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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. Comparaison avec l'invasion du Panama en 1989 https://responsiblestatecraft.org/panama-invasion-venezuela/ (10 novembre 2025) « Ce que je voudrais vous dire, c'est qu'une invasion du Venezuela ne ressemble pas à celle du Panama, mais plutôt à celle de l'Irak (en 2003). Le Venezuela est une opération plus vaste et plus complexe que le Panama », a déclaré un officier militaire à la retraite qui s'est entretenu avec Responsible Statecraft. Il a participé à l'invasion de 1989 et à la guerre en Irak 15 ans plus tard, avant de passer le reste de sa carrière au sein du gouvernement. « Il y avait beaucoup de circonstances très particulières au Panama, que l'on ne retrouve pas dans la plupart des autres endroits », a-t-il fait remarquer, à commencer par le fait qu'il y avait une ambassade américaine, des troupes stationnées dans le cadre du Commandement Sud des États-Unis (plus de 14 000 soldats stationnés là-bas avant l'opération Just Cause ; 26 000 au total pour l'invasion) et un riche réseau de renseignements mis en place au fil des décennies pendant lesquelles les Américains contrôlaient la zone du canal de Panama. Plus important encore, Noriega, selon lui, était impopulaire à l'intérieur et à l'extérieur du pays et donc beaucoup plus vulnérable. « Les Forces de défense panaméennes (PDF) étaient déjà fragmentées et divisées avant l'invasion. Les gens oublient qu'il y avait eu une tentative de coup d'État contre Noriega en octobre, deux mois seulement avant l'opération Just Cause », souligne Orlando Perez, professeur de sciences politiques à l'université du nord du Texas à Dallas et auteur de « Political Culture in Panama: Democracy after Invasion » (La culture politique au Panama : la démocratie après l'invasion). « De plus, le déploiement des PDF était centralisé. Leur quartier général était situé à Panama City, où se trouvait la majeure partie des forces. Ainsi, une fois que vous aviez pris le contrôle de la comandancia, le quartier général situé à Panama City, tout s'est effondré. » Outre les différences géographiques entre les deux pays (selon les experts, il faudrait au moins 100 000 soldats américains, voire plus, pour envahir correctement le pays, destituer Maduro, puis tenter de rétablir l'ordre), il y a la question du renseignement. Les États-Unis ont eu une forte présence militaire au Panama depuis l'ouverture du canal en 1914 et jusqu'en 1999, date à laquelle un traité négocié par le président Jimmy Carter pour restituer le canal aux Panaméens est entré en vigueur. Grâce à des agents rémunérés comme Noriega, la CIA avait utilisé le pays comme base pour des opérations secrètes pendant la guerre froide dans toute l'Amérique latine. Au-delà de cela, l'armée américaine elle-même vivait, travaillait et s'était en quelque sorte implantée au Panama, ce qui lui permettait d'avoir un niveau de connaissance opérationnelle tout simplement impossible à reproduire dans le Venezuela de Maduro. « Nous avions des milliers de soldats là-bas qui étaient mariés à des Panaméennes. Leurs beaux-parents étaient répartis dans tout le pays. Tous détestaient Noriega. Nous avions des gens qui venaient travailler à la base, qui détestaient Noriega et qui nous racontaient toutes sortes de choses », a déclaré l'officier à la retraite. « Ils m'interpellaient parce que j'étais un officier hispanophone, et ils me disaient : "Laisse-moi te raconter ceci, cela, et encore cela. Il y avait des gars qui me disaient où se trouvaient les check-points chaque jour lorsqu'ils arrivaient. » « Voici une excellente anecdote », a-t-il ajouté. « Nous avons reçu un renseignement indiquant que les milices de Noriega se rassemblaient dans un quartier de Panama City, et mon colocataire a appelé sa petite amie qui vivait là-bas. Elle lui a dit que ce n'était pas vrai. C'est ce que nous pouvions faire. » Les experts ont averti que la principale leçon à tirer du cas du Panama n'est pas que l'invasion et la capture de Noriega ont été « faciles », mais que, malgré la mise