sur la droite, tire, le blesse et en abat un troisième venu l'aider. Les paras ont su rendre coup pour coup pendant des heures. ... C'est sûr, mais sans perdre leurs moyens. Ils restent très solidaires. Ils se parlent beaucoup d'un rocher à l'autre. Bien entraînés, ils ont la foi et sont disciplinés. Lorsque le caporal-chef Marchand ne peut plus bouger, il demande à ses hommes d'aller chercher de l'aide. Lui attendra sur place. "Pas question, répondent ses hommes. On ne vous laisse pas." "Ça ne sert à rien", gueule Marchand en leur jetant un caillou. "C'est un ordre !" Les soldats obéissent. Marchand se retrouve seul. Trois talibans descendent dans sa direction. Waetheane, Paul et Garabedian sont couchés dans un talweg. Les insurgés passent sans les voir. Marchand serre plus fort sa grenade, sa dernière arme. Il ne bouge plus. Les talibans ne s'arrêtent pas, le croyant mort. Le caporal-chef hallucine : il pense voir le soleil monter, alors qu'il est en train de se coucher. Au bout d'une heure, il décide de descendre, à son rythme. Mais, juste un peu plus haut, un fusil-mitrailleur tire de courtes rafales pour bloquer le passage. La seule solution, c'est sa dernière grenade. Il se concentre, respire un grand coup, la dégoupille calmement et la lance au plus juste. Abasourdi par ses tirs, le taliban n'a pas entendu la cuillère sauter. Il disparaît dans l'explosion. La voie est libre. Soudain, un hélicoptère américain fonce droit sur lui. Il est à 10 mètres. Marchand croit qu'il va se faire buter pour ses camarades ! De son bras valide, il fait de grands gestes lents. Le pilote hésite, manœuvre un quart de tour à gauche et tire une salve de roquettes loin derrière le caporal-chef, qui entend des cris. L'hélicoptère vient de lui sauver la vie en anéantissant un nid d'insurgés. Il hurle sa rage de vivre et ne peut s'empêcher de crier aux talibans : "Bandes de chiens." ... Ils avaient une dotation maximale, compte tenu du poids à porter : 7 ou 8 chargeurs chacun, soit environ 200 cartouches. Mais le combat a duré cinq à six heures, à haute intensité, et ils ne pouvaient pas être réapprovisionnés. Même les véhicules blindés qui les appuyaient depuis le village, 600 mètres plus bas, se sont trouvés à court. Les projectiles des talibans ricochaient sur leurs blindages. Ils sont allés se réapprovisionner chez les Américains, restés en retrait pour guider les avions. ... Vingt-cinq minutes après l'alerte, le capitaine Crézé partait du poste de Tora à la tête de 80 soldats répartis dans 20 véhicules blindés, en demandant un appui aérien. Il a mis une heure vingt pour arriver sur place alors qu'il faut deux heures en temps normal. ... Les blessés poursuivent leur rééducation. Mais le plus dur, ce sont les blessures psychologiques, qui perdurent. Hantés par leurs souvenirs, ils se posent beaucoup de questions, notamment sur le montage de cette patrouille du 18 août 2008, sur l'absence des mortiers, sur l'arrivée des renforts, sur le comportement ou les choix de tel ou tel chef. Beaucoup estiment ne pas encore avoir eu toutes les réponses. ... Quant aux talibans qui ont mené l'embuscade, la plupart d'entre eux - près de 80 - et la quasi-totalité de leurs chefs ont été éliminés pendant la contre-offensive et dans les opérations qui ont suivi.
  2. Pour les perf c'est un probleme de Firefox qui gere tres mal les mise en page avec tableau. Essaye avec opera tu verras que tout s'affiche bien et vite ;) Le probleme c'est que je n'est pas de theme tableless joli pour la version 1.1.9 du forum ... seulement pour la version 2.0 Sinon je vais remettre la barre en 'scroll' classique avec la page ;) Accessoirement la version 3.6 de firefox améliore nettement la réactivité du navigateur ftp://ftp.mozilla.org/pub/firefox/nightly/latest-trunk/
  3. Hummm ... c'est pas un Hawk modifié pour remplacer les Phoenix sous tomcat ? Erf nan visiblement il ont garder l'empennage d'origine http://www.patricksaviation.com/videos/amirtomcat/2797/
  4. http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a65eb0f33-8f18-48f5-aed0-582a46d94b40 The US Navy plans to award Boeing a contract to flight test an air-launched version of the ScanEagle unmanned aircraft carrying a magnetic anomaly detector (MAD) for submarine localization and tracking. The MagEagle will be based on Boeing's ScanEagle Compressed Carriage (SECC) air-launched small UAV, which will conduct ground-launched flight tests this year. The MagEagle Compressed Carriage (MECC) flight test is intended to support the Navy's high-altitude ASW conops, which is being developed to avoid the turbofan-powered P-8 Poseidon having to descend from altitude to detect, track and attack submarines, reducing fuel burn and extending airframe life. Other elements of the concept include Lockheed Martin's HAAWC wing kit for the Mk54 torpedo to allow launch from high altitude. HAAWC could also be used to sow sonobuoy patterns at standoff range. While the US Navy's P-3Cs have a MAD, its P-8As will not - the requirement was deleted in 2008 to save weight, the Navy arguing sonobuoy acoutics would be sufficient to locate and track submarines- so air-launching the MagEagle would fill any gap, providing the capability to follow submerged submarines for up to 24 hours. The Poseidon will have a new hydrocarbon sensor designed to detect the fuel vapors from ultra-quiet diesel submarines. ScanEagle Compressed Carriage (SECC) is designed to be air-launched and either expended or recovered the same way ScanEagle is - by flying into and engaging the suspended wire of the SkyHook recovery system. It's not clear if that's the plan for MECC, but Boeing's concept is that SECC would be recovered on land or at sea for return to the launching aircraft's base.
  5. g4lly

