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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Pour une trajectoire de missile donnée ... qu'on suppose purement balistique ... l'ejecteur des tetes et les tetes elle meme peuvent toucher une immense zone. En pratique la tete du missile monte a plus de 1000km d'altitude ... quasiment en orbite ... le "postboost vehicule" s'oriente par jet de gaz et de là ejecte les MIRV et les leurres dans n'importe quelle direction. Leurres et MIRV qui sont furtivisé et qui peuvent eux meme manoeuvrer pendant la descente ... si bien qu'on connais la cible exact que quelques dizaine de seconde avant l'explosion ... En gros un missile tiré vers une cible au nord de Iran aura probablement une trajectoire semblable avec un missile tiré vers le sud de la Russie ... et comme dans ce petit jeu a la con pour etre sur de riposter il faut pas attendre d'etre détruit ... souvent la doctrine consiste a tirer le moins tard possible, parce qu'apres ca serait trop tard :) Ce genre de probleme explique par exemple l'usage strictement nulceaire de l'ASMP ... et l'arret des tom nuke. On évite de melanger les torchons et les serviette dans la dissuasion, pour pas donner a son adversaire un alibi pour vous atomiser :) Reste que dans les cas des "time sensitive target" le missile intercontinental est le seul moyen pour taper rapidement n'importe quel point du globe dans un court délai. Le préavi de lancement se compte en minutes et le temps de vol autour d'une quinzaine. Ce qui fait qu'entre la detection de la menace sont évaluation correcte ... la demande et l'autorisation de tir ... l'envoi de l'ordre de tir ... l'encodage de la cible dans le systeme de sous marin, le calcul d'une solution de tir et son chargement dans le missile ... et le tir effectif ... on doit etre nettement en dessous de l'heure comme indiqué dans l'article. Délai absolument intenable avec une frappe aérienne meme en gardant des bomber en vol 24/7 ... Ce probleme de cibles éphémeres est récurrent chez les US depuis la guerre d'IRak et les Scud ... ou ils se sont apercus qu'avec leurs moyens infinis ils étaient incapable de les frapper avant le tir ... alors que la procédure de tir d'un scud prend plus de 30 minutes et qu'il avait des avion en patrouille pour cela. Pendant une période on a envisager du missile de croisiere supersonique ... puis du missile ballistique hypersonique ... mais visiblement les développement tardent est sont super couteux ... pour une capacité limité a quelques centaine de kilometre, et des vitesse de mach 4/5 au mieux. Avec un ICBM ... c'est 20 000 km ... plus d'une tonne de charge militaire ... et jusqu'a 25 000 km/h ... absolument ininterceptable.
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Dans les 3 ou 4km rien ... sauf du russe. Les seuls ATGM dispos en Europe sont pas transportable par l'infanterie et sont destiné a l'aviation, PARS3 LR, Brimstone ... Oui le MILAN n'est plus suffisament efficace en anti-char ... ne permet pas d'attaque par le toit etc. aujourd'hui on ne veux plus seulement la neutralisation du MBT ciblé mais sa destrcution pur et simple, et ca le MILAN ne le fait plus ... du moins a coup sur. Il s'agit exclusivement de l'usage contre des MBT moderne ... contre d'autre cible moins dure et ne ripostant pas sur le coup le MILAN va bien.
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http://www.corlobe.tk/article14236.html L’US Navy prévoit de tester en aout prochain des technologies liées au missile Trident conventionnel L’US Navy prévoit d’effectuer en aout prochain un essai en vol de technologies des missiles balistiques Trident modifiés pour des opérations de frappe conventionnelle, malgré les demandes du Congrès américain de ne pas développer une telle arme. L’expérience pourrait aider le Pentagone à évaluer la faisabilité d’équiper le missile Trident d’un corps de rentrée manœuvrable et à armement conventionnel. Le corps de rentrée du missile D-5, qui est normalement équipé de têtes nucléaires, recevrait un système de guidage de précision et des surfaces de contrôle modifiées pour améliorer sa précision. Cependant, le Congrès américain a averti le département de la défense contre le développement ou le déploiement d’armes conventionnelles basées sur des sous-marins, qui pourraient être confondues avec le lancement de missiles nucléaires. Il a décidé l’an dernier d’annuler tout financement en 2009. On ignore si les parlementaires tenteront d’empêcher l’essai prévu en aout. L’objectif du développement d’une version conventionnelle du missile Trident est de pouvoir frapper en un délai très court (on parle ici d’une soixantaine de minutes) des cibles situées pratiquement n’importe où dans le monde. Des cibles "sensibles au retard" pourraient par exemple être "le transfert d’armes de destruction massive à des terroristes, la préparation du lancement d’un missile balistique équipé d’une arme de destruction massive, ou l’utilisation d’une arme anti-satellite," selon un document du Pentagone. Aujourd’hui, les seules armes américaines pouvant effectuer des frappes à longue distance et à des délais aussi courts sont équipées de têtes nucléaires et ne seraient par conséquent probablement pas autorisées. Pour les parlementaires américains, il existe un risque important que le lancement d’un missile Trident conventionnel ne soit mal-interprété par Moscou et ne déclenche une guerre nucléaire.
