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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    L'Artillerie française

    C'est une coquille c'est un 122 classique chinois ca porte entre 22 et 30km selon que la munition est pas-propulsé ou propulsé.
  2. Normalement c'est le poids de la tronçonneuse qui fait le travail pas ton bras ... drop start
  3. Il y a aussi le jeu des bulles informationnelles et des biais de confirmation. Le même intervenant m'accusait de tromper le monde en racontant les faits il y une semaine. Quand tu te berce d'illusion dans ta bulle bisounours, et que tu sors le nez de là pour voir une toute autre réalité, c'est le même processus que le deuil ... déni, colère, marchandage, dépression et acceptation ... simplement il aujourd'hui tu peux facilement juste choisir le déni, retourner dans ta bulle et trouver tout plein de gens pour t'apporter les confirmations qui t'arrange. C'est un peu le drame de la surmédiatisation de tout un chacun ... et du systeme de filtrage, fléchage, commercial de l'accès à l'information. Les plateforme ne sont pas tes amis elles sont là pour littéralement te consommer ... ... et pour sortir de là il faut accepter de faire un travail assez ingrat d'aller piocher deci delà un peu partout ou on a pas forcément envie d'aller des informations contradictoires, et à force de les confronter entre elle voir comment elles convergent, divergent en fonction des événements. Souvent les marqueurs les plus importants sont là ... lorsque brutalement les infos divergent plus que de coutume, ou au contraire convergent plus que de coutume.
  4. Passage à tabac de Michel Zecler : la Défenseure des droits retient le caractère « raciste » dans sa décision L’autorité administrative dirigée par Claire Hédon rejoint la plupart des conclusions de l’enquête qui a mené au renvoi de quatre policiers devant la justice. Elle souligne le « travail remarquable » mené par l’Inspection générale de la police nationale mais déplore « l’absence de réponse disciplinaire » de la Préfecture de police de Paris. Michel Zecler, producteur de musique rap et victime de violences policières le 21 novembre 2020. A Paris, le 11 décembre 2020. Propos racistes, défaut de commandement, absence de sanctions disciplinaires : cinq ans après le passage à tabac de Michel Zecler par des policiers à Paris, le 21 novembre 2020, la Défenseure des droits, Claire Hédon, rend publique sa décision vendredi 7 novembre. Auprès du Monde, Mme Hédon déplore « des faits d’une extrême gravité, à la fois, pour la victime et pour l’image de la police, et la confiance qu’elle doit inspirer à la population ». L’autorité administrative indépendante a enquêté pour analyser les violences dont le producteur de musique a été victime dans son studio. La scène, filmée par des caméras de surveillance, avait été révélée par le média Loopsider. Les équipes de la Défenseure des droits ont pu accéder aux enquêtes judiciaires et administratives confiées à l’inspection générale de la police nationale (IGPN). L’objectif n’est pas le même que celui de la justice, puisque la Défenseure des droits s’intéresse aux éventuels manquements à la déontologie des forces de l’ordre. Pour autant, ses conclusions recoupent l’essentiel de celles des magistrats instructeurs, qui ont décidé, le 27 juin, de renvoyer les différents policiers impliqués devant le tribunal judiciaire pour l’un d’eux et devant la cour criminelle pour trois autres. Des images de vidéosurveillance montrent le producteur Michel Zecler se faire agresser par des policiers, à l’entrée de son studio d’enregistrement, à Paris, le 21 novembre 2020. Concernant les violences exercées par les policiers, la Défenseure des droits note que Michel Zecler « a reçu 29 coups au total (…) sur un laps de temps d’environ quatre minutes ». « Au regard du très grand nombre de coups (…) et de leur dangerosité, notamment attestée par les lésions constatées médicalement, la Défenseure des droits considère que les trois policiers ont fait un usage non nécessaire et, au surplus, disproportionné de la force », peut-on lire dans la décision. « Faits majeurs passés sous silence » L’institution rejoint également les magistrats judiciaires dans leur réprobation du procès-verbal d’interpellation rédigé par les agents. A en croire ce document, les policiers auraient fait face à un Michel Zecler agressif et violent, tentant de se saisir de leur arme et refusant de se soumettre au contrôle. Dans sa décision, la Défenseure des droits note que l’auteur du procès-verbal « n’a pas rendu compte fidèlement du déroulement de l’intervention dans le procès-verbal d’interpellation, soit en déformant la réalité, soit en passant sous silence des faits majeurs ». « Cela souligne une fois de plus l’importance des images car, sans les images tournées à l’intérieur du studio, il n’y aurait pas eu de preuves et c’était parole contre parole », relève Mme Hédon, pour qui il s’agit d’une illustration de plus de « l’importance pour les forces de l’ordre d’avoir des caméras-piétons et de les déclencher, car se sont des outils indispensables, autant pour protéger la population que les