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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. ZF, à son tour en crise, va supprimer jusqu'à 14.000 emplois Voilà un signe supplémentaire des graves turbulences que traverse le secteur automobile Européen. Quand les premiers de cordée dévissent... Les déboires de Stellantis avec ses usines italiennes ou de Volkswagen, qui envisage de fermer pour la première fois de son histoire des usines en Allemagne, montrent que les grands groupes, surtout Européens, sont confrontés à une crise de plus en plus forte. Mais n’oublions pas que quand les grands constructeurs dévissent, ils entraînent avec eux toute une chaîne. Les équipementiers sont en souffrance, comme en témoignent le récent dépôt de bilan de Recaro et du fabricant de jantes BBS ainsi que le rachat de Leoni par le groupe chinois luxshare. Pour d’autres, c’est la compression de personnel, comme l’ont annoncé Bosch, Valeo ou encore le fabricant suédois de batteries Northvolt.. L'équipementier automobile ZF Friedrichshafen, célèbre notamment pour ses systèmes de boîtes de vitesses, a annoncé que jusqu'à 14 000 emplois seraient supprimés d'ici 2028. Cela concerne particulièrement les sites situés en Allemagne, apportant un nouvel exemple à la crise que traverse actuellement le secteur outre-Rhin. ZF Friedrichshafen AG, ou ZF Group en abrégé, a été fondée en 1915. L'entreprise opère dans quatre domaines technologiques principaux : le contrôle de mouvement des véhicules, la sécurité intégrée, la conduite automatisée et la mobilité électrique, exploitant 162 sites de production dans 31 pays et employant environ 168 700 personnes dans le monde. Au cours de l'exercice 2023, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de 46,6 milliards d'euros. Dettes, concurrence, guerre des prix L'une des principales raisons des mesures d'austérité est l'endettement élevé du groupe, alors que ZF avait déjà entrepris des restructurations et une politique d'économies drastiques. Ces dettes résultent essentiellement de la politique d'acquisition de l'équipementier automobile TRW et du spécialiste des freins Wabco ces dernières années. Le groupe paie actuellement des centaines de millions d'euros d'intérêts qui manquent, par exemple, dans les domaines de la recherche et du développement. En outre, ZF, détenue majoritairement par la Fondation Zeppelin de la ville de Friedrichshafen, devra investir des milliards dans les années à venir pour maîtriser la transition vers l'électromobilité et les nouvelles technologies. A cela évidemment s’ajoute la concurrence toujours plus forte de la Chine, qui fait vaciller le puissant secteur automobile européen et la pression exercée par les clients pour réduire les prix et donc les coûts de production, tandis que le marché VE se contracte fortement depuis la fin de l’année 2023. Les sites Allemands particulièrment touchés Selon un article du "Welt", les suppressions d'emplois concernent principalement des postes administratifs et des domaines indirects. L'entreprise prévoit de mettre en œuvre des suppressions d'emplois par le biais de fluctuations naturelles, de programmes de retraite anticipée et de mesures "socialement acceptables". Les suppressions d'emplois touchent particulièrement les sites de Friedrichshafen, Sarrebruck et Schweinfurt. Environ 3 000 emplois seront supprimés à Friedrichshafen, 1 500 à Sarrebruck et Schweinfurt. Ces mesures font partie d'un plan de restructuration global, qui comprend également la fermeture de certains sites plus petits en Allemagne et en Europe. Le comité général d'entreprise de ZF a annoncé qu'il prendrait des mesures contre les suppressions d'emplois prévues et qu'il lutterait pour chaque emploi. "Cette annonce suscite des craintes alors que nous avons en réalité besoin de toutes nos forces pour livrer nos clients, faire face à la récession et nous transformer", a déclaré Achim Dietrich, président du comité général d'entreprise de ZF Friedrichshafen, dans un communiqué. Dietrich a critiqué ces projets comme étant simplement une mesure visant à réduire les coûts salariaux. "Cela ne s'attaque pas aux causes de la crise, mais masque plutôt les erreurs de gestion", a-t-il ajouté. Au début de l'année, le comité général d'entreprise avait organisé des manifestations en divers endroits, notamment à Friedrichshafen, pour attirer l'attention sur les licenciements prévus. ZF précise qu'il va désormais et à l'avenir se concentrer sur des segments porteurs à moyen et long terme comme les véhicules commerciaux, les châssis et les pièces détachées, alors que le secteur des transmissions pour les thermiques, hybrides, PHEV et VE souffre d'une baisse des commandes. https://www.leblogauto.com/actualite/zf--a-son-tour-en-crise-va-supprimer-jusqu-a-14000-emplois-96522