en place d'une démocratie fonctionnelle, cela n'a pas nécessairement rendu la vie plus facile au Panama. Cela n'a pas mis fin à la criminalité et au trafic de drogues vers les États-Unis et, au contraire, cela a donné à Washington une fausse impression quant à la manière dont il pourrait poursuivre ses interventions et ses changements de régime à l'avenir. Le meilleur exemple en est la première guerre du Golfe de 1991, beaucoup plus importante, qui a eu lieu deux ans plus tard. H.W. Bush a refusé de destituer Saddam Hussein en Irak à l'époque, mais son fils a été convaincu de le faire en 2003, ce qui a entraîné l'un des plus grands échecs de la politique étrangère américaine dans l'histoire moderne. « Cela nous a enseigné de mauvaises leçons, oui », a déclaré l'officier militaire américain à la retraite. « Il existe cette idée selon laquelle si quelque chose fonctionne ici, cela fonctionnera également là-bas. Mais je pense que ce que fait la communauté politique, c'est qu'elle intègre une version "Cliff Notes" [= "Pour les Nuls" : le changement de régime pour les nuls] de l'histoire, elle prend une situation complexe, se concentre sur un récit, puis intègre cette version "Cliff Notes" simplifiée et approximative de ce qui s'est passé, et cela devient la leçon apprise. »
  2. https://responsiblestatecraft.org/pompeo-ukraine/ (17 novembre 2025) L'ancien directeur de la CIA et secrétaire d'État Mike Pompeo conseille désormais une entreprise ukrainienne de défense très controversée, Fire Point, ce qui lui permettra de bénéficier directement de l'aide militaire occidentale à l'Ukraine qu'il a souvent préconisée depuis le début de la guerre en 2022. Le nouveau rôle de Pompeo au sein du comité consultatif de Fire Point le placerait essentiellement des deux côtés de tout accord futur. En tant que responsable du gouvernement américain sous la première administration Trump et ancien membre du Congrès américain, ses appels fréquents en temps de guerre en faveur d'une aide militaire supplémentaire à l'Ukraine ont une influence considérable à Washington, ce qui permet à Fire Point de récolter les fruits de sa position de leader sur le marché ukrainien des drones à longue portée. Ayant rapidement gagné en notoriété en temps de guerre, Fire Point fait actuellement l'objet d'une enquête pour ses pratiques présumées de prix abusifs et pour ses liens avec Tymur Mindich, un associé de Zelensky faisant l'objet d'une enquête pour corruption. Les détracteurs accusent également l'entreprise d'exercer un monopole déloyal sur le marché des drones. Avec un chiffre d'affaires d'environ 1 milliard de dollars cette année, Fire Point construit actuellement une usine au Danemark.
  3. https://www.theguardian.com/world/2025/nov/07/indiechina-independent-film-festival-new-york-cancelled-china-pressure-directors Un festival de cinéma indépendant qui devait débuter ce week-end à New York a été annulé après que plusieurs cinéastes se sont retirés en raison du harcèlement des autorités chinoises. Le premier festival du film IndieChina devait se tenir du 8 au 15 novembre. Mais le 5 novembre, le directeur du festival, Zhu Rikun, a annoncé sur Facebook qu'il avait été contraint d'annuler 80 % des projections prévues en raison du désistement des réalisateurs. Zhu est un cinéaste renommé qui a participé à la scène cinématographique indépendante chinoise, autrefois très active. Mais cette communauté a été contrainte à la clandestinité depuis que les autorités chinoises ont réprimé les activités culturelles échappant au contrôle du Parti communiste chinois. En 2014, le plus important festival de cinéma indépendant de Chine a été fermé et les archives du conservateur ont été saisies par les autorités. En janvier, Chen Pinlin, réalisateur de documentaires, a été condamné à trois ans et demi de prison après avoir sorti un documentaire sur les manifestations du « papier blanc » de 2022. En août, une galerie d'art de Bangkok aurait accédé à la demande de l'ambassade chinoise de censurer certains détails d'une exposition faisant référence au Tibet, à Hong Kong et au Xinjiang.