forces de l’ordre ». Dans le cas présent, l’utilisation de caméra-piéton aurait permis de combler un manque important dans la procédure : le son, que ne captait pas la vidéosurveillance du studio. Cette absence d’enregistrement sonore fonde la principale différence d’analyse entre la justice et la Défenseure des droits. Michel Zecler et plusieurs personnes présentes dans le studio avaient en effet accusé les policiers d’avoir proféré des insultes racistes, notamment « sale nègre ». Dans leur ordonnance de mise en accusation, les magistrats ont expliqué ne pas retenir ces accusations, ne disposant pour les étayer que des déclarations des victimes, « variables et incertaines » au fil des auditions. Les juges ont toutefois tenu à souligner que « cette décision ne postule ni n’affirme que les déclarations de M. Zecler sur ce point seraient insincères ». Deux policiers « ont tenu les propos dénoncés » La Défenseure des droits a, elle, adopté une autre position. « Michel Zecler a été constant dans ses déclarations, qui ont toutes été confirmées par les images lorsque c’était possible, contrairement aux policiers, dont toutes les déclarations ont été contredites par ces mêmes images, et il faut ajouter à cela les déclarations de plusieurs témoins », dit-t-elle au Monde. Ainsi, dans sa décision, l’autorité « considère que [deux policiers] ont tenu les propos dénoncés et ainsi manqué [à leurs] obligations ». Sur un aspect plus technique, l’institution « constate que les policiers intervenus en renfort n’ont pas compris ce qu’il se passait lors de leur arrivée sur les lieux et que personne n’a pris en main le commandement de l’intervention ». Pour la Défenseure des droits, ce défaut pose les problèmes de l’efficacité du pilotage de l’intervention et de la chaîne de responsabilité. Elle recommande, qu’à l’avenir, il soit prévu de désigner une autorité responsable de la conduite des opérations dans ces situations. Autre grief de la Défenseure des droits : alors que l’IGPN a conclu son enquête administrative – « un travail remarquable » d’après ses termes – et proposé, dès juillet 2021, au préfet de police de Paris de faire comparaître les policiers devant un conseil de discipline, celui-ci ne s’est toujours pas tenu. « C’est une vraie difficulté, cette absence de réponse disciplinaire, alors qu’elle aurait dû être rapide et claire, quand bien même les policiers aient été suspendus, s’agace la Défenseure des droits. Des réponses et sanctions rapides, c’est aussi ce qui permet de restaurer la confiance entre la police et la population. Cela pose des questions quant au suivi des propositions de sanction de l’IGPN… » https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/11/07/passage-a-tabac-de-michel-zecler-la-defenseure-des-droits-retient-le-caractere-raciste-dans-sa-decision_6652542_3224.html
  5. PPendant ce temps là : Le saillant nord de Pokrovsk est en résorption. Les russes tienne encore des zone à la hauteur de Shakhove à l'ouest. On sait pas trop qu'elle influence cela peut avoir sur la situation dans la poche de Pokrovsk, parce que les combats sont loin - presque 15km - des position ukrainienne dans la poche. Mais coté est les ukrainiens semblent bien réussir à agrandir la poche de Shakhove. C'est une peu comme si les deux camp s'enroulaient dans le sens des aiguilles d'une montre. On peut supposer que cette attaque ukrainienne vise plus à préserver Kostiantynivka d'un enveloppement par l'ouest, que d'aider la poche de Pokrovsk. Les russes sont encore à l'attaque le long de la rive du Dniepr au niveau de Stepbnohirsk. Apres avoir percé dans la localité -Prymorsk - qui borde la riviere - du moins l'ancien lit - ils ont entrepris d'attaquer Stepnohirsk par l'ouest. Ça se joue dans un mouchoir de poche mais c'est significatif de voir ce front réactivé. Huliaipole. Au nord, Uspenivka semble avoir été prise dorénavant. Passé par là permet de contourner la ligne de défense est<->ouest qu'il y a hauteur de Huliaipole. Ca permet d'accéder à Rivnopilia, puis à Huliaipole par le nord moins défendu. Pokrovske. Coté Velykomykhailivka, les russes commence à attaquer par le sud la petit localité contiguë d'Orestopil. Ca permettrait aux russes de passer sur la rive droite de la rivière Vovcha ici. Pokrovsk. Pour l'ouest de la ville, à priori les ukrainiens abandonnent le peu de position qui leurs restaient ici. Pour l'est de la ville c'est plus confus. Myrnohrad est par contre toujours solidement tenu, mais complétement enclavé. C'est une situation un peu inattendue parce que Pokrovsk, ses immeubles en béton et ses usines semblait défendable. Kostiantynivka. Les russes consolident les quelques position qu'ils ont dans la ville, au sud et à l'est. Ca dure depuis quelques temps et ça évolue très lentement. Néanmoins les russes grignotent, et ont du avoir le temps de s'y enterrer. Siversk. La situation est stable. Les russes semblent s'employer essentiellement à taper sur la logistique via des attaques de drones. Visiblement les russes ne souhaitent pas essayer de prendre la ville d'assaut dans l'état actuel des choses. Vovchansk. Le front est toujours actif toujours direction Vilcha.