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Euh ... l'objectif du gouvernement c'est de baisser les dépense de l'état ... en tapant autant dans les effectif que dans les matériel ... et comme en plus les caisses sont vides ... et qu'il n'y a pas d'impératif opérationnel absolu pour ce genre d'engin ... il est probable qu'on n'en prennent pas plus d'une pincée :) -
Rafale : pourquoi ça traîne avec les Emirats http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/05/vente-du-rafale-aux-emirats-ce-nest-pas-pour-tout-de-suite.html Rafale Sauf coup de théâtre, le président de la République Nicolas Sarkozy ne devrait pas annoncer la signature d'un contrat de vente du Rafale, lors du voyage officiel qu'il effectuera lundi et mardi aux Emirats arabes unis (EAU). Difficiles, les négociations se poursuivent mais les acteurs, côté français, restent optimistes sur leur issue. (Photo: Dassault-Aviation) Voici les éléments pour comprendre le dossier : 1) le prix. Les EAU veulent naturellement payer le moins cher possible les 60 appareils qu'ils souhaitent acquérir vers 2013. C'est, passez l'expression, une discussion traditionnelle de marchands de tapis, qui prend du temps. Le Parisien de ce matin avance le chiffre de 6 à 8 milliards d'euros. Un chiffre sans doute surévalué. Les discussions sont d'autant plus tendues que le client n'ignore pas que Dassault traverse une passe difficile, à cause de la mévente des Falcons, crise financière oblige. 2) le radar. Les EAU ne veulent pas du radar RBE2 (Thalès) qui équipe les Rafale en service en France. Ils demandent un nouveau radar, dit à "antenne active" dont la portée est de l'ordre du double, sans doute plus de 100 km. Le développement de ce radar coûte très cher et n'est pas une priorité pour la Défense française, mais les EAU ne veulent pas le payer. Or, ils estiment en avoir besoin pour faire face à la menace iranienne, en engageant les cibles suffissament loin, surtout lorsque le Rafale sera équipé du missile air-air Meteor. L'Iran est à 250 kilomètres de côtes émiraties : dix minutes de vol... Les EAU souhaitent également d'autres améliorations (moteur M-88 plus puissant, une troisième point d'emport sous la voilure, une furtivité améliorée, etc) 3) les Mirage 2000-9. Les EAU sont équipés de la version la plus moderne du Mirage 2000 dont même la France ne dispose pas. Les Rafale devraient remplacer les 2000-9. Les EAU demandent donc à la France de les reprendre, en échange du contrat Rafale, à charge pour elle de les revendre sur le marché de l'occasion. 4) la base. Lors de sa visite, Nicolas Sarkozy inaugurera la base militaire permanente française aux Emirats, dont la création avait été annoncée en janvier 2008, lors d'un précédent voyage. La création de cette base interarmées (sur trois pôles géographiques différents) témoigne de l'engagement de Paris aux côtés des Emirats. Des accords de défense lient les deux pays. Trois Rafale de retour d'Afghanistan, seront présents lors de la visite. 5) la politique. Un contrat d'armement de ce type est d'abord un choix politique de la part du pays acheteur. C'est la raison pour laquelle le Rafale n'a pas été retenu par la Corée du Sud, Singapour ou les Pays-Bas qui ont privilégié l'alliance américaine sur l'offre française. Traditionnellement, les monarchies du Golfe ne souhaitent pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier. La France et donc le Rafale apparaissent alors pour ce qu'ils sont : l'alternative à l'Amérique.