  4. https://www.latribune.fr/article/entreprises-finance/energie-environnement/6969064186566/arabie-saoudite-mbs-obtient-des-f-35-sans-ceder-sur-mais-refuse-la-norme-americaine-sur-le-plutonium (18 novembre 2025) MBS obtient des F-35 sans céder sur la norme américaine sur le plutonium Riyad refuse catégoriquement d’abandonner le droit d’enrichir l’uranium et de retraiter le plutonium, le cœur du « gold standard » américain, transformant la négociation en bras de fer pour l’autonomie stratégique et la vente des avions F-35. Cette norme impose à l’État partenaire de renoncer légalement et irrévocablement à deux capacités : l’enrichissement d’uranium sur son territoire et le retraitement du plutonium provenant des combustibles usés. Les Émirats arabes unis ont accepté cette contrainte en 2009. Le prince héritier Mohammed ben Salmane a martelé en janvier 2025 que le royaume « enrichira l’uranium, le vendra, et produira du yellowcake » Riyad s’appuie sur deux précédents : l’Inde dispose d’un accord 123 qui autorise le retraitement ; et la Corée du Sud a obtenu le droit d’enrichir de l’uranium dans son accord 123 révisé en 2015. La pression exercée par Riyad dans les négociations américaines est considérablement renforcée par un développement récent : la signature, en septembre 2025, d’un accord stratégique de défense mutuelle avec le Pakistan. Selon le média Axios, Israël souhaite que toute vente américaine de F-35 à Riyad soit conditionnée à l’abandon de l’enrichissement d’uranium.
  5. Je pense que cela veut surtout dire que Wolfgang Münchau a raison. Nous sommes revenus en 1914, époque où les gens partaient à la guerre la fleur au fusil, vers les lendemains qui chantent. Pistorius est la parfaite - enfin non, pas parfaite, je force le trait pour caricaturer - réincarnation bouddhiste de Max Weber : Ainsi qu'Emmanuel Todd : 26 mars 2025 1:02:31 L'idée que la guerre est nécessaire avec les Russes pourrait rebondir dans l'idée d'une éternité de la guerre, en fait, entre Européens. Je crois que les Américains nous ont collé l'idée que la guerre sans fin était inéluctable - les précédentes administrations en tout cas. Et donc on vit avec l'idée que la paix est très difficile, qu'elle n'est pas concevable. Mais là, on ne se rend pas compte qu'en restant en conflit avec les Russes, on laisse la guerre comme instrument intraeuropéen possible. Si la guerre entre l'Allemagne et la Russie est concevable, alors la guerre entre l'Allemagne et la France redevient concevable. Il y a une banalisation de la guerre. On donne le prix Nobel de la paix à une Orwellienne pour qui le mot paix veut dire guerre en novlangue, etc. Le prix Nobel de la paix, c'est le comité Nobel de Norvège et la Norvège est géographiquement en Europe. Il y a un climat de guerre qui ressurgit. On est en plein changement climatique.
  6. L'UE doit utiliser ses garanties financières pour des emprunts du type "investissements d'avenir" dans les voitures électriques, dans l'IA, dans les robots, dans tout ce que vous voulez, mais le retour de la guerre en Europe est une sortie de route. Regardez la Chine qui n'a pas fait une seule guerre depuis sa guerre contre le Vietnam en 1979. La paix permet de constituer et de reconstituer des forces économiques comme le disait George Washington en 1796 : https://founders.archives.gov/documents/Washington/05-20-02-0073 Vingt ans de paix, avec une telle augmentation de la population et des ressources à laquelle nous avons droit, ajoutés à notre éloignement des puissances conflictuelles, nous permettront selon toute probabilité, dans une cause juste, de défier n'importe quelle puissance sur terre. Nous avons pareillement besoin en Europe aujourd'hui de la paix pour nous refaire une santé économique.