  6. LFI le meilleur allié de DA @Patrick va avaler son chapeau
  7. Un "labo" ca se monte en 24h et ca se démonte aussi vite
  8. g4lly

    L'Artillerie française

    Si le Pinaka fait partie d'un arrangement commercial... Il y a du matériel Sagem dessus et des développement en cours aussi.
  9. Les question de survivabilité sont bien mieux adressé par des projets un peu plus récent type SEP https://en.wikipedia.org/wiki/Splitterskyddad_EnhetsPlattform
  10. g4lly

    L'Artillerie française

    LRU c'est le M270 GMLRS ... On en avait 13 ... On en a donné etc. Donc ils n'y en a plus. Pour le FLTP ... Ce serait un choix intérimaire avec le produit indien il me semble.
  11. C'est quoi un site terrestre de trafiquant de stup' ?! La villa du chef ?
  12. Ahhhhh euuuhhh ... Comment dire ... Je suis sûr que ça t'a convaincu de devenir tankiste ?
  13. Sainte-Soline : Laurent Nuñez demande une enquête administrative après la publication de vidéos mettant en cause des gendarmes « Libération » et « Mediapart » ont publié, mercredi, des vidéos issues des caméras-piétons des forces de l’ordre mobilisées lors d’une manifestation contre les mégabassines en mars 2023, qui montrent que les gendarmes ont multiplié les tirs tendus de grenades explosives et lacrymogènes. La gendarmerie mobile lors d’une manifestation contre les mégabassines à Sainte-Soline, le 25 mars 2023. Après la publication de vidéos mettant en cause l’action des gendarmes lors d’une manifestation contre le projet de mégabassine à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), le 25 mars 2023, le ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, « a demandé au directeur général de la gendarmerie nationale d’ouvrir une enquête administrative », a fait savoir son entourage à l’Agence France-Presse (AFP). Libération et Mediapart ont publié, mercredi 5 novembre, des vidéos provenant des caméras-piétons portées par les quelque 3 000 membres des forces de l’ordre mobilisés ce jour-là autour du chantier d’une réserve d’eau agricole, nommée « mégabassine », contestée par des milliers de manifestants. Le rassemblement, interdit, avait donné lieu à de violents affrontements entre militants et gendarmes. Face aux cocktails molotov et mortiers d’artifice, en un peu moins de trois heures, les gendarmes ont tiré plus de 5 000 grenades lacrymogènes et/ou explosives, et des dizaines de tirs de lanceurs de balles de défense (LBD). Les deux médias ont eu accès à des dizaines d’heures d’images captées, ce jour-là, par les forces de l’ordre. Images à l’appui, Libération et Mediapart affirment que les forces de l’ordre ont multiplié les « tirs tendus » de grenades, une pratique dangereuse et interdite, encouragées à le faire par leur hiérarchie. « Tendu, tendu, tendu », « vous balancez un tendu s’il le faut », « on baisse le cougar [canon lanceur de grenades] les gars, on les nique là, allez », entend-on sur des extraits diffusés. Les manifestants avaient fait état de 200 blessés dans leurs rangs dont 40 graves, deux restant plusieurs semaines dans le coma, et 45 gendarmes avaient été déclarés blessés, dont un brûlé aux jambes. En juillet 2023, un rapport de la Ligue des droits de l’homme avait dénoncé de « nombreuses blessures » causées aux manifestants par un usage des armes « disproportionné » par les forces de l’ordre. Les autorités ont toujours assuré de leur côté que les gendarmes avaient riposté de façon adaptée. « Je compte plus les mecs qu’on a éborgnés » Libération et Mediapart dénoncent également dans le langage des gendarmes une « volonté » de blesser gravement des manifestants, et la « satisfaction », voire la « jubilation » qu’ils en tirent. « Je compte plus les mecs qu’on a éborgnés », « une GENL [grenade de désencerclement] dans les couilles, ça fait dégager du monde, hein », « t’en crèves deux-trois, ça calme les autres », « tiens, dans ta gueule, fils de pute », entend-on dire par exemple dans les enregistrements publiés. « Je m’attendais à ce que ça soit bien mais pas autant », « on n’a jamais autant tiré de notre life », « un vrai kiff », « je suis au nirvana, là, on est sur l’Everest de la [gendarmerie] mobile », lancent d’autres militaires. Après des plaintes de blessés, le parquet à compétence militaire de Rennes avait ouvert une enquête, confiée à l’inspection générale de la gendarmerie nationale et toujours en cours. La DGGN a déclaré à Libération et