Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    74 140
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    435

Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Exactement ... sauf que c'est semi automatique. En fait il suffit de viser la cible ... le controleur de vol voit la balise du missile et son décalage par rapport au viseure ... et il corrige automatiquement le guidage comme cela. En général pour voir la cible et le missile ... le systeme fait voler le missile au dessus de la ligne de mire ... jusqu'a un instant avant l'impact on le missile pique vers la cible. Si le tireur change sa visée le missile suit ... si le poste de tir se fait shooter le missile est perdu etc. Si le le tireur perds sa visée ... le missile est perdu etc.
  2. g4lly

    Les Frégates de la Royale

    http://www.defpro.com/news/details/7604/ French Navy buys C-Band Marine Satellite Communication Systems Orbit Technology Group, a recognized leader in the development of advanced solutions for Stabilized Mobile Satellite Communication and Tracking Antennas, announced the award of an order, in excess of $4 million, by the French Navy via DCNS. With this contract, Orbit will supply the French Navy with Ku-Band (brand name OrSat) and C-Band Marine Satellite Communication systems. Orbit’s systems will provide the French Navy with continuous, high speed, two-way connectivity for reliable reception and transmission of voice, data and Internet connection, in harsh environmental conditions. The French Navy has selected Orbit for its extensive and proven experience in the field of satellite communications, its unique and advanced technologies, and its systems' ability to provide continuous connectivity. “We are very pleased with this important addition to previous Orbit contracts with other leading European navies", said Avi Cohen, Orbit’s President & CEO. He went on to say, "Our success in winning this tender underscores our technological capabilities in the field of satellite communication. We continue to demonstrate that with Orbit's antenna systems, navies obtain the dependable and comprehensive coverage, critically important for today's threat filled environment." Orbit’s advanced Marine Satellite Communication systems offer a number of unique features. Utilizing an exclusive modular mechanical design that is extremely compact and highly efficient, the systems provide high bandwidth always on connectivity. Constituting an out-and-out revolution in high stability marine communications, OrSat boasts no keyholes for continuous zenith-horizon communications. With built-in GPS and RF packages, OrSat requires no system balancing and is exceptionally easy to install, operate and maintain. OrSat’s unique status having Eutelsat, Intelsat and Anatel type approvals, coupled with its field proven record, sets OrSat apart as an off-the-shelf system, ready-to-operate in Global-Ku voyages.
  3. g4lly

    FRES

    Euh le projet FRES utility "1.0" et tout simplement annulé nan?
  4. g4lly

    VHM (Véhicule Haute Mobilité)