  7. Pourquoi 100 ? Pourquoi pas 200 ou 2000 ? Tant qu'à faire de dire n'importe quoi...
  8. https://www.state.gov/releases/office-of-the-spokesperson/2025/11/secretary-of-state-marco-remarks-to-the-press (12 novembre 2025) Marco Rubio : Le défi réside dans le fait que le réseau énergétique ukrainien s'est affaibli chaque année, de sorte que chaque année, ils partent d'un niveau de référence inférieur à celui de l'année précédente. Et aujourd'hui, je pense qu'à Kiev, par exemple, plus de 50 à 60 % de la journée se passe sans électricité. Ils ont fait un travail formidable pour réorganiser leur réseau et essayer de contourner le problème, mais cela signifie également qu'il y a des heures dans la journée où il n'y a ni eau ni électricité. Il faut donc organiser ses activités professionnelles et personnelles en fonction de cela. Cela fait clairement partie de la stratégie de la Russie, qui consiste à tenter de saper le moral et la volonté de se battre de l'Ukraine. C'est pourquoi nous avons engagé des discussions avec eux au sujet d'armes défensives permettant de protéger leur réseau. Je sais que nous avons eu des conversations techniques sur le matériel spécifique dont ils ont besoin. Mais en fin de compte, si ce matériel est détruit une semaine après son installation, le problème demeure. Et c'est ce qui s'est passé ces deux ou trois dernières années.
  9. 12 avions chacun n'est-ce pas ? Là on parle de 100.
  10. Vu les projections démographiques de l'INED, il n'y a aucune raison pour que ce pays ne connaisse pas une décroissance exponentielle : https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/projections-mondiales/projections-par-pays/ En 2100, l'Ukraine aura 15 millions d'habitants et la Russie 126. (Royaume-Uni 74, Allemagne 71, France 68, Turquie 41, Italie 35, Espagne 33, Pologne 19) (Inde 1505, Chine 633, États-Unis 421, Mexique 130, Côte d'Ivoire 104, Madagascar 85, Japon 77, Algérie 64, Canada 54, Maroc 38).
  11. Vu le montant du salaire d'un président de la République, ne serait-il pas préférable qu'il consacre son temps à vendre des rafales à des clients solvables ?
  12. https://www.fmprc.gov.cn/fra/xwfw/fyrth/lxjzzdh/202511/t20251116_11754122.html (14 novembre 2025) Selon certaines informations, le Pentagone a déclaré que le département d’État américain aurait approuvé la vente d’armes à Taiwan, y compris des composants non standard et un service d’assistance à la réparation pour des avions F-16, C-130 et Indigenous Defense Fighter, pour un coût total estimé à 330 millions de dollars. Il s’agit de la première transaction de ce type durant le second mandat du président Donald Trump. Quel est le commentaire de la Chine à ce sujet ? Lin Jian : La vente d’armes par les États-Unis à la région chinoise de Taiwan viole gravement le principe d’une seule Chine et les trois communiqués conjoints sino-américains, en particulier le communiqué du 17 août 1982, portent atteinte à la souveraineté et aux intérêts sécuritaires de la Chine, violent gravement le droit international et envoient un signal gravement erroné aux forces sécessionnistes visant l’« indépendance de Taiwan ». La Chine exprime son vif mécontentement et sa ferme opposition. La question de Taiwan est au cœur des intérêts fondamentaux de la Chine et constitue la première ligne rouge à ne pas franchir dans les relations sino-américaines. La Chine exhorte les États-Unis à respecter le principe d’une seule Chine et les trois communiqués conjoints sino-américains, à honorer les engagements pris par les dirigeants américains sur les questions liées à Taiwan, à cesser d’encourager et d’aider les forces sécessionnistes dans leur tentative de rechercher l’« indépendance de Taiwan » par le renforcement militaire, et à préserver les relations sino-américaines ainsi que la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan par des actions concrètes. La Chine prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre résolument sa souveraineté nationale, sa sécurité et son intégrité territoriale.
