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Le souci c'est que tu plus tu montes en étude moins le volume de la classe est un probleme, les élèves ont des objectifs, ils sont motivés, travailleurs et les classes sont aussi calme que des église. En prépa tu as des classes de 50 t'entends pas une mouche voler, tout le monde bosse, tu as une question de temps en temps et ça se passe bien. C'est au primaire - ou ils seraient sensés apprendre plein de truc qu'ils n'apprenne plus, ou du moins ne maitrisent plus - et au collège - ou les élèves passent leur temps à se faire chier et à rien apprendre, désœuvrés il passent le temps à faire de la merde et à pourrir leur prochain - qu'il faudrait des groupes classe léger, et un encadrement beaucoup plus présent. Pointe toi dans un collège tu vas voir des centaines de gosse et quasiment pas d'adulte, c'est assez édifiant. D'ailleurs la série Adolescence rend bien honneur au collège, c'est coté anglais, mais grosso modo c'est aussi pourri en France, un vrai zoo.

Si tu lis le bouquin de Jonathan Haidt, tu verras que ca n'a rien de spécifique à Tik-Tok et que cela n'a rien de spécialement chinois. C'est le modele meme des "réseaux sociaux" - leur déclinaison moderne "exitimité centrée" et commerciale depuis FaceBook en gros, tous les réseau sociaux centrés profil utilisateur et appel à l'action, ce qui n'était pas du tout le cas des réseaux sociaux avant FaceBook - qui est en soit toxique. S'il faut interdire Tik Tok pour la santé publique il faut les interdire tous. S'il faut accéder ou contrôler les données fines des utilisateurs, c'est une autre chose, il suffit de les acheter, les applications les vendent de bon cœur c'est leur principale source de revenus, c'est d'ailleurs pour cela que la plupart des applications existe pour vous voler votre âme. https://foundation.mozilla.org/fr/campaigns/no-data-for-surveillance-tech/. Mais c'est pas comme si tout le monde en avait rien à foutre ... sauf ceux qui en auront besoin demain pour se mettre sur la gueule.

Je ne vois pas ça du tout comme cela ... A mon sens ils placent vraiment en situation de conflit à court terme aveca Chine. Il y a une forme d'urgence, de réaction, probablement lié a une peur et à une impuissance ressentie mais probablement aussi concrete. Administration précédente était persuadé de pouvoir maintenir un certain status quo encore longtemps. La nouvelle ne l'est plus du tout Laquelle a le plus raison aucune idée. Mais je ne pense pas que le comportement ouvertement et agressivement expansionniste soit un posture de politique intérieure. --- Pour l'accès à l'arctique la Norvège et le Svalbard est quand même bien placé. Si le problème est l débouché de toute façon entre Sibérie et Alaska il est sous le contrôle des USA et de la Russie.

Tant que le Canada l'Europe était complétement vassalisé par la menace soviétique, la question ne se posait pas les US y faisait ce qu'il voulait. Ils avaient déjà annexé le Groenland de 40 à 46 par exemple, la défense aérienne Canadienne est complétement intégré à la défense aérienne US, et en Europe l'OTAN joue le role d'empereur à la place de l'empereur pour piloter les désirs de l'empire. Il se trouve qu'avec les divergence politique qu'il y a entre les conservateur américains et les progressiste, canadien ou européen, la situation lui apparait avoir moins d'autorité. D'autant qu'il espere un ralliement dans la sphere occidentale de la Russie, ce qui le met un peu en porte à faux par rapport à ses suzerains. A partir de là l'autorité naturelle de l’Amérique risque d’être moins efficace, et il pense qu'ils faut alors mener des politiques agressive de soumissions pour garantir l'autorité de l’Amérique sur les zones qu'il estime stratégique, aussi bien économiquement que militairement. L'objectif est assez compréhensible, et difficile de ne pas y adhérer si on se place comme américains. C'est avant tout la manière qui est plus étonnante. Saboter toute la puissance du soft power US ... alors qu'on peut imaginer que les objectifs en question soient atteignable en relative douceur ... ça semble cher payé pour un peu de popularité domestique. A terme la Chine et son soft power assez délicat, va finir par sembler bien plus présentable que les USA à ses partenaires.