    Brouillage électronique

    Insurgent Comms Targeted By Growler The EA-18G Growler has passed its operational tests and is in demand for U.S. joint expeditionary forces. So what does that mean when you’re up against a foe that doesn’t have aircraft or radar warning or radar-guided surface to air missiles? It means the Growler’s other operational forte will be in play – fooling with the foe’s communications. Officials are loath to discuss what specifically the need for airborne electronic attack (AEA) is in someplace like Afghanistan or Iraq. But it’s the aircraft’s digital communications emitter geo-location and identification capability that’s at the top of the list. It allows tracking of enemy command and control, network mapping and signals intercept. It also can be an important factor in combating improvised explosive devices. The EA-18G Growler is now on the road to full rate production decision and it could benefit from an expected Quadrennial Defense Review decision that U.S. expeditionary forces need another 26-30 airborne electronic attack (AEA) aircraft. Successful completion of operational testing for the U.S. Navy’s digital, electronic attack aircraft might trigger the production of more EA-18Gs. Senior Pentagon officials have discussed the expeditionary operational shortfall openly in congressional hearings. Production pressure on the F/A-18E/F and EA-18G production line would likely be driven by the expeditionary requirement. So far 12 aircraft have been delivered to the Navy, and two more will follow in Sept. and Oct. as part of the current 34 aircraft contract. Each cost about $65 million. The Navy’s operational validation of the Growler opens the door to a full rate production decision in the fall for another 54 aircraft. The Navy’s current program is set at 88 total aircraft. After years of criticism for being – potentially -- too concurrent, not evolutionary enough and increasingly expensive, the EA-18G shrugged off its critics by being declared operationally effective and suitable in late July with a recommendation for introduction into the fleet. The determination was made by the Navy’s commander of operational test and evaluation forces. It means, roughly, that the Growler is deemed capable of performing its operational mission of electronic attack. Suitability refers to the adequacy of maintenance, reliability and support. The Growler has been designed to bridge the gap between the new, digital ICAP III electronic attack system which has just been introduced into the Grizzly and the EA-6B that the EA-18G will replace in Navy squadrons. It will later be modified with the Next Generation Jammer program which is to make a quantum leap into the world of advanced electronic attack, cyber warfare and network exploitation. As proof of the system’s flexibility, Navy officials like Capt. Mark Darrah, F/A-18 & EA-18G program manager, PMA-265 point to software problems found and fixed during the test program by developing a software update release which will go into the aircraft in the next software release later this year. The software problems were not associated with the Growler's ability to transmit or receive, but rather involved integration of the electronic attack pod on the wing and electronic attack suite on the aircraft, Martin says. Correction: $55 million above was changed to $65 million.
  6. g4lly