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http://www.latribune.fr/carrieres/droit/20090506trib000373977/souffrance-au-travail-lenergie-la-finance-et-la-fonction-publique-particulierement-touches.html Souffrance au travail : l'énergie, la finance et la fonction publique particulièrement touchés L'Institut de veille sanitaire a révélé les premiers résultats de son enquête sur la souffrance au travail. Il en ressort que les femmes sont plus victimes de mal-être et de stress que les hommes. Les secteurs les plus touchés : l'énergie, la finance et la fonction publique. La souffrance au travail frappe durement les femmes plus que les hommes et, particulièrement, les salariés de la finance et de l'énergie. Une vaste étude officielle, dont les premiers résultats sont aujourd'hui connus, montre les dégâts du stress secteur par secteur. Quelques 6 000 salariés qui ont été questionnés par des médecins du travail volontaires. Selon les premiers résultats publiés par la revue "Santé et travail", environ 24 % des hommes et 37 % des femmes interrogés souffrent de détresse psychique. Les hommes travaillant dans la finance sont particulièrement concernés (29%), suivis de près par ceux œuvrant dans l'énergie (28%) et la fonction publique (26%) - soulignons que l'ensemble des données a été recueilli avant la crise financière. Les femmes travaillant dans ces secteurs apparaissent aussi touchées : en ce qui les concerne, la finance arrive en troisième place (42%), devancée par le secteur de l'énergie (45 %) et la fonction publique (43 %). Les femmes sont les premières victimes Les femmes se révèlent particulièrement touchées par la souffrance au travail. Quels que soient la profession et le secteur d'activité, elles obtiennent systématiquement des résultats supérieurs à ceux des hommes : 10 à 15 points d'écart apparaissent ainsi dans les pourcentages donnés ci-dessus. La violence au travail apparaît comme le deuxième facteur de souffrance chez les femmes. « A priori, ce n'est pas la discrimination qui est en cause, explique Bernard Stadler, directeur adjoint de la DRTE (direction régionale du travail et de l'emploi) de Rhône-Alpes. En fait, les femmes sont plus nombreuses à occuper des postes en contact avec le public ». Les femmes se voient plus touchées que les hommes par les mauvais traitements (5% contre 3,2%) et les humiliations (16% contre 11,6%). En revanche, les hommes souffrent plus d'alcoolisme que les femmes (9,6% contre 2,2%). Cette dépendance touche notamment les salariés de la finance (16,4%) et des services collectifs (17%). Le manque de reconnaissance professionnelle, une cause de mal-être L'étude met également en évidence des causes de stress et de souffrance au travail. Parmi elles, une cause sous-estimée : le décalage entre l'investissement du salarié et les récompenses obtenues. Les femmes souffrant de ce déséquilibre sont 3 fois plus nombreuses à déclarer un trouble psychique que les autres, les hommes 2,5 fois plus. Les salariés qui se surinvestissent dans leur travail seraient également 2 fois plus nombreux à souffrir de mal-être que les autres. L'obligation de devoir accomplir des tâches contraires à sa conscience professionnelle apparaît aussi comme une cause de stress non négligeable, notamment pour les hommes : 14,3 % déclarent avoir déjà été contraints de travailler d'une façon qui heurtait leur conscience (12,1% des femmes). D'autres causes plus attendues, comme l'isolement ou la violence, sont également évoquées dans l'étude.
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Les responsable de la crises c'est le dirigeant qui ont laisser filer le crédits pour donner du pouvoir d'achat virtuel aux pseudo classes moyennes ... les financiers n'ont rien fait de particulier, que du business a crédit, personne ne te force a mettre tes rond dans des placements a la mord moi le noeud.
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Si si l'avatar est tjrs la mais il ne s'affiche plus temporairement le temps qu'on remette de l'ordre dans le serveur ... le systeme de stockage des pseudo etait une plaie absolue ... Pour les pseudo faut demander au chef s'il veut bien les laisser changer ...
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Bah c'est du saclos ... une techno ancienne qui n'a pas toute les possibilité des missile autoguidé IIR moderne. Pour tirer le MILAN il faut une vue direct sur la cible d'un bout a l'autre du tir. Il faut garder le viseur sur la cible tout au long du tir ... et surtout avant l'impact. Résultat la ou les autre missile ont divers option, fire & forget, fire observe update etc. qui permette un tir NLOS ... un tir avec dégagement immédiat ... un changement de cible en vol, une imagerie IR déporté missile vers lanceur, et l'évaluation des dommages par video pre-impact ... le MILAN n'a pas grand chose pour lui a part son prix et peut etre son poids.