  2. Le projet c'est de déplacer la population du sud Liban vers le nord ...
  3. Un juste milieu entre quoi ... la France et les USA ? gloup gloup gloup ... ... à mon sens pour un francais la question ne devrait pas se poser, il n'y a pas de milieu, il y a seulement les intérêts de la France. Demande à un américains tu va voir ce qu'il en pensent des intérêts de la France lui ...
  4. Il se battent pour eux même pour personne d'autre ... et ils ont bien raison. Moi je les adore mais pour eux et chez eux. Mais en temps que francais je les considère au mieux comme des concurrents, voir comme des adversaires. Et c'est en oubliant que ce sont des adversaires qu'on se plaint après qu'ils nous on fait des coup de pute. C'est pas des "coup de pute" c'est juste des coups entre adversaires. Et sachant que c'est de très loin notre adversaire le plus puissant, c'est à mon sens de très loin le plus dangereux.
  5. Idealement sur les VBAE appui direct ... il faudrait y coller du 40 CT ... et une MAG. Mais malgré l'embonpoint probable du programme ca ne devrait pas rentrer.
  6. Polaris société de sport motorisé produit les MRZR, MRZR alpha et les Dagor etc. Ce n'est sont pas moins des engins militaires pour autant ?!
  7. Politiquement parlant c'est un fail. L'image d'Israel n'a jamais été aussi dégradé. Les palestiniens n'ont in fine pas été déporté. A priori la colonisation de Gaza n'est pas souhaitable. Et à part faire des nouvelles recrues pour les mouvement palestiniens, ou les pousser à la radicalisation, on ne voit pas trop le progres. En Cisjordanie c'est devenu ingérable, le Fatah ne controle plus rien, les colons font la loi. Pire l'ONU demande l'évacuation des territoires occupés. https://lactualite.com/actualites/lonu-adopte-massivement-une-resolution-demandant-le-retrait-des-troupes-israeliennes/ Condamnation de la CIJ concernant l'occupation https://news.un.org/fr/story/2024/07/1147211 Si avec ça Israël ne devient pas un état paria ...
  8. Le souci c'est que si le trauma est installé et que la patient n'arrive pas a sublimer... Le repos n'est pas possible.