    On ROVERise en France

    La L16 débit autour 100KBPS avec possible évolution vers 2MBPS, les terminale radio pese 20kg ... Rover débite plusieurs megabytes avec des terminaux pas plus gros qu'un laptop :)
  7. Le second c'est une double alimentation électrique pour les radar "AN/MPQ-64 Sentinel" qui accompagne les "avenger". L'autre c'est le shelter qui va avec le systeme HUMRAAM - du moins il y ressemble fort - juste que souvent il est monté sur le plateau du HMMWV et pas en remorque.
  8. http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2009/08/06/la-carte-didentite-uk-piratee-en-12/ ... muni de son téléphone mobile et d’un ordinateur portable, Adam Laurie a d’abord cracké l’algorithme de sécurité de la puce RFiD “sécurisée“, copié toutes les données qu’elle contenait, avant de cloner la carte d’identité en… 12 minutes. Petit détail : il a aussi réussi à modifier toutes les données de la carte clonée : nom, caractéristiques physiques, empreintes digitales, droits aux prestations sociales… Afin de signer son exploit, et d’éviter que la carte clonée ne puisse être utilisée à de vils desseins, il a aussi tenu à rajouter, à l’intention des autorités, cette petite dédicace : Je suis un terroriste. Tirez à vue...
  9. Les eBombs sont un grand classique ... on peu en produire de toutes tailles ou presque. Juste que pour le moment c'est pas tres utile, sauf pour "protéger" des donnée informatisé. http://en.wikipedia.org/wiki/Explosively_pumped_flux_compression_generator En général plus l'arme est petite plus les longueurs d'onde sont courtes et plus il est difficile de s'en protéger - meme si la portée et la puissance diminue, les longueurs d'onde courte son plus intrusive -. Normalement les matériels militaire sensible sont testé contre ces armes. http://en.wikipedia.org/wiki/Electromagnetic_pulse#Non-nuclear_electromagnetic_pulse http://www.dailymotion.com/kahunajohn1/video/x5msjq_future-weapons-23_tech apres 10:00 http://www.opex360.com/2009/08/05/deux-sous-marins-russes-au-large-des-etats-unis/ Selon le New York Times, qui cite des responsables du Pentagone et du renseignement, deux sous-marins nucléaires d’attaque russes de la classe Akula seraient actuellement en train de patrouiller au large de la côte Est des Etats-Unis, ce qui n’était pas arrivé depuis au moins une quinzaine années. Le premier submersible a été localisé à environ 320 kilomètres (200 milles) de la côte. Aucune information n’a en revanche été donnée sur la position du second. “A chaque fois que la marine russe procède à de telles manoeuvres exceptionnelles, cela est source d’inquiétudes” a confié au quotidien un important responsable du Pentagone. “Nous savons où ils se trouvent (ndlr: les sous-marins) et nous ne sommes pas inquiets quant à notre capacité à suivre leurs mouvements” a-t-il indiqué. “Nous sommes seulement préoccupés par le fait qu’ils soient là” a-t-il conclu. Côté russe, l’information donnée par le journal new yorkais n’a ni été démentie, ni confirmé. L’agence officielle Ita-Tass a seulement relayé les propos d’une source militaire selon laquelle “les mouvements des sous-marins russes (…) hors de leurs propres eaux territoriales sont courants et ne violent en rien le droit maritime international”. Mis en oeuvre par un équipage de 73 hommes, le sous-marin nucléaire d’attaque de la classe Akula (requin en russe) est l’un des plus modernes de la marine russe. En novembre dernier, un accident à bord d’un bâtiment de ce type, le Nerpa, a fait 20 morts lors d’essais en mer.
  10. Regain de violence incompréhensible en Kapisa Si l'on en croit les compte-rendus qui en sont faits par l'EMA, il ne se passe plus une opération majeure sortie en Kapisa sans accrochage avec les insurgés. Lundi dernier, c'était "Mille Sabords" à Gadakheyl (vallée de Bedraou), avec un tir de missile Milan à la conclusion. La sortie de samedi s'est donc malheureusement terminée par la mort d'un marsouin et des blessures pour deux autres (tous du 3e RIMa), alors que le déploiement était d'ampleur (230 militaires en tout, avec en plus les appuis qui vont bien). Et aujourd'hui, une nouvelle reconnaissance se solde par un blessé, encore du 3e RIMa, à Jalokheyl, à l'entrée de la vallée d'Alassay, où l'ANA dispose pourtant désormais de plusieurs COP (combat outposts), installés ces derniers mois grâce à la task force Tigre. A chaque fois, l'opposition, telle que décrite, là encore par les communiqués officiels, comporte plusieurs dizaines d'insurgés, une trentaine seulement