Ciders

Raaah mais on bosse en semaine !

L'argument du "je pense différemment, on me harcèle !" ? Pour un normalien, c'est assez étriqué. L'ironie étant ici qu'il se pique d'être pour l'indépendance vis-à-vis des États-Unis quand Sarkozy a tout fait pour se lier aux États-Unis.

Techniquement, ils sont déjà en Arménie. Ça coûtera moins cher en billets d'avion.

On pourrait demander aux alliés de l'Arménie d'intervenir ?

On a un peu beaucoup laissé tomber l'état afghan, notamment sur la fin en refusant de conserver Bagram (qui aurait pu être utile) sans le dire aux Afghans.

Allez, c'est cadeau, c'est pas cher, c'est magnifique :

J'apprécie ton talent pour partir dans tous les sens, mais concrètement, à la base, j'étais juste là pour dire que, contrairement à ce que tu disais, l'URSS de naguère n'était pas le paradis de la femme libérée. Que les Espagnols, les Allemands de l'Ouest ou les Versaillais pratiquent la chose différemment, certes. Mais ça n'était pas le sujet. Pour les réactionnaires, oui je connais. On a même un gouvernement qui actuellement tape sur le planning familial et ne finance pas la médecine scolaire. Et ils sont loin d'être les pires dans ce domaine.

Ah la garde d'enfant. Il est vrai qu'il y avait un bon réseau de crèches en URSS, souvent d'entreprises. Vu que la plupart des femmes travaillaient, ça leur permettait de ne pas trop se soucier de la garde de leur enfant. Et c'était bien mis en avant par la propagande étatique. En revanche, le fait que les femmes occupent le plus souvent les emplois subalternes et les moins bien payés, qu'elles soient soumises à une charge mentale très supérieure à celles des femmes occidentales (en partie libérées par l'invention de l'électroménager et par un réseau de commerces efficace) et incapables de faire autre chose en dehors du travail et des tâches ménagères... ça, c'était beaucoup moins vanté. On négligeait aussi qu'en 1974, il n'y avait qu'un tiers d'enfants de un à six ans en crèche (faute de place), qu'on avait plus de chances d'en trouver dans les grandes entreprises et les grandes villes (les campagnes et les villes moyennes, l'éternel trou noir de la planification soviétique) et que celles qui existaient étaient, par la force des choses, surchargées. Quant au sentiment de libération perceptible en Occident dans les années 1970, rien de tout ça en URSS. Manque de logements donc d'intimité, accès très limité à la pilule contraceptive et aux préservatifs, éducation sexuelle inexistante. Beaucoup d'avortements par contre.

En Corse, on dit que les continentaux sont des mangeurs de tomates, que les Arabes sont des dégénérés (et des musulmans !) qui importent de la drogue et que les Bonifaciens c'est rien que des colons italiens oubliés par les Génois qui parlent un dialecte foireux. Ce n'est pas parce qu'ils le disent que c'est forcément vrai... n'en déplaise aux Allemands de l'Est et à toi. La colonisation, c'est comme le génocide ou les pâtes à la carbonara, il y a une définition très précise, légèrement galvaudée selon les intérêts du moment c'est vrai. Oh, on parlait des femmes soviétiques libérées sinon. Libérées comment ?

URSS donc, et pas RDA. Exactement. Colonisation. *tousse* Pour le reste, non l'URSS n'était pas le paradis de la femme tout comme ce n'était pas le paradis pour grand chose. Même si j'entends que les sirènes du Komintern puis des idiots utiles (tiens Luc Ferry en a sorti une bonne ce soir) aient pu faire beaucoup de mal en diffusant une image fausse en Occident.

Alors... dans la propagande, oui. Mais dans les faits, non, non et encore non. On a déjà eu ce débat ici du reste. Mais clairement, la femme soviétique n'est pas du tout aussi bien traitée qu'on ne le disait.

Malheureusement beaucoup de choses fausses dans cet article, notamment au niveau économique et militaire. Mais bon. Nous devrions voir tous ces pays décoller puisque la France n'y sera plus à court terme. Si j'ai bien tout suivi.

Ils ont besoin d'argent, d'armes et d'hommes. Et d'alliés. Voilà. Vous me payez quand pour cette mission ?

On pouvait être SS sans être nazi et membre de la Wehrmacht en l'étant. Pour les unités armées de la SS, pour faire TRÈS simple, plus on avance dans le conflit, plus le côté "politique" de la troupe s'affaiblit. C'est moins le cas pour les formations les plus militairement significatives (comme les divisions blindées SS), beaucoup plus pour les unités de troisième ordre à plus ou moins grande vocation "ethnique" qui sont constituées de volontaires locaux, de "volontaires", de Volksdeutschen et/ou de gens plus ou moins arrivés là par hasard.

Oui c'est Ajaccio, on reconnaît les hangars de l'ancienne BAN d'Aspretto à la fin. Pas compris par contre pourquoi parler de Bastelicaccia, vu que l'aéroport est sur la commune d'Ajaccio.

J'ai pas osé lire l'article sur les F-16 au Vietnam. J'ai encore un peu de dignité.

Il a dû trouver un nouveau financement pour son site.

Mathématiquement parlant, il y avait plus de nazis chez les "non-SS" que chez les SS. C'est sûrement ça le plus gênant.

Gros article de 38 North sur les récents efforts nord-coréens pour fournir plus de protéines animales à la population : https://www.38north.org/2023/09/north-koreas-animal-protein-farming-expansion-status-and-challenges-2/ Au programme, fermes piscicoles, élevage de volailles et de lapins, bétail et autres trucs vivants à manger ensuite.

Site indien non ? Analyste inconnu. Réflexions non sourcées, basées sur des hypothèses personnelles. Rien de bien concret, attention donc.

Ils avaient déjà lancé une vaste campagne de récupération après que les Russes aient dû quitter la banlieue de Kiev, d'abord de façon volontaire et ensuite en allant visiter les fermes et les maisons de campagne. Il reste toujours des gens plus malins ou plus discrets qui y échappent. Après, on me dira qu'en France on trouve encore des Sten et des obus de mortiers, mais des Flak 88 c'est quand même plus rare.

Dans le référentiel "on a réussi !", on serait entre les étapes "on a sorti le cul des ronces mais on a des cloques partout sur les couilles" et "bon finalement c'est pas pire que ce qu'on pouvait redouter". On notera au passage que, comme de coutume, la Hongrie accueille malgré tout des migrants. Même des Chinois, pourtant assez éloignés des standards nationalistes locaux.

Syndrome de la superpuissance extrêmement puissante et défendant les valeurs les plus saintes de l'humanité complètement terrorisée et menacée par autrui, scène 854 : Le syndrome de la citadelle assiégée. Par l'Arménie. Quand on a de tels "alliés", on n'a pas besoin d'armée, juste d'une concession au cimetière.

S'ils étaient pleins jusqu'à la g**ule, il n'était peut-être pas possible de redécoller sans aller au tas.

Le soldat King a été expulsé vers la Chine et serait désormais aux mains des Américains. J'espère qu'au moins ça n'a rien coûté.