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Délinquant en col blanc dormez tranquille :lol: http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/05/23/la-brigade-financiere-s-interroge-sur-son-avenir_1197092_3224.html#ens_id=1197148 La brigade financière s'interroge sur son avenir La brigade financière de la police judiciaire de Paris s'interroge sur son rôle dans les mois qui viennent. Les affaires qui lui sont confiées par des juges d'instruction, déjà à la baisse au profit des enquêtes préliminaires diligentées par le parquet, vont-elles décroître un peu plus après la polémique déclenchée par le dîner Courroye ? La réunion au domicile du procureur de Nanterre Philippe Courroye, fin janvier, des principaux acteurs du dossier Casino - le PDG de Casino, Jean-Charles Naouri, son avocat, Paul Lombard, et le commissaire de police, Patrick Hefner, patron de la sous-direction des affaires économiques et financières de la préfecture de police, en présence de Mme Courroye qui travaille pour une fondation du groupe de distribution, pèse lourdement dans ce contexte. Surtout depuis que deux juges, Xavière Simeoni, puis René Grouman, ont décidé, après avoir découvert la rencontre dans Le Canard enchaîné du 8 avril, de dessaisir la brigade financière de ses investigations dans deux procédures parallèles qui opposent Casino à la famille Baud (détentrice de parts dans deux enseignes du groupe, Franprix et Leader Price). Un policier redoute, sous le couvert de l'anonymat, une "tâche indélébile qui va nous être rappelée sans cesse" ; un autre préfère croire à un "show médiatique" sans lendemain. Trop tôt pour mesurer les effets, estime, de son côté, un responsable. Mais la "BF", à travers M. Hefner, qui la supervise, est déstabilisée. La maison fait bloc et profil bas sous l'orage. M. Hefner, qui bénéficie d'une réputation de bon professionnel, n'est pas suspecté d'avoir tenté d'influer sur le dossier Casino, au demeurant quasiment bouclé. Mais il lui est reproché de ne pas avoir averti sa hiérarchie. Par-delà ce que beaucoup préfèrent ramener au rang de "bêtise" - "C'est regrettable, mais enfin, Hefner ne s'est pas assis à la table d'un repris de justice tout de même !", s'agace un collaborateur -, la police financière se voit prise entre deux feux : d'un côté, des juges d'instruction particulièrement à cran face au projet de réforme de leurs missions annoncé par Nicolas Sarkozy ; de l'autre, des procureurs de plus en plus confortés, qui récupèrent une partie croissante des prérogatives de ces mêmes juges. D'ailleurs, observe-t-on, la bataille Casino versus Baud, et Baud versus Casino, fait l'objet de plusieurs procédures engagées, dont des enquêtes préliminaires. Or le parquet de Paris n'a pas décidé, lui, de dessaisir la "BF". Le rappel de M. Courroye sur le fait que ce n'est pas son tribunal, celui de Nanterre, mais celui de Paris, qui est concerné par le dossier Casino n'a pas eu les effets apaisants escomptés. Dans les rangs policiers, on en tient pour preuve le fait que Mme Simeoni "n'a même pas appelé Courroye", alors que la juge et le procureur ont travaillé par le passé ensemble sur plusieurs dossiers, des emplois fictifs du RPR à l'affaire EADS. "Demain, si Courroye est nommé à Paris, comment vont-ils travailler ?", interrogent plusieurs policiers, persuadés de se trouver au beau milieu d'un règlement de comptes entre magistrats. http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/05/23/la-lutte-contre-la-delinquance-financiere-est-en-regression_1197061_3224.html La lutte contre la délinquance financière est en régression Ca sent la fin". C'est ainsi que le juge Renaud Van Ruymbeke décrit le climat qui règne au pôle financier du tribunal de Paris. Les quatorze juges de la "section économique et financière" savent leurs jours comptés. Au moment où Nicolas Sarkozy prévoit la suppression du juge d'instruction, les spécialistes de la délinquance économique voient le nombre de leurs affaires se réduire comme peau de chagrin. "La réforme de la suppression du juge d'instruction a été largement anticipée", note M. Van Ruymbeke. Entre 2007 et 2008, le nombre de dossiers confiés par le procureur à des juges d'instruction - ils ne peuvent pas s'autosaisir - est brutalement passé de 467 à 251 pour l'ensemble des affaires, santé publique (quatre juges) et délinquance astucieuse (les escroqueries, neuf juges) comprises. La chute est vertigineuse pour les délits financiers les plus complexes, qui ont fait la gloire et la raison d'être du pôle parisien créé en 1999 : 21 informations judiciaires ont été ouvertes en 2008, contre 88 en 2007 (et 101 en 2006). Depuis le début de l'année 2009, le procureur de Paris a ouvert six informations. "J'ai pour six mois à un an de travail à plein temps, explique M. Van Ruymbeke. J'ai eu deux nouvelles affaires en 2008, dont la Société générale-Kerviel, trois depuis le début de l'année. Je gère un stock d'une vingtaine de dossiers. A terme, si le ralentissement se poursuit, la réduction du nombre de juges d'instruction me paraît inéluctable." Les plus anciens constatent la fin d'une époque, celle des grandes affaires politico-financières et des figures