  9. Les "voiturettes de golf" sont des produits militaires comme les MRZR le sont.
  10. Après avoir déployé des mouchard partout ... via les GAFAM. Le gouvernement américain veut interdire les véhicules connectés intégrant de la technologie chinoise ou russe Cette mesure porte sur les logiciels et les terminaux qui permettent à un véhicule de communiquer avec l’extérieur, notamment pour l’assistance à la conduite et la conduite autonome. Elle s’inscrit dans un durcissement de l’approche de Joe Biden vis-à-vis de la Chine. Le gouvernement américain veut interdire la vente aux Etats-Unis de véhicules connectés intégrant de la technologie chinoise ou russe, invoquant des risques pour la sécurité nationale. Le texte, dévoilé lundi 23 septembre par le ministère du commerce, porte sur les logiciels et les terminaux qui permettent à un véhicule de communiquer avec l’extérieur, notamment pour l’assistance à la conduite et la conduite autonome. Cette nouvelle mesure s’inscrit dans un durcissement de l’approche du gouvernement Biden vis-à-vis de la Chine. Mi-septembre, les Etats-Unis avaient déjà annoncé que les voitures électriques importées de Chine seraient taxées à 100 % à partir du 27 septembre. Avant même l’annonce de ces mesures, Pékin a jugé lundi « discriminatoire » l’interdiction envisagée. « La Chine s’oppose à la généralisation par les Etats-Unis du concept de sécurité nationale et aux mesures discriminatoires prises à l’encontre d’entreprises et de produits chinois », a déclaré un porte-parole de la diplomatie chinoise, Lin Jian, après la parution d’informations de presse. L’électronique est de plus en plus intégrée aux voitures modernes, et la plupart des véhicules sont aujourd’hui connectés à Internet par le biais du système de navigation. L’émergence des logiciels d’assistance à la conduite et de conduite autonome renforce encore l’importance des interventions extérieures dans le contrôle d’une automobile en circulation. Crainte de collectes de « données sensibles » « L’accès malveillant à ces systèmes pourrait permettre à des adversaires d’accéder et de collecter nos données les plus sensibles et de manipuler des véhicules sur les routes américaines », a justifié, dans un communiqué, le bureau de la sécurité et de l’industrie du ministère. Le gouvernement n’a pas précisé quels constructeurs ou quels modèles seraient susceptibles de tomber sous le coup de cette législation, dont le texte va être soumis à consultation durant trente jours, avant de prendre sa forme définitive. Sollicité par l’Agence France-Presse (AFP), le Conseil de l’industrie automobile américaine (AAPC), qui représente les trois géants de l’industrie, General Motors (GM), Ford et Stellantis, n’a pas donné suite dans l’immédiat. Il n’y a pas de véhicules de marque chinoise commercialisés aujourd’hui aux Etats-Unis, mais certains constructeurs occidentaux, comme Volvo (suédois, mais contrôlé par le Chinois Geely), Polestar, Buick (groupe GM) ou Lincoln (filiale de Ford) y vendent des voitures fabriquées en Chine. « Un risque sérieux » Au-delà, se pose la question des véhicules assemblés aux Etats-Unis mais pouvant utiliser des pièces chinoises. Les autorités américaines ont mené préalablement une étude afin d’évaluer l’impact qu’aurait cette mesure sur l’industrie, a expliqué une source officielle. De cette analyse est ressortie que la pénétration des logiciels chinois et russes était « minimale », a-t-elle précisé. Pour les terminaux, « c’est un peu plus compliqué », selon la même source. « Il y a davantage d’équipements chinois » en circulation hors de Chine, les interdire nécessitant « des changements de fournisseurs ». De ce fait, le gouvernement n’entend pas appliquer l’interdiction concernant l’appareillage physique avant 2029, afin de donner un temps d’adaptation nécessaire à l’industrie. Dans le cas des logiciels, en revanche, la mesure serait effective dès 2027. « Aujourd’hui, les automobiles ont des caméras, des micros, des GPS et d’autres technologies connectées à Internet », a mis en avant la ministre du commerce, Gina Raimondo, citée dans le communiqué. « Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour comprendre qu’un adversaire étranger bénéficiant d’un accès à ces informations pourrait présenter un risque sérieux pour la sécurité nationale et la protection des données des citoyens américains », a-t-elle ajouté. Dès lors, a expliqué la ministre, le gouvernement américain est résolu à prendre des mesures « proactives » pour « préserver les routes américaines de la technologie russe et chinoise ». Le Monde avec AFP