Il y a 4 modèles de B-61 "actif" Mod 7 ... réglable de 10 à 340kt sensé etre remplace par un des trois modele suivant à terme. Mod 11 ... Mod 7, mais en version pénétrateur, donc aussi jusqu'à 340kt. Mod 12 ... faible puissance, et probablement faible masse de produit fissible, usage tactique possible, de 0.3 à 50kt, probablement guidée. Mod 13 ... semblable à la Mod 11 visiblement, probablement guidé. Sert de pis aller face au retrait de la B83 - 1.2 Mt -

« Après un moment d’égarement, les outrances de Donald Trump ont fini par dessiller les yeux des patrons européens » Alors que les grands chefs d’entreprise français réclamaient stabilité et visibilité, ils attendent désormais avec inquiétude le 2 avril, décrété « jour de libération » à Washington, et son feu nourri de mesures protectionnistes, explique dans sa chronique, Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ». Cela ressemblait furieusement à de l’allégeance, à moins qu’il ne s’agisse d’une assurance sur l’avenir face aux menaces d’un président des Etats-Unis aussi vindicatif qu’imprévisible. Pour rejoindre sa résidence floridienne de Mar-a-Lago, le Capitole ou la Maison Blanche, de grandes figures du capitalisme ont fait le voyage outre-Atlantique afin de s’afficher au côté de Donald Trump : Bernard Arnault, PDG de LVMH, présent à la cérémonie d’investiture du 20 janvier ; Rodolphe Saadé, propriétaire de l’armateur CMA CGM, invité dans le bureau Ovale ; John Elkann, patron de Stellantis, dans la maison de Floride. L’empereur du luxe y est allé tout naturellement, vieille connaissance de Trump depuis les années 1980, quand il se frottait à l’immobilier new-yorkais. Le propriétaire du troisième armateur mondial, lui, aurait préféré une rencontre plus discrète que ce show télévisé où le président américain a annoncé que M. Saadé, droit comme un « I » devant une carte du « golfe d’Amérique », promettait d’investir 20 milliards de dollars (18,5 milliards d’euros) dans la logistique et les ports. L’auteur de The Art of the Deal (Random House, 1987) s’y entend pour présenter ses invités comme des soutiens à son idéologie MAGA (Make America Great Again). Et pas toujours à leur corps défendant. Les initiatives probusiness de M. Trump leur sont un temps apparues salutaires. Ils y voyaient le miroir inversé des freins qui brident leurs activités. Par une imprévisible concordance des temps, sa victoire est intervenue alors que les patrons avaient en tête le rapport présenté, en septembre 2024, par Mario Draghi (« Une stratégie de compétitivité pour l’Europe ») et la mise au garde de l’ex-président du conseil italien contre la « lente agonie » du Vieux Continent face à une Amérique et à une Chine plus productives et plus innovantes ; et au moment où, en France, le gouvernement préparait une surtaxe sur les bénéfices. Quinze « salauds » Les chefs d’entreprise français avaient fait leur deuil d’une politique de l’offre, gelée depuis la dissolution de l’Assemblée nationale. Ils n’en appréciaient que mieux l’esprit du programme trumpien : baisses d’impôts, dérégulation financière, élimination des normes « vertes », chasse à la bureaucratie… De Guillaume Faury (Airbus) à Florent Menegaux (Michelin), de Ben Smith (Air France-KLM) à Patrick Martin (Medef), ils exprimaient une colère désinhibée et parlaient de délocalisation… Quitte à taire le climatoscepticisme de Trump, son capitalisme prédateur, ses visées néocoloniales sur le Groenland ou le Panama, sa politique illibérale et son mépris d’une Europe « créée pour entuber les Etats-Unis ». Leur diagnostic sur les handicaps de la vieille Europe demeure, mais les outrances du président américain ont fini par dessiller leurs yeux. Ils admettent, notamment, qu’ils se sont trompés sur sa détermination à tenir ses promesses électorales. Les patrons réclamaient stabilité et visibilité, les voilà précipités dans un maelström d’incertitudes. Une mission bruxelloise, dépêchée à Washington fin mars pour discuter des tarifs douaniers, est rentrée avec la conviction que la nouvelle administration a bien l’intention de sévir. Surtout contre les « Dirty 15 », une liste de quinze « salauds », dont l’Union européenne, dressée par le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent. Tous attendent avec inquiétude le 2 avril, décrété « jour de libération » à Washington, et son feu nourri de mesures protectionnistes. La guerre ne concerne pas les seuls tarifs, comme la hausse de 25 % des droits de douane sur les voitures importées aux Etats-Unis. Elle est aussi monétaire, puisque Trump veut faire baisser le dollar pour doper les exportations et réduire un déficit commercial de 920 milliards de dollars (environ 850 milliards d’euros). Face à tant de brutalité, les patrons européens ont compris qu’il est préférable de ne pas affronter le président s’ils veulent continuer à importer ou à produire aux Etats-Unis. Cette prudence stratégique s’exprime jusque dans le choix des mots. A la grand-messe annuelle des pétroliers célébrée mi-mars à Houston (Texas), le PDG de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, a minoré sa défense des énergies renouvelables, honnies du président américain, en se félicitant de pouvoir forer à nouveau « dans le golfe d’Amérique », reprenant la dénomination trumpienne du golfe du Mexique. Industriels et financiers ont toujours composé, voire collaboré avec les régimes d’extrême droite, sans en partager l’idéologie radicale. Jusqu’à leur faire la courte échelle. Pour conjurer le péril bolchevique et en finir avec une République de Weimar détestée, un « consortium libéral-autoritaire » réunissant industriels, financiers, partis conservateurs ou libéraux et médias réactionnaires a fini par faire entrer un nazi à la chancellerie du Reich, un choix qui ne s’imposait pas, décrit l’historien Johann Chapoutot dans Les Irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ? (Gallimard, 304 pages, 21 euros). L’histoire ne se répète pas. Trump n’est pas Hitler et Elon Musk n’est pas Fritz Thyssen, l’industriel allemand soutien du Parti national-socialiste, même si le « wokisme » dont ils accusent les démocrates fait écho au « bolchevisme culturel » des sociaux-démocrates stigmatisés par la droite allemande à la fin des années 1920. Mais cette sombre période peut nourrir la réflexion sur la responsabilité politique des élites économiques. Les patrons européens ont eu un moment d’égarement. Une bonne partie de leurs pairs américains, eux, ont rejoint les suprémacistes blancs, les évangéliques et les libertariens, relayés à l’unisson par des réseaux sociaux (X) et les chaînes réactionnaires (Fox News…) pour faire élire leur candidat. Il le leur rend bien. https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/03/31/apres-un-moment-d-egarement-les-outrances-de-donald-trump-ont-fini-par-dessiller-les-yeux-des-patrons-europeens_6588996_3232.html