Mediapart que « les enregistrements disponibles » avaient « été mis à la disposition exclusive de la justice », déclinant tout commentaire à leur sujet. « Si ces images révélaient d’autres infractions pénales que celles dont il était saisi, la procédure prévoit que le service d’enquête en informe le parquet. Ce qui n’a pas été le cas », leur a répondu quant à lui le procureur de Rennes. Dans un communiqué publié mercredi, les blessés ayant porté plainte ont déploré que « la manière dont a été conduite cette enquête laisse clairement apparaître l’intention de classer sans suite » la procédure. « Nous avons aujourd’hui les preuves audio et vidéo de ce dont nous nous doutions : les actes qui ont causé tant de blessures et fait frôler la mort à nombre d’entre nous ne sont pas l’œuvre d’individus particulièrement violents, mais découlent de l’ordre donné par une institution », ajoutent-ils. « Mes clients réclament tous l’ouverture d’une information judiciaire. Pour qu’un juge d’instruction puisse compléter les investigations de l’IGGN qui sont très, très insuffisantes à ce stade », a dit à l’AFP leur avocate, Me Chloé Chalot. Le Monde avec AFP
  14. Le volume du chargeur automatique 20 ou 22 coups n'est pas énorme, certains projets envisageaient meme des chargeurs plus petit. D'ailleurs une tourelle de Leclerc déshabillé c'est étonnamment petit. Pour le drone je ne sais pas trop ce qui serait indispensable ... j'aurais aimé que l'optronique suffise, quitte à devoir faire une série de mesure et un traitement TMA comme avec les sonar passif. Avec un peu d'IA pour le tracking on doit arriver avec produire une piste assez précise en suivant la cible quelques secondes. https://en.wikipedia.org/wiki/Target_Motion_Analysis
  15. Pendant ce temps là : En plein milieu de l'ancien lit du Dniepr, les iles Kuchugury - pile à mi chemin entre Chervonodniprovka et Stepnohirsk - occupé un temps par les russes ont vu fleurir un drapeau ukrainien. Cela fait écho à l'attaque sur Prymorske des russes. Ce qui est intéressant c'est la réactivation notable - par ci par là mais de maniere assez active - de la ligne de front qui semblait neutralisé sur le Dniepr de Kherson à Prymorske. Pokrovsk. Les milblogger russe considere que Pokrovsk - la ville, pas la zone - et quasi entierement occupé par les russes avec seulement quelques poches ukrainiennes sans effet notable. Une série de position retranché en campagne protege la route "Olimpiiska Street" qui passe au nord de Pokrovsk. En cela ca ne change pas énormément de chose pour les ukrainien meme si c'est vrai
  16. C'est toujours possible dans un environnement lacunaire et contre un ennemi un peu surpris. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé lors de la contre attaque de Kharkiv ou les ukrainiens ont repris énormément de territoire avec finalement peut de troupe engagé, essentiellement parce qu'ils ont pris à la fois par surprise et de vitesse des russes qui n'ont jamais pu reprendre l'initiative à cause de la vitesse trop rapide de l'avancée ukrainienne sur des lignes assez lacunaires. C'est essentiellement contre des lignes bien établies - fortification, contre mobilité - même si légèrement occupées - mais suffisamment doté en réserve et en appui - que les attaques sont coûteuses. Mais pas forcément sans succès d'ailleurs. On a aussi des exemples comme le saillant nord de Pokrovsk d'infiltration d'infanterie avec des moyens très léger - des quads - qui démontre que des mouvement rapide sont encore possible si l'ennemi ne s'y est pas préparé à tel ou tel endroit particulier. Et même sur les lignes bien établies, avec 700 000 soldats mobilisé ... le front reste inhomogène. D'un coté on voit des dronistes réduits à consommer leur FPVs fantassin par fantassin ... et d'un autre des fantassins les même percer 12 ou 13km sans presque aucune résistance en "voiturette de golf". Coté "surprise" - même si c'était attendu par les russes - on peut noter l'attaque de Koursk ... un secteur que les russes avaient choisi de ne pas défendre plus que ça pour ne pas déplacer de troupes d'ailleurs, et qu'ils ont choisis de perdre. Même les russes avec une mobilisation sérieuse de leur appareil militaire, et sur leur territoire "officiel" n'avait pas les moyens de ne pas abandonner le terrain temporairement, sauf à le faire au détriment d'autre endroit du front qu'ils considéraient probablement comme plus critique.
