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olivier lsb

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Tout ce qui a été posté par olivier lsb

  1. olivier lsb

    [Rafale]

    En RCA ce sont des 2000 qui ont tiré il me semble. D'après OPEX360 les munitions tirées en Irak seraient des GBU 12. Indémodable.
  2. EI et Arabie Saoudite. Un article intéressant qui semble laisser clichés de côté. http://www.lepoint.fr/monde/etat-islamique-la-volte-face-de-l-arabie-saoudite-18-09-2014-1864405_24.php?google_editors_picks=true
  3. Offensive de l'EI avec chars et artillerie en Syrie sur la partie Kurdes. http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/09/18/offensive-de-l-ei-contre-les-kurdes-en-syrie_4489768_3218.html
  4. olivier lsb

    Le F-35

    Bon, nous n'avons accès qu'à la première phrase, mais elle promet. Thales revendique une technologie clé dans le viseur de casque du F35. Source: intelligence online http://www.intelligenceonline.fr/intelligence-economique/2014/09/17/thales-s-incruste-dans-le-viseur-du-f-35%2C108038430-ART-SUM?did=108037864&eid=206097
  5. Nouveau raid aérien dans l'ouest de la Libye. Revendiqué par Lady X le Général Haftar http://www.opex360.com/2014/09/17/nouveau-raid-aerien-dans-louest-de-la-libye-ete-revendique-par-le-general-haftar/
  6. Curieux d'avoir fait décharger les Kalash des Marocains pour la visite de "l'huile" (voir les dernières photos)
  7. Excellent article sur l'homme au coeur des échanges de prisonniers. Un bon reportage. http://www.lepoint.fr/monde/ukraine-systeme-d-et-page-facebook-au-service-du-cessez-le-feu-16-09-2014-1863506_24.php?google_editors_picks=true Depuis le mois de mai et l'intensification des combats, cet homme plutôt discret se déplace sans relâche entre Donetsk, la capitale des séparatistes à ce jour totalement sous leur contrôle (sauf l'aéroport), et la mégapole industrielle ukrainienne de Dniepropetrovsk, à environ cinq heures de route. Qui le finance ? Dans quel cadre travaille-t-il ? "Rouban est une figure héroïque, heureusement qu'il existe", explique avec emphase Vladimir Filatov, vice-gouverneur de la puissante province de Dniepropetrovsk, voisine de celle de Donetsk. "Ce type est venu nous voir de lui-même au printemps en disant qu'il en avait assez de taper à toutes les portes. On lui a donné une voiture, de l'argent pour l'essence, un téléphone. Depuis, il travaille sans relâche." Relations via Facebook Effectivement, grâce à Rouban, plusieurs centaines de prisonniers (civils et militaires) ont déjà été relâchés et des négociations sont toujours en cours. "On en est au sixième échange", annonce fièrement Boris Filatov, qui, lui aussi, tient le public informé via sa page Facebook sur laquelle il peut s'enorgueillir d'être suivi par 100 000 personnes et recueille entre 4 000 et 8 000 "like" à chacun de ses posts rédigés, parfois plusieurs fois par jour. C'est d'ailleurs par le truchement d'Internet que Boris Filatov annonçait, jeudi 11 septembre à 3 heures du matin, que 21 nouveaux prisonniers ukrainiens (dont trois officiers) avaient été ramenés sains et saufs de la RPD jusqu'au bâtiment administratif de Dniepropetrovsk où leurs familles les attendaient. "Si on arrive à faire libérer des prisonniers, c'est qu'on a construit des "relations horizontales" avec les commandants des bataillons de séparatistes et les représentants de la RPD", explique avec une certaine fierté Boris Filatov, laissant même poindre un certain agacement vis-à-vis de Kiev qui, plus d'une fois, aurait tenté de récupérer ces succès pourtant uniquement dus, selon le vice-gouverneur, à l'efficacité personnelle de Rouban et à l'aide logistique que lui fournit l'administration de Dniepropetrovsk. "Ceux avec qui nous négocions sont peut-être des gens avec une mentalité spécifique ou un passé particulier, mais on ne peut nier qu'ils ont une parole. Nous aussi. Nous avons gagné leur confiance et leur respect", se targue-t-il, des propos qui détonent dans le contexte d'hystérie verbale quasi permanente entre les deux parties. Des camions de nourriture Vladimir Rouban est périodiquement accusé par certains médias d'être un agent des Russes ou de ne pas être un vrai général. Visiblement agacé, Boris Filatov balaie du bras ces critiques : "Peu importe, Rouban sauve des gens. Et il arrive à parler à tous, même si l'un des commandants qu'il a souvent au téléphone est un psychopathe et qu'il hurle dans le combiné ! Rouban parvient toujours à délivrer des hommes !" tonne Boris Filatov. La confiance de l'administration de Dniepropetrovsk en Vladimir Rouban est telle que les autorités de la région militent à Kiev pour qu'à l'avenir, son équipe soit étoffée d'un procureur, d'un représentant du contre-espionnage et d'un autre des services secrets ukrainiens. Si, lors de ces délicates négociations à propos des échanges de prisonniers, personne ne discute vraiment politique, Boris Filatov souligne que ses interlocuteurs "ont l'air de souhaiter sincèrement la fin de cette guerre et craignent eux aussi l'imprévisibilité de la Russie, qui ne s'occupe pas d'eux comme elle s'est occupée de la Crimée : en l'englobant dans son territoire." La partie ukrainienne offre-t-elle parfois une contrepartie financière ou matérielle dans l'échange ? " On envoie des camions de nourriture. Nos interlocuteurs ne nous le demandent jamais directement, mais souvent, Alexandre Zakhratchenko, le vice-premier ministre de la RPD, insiste sur le fait qu'il n'a rien pour nourrir sa population... On se doute bien que les prisonniers passent après. Et on comprend le message", conclue Boris Filatov.
  8. olivier lsb