  11. La grande panne de l’industrie européenne La production industrielle recule dans la plupart des pays de l’Union européenne. En cause, un manque de compétitivité face à la Chine et aux Etats-Unis, alors que le rapport Draghi a appelé récemment à des investissements massifs pour éviter un « décrochage ». Le symbole est aussi fort qu’inquiétant : la production industrielle des quatre premières économies européennes est dans le rouge. Selon des données de l’agence publique Eurostat révélées le vendredi 13 septembre, l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne enregistrent, sur un an, une baisse de leur production de biens d’équipement et de consommation durables. Au-delà de ce premier carré, la tendance frappe l’ensemble du Vieux Continent. Entre juillet 2023 et juillet 2024, la production industrielle a diminué de 2,2 % dans la zone euro et de 1,7 % dans l’Union européenne (UE). Mais sur cette période, les baisses les plus fortes enregistrées par Eurostat ont concerné la Hongrie (− 6,4 %), l’Allemagne (− 5,5 %), l’Italie (− 3,3 %) ou la France (− 2,3 %). Quelques pays, moins nombreux, affichent à l’inverse des performances en hausse ; c’est le cas du Danemark (+ 19,8 %), de la Grèce (+ 10,8 %) ou de la Finlande (+ 6,4 %). Le recul observé témoigne du manque de compétitivité de l’industrie européenne face à la concurrence américaine et asiatique, au moment où l’ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, s’est inquiété, dans son rapport remis le lundi 9 septembre à la Commission européenne, du « décrochage » de l’UE par rapport à la Chine et aux Etats-Unis ; les Vingt-Sept se condamnent à une « lente agonie » s’ils ne réagissent pas, dit-il. Les industriels européens pâtissent notamment d’une demande intérieure atone, d’une pénurie de main-d’œuvre qualifiée, mais surtout d’un contexte énergétique bouleversé depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, et la fin de l’accès au gaz russe bon marché. « L’UE est confrontée à des prix moyens de l’énergie près de deux fois plus élevés qu’aux Etats-Unis et en Chine. C’est un handicap majeur et structurel en matière de compétitivité et de productivité industrielle », explique Raphaël Trotignon, responsable du pôle énergie-climat à l’institut économique Rexecode. Outre-Rhin, la mauvaise santé de l’industrie a des effets dans les Etats d’Europe centrale – en Roumanie, en République tchèque et en Bulgarie, des pays très dépendants de l’automobile allemande. De son côté, la France accumule les retards : niveau de croissance par habitant, déficits du commerce extérieur et des finances publiques… les indicateurs sont mauvais. Le début de réindustrialisation enclenché depuis quelques années subit un ralentissement net ces derniers mois. Un défi pour le nouveau gouvernement de Michel Barnier et l’arrivée à Bercy d’Antoine Armand et du ministre délégué à l’industrie Marc Ferracci, nommés samedi 21 septembre. https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/09/23/la-grande-panne-de-l-industrie-europeenne_6328985_3234.html
  12. Israël produit des armes, et peut aussi s'en fournir ailleurs qu'au USA. Accessoirement les dépôts d'arme "joint" qui sont sur le sol israélien sont librement accessible aux israéliens. Il y a eu un peu de destockage vers les USA dans le cadre du soutien à l'Ukraine mais absolument rien ne dit qu'ils soient vide, c'est même certainement le contraire. Israël, du moins les gouvernants n'ont pas le choix, il n'y a qu'une issue, faire durer la guerre ailleurs, pour masquer l'échec à Gaza.
  13. Dans chaque maison libanaise il y a un terroriste ... c'est une certitude maintenant ... Israël va pouvoir organiser une nouvelle déportation, et sombrer toujours plus vers la mal. Quelle déchéance.
  14. D'apparence. Si on lui propose des profils qui ne lui conviennent pas, il suffit de les affecter à des commission de pacotille ou pire de les prendre comme commissionnaire sans portefeuille. Faire parti du collège mais n'y servir à rien ... quel pouvoir immense pour les états qui proposent.
  15. La Turquie ne ferait pas partie de l'alliance militaro politique qu'est l'OTAN ? Et puis de toute façon le F-35 est une bouse ... je ne vois pas ou serait le probleme ?