  17. Ca pourrait rapidement changer. C'est assez facile à mettre en oeuvre, largement disponible, et bon marché. Effectivement les petit drones bon marché FPVs sont plus adapté aux fronts établis, ou on peu déployer les équipes de dronistes à l'avance. Disons que si ce n'est pas nouveau ... c'est une menace en mutation rapide et profonde. La disponibilité et la facilité de mise en oeuvre est assez nouvelle par exemple. Le fait qu'elle rende obsolète, ou économiquement inefficace, des autres moyens, elle pourrait réduire notablement leur occurrence. Exemple les ATGM haut de gamme et très couteux pourrait voir leur role repris avec des tactiques un peu différente, par des engins plus lent et bon marché mais en quantité beaucoup plus importante. Une partie de l'artillerie guidé courte portée aussi - meme si c'est pas extrêmement développé -. Les HdC pourraient aussi disparaitre dans leur forme actuelle, non seulement leur role pourrait être repris par des drones "bon marché", mais pire il pourrait être la cible de ces mêmes drone bon marché, un drone intercepteur de drone qui file 400km/h - les petits ogivaux électrique font ca très bien - ne devraient pas avoir de mal à faire bobo à un HdC en goguette. Les quelques éléments qui semble déterminant dans la guerre en Ukraine. supériorité dronique, ca c'est nouveau. Jusqu'à maintenant c'était une problematique asymétrique. USA vs Taliban. artillerie y compris "dumb" mais très bien guidé par des drones reco précis dans la géolocalisation - apport de l'IA pour le rapprochement image vs carto -. On a eu aussi ca lors du conflit azerbaijanais avec de tres vieux canons très bien guidés. engins mécanisés autocanon agile, ou canon. comme pompier en défense. Meme chose à moindre niveau pour les HdC, dont le role défensif à parfois été décisif. Des éléments qui souvent étaient vendus essentiellement sous le prisme offensif, semble aujourd'hui surtout indispensable pour défendre les espaces un peu lacunaire, ou trop exposés. capacité de l'infanterie à s'infiltrer à pied là ou les engins sont pas assez discret. On a déjà eu ca lors du conflit azerbaijanais. missile balistique guidé, de la fusée tirant à 70km au missile tirant à 500km. C'est aussi visible au PO avec l'Iran et les Houthis. drone naval permettant de proposer une interdiction naval sans aucune marine ... c'est une des prouesse ukrainienne. DSA très nombreuse. Meme si pas énormément active, elle fait peser une telle menace que l'ennemi fini pas capituler et accepter "l'interdiction" de survol avion, gros drone reco et autre HVA. Y compris quand on a une chasse extrêmement inférieure en volume.
  18. https://gl-fiber.en.made-in-china.com/product/IUopKXiPXnkS/China-25-2km-50-4km-60km-Per-Reel-G657A2-Bare-Fiber-for-Fpv-Drones-Spools-Single-Mode-Optical-Fiber.html Et surtout ils vendent l'électronique qui va bien pour supporter les pertes avec la distance tout en garantissant un réception de qualité.
  19. Les proposition 2 et 3 sont quasiment aussi défavorable l'une que l'autre ... dans tous les cas. On sait concernant les blessés ceux qui peuvent retourner au combat etc. parce que la aussi il y a un vivier de soldats ou de pertes potentiel important. C'est très variable selon les blessures, la qualité de la prise en charge etc. Certaines armées arrivent à remettre sur pied vite et bien leur blessé, parce que non seulement les blessures ne sont pas ultra-importante ET quelles ont été très bien prise en charge. Chez d'autres un blessé est quasiment de fait hors combat définitivement.