Je pense que les USA ont vraiment peur de perdre de leur statut d'hégémone qui leur permettait de rappatrier massivement de la richesse produite ailleurs et de faire vivre le reste de l'empire sur les miettes. Et le seul concurrent c'est bien sur la Chine. J'imagine pas vraiment les USA opter pour un partage du monde avec la Chine. En général c'est un plan foireux comme le partage du monde avec l'URSS. Pour le jeu de puissance Bismarckien, avec un retour en grâce de la ressource naturelle comme denrée rare est absolument indispensable, en gros de tout un tas de commodities moderne, pourquoi pas. Mais j'ai beaucoup de mal à voir comment on aurait une solution d'équilibre et de croissance. Et si on a plus de croissance ... à mon sens aucune chance de maintient d'un équilibre. C'est essentiellement la forte croissance qui à maintenu globalement le monde en paix depuis 1945, il y avait des miettes pour tout le monde tout le temps, et plein de blé à prendre pour les plus malin. Avec le petit jeu à la con des blocs, la croissance va naturellement morfler, mondialement, et la stabilité des régimes avec. Rien que cette année, si les USA s'affiche en récession comme c'est envisagé, l'administration Trump pourrait bien finir par prendre chère. Dans le même temps l'économie Chinoise rame depuis le covid, il n'y a pas de reprise à proprement parler. L'économie européenne pendant ce temps là vivote, et tire les marron du feu des conneries des autres, mais ça ne propose pas une croissance robuste et durable.

Ça pu l'empoisement au xénon - ou pire au samarium qui est stable et ne se désintegre que bombardé de neutron - lors d'un "arrêt" trop rapide ce genre de situation. En gros il est possible que le reacteur n'est plus la réactivité nécessaire meme au bout de dizaine deux de dégradation des poisons neutronique - le xenon se dégrade tout seul par exemple - http://neutronique.free.fr/LicencePro/LicencePro_txt7.pdf

C'est bien la peine que je me décarcasse...

Il y a quand même des périodes de l'histoire ou la propagande, le roman nationale etc. font qu'on monte au front en nombre la fleur au fusil. Et d'autre ou on envisage même pas répondre à l'appel.

Syndicat FO de l'EN c'est pas non plus un truc révolutionnaire ou quoique ce soit ... c'est plutôt plan plan, je les vois mal aller faire de la retape en Iran.