    P4 semble mal évaluer le défaut de mobilité que nous avons ... @P4 Les anglais on du chenillé a tout les étage, FV432, Warrior, CVRT family ... ce qui leur permet de regler leur probleme de mobilité terrestre avec. Le Viking servait essentiellement aux RM ... pour sa polyvalence amphibie, haute mobilité, blindage, cargo ... c'est une mule bonne a tout faire lors d'un assaut apmhibie style Falklands, utilisé pour des longs transit chez l'ennemi en Astan ... Chez nous on a rien de tout ca ... pas de chenille, et plus beaucoup d'amphibie ... donc un Viking-like pourrait etre tres utile pour les condition particulieres pour lesquels il est fait: cross-country, amphibie, condition polaire ... et pas pour patrouiller sur une piste probablement miné ! Apres pour la cible de 190 on sait pertinament qu'au final si commande il y a on en aura peut etre la moitier :lol: ... a supposer qu'il en faille une partie pour les alpins une parti pour l'IM ... ou les fusiliers ca va faire gros saupoudrage plus qu'équipement massif :) D'autant que ce vehicule peux facilement faire su SP en condition hivernale ou en cas de grosse intempérie. Y a juste a forcé un peu les constructeurs a se bouger le cul pour optimiser leur produit niveau consommation/autonomie et transmission différentielle. Chez STK ils ont une option permettant d'utiliser le module avant seul comme un chenillé classique ... ou bien avec une remorque quelconques. Dans cette config on perd un peu de mobilité mais on gagne en autonomie et ca peut etre suffisant - 6 pax et une doucette - pour des patrouilles légeres ou un secours/evacuation. La remorque elle dispose d'un mode autonome avec un petit générateur thermique qui alimente ses moteurs électriques et batterie, et permet de petit déplacement silencieux, et alimentation électrique des divers équipement.
  5. Chez Laverdure ... oooops nan Tanguy :) http://lemamouth.blogspot.com/2009/05/ou-lon-reparle-des-commandos-marine-et.html Où l’on reparle des commandos marine et du GIGN Le rapport du député Christian Ménard sur la piraterie maritime regorge d’informations précieuses, dû au panel très large rencontré (1). Entre autres, on notera la répartition des donneurs d’ordres opérationnels des commandos marine, avec des chiffres livrés pour la première fois, à ma connaissance. Les commandos travaillent à 40% de leur activité pour le… Premier ministre, via les préfets maritimes. Il s’agit d’action de l’état en mer (AEM), particulièrement de lutte contre le narcotrafic et de contre terrorisme maritime (CTM). L’autre employeur est le CEMA, qu’il s’agisse de missions menées pour le compte du COS, à terre ou en mer, ou pour le compte du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO). On peut par exemple ranger dans ce compte la formation des commandos afghans, que FORFUSCO va prochainement reprendre au 1er RPIMa, suivant le roulement désormais rôdé. "Symbiose" « L’intervention du COS se fait dans le cadre du plan Piratmer », affirme le député, même si l’on voit que par exemple, pour la Tanit, il n’a pas été activé (2). « En ce qui concerne la piraterie, les hommes du COS remplissent deux types de missions poursuit l’élu : ils recueillent des renseignements opérationnels pour disposer d’une bonne capacité d’intervention et mènent des opérations ponctuelles d’intervention ou de libération (du type Ponant). » On lit plus loin que le « COS travaille également en symbiose avec le GIGN, qui dispose d’une grande expérience en matière de prise d’otage, dans les avions notamment. Par contre, les opérations à terre relèvent des actions commando classiques et constituent le cœur de métier des forces spéciales. » L’apport de la gendarmerie ne se limite pas au seul GIGN, constate Christian Ménard, qui milite pour l’intégration de gendarmes maritimes : ces professionnels de la mer devant mieux armer les procédures contre d’éventuels recours ultérieurs des défendeurs des pirates interpellés. « En dehors des situations d’urgence requérant l’intervention du GIGN et des forces spéciales, et notamment dans le cas d’opérations planifiées de lutte contre la piraterie, comme l’opération Atalante, la présence de gendarmes enquêteurs pourrait être particulièrement utile à bord des navires engagés ou auprès du commandant de l’opération sur zone. » Drone antipirates Le député plaide par ailleurs, comme son confrère Jean-Claude Viollet, pour l’intégration de drones dans la surveillance de cet espace, au large de la Somalie, grand comme quatre fois la France. Je rappellerai seuelement que quatre, c’est justement le nombre de drones endurants dont disposera l’armée de l’Air fin juin dans le meilleur des cas. Trois seront en Afghanistan, il n’en reste plus un seul pour les pirates… Le Harfang est donné pour tenir 10 heures à 1.200 km de sa base d’opérations ; par contre il ne dispose pas pour l’instant… de radar de surveillance maritime, mais seulement d'une boule optronique et d'un détecteur de balise de détresse (PLS). Un concept d'opération reposant sur la seule optronique embarquée est par trop limité, à moins d'avoir des visions sur la position des motherships, ce qui reste, technologiquement du domaine du possible. Ce séduisant projet de déploiement de drone antipirates n’est donc pas pour tout de suite. Le problème pourrait même être réglé avant qu'on trouve l'argent pour payer les drones, et le temps pour qualifier le radar. (1) Le député a balayé large, en rencontrant aussi bien des praticiens de l’intervention et de la gestion de crise (Favier, Gillier) que les spécialistes du renseignement (de Mangoux à la DGSE, Puga à la DRM), et évidemment, les armateurs eux-mêmes, principales victimes des pirates. (2) C’est par contre une des limites du rapport, qui n’a pas étudié cette opération, pas plus semble-t-il que celle du Carré d’As. Notre photo : pendant les négociations avec les pirates de la Tanit (crédit marine nationale). Le rapport de Christian Ménard est ici : http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i1670.asp
  6. g4lly

    Tomahawk, Trident II.