  16. https://commission.europa.eu/document/download/df7693e5-834b-49e1-bf36-6a543ddfdf16_en?filename=Poster of Commissioners 2024 2029.pdf Ici les lettres de mission https://commission.europa.eu/about-european-commission/towards-new-commission-2024-2029/commissioners-designate-2024-2029_en
  17. En général le probleme n'est pas de descendre ... ... mais de remonter Plus sérieusement le souci c'est la répétition. Les matériaux se déforme sous les contraintes de pression, puis reprenne plus ou moins le forme original à la remontée. En répétant ces cycles de contraintes/déformations on induit des processus de fatigue notament, mais aussi de fluage et autre déplacement durable des matériaux. C'est la qu'est souvent le souci. Il se trouve que ces problèmes de contraintes/déformations sont bien plus facile à évaluer dans un matériaux homogène comme un coque de métal. Dans les matériaux composite c'est rapidement compliqué d'évaluer la fatique notamment. A mon sens un sous marin titane et acrylique ... c'est probablement la solution la plus simple, et la mieux maîtrisée ... donc la plus sure. https://tritonsubs.com/subs/t36000-2/
  18. Tout le problème est là... Légalement parlant on est pas en guerre ou quelques choses approchant. Et même en guerre... Il y a des choses qui ne se font pas pour peu, surtout de la part de ceux qui ont érigé la propriété privé comme valeur fondamentale. Par exemple aux USA cela serait anticonstitutionnel... Et donc assez facilement attaquable en justice. En gros il faudrait que les victimes de la Russie demandent dédommagement qu'un juge leur accorde. Que la Russie refuse de payer. Et qu'à terme des divers recours. On fasse une saisie des comptes pour payer les indemnités. Mais rien ne dis que les dédommagements aille a l'état ukrainien... Ça dépendra qui réclament des individus, des entité collective de la société civile, des collectivités locales, l'état ukrainien...
  19. Moi qui pensait que le poids lourd c'était justement les USA ...
  20. Il y a quand même une différence entre la commission et le parlement ?! ... La commission est librement construite par la Présidente, les législatives européenne n'ont rien à voir la dedans. La seule capacité du parlement c'est de voter contre le gouvernement - techniquement le collège - de l'Union, une forme de censure au moment de sa présentation. Il peut le refuser mais en bloc seulement. C'est pas folichon du tout comme pouvoir. La Présidente elle a tout pouvoir pour désigner les commissaires ... organiser les portefeuilles ... les aires de responsabilité etc. L'usage veut qu'ils soient proposé par les états, et que tous les états soit plus ou moins représenté, même parfois par des commissaires sans portefeuille ...
  21. C'est pas un problème court termiste de marché ... c'est un problème de réputation ... et d'exemplarité. L'argument massue des démocraties occidentale c'est l'état de droit et la propriété. Or spolier la Russie sans qu'il y ait une solide construction juridique derrière c'est introduire un risque de plus, celui du double standard, régulièrement manier par cet ancien occident prescripteur. En gros ça ramène l'occident prescripteur de tout un tas de bonne pratique ... à celui d'un simple brigand ... du moins ouvertement. Et en pratique on a pas vraiment besoin de ça dans la bataille d'influence qui se joue avec le reste du monde. Notre pouvoir c'est ce soft power ... ce coté garant du droit, justice etc. S'assoir dessus, c'est perdre rapidement l'essentiel de notre pouvoir. Tu pourras me dire que selon tes certitude ... une petite entorse de plus ou de moins ça ne changera rien. Mais pour le moment ce n'est pas ce que pense les organisations qui sont garantes de ce genre de confiance. Surtout pour un vulgaire 1% du PIB US ... ou le tier de la capit' d'Apple ...