J'ai du mal à comprendre comme on passe d'un M270 à 25t avec ses douze rocket à un machin qui ferait 31t sans les munitions en place?! Normalement les panier à rocket - 227mm M270 - font autour de 3t chaque, selon la munition dedans. Ca porterait le GMARS à 37t ?! Mais à priori c'est "normal" L'euroPULS concurrent ferait 37t aussi ?!

Sur le terrains les russes se renforce au sud-ouest de Konstiantinyvka ... direction Novoolenivka. S'ils arrivaient à Yablunivka, à la retenue d'eau, il pourrait raccourcir radicalement le front avec un trait direct jusque Torestk ouest<->est. D'autant qu'on rapporte des combat à Valentynivka, au font de la nasse - du moins celle qui pourrait se former -. --- Toujours des combats dans Demidovka au sud du front "Koursk" - à la limite de l'oblast de Belgorod -, le front ne bouge pas vraiment mais les combats semblent intense. --- Coté Soumy, les russes sont entrée en Ukraine au niveau de Basivka et Zhuravka direction Soumy probalement. Pour le reste du front "Soumy" - ex-Koursk - la partie vers Sudzha, on se bas sur la frontière grosso modo. --- Soumy est une grande agglomération, beaucoup plus grosse - plus de fois plus gros/grand que Mariupol - que toutes les autres villes prises laborieusement par les russes. On peut alors se demander s'ils comptent vraiment essayer de menacer Soumy autrement que par des bombardements. Encercler la ville imposerait d'établir un front d'au moins 50km ... et rentrer dedans directement risque d’être une putain de purge. Soumy https://en.wikipedia.org/wiki/Sumy

Le Chat Mistral est ton ami ... L'article "The Secret History of America’s Involvement in the Ukraine War" d'Adam Entous décrit l'implication secrète des États-Unis dans le conflit en Ukraine, basée sur plus de 300 interviews avec des responsables gouvernementaux, militaires et du renseignement. L'article révèle que les États-Unis ont fourni un soutien militaire et stratégique crucial à l'Ukraine, notamment en partageant des renseignements et en coordonnant des opérations avec les forces ukrainiennes. Cependant, cette collaboration a été marquée par des tensions et des désaccords, notamment sur les objectifs et les priorités. L'article souligne également les défis posés par les changements politiques aux États-Unis et les préoccupations concernant l'engagement futur de l'Amérique dans le conflit. L'article "The Secret History of America’s Involvement in the Ukraine War" d'Adam Entous explore l'implication secrète des États-Unis dans le conflit en Ukraine. Voici les points principaux : Collaboration Secrète : Les États-Unis ont fourni un soutien militaire et stratégique crucial à l'Ukraine, incluant le partage de renseignements et la coordination d'opérations avec les forces ukrainiennes. Tensions et Désaccords : La collaboration entre les États-Unis et l'Ukraine a été marquée par des tensions et des désaccords, notamment sur les objectifs et les priorités des opérations militaires. Évolution de l'Engagement : L'engagement américain a évolué au fil du temps, avec des phases de soutien accru suivies de périodes de retrait partiel, influencées par les changements politiques aux États-Unis. Opérations Clés : Plusieurs opérations militaires clés ont été menées avec le soutien américain, y compris des frappes sur des cibles russes stratégiques et des efforts pour repousser les forces russes. Défis Futurs : L'article souligne les défis posés par les changements politiques aux États-Unis et les préoccupations concernant l'engagement futur de l'Amérique dans le conflit, notamment avec l'élection de Donald Trump et les réductions potentielles de l'aide militaire. Impact sur le Conflit : Le soutien américain a joué un rôle crucial dans la capacité de l'Ukraine à résister à l'invasion russe, bien que les gains territoriaux aient été limités et les pertes humaines significatives. Red Lines and Escalations : Les États-Unis ont franchi plusieurs "lignes rouges" en autorisant des opérations de plus en plus risquées, y compris des frappes en territoire russe, ce qui a augmenté les tensions avec la Russie. Ces points résument l'essentiel de l'article, qui offre une perspective détaillée sur l'implication américaine dans le conflit ukrainien et les dynamiques complexes qui en découlent.

La plupart des youtuber star sont moches comme des poux pourtant ...

Je sais bien ... mais moi ça me gonfle de voir la tronche de mon voisin me raconter un truc ... ... j'ai une culture radiophonique. La vidéo pour moi c'est pour monter des fiction ou des docu, pas pour se faire mousser comme animateur télé ...