    Je suppose que les US on fini en s'approchant par le "voir" ... qu'il l'ont arrosé de ping ... et que pour pas se faire carboniser il a préféré faire surface et saluer les marins comme entre gens de bonne compagnie. Faut pas non plus prendre les US pour des con ... les frégate ASM ... ne font pas que de l'ecoute passif loin de là ... et le sonar actif ca marche pas mal du tout surtout qu'on on est pres, et au pire meme si on detecte rien ca fait peur :)
  7. Le projet TRIGAT-MR était tres différent de ce qu'est devenu le TRIGAT-LR ... il s'agissait d'un saclos a visée laser ... mode de guidage qui n'est plus trop a la mode a cause de l'alerte d'attaque donné par le laser, et de l'absence de tir et oubli.
  8. g4lly

    Vitesse de rentrée d'une MIRV

    CA ressemble a ca un "reentry vehicule" Je suis pas convaincu que ca ralentisse beaucoup ;)
  9. Pour message lu c'est normal ... pour message suivant ... euh je regarde ;)
  10. g4lly

    Vitesse de rentrée d'une MIRV

    Au dela de 20 000 km/h pendant la rentrée. C'est déjà le cas ... les post-boost-vehciule et les MIRV sont manoeuvrant et peuvent d'éloigner largement de la trajectoire ballistique du corps du missile ... a noter que l'apogée se situe a plus de 1000km ... ca laisse de la marge pour manoeuvrer un peu a droite ou un peu a gauche :lol: Pour l'autodirecteur c'est tres envisageable... les Chinois annonce pouvoir diriger un MIRV sur un porte avion par exemple ... probablement par téléguidage déporté via l'imagerie d'un satellite. A ces vitesse il n'existe pas de moyen d'interception ... sauf a abattre le missile dans sa phase initiale d'accélération, mais alors vraiment tres tot.
  11. g4lly