samedi, une cinquantaine lundi dernier. Et si l'on considère les combats de ce weeekend, qui auront duré près d'une heure et demie, on se trouve avec un parti adverse très différent de ses prédécesseurs, qui en général prenait la poudre d'escampette dès que les appuis (artillerie, aéronefs) entraient en action. Ce qui est encore plus étonnant -inquiétant- c'est l'effet de surprise que les insurgés semblent avoir à chaque fois avec eux. C'est peut-être un signe que les atouts dont bénéficiaient jusqu'alors les Français sont en train de reculer en efficacité : rien de totalement étonnant, l'insurgé a lui aussi son "adaptation réactive". Et, plus inquiétant que tout, les soldats français n'ont peut-être plus, non plus, autant la cote en Kapisa. Les deux GTIA qui se sont succédé en Kapisa ont avant tout oeuvré à gagner les coeurs, ce qui leur avait permis de gagner, de façon quasi-imparable, face aux insurgés. De quoi enclencher puis animer un cercle vertueux. Mais l'opinion peut se retourner, très vite. Des éléments qui se vérifieront, ou pas, dans les jours qui viennent. Le compte à rebours des élections, et ses résultats, pouvant assez vite contribuer à catalyser les mécontents de tous bords.
  11. http://lemamouth.blogspot.com/2009/08/deux-harfangs-en-cognac.html Comme ce blog le pressentait en juin, le drone SIDM présenté par EADS au Bourget campe désormais sur la base aérienne de Cognac, futur nid des dronistes de l'armée de l'Air. Ce Harfang (et sa station-sol), le 4e détenu par l'armée de l'Air servira à assurer la formation de la pépinière de spécialistes de l'escadron Adour. Actuellement, un petite vingtaine de ses membres sont déployés en Afghanistan, à Bagram, au service de l'ISAF. Vraisemblablement jusqu'en février prochain, soit un déploiement exceptionnel d'un an, pour un matériel qui venait à peine d'entrer en service (1). Un deuxième Harfang campe à Cognac, mais celui-là n'est pas en état de voler, dans l'immédiat. C'est l'engin qui avait été légèrement endommagé en opérations, suite, vraisemblablement, à un gel intervenu sur un pitot. Des réparations devraient être engagées à la rentrée pour le rendre le plus rapidement possible au cycle des opérations (2). Même avec deux drones Harfang, l'Adour peut toutefois offrir une cadence quotidienne de vols, voire même, en urgence, tuiler le vol de deux engins. C'est, en fait, plus le manque de personnels formés qui conditionne l'activité de l'escadron en Afghanistan. D'où l'urgence de former la relève, et les renforts. CQFD.
  12. http://lemamouth.blogspot.com/2009/08/la-crise-complique-la-manoeuvre-rh.html La crise complique la manoeuvre RH Personne ne l'avait évidemment prévue, il y a un an, quand on prévoyait de faire ("facilement", c'était même un sujet de franche rigolade chez certains) maigrir les armées. Elle est bien là, maintenant : la crise économique va sérieusement perturber les prévisions établies par les direction RH des trois armées. C'est particulièrement vrai dans l'armée de l'Air (-24% dans les cinq prochaines années), où les voies d'écoulement traditionnelles du personnel, les compagnies aériennes, font grise mine. Air France a révélé la semaine dernière étudier un plan social pour la rentrée : pas le moment pour accueillir d'anciens aviateurs, parmi les pistards ou parmi les équipages. Parmi ces derniers, on disposait déjà depuis quelques semaines d'éléments de tendance : la compagnie n'avait pas prévu de faire de commissions de sélection, ce qui a, par exemple, refroidi ce sous-officier de quitter la chaleur douce de sa base aérienne. La donne sera peut-être un peu plus différente pour certains personnels oeuvrant dans des spécialités moins touchées par la crise. C'est le cas par exemple des métiers de la sécurité, qui constitue un secteur d'écoulement des fusiliers commandos en excès dans l'armée de l'Air. La spécialité, qui va fondre, constituait précisément une des cibles visées par un accord signé par Hervé Morin, au printemps, avec le représentant du secteur. Mais d'autres secteurs, qui avaient aspiré à tour de bras des mécaniciens, revoient aussi leurs perspectives. C'est le cas notamment de Turboméca, qui avait contribué, dans le sud-ouest, à attirer des mécaniciens en poste dans les RHC. Même les officiers supérieurs, qui auparavant trouvaient assez facilement à s'occuper dans le privé, particulièrement dans l'armement et l'aéronautique, n'ont plus les mêmes passerelles. Comme me le confiait l'un d'eux, récemment, "c'est dur dehors...".
  13. g4lly