qui les ont incarnées : Eva Joly, qui avait commencé à instruire l'affaire Elf, fait à présent de la politique. Philippe Courroye est devenu procureur de la République de Nanterre contre l'avis du Conseil supérieur de la magistrature et s'est opposé à Xavière Siméoni - qui va rejoindre la cour d'appel de Paris -, dans l'instruction des affaires de la Mairie de Paris. M. Van Ruymbeke est sous la menace d'une sanction disciplinaire, en marge de l'affaire Clearstream, qui, depuis 2004, a profondément divisé le pôle financier. Les dernières affaires significatives - Antoine Zacharias-Vinci (délit d'initié, abus de bien social), Natixis-Caisses d'épargne, Bernard Madoff-BNP Paribas (abus de confiance), François Pérol (prise illégale d'intérêt) font l'objet, non d'instructions, mais d'enquêtes préliminaires. Dans ce cadre juridique, le parquet est maître du dossier, et du temps. "Sortir une affaire financière et la soumettre à une juridiction dans un délai de douze à dix-huit mois, c'est assurer une meilleure justice et une meilleure répression", défend le procureur de Paris, Jean-Claude Marin, en fustigeant des instructions qui durent parfois plus de dix ans : "Si c'est pour juger au carbone 14 !" "Nous ouvrons systématiquement une information quand il s'agit d'une affaire complexe, qui a des acteurs multiples et des ramifications internationales", précise-t-il. Le magistrat souligne qu'un plus grand nombre d'instructions ont été ouvertes sur les quatre premiers mois de l'année qu'à la même époque de 2008. "Le parquet n'a pas la religion de ne pas saisir les juges, répond M. Marin. Il a celle de mieux les saisir." Les enquêtes préliminaires se développent, convient le procureur : "C'est une tendance lourde. Ce n'est pas une volonté d'anticiper la suppression du juge." Ce mouvement a été enclenché par le prédécesseur de M. Marin, Yves Bot, à partir de 2002. Il a trouvé sa consécration législative en 2004 avec la loi Perben II, qui a élargi les pouvoirs du parquet dans les enquêtes préliminaires. Il peut, par exemple, procéder à des perquisitions et à des écoutes téléphoniques, sous le contrôle d'un juge des libertés et de la détention. De 2002 à 2005, les instructions financières en cours avaient donc déjà baissé : de 734 à 635. Le nombre de celles ouvertes par constitution de partie civile demeurait stable, autour de 80 par an. C'est par cette voie qu'avait démarrée l'affaire Elf. Mais la loi de 2004 a créé un filtre : elle oblige le plaignant à passer d'abord par le procureur, avant de pouvoir saisir le doyen des juges d'instruction. Entre 2007 et 2008, le nombre des instructions ouvertes par décision du parquet est passé de 42 à 14, tandis que le nombre de celles déclenchées par des particuliers par la constitution de partie civile a chuté de 46 à 7. Les enquêtes préliminaires sont souvent contestées et font l'objet de tous les soupçons. Dans ce cadre, le parquet enquête depuis décembre 2008 sur des mouvements de fonds suspects du député PS Julien Dray. Depuis cinq mois, ce dernier n'a pas eu accès au dossier en dehors des extraits parus dans la presse. Le procureur justifie l'enquête préliminaire, car l'affaire ne nécessite ni mise en détention, ni investigations internationales. Dans d'autres affaires politiques récentes, procureur et juge se sont affrontés. En avril 2008, la cour d'appel a tranché en faveur de la juge Françoise Néher, en ordonnant que soit instruite la plainte pour favoritisme déposée en 2007 contre Bernard Laporte par la direction du casino de Gujan-Mestras (Gironde). Le parquet s'était opposé à l'instruction, estimant que le délit n'était pas constitué. "Le juge d'instruction peut faire des enquêtes sur les gens que le pouvoir national ou local protège, rappelle Guillaume Daieff, lui-même juge au pôle délinquance astucieuse, et membre de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire). Ce n'est pas toujours le cas du parquet, comme le montre l'affaire des biens mal acquis des chefs d'Etat africains." Cette affaire fait polémique. Mardi 5 mai, contre l'avis du procureur, Françoise Desset, doyenne des juges d'instruction du pôle financier, a jugé recevable la plainte déposée par l'ONG Transparency International et un contribuable gabonais pour "recel de détournement de fonds publics", contre les présidents Omar Bongo du Gabon, Denis Sassou-Nguesso du Congo et Teodoro Obiang de Guinée-Equatoriale. Le parquet a fait appel. "C'est une décision strictement juridique. La chambre de l'instruction tranchera", se défend M. Marin. "Il existe une volonté de main- mise du pouvoir politique sur les parquets, affirme M. Van Ruymbeke. Il faut manifestement éviter que les juges d'instruction, qui échappent à toute tutelle du pouvoir exécutif, ne sortent des affaires politico-financières comme ils l'ont fait depuis une vingtaine d'années." Parmi les plus jeunes du pôle, une juge dit : "L'adversité nous soude, ça sent le foyer de résistance contre la suppression des juges d'instruction." Le procureur de Paris conclut : "Nous n'attendons l'approbation de quiconque. Le procureur général est avisé de nos décisions. Je ne suis pas un agent de l'exécutif, je défends l'intérêt général."