Ça fait 15 ans qu'il est dans le milieu comme créateur de contenu internet pro ... il a ses entrées partout. Il me semble meme qu'il sert de support à l'enseignement des sciences pour l'EN, c'est un ancien prof. La "création de contenu internet" c'est beaucoup de copinage et de réseau ... c'est comme ca depuis toujours et ca risque de le rester un moment, le professionnalisme "modeste" - pas qu'il n'y ait pas de moyens injectés, mais surtout que la plupart des intervenants ne sont pas du métier à la base et ont "appris" sur le tas à l'arrache, tu passes sur une grosse prod web, et le lendemain sur un prod Netflix d'une petite série insignifiante c'est jour et la nuit au niveau des interveants - même des chaines les plus regardées.

Ca plait à une certaine catégorie de spectateur, tout un tas de streamer qui n'en faisait pas ont vu leur audience avoir du mal à décoller. C'est assez bizarre, mais c'est malheureusement comme ca. J'ai toujours trouvé le face camera inutile, et la démonstration d'une incapacité créatrice à produire du contenu vidéo justement. Mais "internet" n'attend pas de qualité particulière, plutôt des émissions type "radio libre" 1981 avec un mec qui pourrait être leur pote qui leur raconte sa vie ou des conneries. Dans tout les cas pour beaucoup de sujet je préfère de loin le podcast parce que la vidéo n'apporte souvent rien ... à moins d'avoir un documentaliste à plein temps et plein de blé pour acheter des droits sur des vidéos un peu intéressante et inédite, ou d'avoir une équipe qui de cadreur qui est allé s'emmerder à faire de la prise de vu originale à tiziouzou ce qui est souvent à peine moins cher. --- Pour le matériel, effectivement les deux premier truc c'est la lumière, et le son - quelques bon micro pour les interview, au moins un par intervenant, et si possible un ou deux micro d'ambiance si tu fais la prise en extérieure ca met un peu de vie dans le truc - ... la prise de vu à la limite tu la fait avec un bon photophone ça fera le job en "studio".

Les sondages d'opinion sont plutôt bon pour Trump d'ailleurs. Meilleur qu'avant son élection. https://www.economist.com/interactive/trump-approval-tracker On remarquera dans le sondage que les principales préoccupation des américains sont et de loin l'inflation/prix et l'emploi/économie. Pour la popularité ...

Wiesbaden would oversee each HIMARS strike. General Donahue and his aides would review the Ukrainians’ target lists and advise them on positioning their launchers and timing their strikes. The Ukrainians were supposed to only use coordinates the Americans provided. To fire a warhead, HIMARS operators needed a special electronic key card, which the Americans could deactivate anytime.

The Secret History of America’s Involvement in the Ukraine War - The … By Adam Entous Adam Entous conducted more than 300 interviews over more than a year with government, military and intelligence officials in Ukraine, the United States, Britain, Germany, Poland, Belgium, Latvia, Lithuania, Estonia and Turkey.

Pour protéger les brebis, il faut qu'on arrête le loup. Et faut être un loup pour arrêter un loup.

La Norvège pourrait revendiquer la souveraineté sur les USA comme découvreur aussi... ... Mais qui en Europe voudrait nuire a ce point a nos grand allié d'outre Atlantique voyons

D'évidence et depuis longtemps les USA se sentent en danger vis à vis de l'émergence de la Chine ... c'est factuel et même si tu trouves ca débile, tu n'es pas eux, et tu ne peux pas dire qu'ils ne se sentent pas en danger. C'est comme l'agresseur qui expliqueraient à la victime que non elle n'a pas mal. Je ne crois rien, pour moi les USA sont un empire, et probablement que Groenland deviendra un élément de l'empire ... s'ils sont très sages et soumis il se pourrait qu'ils garde un chouilla d'autonomie, sinon ils en garderont moins, ou seront déporté en Afrique de l'ouest avec les palestiniens.

Levier pour promouvoir l'indépendance du Groenland, puis pour faire une partenariat particulièrement protecteur avec ensuite. Le Groenland était déjà un protectorat US pendant la guerre 39-45 ... Truman à voulu le racheté au Danemark. Ce n'est donc pas un idée nouvelle, ou exotique, c'est un mouvement de fond. Quand les USA se sentent en danger ils blindent leur abords, et le Groenland en fait parti. Et comme c'est à leur sens une question de sécurité nationale, ils pousseront tous leurs avantages pour arriver à leurs fins. Et a mon sens leur principal avantage c'est de remettre en cause la souveraineté du Danemark, par le soutien à un processus d'indépendance. C'est d'ailleurs un modèle couramment utilisé pour saper les restes des anciens empires coloniaux y compris le notre.