    [Rafale]

    Sur les petites flaques qui forment des rivières, on dirait bien que Laurent Lagneau a lu ton article Bubzy et ça l'a inspiré. Manque plus qu'un tweet de Philippe Top Force pour interpeller Canal + en direct et faire monter la pression. Enfin je dis çà.... En tout cas, je te rejoins sur ce point: vu l'investissement que ça représente, il est important en démocratie de bien le défendre et surtout de l'expliquer. Bref; de faire de la pédagogie, d'expliquer que c'est notre indépendance, notre sécurité, l'emploi du voisin et de la cousine. Et qu'en plus, eh bien au final, ça ne coûte pas si cher que ça. La République des Experts qui ne se comprend qu'entre experts, ça ne peut qu'accentuer le fossé entre électeurs et gouvernants. Avec les risques que l'on connait. http://www.opex360.com/2014/09/16/quand-lemission-special-investigation-de-canal-plus-multiplie-les-erreurs-les-approximations-sur-le-rafale/
  9. olivier lsb

    [Rafale]

    Si je trouve aussi. Je me suis fait la même réflexion au jt. J'ai même commencé de m'énerver tout seul contre FR2 en me disant que les journalistes avaient encore pris des images périmées Surtout que sur la mission, il y avait un tanker qui les accompagnait. La Syrie n'est pas loin et de mémoire, l'EI a "quand même" réussi à faire rouler sur le tarmac des avions capturés à Mossoul.
  10. Intéressant. Les ennemies de mes ennemies seraient donc mes amis. Mais attendez, qui est l'ennemi en fait ?
  11. S'il n'a pas tort sur le fond avec les conséquences désastreuses de long terme qui consiste à payer des rançons, je ne comprends pas sa sortie sur le sujet. Si la France ne payait pas de rançon, alors l'EI n'aurait pas décapité d'Américain ? Pour décapiter un Français à la place ? Je ne comprends pas bien sa logique. On pourrait très bien affirmer qu'en payant des rançons, on participe à rendre moins intéressante la prise d'otages Américains (par comparaison à l'otage Français). Que notre posture soit hypocrite, c'est un fait. Et ça ne regarde que nous. Dire que ça mettrait directement ou indirectement en danger des vies Américaines, faut pas exagérer..... Ou être sacrément dénoncé par sa propre scène politique.
  12. olivier lsb