    Budget de la défense 2009

    Le pire c'est que c'est nous qui les élisons :lol:
  14. g4lly

    Air quiz

    A bah nan le prowler il a la grande verriere 4 places... KA-6D effectivement, on voit la nacelle sous la queue.
  15. g4lly

    On ROVERise en France

    Les drone sont très vulnérable aux manpads ... le mieux pour engager un tireur mobile c'est l'HdC en vol tactique rafalant a +2km et se masquant dans le relief. Pas besoin d'etre précis contre l'infanterie ... les HE de 30mm meme a 10m de la cible mais par paquet de 10 ça fait son petit effet sur la chair molle. Rover c'est rien d'autre qu'un appel visio sur GSM - ou MSN ou autre outil de vidéoconférence évolué - ... sauf que l'image c'est pas la tronche du pilote mais l'image du pod et qu'on peut donner la main sur la visée a son correspondant. Ca permet de déléguer la visée a l'équipe d'observation/désignation sol qui a besoin du feu, le jet ne faisant que fournir les moyen.
  16. g4lly

    Air quiz

    Meuhhhhh nan ;) du moins plus maintenant :lol:
  17. g4lly

    On ROVERise en France

    Plait-il? Complexe a quel niveau? plus ca va plus les composant sont des élément grand public et les normes aussi. Matériel grand public qui visiblement vient aider le matériel "top de la mort qui tue" les pilotes un peu bricoleur. Visiblement récupérer la sortie vidéo et l'envoyer sur un écran a taille humaine n'est pas tres compliqué :) un peu de chaterton quelques câbles achetés chez le chinois un coup de dremel et hop un affichage lisible même au soleil :lol: D'ailleurs "damo XF" aura le meme caractéristique mécanique et aéro que damo, et visiblement sera dispo en retrofit sur les nacelle damo tout court. Pour la taille du capteur je comprends qu'a l'époque on ait pas eu le choix ... m'enfin c'est pas la mort d'échanger un capteur et l'électronique de traitement. Pour l'optique par contre la question profonde c'est pourquoi ce truc a été vendu avec télé fixe et pas avec un zoom d'origine, et surtout pourquoi on pourrait pas changer d'optique comme avec une monture classique sans gros travaux. Le fond de ma penser et que malgré tout le flanc qu'on fait sur ces technos les notres on visiblement un train de retard dans la mise en oeuvre ops. A qui la faute ... Le pod. la tache a l'avant du pylone c'est la camera du FLIR 24°x18°. Les équipement du pod: Caméra Thermique 3/5 µm, Caméra Visible, Laser Spot Tracker, Laser Range Finder / Target Designator - 45km a 45000 pieds -.
  18. g4lly