  13. https://fr.businessam.be/le-premier-ministre-japonais-takaichi-envisage-de-revoir-les-principes-non-nucleaires/ (12 novembre 2025) Lors d’une session parlementaire, Takaichi a refusé de confirmer si les trois principes, à savoir l’interdiction de posséder, de produire et d’introduire des armes nucléaires, resteraient inchangés lors d’une future révision de la stratégie de sécurité. Elle a déclaré que, bien que le gouvernement utilise actuellement ces principes comme lignes directrices politiques, il ne peut pas dire avec certitude comment ils seront abordés à l’avenir. https://www.fmprc.gov.cn/fra/xwfw/fyrth/lxjzzdh/202511/t20251116_11754122.html (14 novembre 2025) Lin Jian : La Chine est profondément préoccupée par les récentes évolutions militaires et sécuritaires du Japon. Alors que le Japon se présente comme un pays épris de paix et prône un monde sans armes nucléaires, le gouvernement de Sanae Takaichi a fait des déclarations ambiguës au sujet des trois principes non nucléaires, laissant entendre qu’il pourrait y renoncer. De hauts responsables japonais ont même déclaré que le Japon n’excluait pas la possibilité de se doter de sous-marins nucléaires. Cela révèle pleinement le changement de politique significatif et négatif du Japon, et envoie un signal dangereux à la communauté internationale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le militarisme japonais a lancé des guerres d’agression, commis de graves crimes contre l’humanité et causé de profondes souffrances à la région et au monde entier. Ces dernières années, le Japon a considérablement modifié sa politique de sécurité, augmentant chaque année son budget de défense, assouplissant les restrictions sur les exportations d'armes, cherchant à développer des armes offensives et s'égarant davantage sur la voie erronée de l'expansion militaire. Récemment, Sanae Takaichi a tenu des propos provocateurs et effrontés sur Taiwan, laissant entendre la possibilité d’une intervention armée dans le détroit de Taiwan. Les actions du Japon ont inévitablement soulevé de sérieux doutes et préoccupations chez ses voisins asiatiques et au sein de la communauté internationale. Le Japon a-t-il rompu définitivement avec le militarisme ? Le gouvernement japonais adhère-t-il sincèrement à sa politique exclusivement axée sur la défense et aux trois Principes non nucléaires ? Le Japon continuera-t-il à honorer ses engagements en faveur d’un développement pacifique ?
  14. Oui mais c'est la première fois dans l'histoire de l'innovation qu'un ou plusieurs patrons qui sont aux manettes de la révolution technologique envisagent un chômage de masse et un revenu universel pour le compenser. Et c'est ainsi que Sam Altman a financé une recherche sur le revenu universel : https://observer.com/2024/07/sam-altman-vision-universal-basic-income-taking-shape/ (22 juillet 2024) Au cours des trois dernières années, des participants de l'Illinois et du Texas ont reçu des paiements mensuels en espèces de 1 000 dollars pour participer à un projet financé par Sam Altman, PDG d'OpenAI et l'un des plus éminents défenseurs du revenu de base. Les résultats récemment publiés de cette étude fournissent des premières indications sur la question de savoir si le revenu de base universel (RBU) est un modèle viable pour un avenir dominé par l'intelligence artificielle. Cette initiative a été menée par OpenResearch, un organisme de recherche qui a reçu quelque 14 millions de dollars d'Altman et environ 10 millions de dollars d'OpenAI. Altman, qui a promu le revenu universel comme solution aux craintes que l'intelligence artificielle ne remplace les emplois, a soutenu le projet pour la première fois en 2016, alors qu'il dirigeait encore l'accélérateur de start-ups Y Combinator.