    [Rafale]

    Non pas un, mais deux nouveau PEA lancés pour le Rafale. Le timing de ce qui n'est pas encore une annonce est en tout cas assez intéressant... http://www.ttu.fr/cooperation-et-souverainete/
  13. Tu ne crois pas si bien dire. La bouteille sera partagée. Le PR a quasiment ordonné aux Américains de "dégommer" Godane (ça sonne bien je trouve) suite à des renseignements Français transmis au Pentagone. http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/exclusif-francois-hollande-a-ordonne-l-execution-du-chef-djihadiste-somalien-ahmed-godane-12-09-2014-1862586_53.php Edit: Au moins un Hellfire et deux GBU-12 pour un pick-up. Je crois que le président a été pris au mot par nos amis US
  14. Ma très modeste contribution de ce soir pour vous (ré)indiquer, à tous les avides et ayatollah des "images sourcées localisées datées" (et c'est à votre honneur) que les séries régulièrement postées par Vice News sont d'excellentes qualités et proposent des images quasiment sur la ligne de front. Tant du coté séparatiste que du coté loyaliste, à mon sens sans grand parti pris. Ça permettrait d'apaiser un peu les débats et d'en revenir aux fondamentaux du qui fait quoi sur le terrain et comment. On peut activer des sous-titres pour aider à la compréhension. Parmi les derniers épisodes, très intéressants....
  15. Je me permets de relayer cet article de JD Merchet. Je me suis dit que ça participerait à élever un peu le débat. http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/guerre-non-lineaire-president-poutine-deroute-occidentaux-16021
  16. Quand j'ai lu çà: http://www.lepoint.fr/monde/les-soldats-russes-arretes-en-ukraine-s-y-trouvaient-par-accident-26-08-2014-1856631_24.php J'ai tout de suite pensé à.... http://www.legorafi.fr/2014/03/10/moscou-affirme-que-ses-soldats-en-crimee-se-sont-juste-perdus/ Voilà, un peu de détente !
  17. Blog de Stéphane Mantoux. Pas focalisé sur l'EI en général, mais je pense que leur tactique ne doit pas considérablement différer de celles des autres groupes en Syrie. Deux articles ultra détaillés sur des batailles avec une chronologie tactique bien détaillée. http://historicoblog3.blogspot.fr/2014/08/exemple-doperation-de-linsurrection_22.html http://historicoblog3.blogspot.fr/2014/08/exemple-doperation-de-linsurrection.html
  18. Je vous mets la conclusion mais je vous recommande très chaudement la lecture intégrale de son article sur la percée de Mleha. Passionnant et très bien documentée. A défaut, la conclusion remettra les pendules à l'heure sur les capacités du moment des groupes actuels. Je sais que de temps en temps tu lis, alors merci à toi Stéphane. Super boulot.
  19. Il nous faudrait l'avis de Connan le Barbare... Je suis partiiiiii --->[]
  20. Tout à fait ! Et d'ailleurs, c'est bien pour çà que dans mon post, tu noteras que je n'ai pas qualifié ces pratiques de barbares, car elles ne le sont pas dans l'absolu mais à nos yeux (d'occidentaux).
  21. olivier lsb

    [Rafale]