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Tigre:suffisant pour l'appui-feu?
g4lly a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Hélicoptères militaires
Il est peu probable qu'on nous livre les 40 HAD d'un coup ;) La formation et les entrainements a la prise en main du systeme risque d'etre long aussi ... de plus on est censé se fournir en rocket guidé laser sur la meme machine ... Résultat il est fort probable que cette commande ne servent qu'a équipé une grosse dizaine de HAD en période de formation ... et que d'autre appro suivent uen fois bébé opérationnel. -
Euh nan nan il servent aussi pour l'effet de surprise, ou disons l'appoche 360° d'une cible ... le probleme c'est que l'étendu du terrain oblige a de long transit avant ... transit par piste en convoi durant lesquels ils sont a la merci des insurgé et de leurs pieges,mines, etc.... en général la route est ouverte par des gros MRAP a roue ... mais visiblement ca ne suffit pas et certain saute sur des mine meme s'il ne sont pas en tete de colonne. De plus une fois sur la cible celle ci conquise il reste a patrouiller fouiller etc. et la la les Viking redeviennent vulnérable contre les mines et autres IED. Donc a part les faire bosser en autonomie sur des missions tres offensive, ou de rens', transittant de nuit en marges des pistes et se postant discretement le jour dans des coin inaccessible pour attaquer ou surveiller a l'improviste ... ce n'est pas une machine super utile. Pour tansiter et patrouiller betement sur du sec et du ferme un gros blindé 4x4 fera bien mieux l'affaire ... Apres des qu'il y a des serieux probleme de mobilité a cause de large portion de trerrain gras, de bloc, de neige, de sable mou, sur lesquels on risque d'etre tres vulnerable ... le chenillé retrouve l'avantage permettant de conserver sa liberté d'action et de réduire drastiquement sa vulnérabilité. Ils furent peu utile parce que l'hiver a été clément ... tres clément, et court. De plus la zone ou on opére est tres minéral ... avec des la gravasse des cailloux et des sol dur. Résultat des courses pas trop de boue meme quand il pleut ... pas de sable mou ... et un sol porteur meme détrempé, assez favorable aux roues. Reste les escarpements ... mais il semble trop escarpés pour les Viking aussi alors. Apres ca il faut voir qu'avec la bascule RC-C vers ANA ... il va bien falloir poster nos piou piou quelques part ... et qu'on risque de devoir redéployer nos troupe de Kaboul vers des zone de combat au sud de Kaboul et/ou a l'Est en zone US... la zone US est encore plus escarpé et plus en altitude ... pour peu que l'hiver prochain soit dur on sera bien content d'avoir quelques chenillé blindé pour patrouiller un peu partout sans se contenter de la route principale.
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Oui http-~~-//www.youtube.com/watch?v=3MSTEvXgusA&hl=fr Mais les Mig29K ne sont pas rentrés en production et finalement le Kuz est gréé actuellement avec des Su-33 et des Su-24/25
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Euh... le CH53K est prévu pour déplacer 13t a 110nm en mission de combat ... avec les marges de loitering, sécurité, retour etc. , ou 16t maxi. Le Mi26 est a 20t max ... c'est plus certes mais bon c'est pas non plus le jour est la nuit. Pour la taille de la cabine la on ne joue plus la meme catégrorie effectivement, 50m3 contre 120m3 :) Apres il faut voir le Mi26 comme du plus stratégique ... ou du tactique tres lourd temps de paix. Le CH53K comme du tactique lourd temps de guerre ... Dans l'idéal il faudrait quelques Mi26 pour la sécurité civile accessoirement utilisable par l'AdA pour du transport en opération ... et les CH53K pour l'Alat. -
A la fin de la vidéo on voit les décollage Apres avec un ratio poussée poids meilleur que 1 on pourrait les faire décoller verticalement aussi :) Dans le cas du Kuz on a un tremplin a 12° un décollage pleine PC ... et des avions en configuration légère avec une grosse poussée ... pour peut que le truc soit controleble a grande incidence et basse vitesse la poussée va les tenir en l'air le temps que la portance suffise forcément.