    VBCI

    Parce que sinon il en faudrait deux pour déplacer un groupe de combat ... Entre les exigence de volume utile - +13m3 - et utilisable - confortable pour des soldat d'1m90 et tout leurs équipements - , les exigence de protection RPG et +25mm mines, et l'exigence du train a roue, comment veux tu faire plus compact? Il ne s'agit pas d'un simple vehicule de patrouille mais d'une vrai base vie capable de combattre dans un environnement de cavalerie lourde. Dedans il doit y avoir a tout pour que 10 personnes puisse vivre et combattre pendant 72h au moins... forcément ca prend de la place. Pour faire patrouiller la cavalerie il faut se tourner vers l'EBRC, pour la patrouille d'infanterie vers le VBMR 10t.
  19. g4lly

    [ CVF ]

    Je colle l'original pour en garder la trace. Defence jobs at risk as MoD drops jump jet fighter engine [box title=]Up to 750 British defence manufacturing jobs are at risk as the Ministry of Defence is expected to announce it will drop a Rolls Royce fighter engine in favour of a cheaper American alternative.[/box] The decision is expected to cost the leading British engine manufacturer up to £5 billion in lost orders over the coming decade and will be a blow to its Bristol-based workforce. It will come as an embarrassment for the Government after Lord Mandelson made an announcement last month at the Rolls Royce headquarters in Derby that the company was "among the best in UK manufacturing". In a significant about turn the MoD has indicated that it will ditch the jump-jet version of Joint Strike Fighter in favour of the conventional model, as the planes for its two new aircraft carriers. The Daily Telegraph has learnt from senior defence officials that an announcement will be made this autumn. The move, welcomed by many defence analysts and the Royal Navy, will mean that the MoD has wasted £500 million of taxpayers' money paid to Rolls Royce to develop the highly complex engine to allow vertical take-off similar to the Harrier jump jet. A domestic row is also brewing as Rolls Royce was not widely consulted on the forthcoming decision. The company said it regarded the story as "speculation" and would not comment any further. But the company faces job losses with up to £5 billion in lost revenue in engine sales if the MoD rejects the "B" version of JSF fighters and goes for the "CV" conventional model which takes off from an aircraft carrier runway. The decision will also have a significant impact on relations with Washington because it will increase the price of the 350 US Marine Corps jump-jet fighters that have been ordered, forcing the US military to ask for money from Congress. The about-turn will also mean that the first of two 65,000 tonne carriers under construction, HMS Queen Elizabeth, will have to be redesigned with cost penalties. It is possible the recent £1 billion rise to £5 billion for the carriers might by partly attributable to the change of plan. But senior MoD sources believe that choosing the "CV" variant over the "B" will give the Navy considerable advantages as the conventional fighter can fly further and carry a far bigger bomb payload. Both variants are built by Lockheed Martin. Part of the reason for the change is the huge costs of developing and building the "B" version, , with each aircraft coming with a price tag of a projected £105 million with technological issues still to be resolved. The CV version is expected to cost an estimated £90 million leading to a saving of £2.2 billion. But there have also been strong hints given that considerably less than the 150 proposed JSF will now be ordered with MoD sources suggesting that "greater capability will mean fewer aircraft". "This will make a significant saving, not a vast one, but more than significant," a senior MoD source said. "The saving is more than worth going for." "The CV version provides various possibilities as well as disadvantages. We have not yet decided which version of JSF we are going to buy but the CV does have a vast amount of weight lift, a larger payload, longer range and can carry more fuel. "It also makes combined operations easier as you can land on similar carriers belonging to allies such as the French or Americans." The political row could be further inflamed as Roll Royce's chief executive, Sir John Rose is said to be close to Lord Mandelson. Quentin