    @Bechar: Je vais tenter d'apporter quelques éléments de réponses, moins techniques et plus focalisés sur les spécificités du tissu industriel US et Français. Ce qu'il faut avant bien comprendre avec les Etats-Unis, c'est qu'il s'agit d'un pays/économie ou l'ajustement entre les acteurs se fait essentiellement sur la base des prix. Le marché sert aux acteurs à se coordonner et l'information à exploiter est le prix, ce qui emporte un certain nombre de conséquences. D'autre part, aux Etats-Unis, la recherche se fait pour l'essentiel non pas dans les entreprises, non pas dans des labos publics (ce qui dans les deux cas n'exclut pas qu'ils n'aient pas de telles structures, ex: la DARPA) mais dans les universités. Enfin, l'aversion des agents (économiques et politiques) au risque est plus faible aux US que dans le reste du monde. C'est LE pays ou la prise de risque est valorisée et encouragée. Par conséquent: - Les marchés militaires Américains sont passés dans un cadre institutionnel du type: Donneur d'ordre/utilisateur final -> Appel d'offre/concurrence -> prix -> choix - Les asymétries d'information entre les utilisateurs finaux (armées) et entreprises sont colossales car le principal vecteur d'ajustement et de décision concerne le prix. Voir l'historique du marché des ravitailleurs, ou Airbus a failli le remporter pour une question de prix et ou au dernier moment les Américains ont réagi en faisant valoir une approche réseau/protectionniste. Ce qui importe, c'est de comprendre que la procédure qui a abouti à cette situation a surtout favorisé le critère du prix. Sur des produits à faible valeur ajoutée et à court terme, c'est pertinent. Sur des programmes militaires, ça l'est beaucoup moins. - L'ajustement par les prix sur les marchés Américains, notamment celui du travail a pour conséquence que ceux-ci sont très liquide. Si les compétences des entreprises Américaines dans des secteurs en croissance peuvent être très avancées, les risque de perte de compétences et savoir-faire sont également bien plus élevés qu'en Europe. A ce titre, et je le tiens d'un de mes anciens prof qui avait travaillé sur le sujet, Boeing a subi dans les années 90 de plein fouet la concurrence sur le marché du travail du secteur de....l'informatique ! Qui lui a siphonné tout ses meilleurs cadres, qui sont partis avec le savoir-faire et....les plans des avions ! Boeing dans les années 90 n'avait même entrepris d'archiver les plans de ses avions, d'ou une perte de savoir-faire énorme qui explique en partie la difficulté à contrer Airbus et la montée en puissance de celui-ci qui date de cette époque. - Découlant des précédents points, les innovations Américaines sont de type radical. Les salariés restent peu de temps en poste, prennent des décisions de court terme afin que les répercussions sur leur plan de carrière puissent s'évaluer à court terme. L'innovation se déroule dans les universités, ce qui favorise l'émergence d'idées radicalement nouvelles, mais rend plus difficile la capitalisation et l'amélioration à long terme des innovations précédentes. En France maintenant, et encore plus en Allemagne: - La recherche se fait pour l'essentiel dans les entreprises et dans des laboratoires publics (ce qui au passage explique notre """retard""" le classement de Shanghai mais dont l'analyse est très biaisée dès le départ). Les nombreuses institutions publiques de recherche (ONERA, CNRS, CEA, pôles de compétitivité...) permettent de réduire les asymétries d'information au bénéfice des décideurs sur des sujets technico-technologiques très pointus. L'exemple parfait en est le PEA. - La négociation des marchés militaires se fait moins par appel d'offre (et donc par alignement sur les prix) mais plus sur un modèle de type réseau. Dans ce processus, à la différence des US, il y a un acteur supplémentaire entre le donneur d'ordre/utilisateur final et l'industriel: la DGA. La encore, cela participe entre autre à la réduction des asymétries d'information ce qui, in fine, va aider le décideur à faire un choix éclairé. On considère ici que le prix n'est pas une information suffisante. - Le marché du travail est peu liquide et par conséquent, les