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"Arbeit macht frei" ? Gneuh?! Euh qui croit encore a ca franchement? La pensée Hegelienne n'est pas aussi simpliste heureusement ... il ne s'agit pas en fait du travail pour un autres au sens du salaria, mais plus du développement de la collectivité par le travail de chacun dans l'interet commun... Si la compétence et le dévouement était récompensé ca se saurait depuis le temps :) "malheureusement" ca ne marche pas comme cela. Alors tu vas me dire que dans la petite boite avec un encadrement tres paternaliste bla bla bla ... ouaip peut etre ... et encore. La question c'est qu'est ce que le salarié compétent et dévoué obtiendra de plus que celui qui fait le minimum ... en pratique rien ... pas grand chose ... voir plein d'emmerde. En gros si tu fais rentrer un bosseur avec un chouilla de talent dans une boite y a tout les mec en place au dessus qui vont craindre pour leur promotion ... et qui vont pourrir le truc. LA seconde chose c'est qu'effectivement a faire plus de tavail que normal ... plus d'heures entre autres hypotheque effectivement des embauches. Surtout quand c'est heure en plus ne sont ni déclarée ni payée ni compensée. Et ca induit une distorsion de conccurrence entre les employeur réglo ... et les autres, qui tire le systeme vers le bas. Le gros probleme en France c'est le niveau des salaires. On a un cout du travail faible ... plus faible que les Anglais les US et les Allemand ... une productivité élevé ... et malgré cela les salaires augmentent peu. Cette problématique salariale n'est pas juste le fait des charges sur les salaires et les entreprise ... c'est avant tout la conséquence du marché de l'emploie tres favorable aux employeur, avec un chomage tres élevé et ceci depuis longtemps. Marché de l'emploie qui permet de ne pas avoir a négocier les salaire a la hausse... avec un chantager au licenciement a la délocalisation etc. Ces salaire bas ... et le faible nombre de "travailleur" induit des recette faible pour les différente caisse vieillesse, chomage, maladie ... alors meme que la France du fait de sa démographie va devoir touver moulte ressource pour prendre en charge sa population agée grandissante et tres couteuse. Résultat des courses travailler plus ... en gagnant pas plus c'est juste criminel pour le systeme, qu'on se place coté bolchévique ou coté conservateur. L'un par distorsion de la concurrence et maintient d'activité non renatble, l'autre par l'accaparation du travail supplémentaire et fraude au cotisation social - sur le travail dissimulé -. Le bénévolat pose le meme probleme ... ce n'est pas au bénévole des resto du coeur de prendre en charge la misere ... c'est a l'état. Le fait de prendre en charge a sa place la misere ... déforme la vison qu'on a de l'état de la société. En pratique sans les divers association qui bosse essentiellement avec des don privé ... la situation social des plus démuni en France sera catastrophique et obligerait l'état a se bouger le cul ... Là en s'occupant de ceux qu'il délaisse on fait le jeu du systeme ... on cache la misere, et on continue a foncer tout droit avec des oeilleres, sans a aucun moment gérer les problemes de fond.
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Humm le probleme c'est que son usage en Astan par les brit n'est pas "naturel" ... ce véhicule est un utilitaire haute mobilité destiné a se déplacer lentement, pas forcément loin mais dans des condition ultra pourrie pendant lesquelles les autres vehicule ne circule pas du tout. Et dans ce cadre il donne de la vitesse là ou autrement on ne pourrait juste pas se déplacer. C'est le cas dans des zone escarpé ... enneigé ... des parcours de bloc ... des zone humide ou tres grasse etc. Apres ca l'utiliser pour faire du ferry sur des piste en terre battue saous pretexte qu'on a rien d'autre ... puis apres cracher dans la soupe c'est moyen. Par contre pour patrouiller hors piste a 50kmh et prendre l'ennemi par surpise en arrivant par autres choses que la route ca peut etre utile. Reste qu'il faut en sus des vehicule a roue rapide pour faire le transit sur les pistes. En gros les Viking c'est bien pour équiper les FOB dans des zone super pourrie et continuer a y patrouiller tout temps et partout. Ou pour faire des raid en condition neigeuse ou tres boueuse. Pour le reste les blindée a roue sont plus pratique forcément - vitesse consommation -. On le voit bien dans la video de M6 sur le 27BCA ... a un moment on retrouve un VAB tanké dans une horniere boueuse et ca prend un temps interminable de le sortir ... contre un ennemi plus rapide que les insurgé tu doit abandonner le VAB ou subir un assaut en regle pendant que tu le dégage. Avec un VHM dans les meme condition tu arrive a la FOB avec suffisament d'avance pour avoir le temps de prendre un petit café ranger le matériel faire ton debriefing pluis admirer le couché de soleil :)
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Le truc c'est que le piston de catapulte arrive a 255km/h en bout de piste ... ca plus 27kts de coque plus 5kts de vent ... on arrive tout de suite a 170kts ... actuellement. C'est pour ca que je suis dubitatif avec les 120kts affiché deci dela.
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Dans l'articl juste avant ... que j'ai posté ils explique que les anglais retire les Viking d'Astan car trop vulnérable et que le programme de blindage a échoué.