  22. Ce n'est autre qu'un point de vu moral... donc personnel. Voir de la propagande L'étiquette "terroriste" ne sert plus qu'à dénigrer un adversaire médiatiquement ... donc devient sans valeur moral plus que ça. D'autant que les délires de la guerre contre le terrorisme on démontré en long large et travers l'inanité de la notion. Accessoirement Israël n'est pas reconnu en tant qu'état par quantité d'acteur. Accessoirement même en tant qu'état il peut être "terroriste" - user de terrorisme -, et ne mérite alors pas mieux, voir pire qu'une simple organisation terroriste. Dans le sens ou quelqu'un qui à un grand pouvoir et qui en abuse, et plus punissable que quelqu'un qui a peu de pouvoir et qui en abuse. Le grand pouvoir va avec la grande responsabilité ... du moins normalement et moralement. Mais bon la morale ici ... visiblement ... c'est vraiment la dernière roue du carrosse.
  23. L'avancée russe n'a rien de décisive spatialement au sens de l'Ukraine. En pratique : Il occupe Luhansk Ils essaient d'occuper Donetsk, mais meme apres la chute de zone Vuhledar et Pokrovsk ... il reste les deux gros morceau Kramatorsk et Slaviansk ... qui nécessiteront forcément de tres largement s'employer. Sauf si les russes ont un plan de génie, à mon sens ca sera forcément long, à supposer que ce soit un succes. Coté Zaporizhzhiya meme si le terrain semble plus "facile" dans le sens ou c'est peu urbanisé, pour le moment ca n'a pas été une réussite pour les russes. Et même s'ils arrivaient à terme à réussir l'occupation de Zapo et Donetsk, en plus de ce qu'il occupe déjà à Kherson et Luhansk ... ca ne serait à mon sens pas plus décisif que ca. Du moins militairement. La Russie 94' serait toujours frontalière de l'Ukraine, l'Ukraine seraient toujours plus poussé dans les bras américains. Politiquement ça pourrait ressemblait à une victoire pour les Russes dans le sens ou ça réaliserait ce qui aura été annoncé lors de l'annexion, mais c'est à peu près tout. Est ce que perdre, Donetsk et Zapo ferait s'effondrer l'Ukraine ... je ne vois pas pourquoi. c'est juste une ligne qui se balade sur la carte, ça ne change pas grand chose pour les combattants, de toute façon dans la guerre de position tout ce ressemble. Au contraire, à mesure ou les russes vont vers l'ouest, il trouve des populations plus hostile ce qui pourrait jouer en leur défaveur si des mouvements de résistance devenaient la norme dans les zones nouvellement occupées. Quant à occuper toute la rive droite du Dniepr ... ça semble hors de portée militairement. D'évidence aujourd'hui il n'y a pas assez de force, pour tenir une occupation de territoire et de population ne voulant pas être occupé. Les russes pourraient espérer un exode massif des ukrainiens réfracaire à l'occupation, mais je suis dubitatif. Surtout dans des zones pas du tout russo friendly. Pour rappel une petit carte des sympathie de l'époque ... et ca n'a pas du s'arranger depuis. A mon sens occuper de maniere durable les zones "orangées" c'est mort de chez mort. Occuper la rive droite du Dniepr aussi ... puisque les russes sont incapable d'assurer une logistique durable vers cette zone. L'oblast de Dniepro est à cheval sur la Dniepr, la partie rive gauche pourrait etre rogner un peu à la limite. Pour Kharkiv la ville semble infiniment trop compliqué à encercler. Rien que ca ça verrouille complétement l'oblast. D'autant que les zone largement urbanisé sont facile à défendre pour des locaux armés et entrainés, meme avec de l'armement d'infanterie assez simple. --- A mon sens le plus gros risque pour l'Ukraine c'est une forme de faillite politique et de l’arrière. Une forme de lassitude critique, qui aboutirait à une baisse du soutien populaire, et à des tensions trop forte dans l’exécutif.
  24. Ici l'article daté de 2022 à ce sujet https://www.meretmarine.com/fr/defense/le-drone-neuron-va-se-mesurer-au-porte-avions-charles-de-gaulle
  25. On aurait meme une photo, la forme de la porte de la soute est assez cohérente avec le neuRon.
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