Davies, the procurement minister, told The Telegraph: "We have to take an immensely important decision. The testing and evaluation phase has been ongoing of the first three aircraft. We have to take a decision as to which version of aircraft we shall be agreeing and we shall be focusing on this situation in the coming months." The Navy has been flying Harrier jump jets off carriers for more than three decades and it is believed the "B" variant was originally chosen as a continuation of this when the Harrier goes out of service in 2015. But the design plans for the two new aircraft carriers always had the possibility of changing to a conventional jet. A defence industry source said: "This is a massive decision as it changes the whole industrial landscape. This will have a hell of an impact on Rolls Royce because they are part of building lift fan engine for the B version. "The CV variant has no lift fan so there is a massive amount of technology invested that might not be utilised. That potentially could cost hundreds of millions and hundreds of jobs lost." The decision also comes with some risk as the Navy will be reliant on the Americans developing a new electro-magnetic catapult to launch the fighters off the carrier. "This is a real risk because the new catapult design is a major undertaking. It is not just a widget," said a defence aviation source. "If it breaks then the planes can't fly and the carrier is useless. "Also the UK has no serving experts in this area of carrier flying so it's a real step in the dark." In an official statement the MoD said: “To maximise the flexibility that the carriers will offer over their service life, they are being built to an adaptable design that can operate both Short Take Off and Vertical Landing (STOVL) and Carrier Variant (CV) type aircraft.” It added that the STOVL or “B” variant of the JSF remains “our prefered solution”.
  20. http://www.corlobe.tk/article15459.html L’US Navy fait face à une facture qui ne cesse d’augmenter pour les réparations de son sous-marin nucléaire d’attaque USS Hartford, le sous-marin qui avait été impliqué dans une collision avec le navire amphibie USS New Orleans, en mars dernier dans le détroit d’Ormuz. Il semble bien que la note finale pourrait dépasser de loin les 100 millions $. La compagnie Electric Boat Corp. vient de recevoir un contrat de 65 millions $ () pour la réalisation d’un morceau de coque, d’un sas d’accès au pont, du kiosque et d’une barre de plongée rétractable, ainsi que pour effectuer les maintenances correctives obligatoires exigées pour la réparation et la remise en état de l’USS Hartford. Les travaux devraient être terminés en septembre 2010. Deux contrats de 21 et 16 millions $ avaient auparavant été attribués pour la préparation de ces réparations et l’approvisionnement du matériel nécessaire. Ce n’est pas la première fois que le Hartford connait une telle mésaventure. En 2003, au cours de manœuvres de routine dans le port de La Maddalena (Sardaigne), le Hartford s’était échoué. Comme cette fois-ci, son commandant avait été relevé et renvoyé aux Etats-Unis.
  21. Si seulement elle avait l'intelligence et l'autonomie d'un clebs :lol: ce serait le paradis.
  22. g4lly

    On ROVERise en France

    L'AASM ne pose pas de probleme! C'est juste que nos suite optro sont étudié pour détruire des infrastructure et des groupement blindé, et que nos com' en sont encore a la téléphonie analogique :lol: Apres le probleme de cout est un faux probleme ... combien ca coute d'avoir du matériel obsolete. Le probleme comme toujours c'est le délai R&D/ops' ... et ca dans l'électronique vu l'évolution super rapide des produit mainstream, les produit militaire et leur 10 ans de délai vont arriver avec 2 génération de retard a chaque fois! LA question c'est surtout pourquoi on ne peut pas installer un capter HD dans ce putain de damo ?! pourquoi il faut un nouveau pod magique et pas juste une mise a niveau de élément de l'ancien?! Pourquoi on ne peut pas ajouter un pauvre ecran de recopie correct dans un cockpit sans avoir a cabler a la sauvage un PDA... etc. L'ecran paquet de clope monochrome des D me rappele l'informatique d'il y a 30 ans c'est dire. Bientot les pilote francais devront embarquer leur laptop et le camescope HD pour assumer leur mission !!!
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