    VBCI

    Euh voui ... m'enfin les VCI, meme moderne, tirent quasi exclusivement a l'arret ... Apres le VBCI tire aussi en route mais la dessus je n'ai pas de retour ...
  12. On avait un programme le TRIGAT avec les allemand qui devait aboutir a un missile aéropoté ... le PARS3LR et a un missile d'infanterie le TRIGAT-MR ... mais la coopération est partie en couille, on est sorti du truc , et le modele léger est juste annulé. Le TRIGAT-LR a pas mal d'avantage sur le papier ... autodirecteur a imageur IR et visible avec liaison de donnée, il est supersonique mach 2, attaque possible par le toit etc.
  13. Les Harrier, avec les A10, sont les jet les plus adpatés au theatre Afghan ... de plus ce sont les rares a disposer encore de rocket. Quand a la RN je crois qu'elle a fait une croix sur son aeronavale le temps de toucher les CVF. J'ai l'impression qu'il manque un bout du nez de l'harrier ... ca se trouve un instant plus tot je jet etait le nez dans le gazon.
  14. http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/05/22/pour-un-vol-de-velos/ Pour un vol de vélos En interpellant deux enfants à la sortie l’école et en les retenant pendant deux heures, les policiers ont-ils agi en toute légalité ? Rien n’est moins sûr : les mineurs sont « protégés ». Ceux de moins de 10 ans sont intouchables et entre 10 et 13 ans, ils ne peuvent pas faire l’objet d’une mesure de garde à vue. Toutefois, à titre exceptionnel, un enfant de 10 à 13 ans peut être retenu par un OPJ s’il existe contre lui des indices graves ou concordants laissant présumer qu’il a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit puni d’au moins cinq ans d’emprisonnement. Dans ce cas, l’OPJ doit avoir l’accord préalable d’un magistrat spécialisé dans la protection de l’enfance, et la durée de rétention est fixée par ce magistrat et ne peut dépasser 12 heures. Exceptionnellement, une prolongation de 12 heures peut être accordée. Même si le législateur ne parle pas de garde à vue, la présence de l’avocat est ici une obligation. Si le mineur ou ses représentants ne le désigne pas, le bâtonnier doit être informé dès le début de la retenue pour que soit commis un avocat d’office. Pour les deux enfants de Floirac, cette procédure a-t-elle été suivie ? L’un d’eux est âgé de 10 ans… Plus ou moins de 10 ans ? L’autre a 6 ans. Que se passe-t-il si un enfant de moins de 10 ans a commis une infraction ? D’après François Fourment, dans son traité de procédure pénale, sa rétention ne serait pas envisageable sur la base de l’article 4 de l’ordonnance de 1945, mais « sa rétention resterait possible sur le fondement du pouvoir d’exécution d’office de l’administration, en l’occurrence sur les dispositions du Code civil relatives à l’assistance éducative (art. 375 et suivants) ». Le rapport avec les enfants est un véritable casse-tête pour le policier. On ne compte plus le nombre d’instructions, de circulaires…, sur le sujet. Sauf erreur, la dernière date du 22 février 2006. Elle donne des instructions précises concernant le contact avec les mineurs, notamment lors des contrôles d’identité, des fouilles à corps, des gardes à vue, etc., et recommande aux policiers de « conserver en toutes circonstances des pratiques professionnelles irréprochables vis-à-vis des mineurs, qu’ils soient victimes, témoins, mis en cause ou simplement contrôlés ». Gageons que cette histoire de Floirac va donner lieu à une nouvelle circulaire du ministre de l’Intérieur. Comme pour les fouilles à corps, comme pour l’usage des menottes, etc. Mais à quoi bon donner des instructions, si elles ne sont pas appliquées ? La commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) relève (saisine 2008-34, rapport 2008) le cas d’un enfant de 9 ans que les policiers sont venus chercher à l’école pour le conduire au commissariat, à la suite d’une querelle de mômes. Son « arrestation » a eu lieu, sans l’accord de ses parents, contre l’avis du directeur de l’école et sans que le procureur de la République ne soit informé - et surtout sans aucun fondement juridique, puisque la loi ne prévoit pas l’audition de mineurs de moins de 10 ans. À la suite de l’avis de la CNDS et d’une enquête de l’Inspection générale des services, des poursuites disciplinaires ont été engagées à l’encontre des fonctionnaires à l’origine de ces manquements. Aussi, malgré les déclarations du directeur départemental de la sécurité publique de Bordeaux, la légalité de l’action de ses fonctionnaires n’est pas évidente.les-policiers-et-lenfant_allopolice.1242989642.jpg Et même si les policiers avaient le droit pour eux… Cette histoire reste incompréhensible. N’y a-t-il pas un moment où il faut jeter sa casquette et se conduire comme un homme responsable, comme un père ? Il suffisait de convoquer les enfants, les parents, d’admonester les premiers, et de placer les seconds devant leurs responsabilités… On aurait aimé une scène de ce genre: « Pour cette fois, je ferme les yeux, hein ! Mais je garde le dossier sous le coude, et à la moindre incartade… » Le policier se veut menaçant, mais il a du mal à retenir un sourire. Et à peine la porte refermée, il jette le dossier dans la corbeille à papier – et, fier de lui, il passe aux choses sérieuses.
  15. g4lly

    VBCI

    En fait y a eu plein de changement suite a la gueulante des futurs équipage sur les choix fait ... et pas mal de chose ont été modifié et certain équipement disponible en options on était commandé avec. Normalement ... a ma connaissance ... la visée et le canon sont stabilisé 2 plans ... la conduite de tir est automatique avec télémetre laser. Initialement seul le plan horizontale été stabilisé. Bien sur faut encore réglé tout le simblotage, puis lors du tir effectuer la télémetrique - un petit coup de laser - qui permet le calcul de la hausse et le reglage du tir en conséquence. La boule optique chef d'engin a été ajouté ... elle permet au chef une vision stabilisé 360° jour/nuit et tout le tralala ... tout ca en défilement de tourelle. Bien sur toute les optique ou presque on des mode de ralliement les une sur les autres et sur le canon ou caisse ... de plus elle bénéfice de la recopie video ... chef sur tireur et meme chef sur pilote et inversement. En gros le VBCI est "hunter-killer". Visiblement les retour sont très bon pour la tourelle, et pour le reste ... a l'arret c'est coup direct au but assuré.
  16. g4lly

    Tomahawk, Trident II.