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http://defenceoftherealm.blogspot.com/2009/05/vikings-in-trouble.html It is left to Michael Evans in The Times today to offer the most comprehensive commentary of the death of Marine Jason Mackie, killed while travelling in a Viking. Under the heading, "Marine is blown up in vulnerable vehicle that is going to be withdrawn", Evans notes that the MoD has ordered the Viking to be withdrawn next year because "it has proved to be too vulnerable to attack by the Taleban." The soldier was the third member of the Royal Marine Armoured Support Group, which drives and operates the Vikings, to be killed in Helmand province in the past 12 months, all of which makes the earlier claims of the MoD look rather sinister. In January 2007, while the vehicle was on its first operational tour, it published a "puff" extolling the virtues of the machine, using RM Sergeant Major Simon Williams to tell us: It's a phenomenal piece of hardware, the most manoeuvrable vehicle in existence. Nothing matches it. We've been here three months and would've lost considerably more blokes without it. British soldiers are coming home to their sons and daughters without missing limbs and most importantly alive, thanks to the Viking. But, writes Evans, the Viking, which was introduced into service in Afghanistan only three years ago, was found to be insufficently armoured under the driver's seat. The vehicle is used to ferry troops across dangerous terrain in Helmand. Last year, he tells us, the MoD admitted that the Viking was not robust enough to withstand the increasingly sophisticated roadside bombs and announced that it planned to buy a new vehicle, the Warthog, but it will not be ready for operations until next year. And there the matter will undoubtedly rest, as the media once again does not address the basic failures of the MoD/Army to select the right vehicles for the job. As with the Vector, they are allowing the Army to get away with the canard that changing circumstances, as "in increasingly sophisticated roadside bombs" are responsible for the problems, when the fault lies in selecting a vehicle that was not sufficiently protected in the first place. This myth has been assiduously cultivated by the MoD which consistently refers to the "evolving threat", one which in May 2007 had Michael Evans reporting that "the underside of armoured vehicles deployed in Helmand has proven to be highly susceptible to mines buried by the Taleban." So it was that the MoD was preparing to add extra armour to key vehicles, especially the "relatively new" Viking. At that time, five had been destroyed by mines. In January of this year, the first of six modified Vikings, with added armour, were set to arrive in Helmand, by which time the vehcicles had "suffered dozens of crippling attacks" that had claimed at least five British lives. With the death of Marine Mackie, we thus see yet another avoidable and therefore unnecessary death, bringing the Viking toll to at least six. Even back in January though it had been recognised that the "bolt-on armour" option was not going to work, and already 100 more heavily armoured Warthog vehicles were on order. Nevertheless, these are not mine or blast resistant, suggesting that more deaths are to come. US Army Command Sgt-Maj David Puig is remarkably frank about the advice he gives to troops about to be deployed. "We don't hide the truth from them," he says. "We tell them if you are going to be killed or injured in Afghanistan, it is probably going to be by an IED." With US forces predicting an upsurge of 50 percent in the number of IEDs placed this year, to 5,700 - up from 3,800 last year, and with IEDs and suicide bombs having killed 172 coalition forces last year – and far more Afghanis – British troops are in for a rough time. They could do without the continued inability of the Army to provide them with suitably protected vehicles.
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Soucis d'accès sur le forum
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Remarques et idées
L'indexation de la base de donnée est enfin fini ... le systeme de recherche devrait dorénavant fonctionner de maniere efficace et rapide sans bouffer trop de ressource. Pour utiliser la recherche il faut etre membre connecté ... je vais peut etre remettre la recherche pour les invité pour tester s'il y a pas trop de recherche automatique ici de robot qui parasite le truc. Sinon j'ai modifier la présentation des url du forum ... les parametre dans l'url sont désormais passé directement de maniere transparent dans le "filepath" ca devrait faciliter l'indexation chez gogol. -
Tigre:suffisant pour l'appui-feu?
g4lly a répondu à un(e) sujet de SPARTAN dans Hélicoptères militaires
Euh ... se faire livrer 40 HAP équipé pour tirer du Hellfire 2 - désignateur laser spécifique et lanceurs entre autres - ... pour plus tard changer de missile et donc de systeme associé, ce sera quand meme un drole de luxe ... -
Nos soldats en Afghanistan
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Vidéos et Photos
En meme temps des postes de combats bien protégé ca evite les bodybag ... -
Erf ... c'est quoi ce patron qu'a pas de sous ... c'est mal le bénévolat ca retarde la faillite des entreprises non rentable ... ca les maintient en vie artificiellement ... alors que le marché aurait du avoir leur peau avant !!! hannnnnnnnnnnn c'est mal de pas laissé le darwinnisme économique éliminer les mauvaise graine, ca entretient les parasite pas performante qui sont des poids mort ... booooooooh! T'es irrécupérable Kiri !!! :lol: