C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 31 juillet 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 juillet 2023 Il y a 10 heures, ZeGrinch a dit : C'est le bruit généré par le bateau et qui perturbe l'écoute de ses propres sonars passifs. En fait, le bruit propre, c'est une saleté... ---> [] 1 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 31 juillet 2023 Share Posté(e) le 31 juillet 2023 J'aime bien l'utilisation de l'ARUR-13 pour brouiller les torpilles dans la fiche wikipedia sur les Triomphant (partie Sonars) https://fr.wikipedia.org/wiki/Classe_Le_Triomphant 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 31 juillet 2023 Share Posté(e) le 31 juillet 2023 Il y a 4 heures, mudrets a dit : J'aime bien l'utilisation de l'ARUR-13 pour brouiller les torpilles dans la fiche wikipedia sur les Triomphant (partie Sonars) https://fr.wikipedia.org/wiki/Classe_Le_Triomphant Une explication de ce système serait la bien venue pour les profanes ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 31 juillet 2023 Share Posté(e) le 31 juillet 2023 il y a 9 minutes, MIC_A a dit : Une explication de ce système serait la bien venue pour les profanes ! C'est pas un détecteur d'alerte radar, pour pouvoir plonger en urgence en cas de balayage par un MPA lors d'une navigation proche surface ? 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 31 juillet 2023 Share Posté(e) le 31 juillet 2023 il y a 7 minutes, FATac a dit : C'est pas un détecteur d'alerte radar, pour pouvoir plonger en urgence en cas de balayage par un MPA lors d'une navigation proche surface ? Si Du coup d'un système de surface passif il est devenu actif en plongée ... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Hirondelle Posté(e) le 31 juillet 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 juillet 2023 (modifié) Il y a 7 heures, MIC_A a dit : Une explication de ce système serait la bien venue pour les profanes ! Un chouette récit (1971- la Diane) publié par l’AGASM. ça sert à ça l’ARUR: https://www.agasm.fr/wp-content/uploads/2020/02/Coup-de-poker-par-Guy-CLAUER-1-1.pdf http://www.sousmarinvenus.com/Aeriens.html Modifié le 31 juillet 2023 par Hirondelle 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 31 juillet 2023 Share Posté(e) le 31 juillet 2023 (modifié) ARUR selon le GAM T-4 T-10 aujourd'hui disparu A attaque R radio électrique U pour sous-marin R Récepteur On trouvait un équivalent sur le Br 1150 avec l'ARAR-10 (le deuxième A pour aéroporté) GAM T 10 Appellations interarmées des matériels électroniques Tome 1. – Edition 1981, mise à jour en cours Tome 2. – Bigrammes, quadrigrammes, mise à jour N°4 1981 à 1999 Modifié le 31 juillet 2023 par mudrets 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 1 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 août 2023 3 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ZeGrinch Posté(e) le 1 août 2023 Share Posté(e) le 1 août 2023 Le 31/07/2023 à 19:08, mudrets a dit : ARUR selon le GAM T-4 T-10 aujourd'hui disparu A attaque R radio électrique U pour sous-marin R Récepteur On trouvait un équivalent sur le Br 1150 avec l'ARAR-10 (le deuxième A pour aéroporté) GAM T 10 Appellations interarmées des matériels électroniques Tome 1. – Edition 1981, mise à jour en cours Tome 2. – Bigrammes, quadrigrammes, mise à jour N°4 1981 à 1999 J'avais le premier A pour guerre électronique et contre-mesures et le dernier R pour interception, mais la Marine ayant abandonné ces dénominations depuis un certain temps je ne suis plus trop à jour. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 1 août 2023 Share Posté(e) le 1 août 2023 il y a 26 minutes, ZeGrinch a dit : J'avais le premier A pour guerre électronique et contre-mesures et le dernier R pour interception, mais la Marine ayant abandonné ces dénominations depuis un certain temps je ne suis plus trop à jour. Oui, il s'agissait du GAM T 10 abandonné par les armées en 1999. Tu as possiblement raison, je n'arrive plus à remettre la main sur mes archives sur le sujet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 2 août 2023 Share Posté(e) le 2 août 2023 (modifié) Le 31/07/2023 à 19:08, mudrets a dit : ARUR selon le GAM T-4 T-10 aujourd'hui disparu J'ai ouvert un sujet sur l'identification des matériels électroniques français avant 1999 dans la rubrique Matériels http://www.air-defense.net/forum/topic/38598-identification-matériel-électronique-français-avant-1999/#comment-1650828 Modifié le 2 août 2023 par mudrets 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 4 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 4 août 2023 Le bruit propre et bruit rayonné ont les mêmes sources ( hydro-propulsion-plateforme..) Le bruit propre c’est le bruit écouté sur le capteur s’il est fixé sur le porteur ; il est mesuré en champ proche Le bruit rayonné c’est le bruit écouté par un capteur éloigné du porteur ( autre soum ou frégate ASM ) il est mesuré en champ lointain. Ces deux bruits entrent dans l’équation sonar, ils évoluent en fréquence avec la vitesse Illustations Bruit propre Equations sonars Tableau fréquence vitesse TBL = Tubulent boundary layer ou CLT Compte tenu des risques TBL , architectes et hydro s’arrangent pour les bruits d’écoulement générateurs de bruits propres et rayonnés soient minimisés dans les secteurs fonctionnels sonar . https://www.researchgate.net/publication/343987780_Exigences_bruit_et_vibration_des_machines_en_lien_avec_la_discretion_acoustique_des_navires https://www.researchgate.net/profile/Christian-Audoly/publication/293175365_Turbulent_flow-induced_self_noise_and_radiated_noise_in_naval_systems_-_an_industry_point_of_view/links/57a304fa08aeb1604836d945/Turbulent-flow-induced-self-noise-and-radiated-noise-in-naval-systems-an-industry-point-of-view.pdf?origin=publication_detail 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. fraisedesbois Posté(e) le 5 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 5 août 2023 (ouest-France, 04/08) Formation à Cherbourg : un nouveau BTS pour devenir atomicien de propulsion navale Un nouveau BTS verra le jour en septembre 2023 à Cherbourg (Manche). Fruit d’un partenariat entre un lycée local et la Marine Nationale, il vise à former des atomiciens de propulsion navale. Citation Se former pour devenir atomicien, c’est désormais possible à Cherbourg-en-Cotentin. L’école des applications militaires de l’énergie atomique (EAMEA), située à Querqueville (Manche), propose à partir de septembre un BTS « Maintenance des systèmes de Production (MSP) / atomicien de propulsion navale ». Il est le fruit d’une collaboration entre l’école et le Lycée Alexis de Tocqueville (Cherbourg-en-Cotentin), et permet de former des experts en énergie atomique dans les sous-marins. Les étudiants ont ainsi un statut militaire, et s’engagent d’ailleurs à réaliser un contrat de minimum 9 ans dans la Marine nationale après obtention de leur diplôme. Ils porteront également l’uniforme d’officier marinier de la Marine nationale. Une formation accessible sur dossier L’enseignement est réparti sur les deux sites partenaires : la partie académique et technologique sera dispensée par le lycée, tandis que l’enseignement militaire, maritime et métier sera mené par l’EAMEA. La formation, gratuite, est accessible sur dossier à tout titulaire d’un baccalauréat. Les candidats doivent passer des tests et un entretien. « Il y a, entre autres, une visite médicale, des tests psychologiques et psychotechniques, mais aussi des tests de sport et d’anglais », détaille le Maître principal Sylvain, chef du Cirfa de Cherbourg-en-Cotentin. 15 étudiants pour cette première rentrée Pour cette rentrée 2023, environ 150 candidats s’étaient présentés, et 15 d’entre eux, venus de toute la France, ont été retenus. L’objectif pour ces étudiants : devenir atomiciens. Dans ce but, ils pourront continuer leur formation après l’obtention de leur BTS, après quoi ils pourront embarquer sur le porte-avions Charles de Gaulle ou à bord des sous-marins atomiques de la flotte française. 1 1 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. cicsers Posté(e) le 7 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 août 2023 A l’instant même sur France 5, C Jamy consacré aux sous-marins avec un gros focus sur les SNLE et SNA. Bref l’amateur éclairé que je suis regarde en se disant qu’il n’apprendra rien d’une émission de vulgarisation. Que nenni ! Je ne savais pas que le système de propulsion différait à ce point entre SNA et SNLE. Ligne d’arbre entraînée par l’intermédiaire de turbines ou turbo-alternateur sur SNA, alors que la pompe hélice est directement connectée au réacteur sur SNLE. Tout ça pour dire que j’ai été agréablement surpris par le niveau de précision de cette émission. Je vous laisse j’enchaîne sur famille XXL sur TF1 ou j’espère apprendre les différences technique entre avoir 4 enfants ou 11. 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
R force Posté(e) le 7 août 2023 Share Posté(e) le 7 août 2023 https://www.opex360.com/2023/08/04/le-sous-marin-nucleaire-dattaque-suffren-effectue-son-premier-deploiement-operationnel-dans-locean-indien/ Suis-je le seul a m'étonner de l'hydrodynamique en apparence médiocre du DDS ? Je sais bien qu'on ne peut en juger à l'oeil, mais là quand même ca fait assez taillé à la serpe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 7 août 2023 Share Posté(e) le 7 août 2023 (modifié) il y a 53 minutes, R force a dit : https://www.opex360.com/2023/08/04/le-sous-marin-nucleaire-dattaque-suffren-effectue-son-premier-deploiement-operationnel-dans-locean-indien/ Suis-je le seul a m'étonner de l'hydrodynamique en apparence médiocre du DDS ? Je sais bien qu'on ne peut en juger à l'oeil, mais là quand même ca fait assez taillé à la serpe. Vu de côté ça le fait mieux non ? Il faut prendre en compte qu'il se prend les écoulements perturbés du kiosque Modifié le 7 août 2023 par clem200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 7 août 2023 Share Posté(e) le 7 août 2023 Il y a 4 heures, R force a dit : https://www.opex360.com/2023/08/04/le-sous-marin-nucleaire-dattaque-suffren-effectue-son-premier-deploiement-operationnel-dans-locean-indien/ Suis-je le seul a m'étonner de l'hydrodynamique en apparence médiocre du DDS ? Je sais bien qu'on ne peut en juger à l'oeil, mais là quand même ca fait assez taillé à la serpe. C’est clair que côté hydro ( vitesse) et stabilité on a un mode avec DDS et un autre nominal sans DDS Idem côté air au mouillage , fardage en plus . « Lorsqu’un sous-marin est équipé d’un DDS, cela a un impact significatif sur son assiette, sa stabilité transversale et ses performances hydrodynamiques. La résistance submergée accrue du hangar peut réduire la vitesse et créer un bruit supplémentaire. La conception intégrée de l’Astute DDS a des carénages où il se joint à l’aileron, ce qui peut aider à améliorer le débit d’eau par rapport à la conception de hangar entièrement séparée des systèmes ALAMANDA et US. Malgré cela, un bateau Astute transportant un DDS aura inévitablement des performances légèrement réduites, en particulier lorsqu’il opère dans l’un de ses rôles les plus importants – détecter et suivre d’autres sous-marins. Compte tenu de la disponibilité limitée du numéro de sécurité sociale de la RN et d’une longue liste de tâches, il doit être difficile de trouver un équilibre entre décider quand installer le DDS et à quel sous-marin. » https://www.navylookout.com/in-focus-royal-navy-submarine-special-forces-delivery-systems/ Je n’en sais trop rien, mais j’imagine mal un accompagnement GAN , requérant un minimum de « pollution » hydro avec un SNA habillé DDS ? Sinon le passage SNA Suez s’effectue normalement avec un accompagnement BSAM ( accessoirement étudié pour le transport d’un DDS) c’était une des missions allouées aux barcasses. A cet effet il existe un guide Suez SNA … 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
R force Posté(e) le 7 août 2023 Share Posté(e) le 7 août 2023 Il y a 3 heures, clem200 a dit : Vu de côté ça le fait mieux non ? Il faut prendre en compte qu'il se prend les écoulements perturbés du kiosque On aurait pu imaginer que le pied avant du DDS ait un congé de raccordement avec le pont (comme le kiosque) et que la porte arrière du DDS ne soit pas qu'un "bête" hémisphère mais une ogive limite cône. Ca a bien entendu été pensé par bien plus instruits que moi, mais je ne cesse de trouver cela étrange. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 7 août 2023 Share Posté(e) le 7 août 2023 Il y a 3 heures, ARMEN56 a dit : Sinon le passage SNA Suez s’effectue normalement avec un accompagnement BSAM ( accessoirement étudié pour le transport d’un DDS) c’était une des missions allouées aux barcasses. A cet effet il existe un guide Suez SNA … J'imagine qu'on ne peut pas installer le DDS à la mer sur SNA, mais est-ce un procédure que l'on peut faire dans n'importe quel port ? Pourrait on "prépositionner" des DDS dans les territoires ultramarins au cas ou ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 7 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 août 2023 Il y a 3 heures, R force a dit : On aurait pu imaginer que le pied avant du DDS ait un congé de raccordement avec le pont (comme le kiosque) et que la porte arrière du DDS ne soit pas qu'un "bête" hémisphère mais une ogive limite cône. Ca a bien entendu été pensé par bien plus instruits que moi, mais je ne cesse de trouver cela étrange. Il y a deux objets. La partie sèche qui reprend la pression. Et qui a se titre doit être de la forme d'une pilule ... deux demi sphères et un tube ... Le fairing qui est la pour lisser les forme. Lui doit juste encaisser les contraintes hydrodynamique. La porte est structurel, donc tu ne peut en changer la forme ... pour installer un appendice hydro il aurait fallu boulonner dessus un fairing assez copieux ... je doute qu'on s'y risque, ça poserait des probleme à l'ouverture de la porte notamment. Pour l'avant en dessous le raccord avec le pont est effectivement une coque destiné a améliorer l'hydro. On aurait pu imaginer un dessin plus subtil, mais ca a du etre valider comme suffisant ainsi. Les USA ne font pas plus pour le DDS. La structure Le fairing en place Le schema 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 7 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 août 2023 Il y a 2 heures, Titus K a dit : J'imagine qu'on ne peut pas installer le DDS à la mer sur SNA, mais est-ce un procédure que l'on peut faire dans n'importe quel port ? Pourrait on "prépositionner" des DDS dans les territoires ultramarins au cas ou ? A ma connaissance les BSAH/BSAM ont été conçus pour soutiens aux SNA dont le transport du DDS ( masse de 42 tonnes) et manip en escale à quai En France seuls Brest et Toulon sont qualifiés pour soutenir un SNA en escale Les autres ports ultramarins nationaux ou étrangers j’ignore s’ils sont qualifiés ou pas sachant que ; - un SNA en escale dans un port français ou étranger a des besoins spécifiques, liés a la sureté de la chaufferie nucléaire (permanence d'une alimentation électrique indépendante du SNA ) et à la protection du sous-marin contre d'éventuels actes de malveillance. - une instruction d'ALFOST rappelle la liste des ports étrangers aptes à recevoir des SNA et précise leurs conditions d'accompagnement. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 16 août 2023 Share Posté(e) le 16 août 2023 Le 29/04/2022 à 10:43, BPCs a dit : Quand on voit les premiers soum ballistique russes, on voit pour la classe hôtel par exemple, 3 SLBM lancés au travers du kiosque, sur des barcasses de 114m de long et env 5000t de déplacement submergé. Les coréens du nord ont repris cette disposition sur leur classe Roméo. A un moment où un M51 emporte une dizaine de tête, est-ce qu'un tel sous-marin ne serait pas suffisant pour une dissuasion, tandis que cela permettrait de fusionner le design entre futur SNLE et SNA (en se rappelant que les Ohio ont une capacité conventionnelle par remplissage du silo de l'ICBM par un module emportant 7 tactom. C'est d'ailleurs ce module qui se retrouve sur les Virginia class mais au niveau de la couette cette fois, ce qui ne permet pas d'avoir la profondeur pour y loger un Missile ballistique. Après les Nord Coréens, les israéliens investissent eux aussi dans un lancement de missiles balistiques via le Kiosque, ce qui leur permet de garder la même base de sous-marin Dolphin II pour ce faire. https://www.navalnews.com/naval-news/2023/08/israel-launches-new-submarine-first-in-world-with-modern-missiles-in-sail/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 16 août 2023 Share Posté(e) le 16 août 2023 Encore une photo Naval Group du chantier du Suffren qui dévoile des détails de fabrication. https://www.usinenouvelle.com/article/les-coulisses-de-la-fabrication-des-sous-marins-ces-monstres-d-acier-si-complexes.N2151662 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. fraisedesbois Posté(e) le 16 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 août 2023 il y a 31 minutes, Julien a dit : Encore une photo Naval Group du chantier du Suffren qui dévoile des détails de fabrication. https://www.usinenouvelle.com/article/les-coulisses-de-la-fabrication-des-sous-marins-ces-monstres-d-acier-si-complexes.N2151662 Les coulisses de la fabrication des sous-marins, ces monstres d’acier si complexes À Cherbourg, Naval Group mobilise des installations hors normes pour produire en série les Barracuda, les sous-marins nucléaires d’attaque français. Voilà un chantier industriel unique en France. Dans l’un des immenses halls d’assemblage du site de Naval Group à Cherbourg (Manche), des tronçons de coques de sous-marins attendent d’être solidarisés les uns aux autres. Ces tranches d’acier gigantesques sont semblables à des immeubles d’une vingtaine de mètres de longueur et d’une dizaine de hauteur. Pour les préparer à recevoir leurs équipements, les opérateurs du groupe grimpent sur des échafaudages de cinq ou six étages. Il sort de ce chantier des monstres d’acier : les sous-marins nucléaires Barracuda destinés à la Marine nationale. Des navires d’une amplitude de 99 mètres pour une masse de 5 000 tonnes. Fin avril, le chantier a passé une étape importante. «Les ultimes tronçons du dernier Barracuda ont été produits», se félicite Jean-Michel Merat, le directeur de l’usine, qui compte environ 5 000 salariés. Cette fabrication minutieuse s’inscrit dans une longue tradition, unique en France : plus de 108 sous-marins ont pris vie à Cherbourg depuis le Morse, en 1899 ! Citation Des états d’avancement bien différents L’histoire n’est pas près de s’arrêter. Les salariés du site travaillent à la construction des quatre derniers sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) de la série des Barracuda. «Aujourd’hui, c’est environ 2 500 personnes dont 800 chez nos partenaires qui sont occupées à plein temps sur cette mission», précise Hervé Glandais, le directeur du programme pour Naval Group. Les deux premiers exemplaires sont déjà à la mer. Le premier de la série, le Suffren, est entré en service il y a un an. Le deuxième, le Duguay-Trouin, a effectué sa première sortie en mars. La Marine nationale l'a réceptionné en juillet. Les quatre navires restant à produire sont à des états d’avancement bien différents. Le troisième navire, le Tourville, a été jonctionné entièrement et a accueilli sa chaufferie nucléaire. Quant aux trois derniers exemplaires (le De Grasse, le Rubis et le Casablanca), leurs tronçons commencent à être réunis pour former des secteurs ou à recevoir leurs équipements de structure. Ces sous-marins nucléaires d’attaque assurent différentes missions clés pour la Marine nationale : ils escortent le porte-avions Charles de Gaulle et protègent notamment les sorties à la mer des SNLE, les sous-marins lanceurs d’engins qui portent les missiles de la dissuasion nucléaire. L’un des objets les plus complexes «L’enjeu est de livrer ces six bateaux à un rythme d’un tous les deux ans, jusqu’en 2030», précise la responsable du programme pour la DGA, dont le nom est tenu secret. Un délai qui s’explique par le considérable défi industriel et technique. Ces sous-marins figurent parmi les objets les plus complexes au monde à réaliser. Dans un espace réduit, le navire est déjà une base de vie capable d’accueillir un équipage de 65 personnes avec ses chambrées de quatre à six marins, ses sanitaires, sa cuisine, son réfectoire... Le bâtiment embarque également l’équivalent d’une mini-centrale nucléaire en mesure d’assurer sa propulsion silencieuse à plus de 350 mètres de profondeur. Enfin pour accomplir sa mission de guerre, ce redoutable navire est équipé d’un central opérationnel, de sonars, de moyens de communication et de navigation, de tubes lance-missiles... Pour faire fonctionner une telle machine, il faut des équipements de servitude : 160 kilomètres de câbles, 20 km de tuyaux, 70 000 appareils fonctionnels (pompes, carlingages, robinets, vannes...). Soit au total plus de 700 000 pièces à installer ! C’est beaucoup plus que pour une voiture (10 000 pièces), un char blindé (15 000 pièces) ou un avion Boeing (100 000 pièces)... «Au total, le programme représente près de 50 millions d’heures de travail. Aux moments les plus forts, jusqu’à 600personnes peuvent être mobilisées sur un bateau», précise Hervé Glandais, son responsable. Pour produire des sous-marins, Cherbourg dispose d’installations et d’outillages industriels hors normes, quelle que soit l’étape de la fabrication. De grandes plaques d’acier planes, larges jusqu’à une dizaine de centimètres d’épaisseur, sont entreposées devant l’atelier. Il faudra leur donner des formes cylindriques, à l’aide de presses capables d’exercer des forces de plusieurs milliers de tonnes... Celle de 12 000 tonnes, insérée dans une fosse de 12 mètres de fond, est l’une des presses les plus puissantes qui existent en Europe. «La forme de la coque est critique pour résister aux contraintes d’immersion. On doit déformer à froid l’acier pour lui donner la bonne forme tout en garantissant les épaisseurs», souligne Jean-Michel Merat. Les tolérances sur l’épaisseur de la coque doivent donc être impérativement respectées : de l’ordre du millimètre sur une dizaine de centimètres d’épaisseur. Des magiciens de l’industrie Pour leur donner la courbure finale attendue, les techniciens font appel à de grands gabarits, des moules en bois, finalement plus pratiques que les scans lasers et autres technologies à base de solutions en 3D... «Nous sommes dans de l’artisanat à dimension industrielle. Le savoir-faire relève de l’artisan. Les moyens sont industriels», explique le directeur du site. Soudage de la coque épaisse pour solidariser les tronçons les uns aux autres. La fabrication de ces géants des fonds marins requiert des compétences et des savoir-faire techniques multiples. C’est d’ailleurs l’un des défis majeurs du site de Cherbourg : trouver et former les bons techniciens, dans 400 domaines de compétences. Pour certains métiers, il faut cinq, sept, parfois dix ans pour passer d’un jeune ouvrier à un technicien qui maîtrise parfaitement son domaine. Et quand le patron de la production évoque le travail de ses formeurs, capables de donner aux coques la forme désirée, il les assimile à des «magiciens de l’industrie» ! L’assemblage des Barracuda fait appel à la technique dite des berceaux. Il faut imaginer une structure dont la forme et la taille s’apparentent à celles d’un tronçon de sous-marin, en version réduite. Car une fois que le berceau sera chargé de tous ses équipements (vannes, pompes, tuyauterie…), il sera introduit dans le tronçon vide et comblera quasiment tout l’espace. «On évite ainsi de raccorder directement des équipements vibrants à la coque. Cela limite la propagation d’ondes sonores vers l’extérieur et renforce donc la discrétion acoustique du sous-marin», confie la responsable du programme Barracuda pour la DGA. À Cherbourg, le gigantisme de la production et la petite série des sous-marins à assembler n’empêchent pas de rechercher l’efficacité industrielle. «Entre les premiers exemplaires, où l’on cherche à optimiser la fabrication et le dernier où l’on est rodé, nous avons gagné en coût et en délai», se félicite le directeur du site. La reconstitution de la coque des premiers Barracuda a nécessité vingt-cinq mois, celle du sixième et dernier, seulement dix-sept mois. Naval Group se projette déjà dans le chantier suivant : l’assemblage des sous-marins de la dissuasion nucléaire, les SNLE de troisième génération. Les équipes travaillent déjà sur des prototypes en vue d’accélérer les opérations d’assemblage et de soudure. Des travaux de génie civil vont démarrer pour agrandir la surface des ateliers. «Nous voulons aller plus vite. Nous poussons les murs et automatisons plus», explique Jean-Michel Merat. Les premières tôles doivent être découpées cette année. À Cherbourg, un chantier de sous-marins chasse l’autre. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 24 août 2023 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 août 2023 « 20 Août 2023 : Sortie du SNA Duguay-Trouin et sûrement une "manoeuvre de mise en place d'une antenne linéaire remorquée sur un sous-marin nucléaire d'attaque par le Phaéton, discret petit bâtiment chargé de la mise en place et de la récupération des antennes sur le sous-marins basés à Toulon, avant et après leurs missions en mer » https://www.linkedin.com/posts/hervé-dermoune-974641183_toulon-sna-frenchnavy-activity-7100193907715497987-zcxM?utm_source=share&utm_medium=member_desktop 5 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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