    Pour une trajectoire de missile donnée ... qu'on suppose purement balistique ... l'ejecteur des tetes et les tetes elle meme peuvent toucher une immense zone. En pratique la tete du missile monte a plus de 1000km d'altitude ... quasiment en orbite ... le "postboost vehicule" s'oriente par jet de gaz et de là ejecte les MIRV et les leurres dans n'importe quelle direction. Leurres et MIRV qui sont furtivisé et qui peuvent eux meme manoeuvrer pendant la descente ... si bien qu'on connais la cible exact que quelques dizaine de seconde avant l'explosion ... En gros un missile tiré vers une cible au nord de Iran aura probablement une trajectoire semblable avec un missile tiré vers le sud de la Russie ... et comme dans ce petit jeu a la con pour etre sur de riposter il faut pas attendre d'etre détruit ... souvent la doctrine consiste a tirer le moins tard possible, parce qu'apres ca serait trop tard :) Ce genre de probleme explique par exemple l'usage strictement nulceaire de l'ASMP ... et l'arret des tom nuke. On évite de melanger les torchons et les serviette dans la dissuasion, pour pas donner a son adversaire un alibi pour vous atomiser :) Reste que dans les cas des "time sensitive target" le missile intercontinental est le seul moyen pour taper rapidement n'importe quel point du globe dans un court délai. Le préavi de lancement se compte en minutes et le temps de vol autour d'une quinzaine. Ce qui fait qu'entre la detection de la menace sont évaluation correcte ... la demande et l'autorisation de tir ... l'envoi de l'ordre de tir ... l'encodage de la cible dans le systeme de sous marin, le calcul d'une solution de tir et son chargement dans le missile ... et le tir effectif ... on doit etre nettement en dessous de l'heure comme indiqué dans l'article. Délai absolument intenable avec une frappe aérienne meme en gardant des bomber en vol 24/7 ... Ce probleme de cibles éphémeres est récurrent chez les US depuis la guerre d'IRak et les Scud ... ou ils se sont apercus qu'avec leurs moyens infinis ils étaient incapable de les frapper avant le tir ... alors que la procédure de tir d'un scud prend plus de 30 minutes et qu'il avait des avion en patrouille pour cela. Pendant une période on a envisager du missile de croisiere supersonique ... puis du missile ballistique hypersonique ... mais visiblement les développement tardent est sont super couteux ... pour une capacité limité a quelques centaine de kilometre, et des vitesse de mach 4/5 au mieux. Avec un ICBM ... c'est 20 000 km ... plus d'une tonne de charge militaire ... et jusqu'a 25 000 km/h ... absolument ininterceptable.
  17. Dans les 3 ou 4km rien ... sauf du russe. Les seuls ATGM dispos en Europe sont pas transportable par l'infanterie et sont destiné a l'aviation, PARS3 LR, Brimstone ... Oui le MILAN n'est plus suffisament efficace en anti-char ... ne permet pas d'attaque par le toit etc. aujourd'hui on ne veux plus seulement la neutralisation du MBT ciblé mais sa destrcution pur et simple, et ca le MILAN ne le fait plus ... du moins a coup sur. Il s'agit exclusivement de l'usage contre des MBT moderne ... contre d'autre cible moins dure et ne ripostant pas sur le coup le MILAN va bien.
  18. g4lly

    Tomahawk, Trident II.