salariés relativement fidèles au poste. Couplé à une recherche mi-publique (les résultats ne sont pas privatisés mais ouvert) mi-privée, cela incite fortement les entreprises à capitaliser sur les innovations et à améliorer sans cesse les produits. Plus facile d'améliorer la consommation d'un moteur de 1% chaque année lorsque le responsable est LE Monsieur moteur de l'entreprise depuis 20 ans que lorsque le responsable est nouvellement diplômé et embauché (situation typique aux Etats-Unis, ou l'expérience importe beaucoup moins). - Les agents économiques/politiques sont beaucoup plus averses au risque. Cela découle de facteurs culturels, économique (marché du travail rigide), financier (les marchés direct de capitaux favorisent l'émergence du risque et des grosse rémunération qui vont avec (innovations radicales), le marché bancaire des capitaux préfère un risque modéré donc des innovations de type incrémentales) voir politique (on ne peut pas se permettre de financer deux programmes d'avions ambitieux, en se disant qu'au moins un sur les deux marchera). - L'aéronautique en France est un secteur suffisamment gros pour travailler efficacement en réseau, mais pas encore assez pour se permettre une approche "marché" et faire jouer la concurrence entre deux ou plusieurs acteurs sur l'ensemble de la chaîne de valeur. Ainsi, la conception des avions se fait au sein d'un réseau de partenaires (Dassault, Safran, Thales, ONERA, DGA...) multi-forme (totalement privé, partiellement privatisé, public), dont les choix sont peu risqués dans le sens ou l'avenir du réseau est engagée (et non le destin d'une seule entreprise), dont la capitalisation des savoirs est très forte (pour les raisons données ci-dessus, grâce au réseau qui favorise la circulation des informations, et grâce au transfert de technos militaire vers civil). Pour conclure, je dirai que le problème des Etats-Unis, c'est d'être une économie d'innovations fondamentalement radicales dans une industrie (l'aéronautique) qui a priori va privilégier une approche incrémentale. Si la furtivité était un sujet de type radical dans les années 90, aujourd'hui, c'est de l'incrémental. Les entreprises/marchés Américain n'ont pas les prédispositions requises pour optimiser au mieux de manière incrémentale. Ça ne veut pas dire qu'ils ne peuvent pas améliorer ou faire mieux, mais ça leur coûtera très cher par rapport aux couts déjà engagés et alors qu'ils étaient les premiers à maîtriser la technologie. Le Rafale est un concept qui pris le temps de mûrir depuis les premières ailes delta de Dassault, porté par une organisation et un réseau stable dans le temps et qui a su capitaliser, améliorer les idées passées et dont l'environnement interne et externe limite les pertes de savoirs et savoirs-faire. Fin du HS :)
  22. Inutile de le placer sur le plan de je ne sais quoi qui sonne un peu trop Occidental. En Irak et depuis 2003, on décapite du "blanc" à tout va. Visiblement ça n'a pas empêché l'émergence de l'EI qui reprend à son compte certaines de ces "traditions"...
  23. olivier lsb

    [Rafale]

    Finalement, le délire de Pascal il y a peu était prémonitoire. . . J'ignore encore quel crédit accorder à ces affirmations, et peut être même que cet article n'a pas sa place ici (auquel cas je m'en excuse par avance) mais ce raid nocturne non identifié et anti-islamiste est plus que suspect ! http://www.elwatan.com/depeches/libye-un-general-dissident-revendique-les-raids-aeriens-pres-de-tripoli-18-08-2014-268454_167.php
  24. et voilà le plus gros nœud du problème. . . "Pour beaucoup d'Arabes, ici, l'état islamique n'est pas un mouvement terroriste" http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/08/18/nous-chretiens-pouvions-vivre-sous-le-regime-de-saddam-hussein_4472809_3218.html
  25. Quand tu connais le passif de la récente armée Irakienne, pas de quoi pavoiser. Sur eux, ça fait déguisement de kékés. Le légionnaire lui, s'en va camper et marcher une semaine dans l'Adrar (parce qu'on est pauvre et qu'on a pas assez d'hélicos) par 50 degrés et monte à l'assaut le dernier jour sans un seul tué. Il mérite son masque O0
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