  20. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    On l'a pourtant bien fait avec les ASPIC toutes neuves
  21. Moi j'aurais tendance à ne blinder dans un premier temps que la compartiment équipage - tant qu'on estime qu'un équipage est nécessaire -, donc deux ou trois personne de front ou en V plutot à l'avant à priori. Ensuite on choisi de placer deux générateur-diesel, soit droite et gauche sur les sponsons à l'arriere, soit devant et derriere. Enfin on organise idéalement une bimotorisation, avec deux moteur électrique identique qui peuvent à la fois piloter la l'avancement général et l'avancement différentiel - power split une par commune pour l'avancement général une part différentiel pour la direction -. En mode normal les deux moteurs travaillent de concert - on imagine un bardotin avant et un arriere - ... en mode dégradé un moteur assure l'évolution a faible vitesse. L'armement n'est pas a proprement parlé une tourelle mais bien un armement en superstructure, littérament posé sur le toit sans boite autour, ou une boite minimaliste, avec juste le chargeur de nuque et les élément optronique/radar asservi à la tourelle. Un peu comme ca mais avec le chargeur de nuque quand meme ... ca me semble plus simple pour le chargement que d'acheminer les munitions depuis la caisse. Tout le reste serait sur la caisse. Les lanceur APS par exemple. Les mortier de fumigène ou de munition protection rapproché etc. La masse résiduelle irait blinder les zones qui permettrait au char de rester combattant malgré un coup, pour les éléments qui ne seraient pas suffisamment redondant. Il faudrait fixer des seuils d'aggression adressable raisonnablement, comme les 150mm RHA dont on parlait avant par exemple, et adresser les autres menaces autrement. Dans tous les cas il faut un engin compact, très agile, et capable de tirer facilement le premier meme si c'est pas un coup déterminant. Pour ca il faut un engin : assez léger avec une ratio longueur<->voie chenille favorable à la manœuvrabilité - à priori assez large et pas trop long - assez puissant pour filer vite quelques soit le terrain, et donc qui s'expose moins longtemps. dont on puisse dériver facilement une famille assez polyvalente, gros canon, autocanon, tourelle laser, apc/vci spécialistes etc. Une grande question que je me pose c'est le tir direct LOS ... sur désignation déporté. Pour le moment le viseur est asservi au canon ou inversement. Est il raisonnablement possible qu'à court terme on puisse pointer un canon sur l'observation d'un viseur extérieur au tank - dans mon idéal un drone filaire volant au dessus du tank -. Si c'est possible et que ca fonctionne bien ... on pourrait voir un vrai renouveau des engins effecteur LOS, qui pourrait tirer à travers des barrières, bois, buisson, pâté de maison, écran de fumée etc.
  22. µA N'Djamena devant l'aéroport dans les ruelles la supériorité aérienne n'est pas forcément un assurance terrible. C'est l'incompétence des mecs d'en face qui évite la casse souvent, parce qu'un ERC90 plusieurs fois visé et une fois touché par un PG7V - qui n'a pas détonné - ca fait moyennement rêver l'équipage. A priori les mecs au commande du/des T-55 étaient encore moins bon... et ceux qui tirer à la mitrailleuse depuis des "technicals" ne visaient pas juste - mais des impact de 14.5 sur un ERC90 ... bof bof -.
  23. La question c'est surtout de quelles zones on blinde et quelles zones peuvent subir des dommage dans que l'engin soit hors combat. C'était le dilemme des bombardiers au dessus de l'Allemagne... Pendant longtemps on mobilisait la masse de blindage essentiellement sur le front de tourelle et le reste sur l'avant de la caisse. Puis on a ajouter des preblindage sur les flancs. Aujourd'hui en envisage de blinder le toit a certains endroits. Je reste convaincu que le plus simple resterait de ne blinder que l'avant de la caisse avec l'équipage dedans. De mettre l'armement en superstructure le plus discret possible. Et de distribuer la propulsion pour que l'engin reste mobile meme en cas de coup sur un des générateur ou des moteur. On peut imaginer une bimotorisation droite/gauche ou avant/arrière Et une transmission électromique splitté aussi. Pour le reste c'est au appui d'assurer la supériorité dronique lame CRAM etc.
  24. On utilisait des ERC90 en face de T-55 en Afrique... Certes pas avec les meilleurs équipage... Mais en ville ça pouvait quand même faire bobo.
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