    http://www.corlobe.tk/article14236.html L’US Navy prévoit de tester en aout prochain des technologies liées au missile Trident conventionnel L’US Navy prévoit d’effectuer en aout prochain un essai en vol de technologies des missiles balistiques Trident modifiés pour des opérations de frappe conventionnelle, malgré les demandes du Congrès américain de ne pas développer une telle arme. L’expérience pourrait aider le Pentagone à évaluer la faisabilité d’équiper le missile Trident d’un corps de rentrée manœuvrable et à armement conventionnel. Le corps de rentrée du missile D-5, qui est normalement équipé de têtes nucléaires, recevrait un système de guidage de précision et des surfaces de contrôle modifiées pour améliorer sa précision. Cependant, le Congrès américain a averti le département de la défense contre le développement ou le déploiement d’armes conventionnelles basées sur des sous-marins, qui pourraient être confondues avec le lancement de missiles nucléaires. Il a décidé l’an dernier d’annuler tout financement en 2009. On ignore si les parlementaires tenteront d’empêcher l’essai prévu en aout. L’objectif du développement d’une version conventionnelle du missile Trident est de pouvoir frapper en un délai très court (on parle ici d’une soixantaine de minutes) des cibles situées pratiquement n’importe où dans le monde. Des cibles "sensibles au retard" pourraient par exemple être "le transfert d’armes de destruction massive à des terroristes, la préparation du lancement d’un missile balistique équipé d’une arme de destruction massive, ou l’utilisation d’une arme anti-satellite," selon un document du Pentagone. Aujourd’hui, les seules armes américaines pouvant effectuer des frappes à longue distance et à des délais aussi courts sont équipées de têtes nucléaires et ne seraient par conséquent probablement pas autorisées. Pour les parlementaires américains, il existe un risque important que le lancement d’un missile Trident conventionnel ne soit mal-interprété par Moscou et ne déclenche une guerre nucléaire.
  19. Euh ... l'objectif du gouvernement c'est de baisser les dépense de l'état ... en tapant autant dans les effectif que dans les matériel ... et comme en plus les caisses sont vides ... et qu'il n'y a pas d'impératif opérationnel absolu pour ce genre d'engin ... il est probable qu'on n'en prennent pas plus d'une pincée :)
  20. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Rafale : pourquoi ça traîne avec les Emirats http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/05/vente-du-rafale-aux-emirats-ce-nest-pas-pour-tout-de-suite.html Rafale Sauf coup de théâtre, le président de la République Nicolas Sarkozy ne devrait pas annoncer la signature d'un contrat de vente du Rafale, lors du voyage officiel qu'il effectuera lundi et mardi aux Emirats arabes unis (EAU). Difficiles, les négociations se poursuivent mais les acteurs, côté français, restent optimistes sur leur issue. (Photo: Dassault-Aviation) Voici les éléments pour comprendre le dossier : 1) le prix. Les EAU veulent naturellement payer le moins cher possible les 60 appareils qu'ils souhaitent acquérir vers 2013. C'est, passez l'expression, une discussion traditionnelle de marchands de tapis, qui prend du temps. Le Parisien de ce matin avance le chiffre de 6 à 8 milliards d'euros. Un chiffre sans doute surévalué. Les discussions sont d'autant plus tendues que le client n'ignore pas que Dassault traverse une passe difficile, à cause de la mévente des Falcons, crise financière oblige. 2) le radar. Les EAU ne veulent pas du radar RBE2 (Thalès) qui équipe les Rafale en service en France. Ils demandent un nouveau radar, dit à "antenne active" dont la portée est de l'ordre du double, sans doute plus de 100 km. Le développement de ce radar coûte très cher et n'est pas une priorité pour la Défense française, mais les EAU ne veulent pas le payer. Or, ils estiment en avoir besoin pour faire face à la menace iranienne, en engageant les cibles suffissament loin, surtout lorsque le Rafale sera équipé du missile air-air Meteor. L'Iran est à 250 kilomètres de côtes émiraties : dix minutes de vol... Les EAU souhaitent également d'autres améliorations (moteur M-88 plus puissant, une troisième point d'emport sous la voilure, une furtivité améliorée, etc) 3) les Mirage 2000-9. Les EAU sont équipés de la version la plus moderne du Mirage 2000 dont même la France ne dispose pas. Les Rafale devraient remplacer les 2000-9. Les EAU demandent donc à la France de les reprendre, en échange du contrat Rafale, à charge pour elle de les revendre sur le marché de l'occasion. 4) la base. Lors de sa visite, Nicolas Sarkozy inaugurera la base militaire permanente française aux Emirats, dont la création avait été annoncée en janvier 2008, lors d'un précédent voyage. La création de cette base interarmées (sur trois pôles géographiques différents) témoigne de l'engagement de Paris aux côtés des Emirats. Des accords de défense lient les deux pays. Trois Rafale de retour d'Afghanistan, seront présents lors de la visite. 5) la politique. Un contrat d'armement de ce type est d'abord un choix politique de la part du pays acheteur. C'est la raison pour laquelle le Rafale n'a pas été retenu par la Corée du Sud, Singapour ou les Pays-Bas qui ont privilégié l'alliance américaine sur l'offre française. Traditionnellement, les monarchies du Golfe ne souhaitent pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier. La France et donc le Rafale apparaissent alors pour ce qu'ils sont : l'alternative à l'Amérique.
  21. http://www.latribune.fr/carrieres/droit/20090506trib000373977/souffrance-au-travail-lenergie-la-finance-et-la-fonction-publique-particulierement-touches.html Souffrance au travail : l'énergie, la finance et la fonction publique particulièrement touchés L'Institut de veille sanitaire a révélé les premiers résultats de son enquête sur la souffrance au travail. Il en ressort que les femmes sont plus victimes de mal-être et de stress que les hommes. Les secteurs les plus touchés : l'énergie, la finance et la fonction publique. La souffrance au travail frappe durement les femmes plus que les hommes et, particulièrement, les salariés de la finance et de l'énergie. Une vaste étude officielle, dont les premiers résultats sont aujourd'hui connus, montre les dégâts du stress secteur par secteur. Quelques 6 000 salariés qui ont été questionnés par des médecins du travail volontaires. Selon les premiers résultats publiés par la revue "Santé et travail", environ 24 % des hommes et 37 % des femmes interrogés souffrent de détresse psychique. Les hommes travaillant dans la finance sont particulièrement concernés (29%), suivis de près par ceux œuvrant dans l'énergie (28%) et la fonction publique (26%) - soulignons que l'ensemble des données a été recueilli avant la crise financière. Les femmes travaillant dans ces secteurs apparaissent aussi touchées : en ce qui les concerne, la finance arrive en troisième place (42%), devancée par le secteur de l'énergie (45 %) et la fonction publique (43 %). Les femmes sont les premières victimes Les femmes se révèlent particulièrement touchées par la souffrance au travail. Quels que soient la profession et le secteur d'activité, elles obtiennent systématiquement des résultats supérieurs à ceux des hommes : 10 à 15 points d'écart apparaissent ainsi dans les pourcentages donnés ci-dessus. La violence au travail apparaît comme le deuxième facteur de souffrance chez les femmes. « A priori, ce n'est pas la discrimination qui est en cause, explique Bernard Stadler, directeur adjoint de la DRTE (direction régionale du travail et de l'emploi) de Rhône-Alpes. En fait, les femmes sont plus nombreuses à occuper des postes en contact avec le public ». Les femmes se voient plus touchées que les hommes par les mauvais traitements (5% contre 3,2%) et les humiliations (16% contre 11,6%). En revanche, les hommes souffrent plus d'alcoolisme que les femmes (9,6% contre 2,2%). Cette dépendance touche notamment les salariés de la finance (16,4%) et des services collectifs (17%). Le manque de reconnaissance professionnelle, une cause de mal-être L'étude met également en évidence des causes de stress et de souffrance au travail. Parmi elles, une cause sous-estimée : le décalage entre l'investissement du salarié et les récompenses obtenues. Les femmes souffrant de ce déséquilibre sont 3 fois plus nombreuses à déclarer un trouble psychique que les autres, les hommes 2,5 fois plus. Les salariés qui se surinvestissent dans leur travail seraient également 2 fois plus nombreux à souffrir de mal-être que les autres. L'obligation de devoir accomplir des tâches contraires à sa conscience professionnelle apparaît aussi comme une cause de stress non négligeable, notamment pour les hommes : 14,3 % déclarent avoir déjà été contraints de travailler d'une façon qui heurtait leur conscience (12,1% des femmes). D'autres causes plus attendues, comme l'isolement ou la violence, sont également évoquées dans l'étude.
  22. Les responsable de la crises c'est le dirigeant qui ont laisser filer le crédits pour donner du pouvoir d'achat virtuel aux pseudo classes moyennes ... les financiers n'ont rien fait de particulier, que du business a crédit, personne ne te force a mettre tes rond dans des placements a la mord moi le noeud.
  23. Si si l'avatar est tjrs la mais il ne s'affiche plus temporairement le temps qu'on remette de l'ordre dans le serveur ... le systeme de stockage des pseudo etait une plaie absolue ... Pour les pseudo faut demander au chef s'il veut bien les laisser changer ...
×
×
  • Créer...