  15. À propos de la guerre au Soudan : https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/2907 (9 novembre 2025) Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung : Je m’interroge aussi sur la pertinence du choix de Kaja Kallas à la tête de la diplomatie européenne. L’Afrique reste pour elle un territoire quasi vierge, une feuille blanche. Avoir une position claire sur la guerre en Ukraine ne suffit pas à construire une politique étrangère cohérente. Il est urgent que les grands pays européens ayant une histoire et une expérience en Afrique se réengagent, car leur désengagement laisse le champ libre aux puissances concurrentes et accentue notre impuissance collective.
  16. source : https://www.newsweek.com/advancing-in-ukraine-russia-troops-are-losing-ground-to-al-qaeda-in-africa-11037901 (14 novembre 2025) « Je pense que la Russie commet au Mali la même erreur qu'elle a commise en Syrie », a déclaré à Newsweek Anton Mardasov, chercheur associé au Middle East Institute basé à Washington et expert au Conseil russe des affaires internationales basé à Moscou. « En d'autres termes, Moscou devrait imposer sa volonté à un gouvernement qui dépend de son soutien et pousser le centre vers des négociations, plutôt que de suivre les autorités dans des opérations militaires controversées ou de refuser de négocier ». En juillet, les services de renseignement britanniques estimaient qu'environ 2 000 membres de l'Africa Corps avaient été déployés au Mali, armés de « plus de 100 pièces d'équipement de combat majeur », notamment « des chars de combat principaux, des systèmes de lance-roquettes multiples et des bombardiers tactiques, augmentant considérablement la puissance de feu dont disposent les forces russes dans le pays ». Alors qu'il comptait autrefois largement sur le recrutement parmi les minorités peule et touareg au Mali, « ces dernières années, le JNIM a activement collaboré avec des représentants du groupe ethnique bambara majoritaire », a déclaré Mardasov. Boubacar Ba, chercheur au Centre d'analyse sur la gouvernance et la sécurité au Sahel, basé à Bamako, a rapporté que les combats entre le JNIM et la Province d'État islamique au Sahel (ISSP) au Burkina Faso « ont fait des centaines de morts » au cours de la semaine dernière, jusqu'à ce qu'une trêve soit conclue. Ba a averti que ce conflit, qu'il a décrit comme « une nouvelle guerre inter-djihadiste enracinée dans l'histoire des conflits médiévaux liés aux anciennes successions islamiques », avait été largement éclipsé par le blocus de Bamako par le JNIM, mais qu'il avait néanmoins le potentiel de provoquer des bouleversements régionaux majeurs. « Depuis 2024, le JNIM complète son insurrection au Mali par une campagne d'information sophistiquée qui combine guerre numérique coordonnée, production de propagande et manipulation narrative », a déclaré Lucas Webber, analyste principal en renseignements sur les menaces chez Tech Against Terrorism et chercheur principal au Soufan Center, à Newsweek. Grâce à ces canaux, « le JNIM publie des déclarations, des messages de ses dirigeants et des productions vidéo en arabe, en français, en fulfulde et dans les langues locales, en adaptant son contenu à des publics spécifiques », a déclaré M. Webber, Az-Zallaqa se concentrant « sur les communiqués officiels et les revendications d'attaques diffusés via les réseaux ». « Ces productions mettent l'accent sur la corruption de l'État, l'ingérence étrangère et l'incapacité de la junte à fournir les services de base, présentant le JNIM comme une autorité alternative capable d'assurer la justice et l'ordre », a déclaré M. Webber. « Cette approche mêle un cadre théologique à des commentaires politiques, renforçant ainsi le rôle du groupe en tant qu'acteur à la fois religieux et sociopolitique. » « Chaque attaque de convoi ou embuscade contre des camions-citernes est immédiatement suivie de déclarations et de vidéos d'Az-Zallaqa présentant l'acte comme une mesure ciblée contre la junte plutôt que contre la population civile », a déclaré M. Webber. « En montrant des images de camions incendiés, de stations-service vides et de pénuries urbaines, le groupe dramatise les échecs de l'État et prétend agir au nom des Maliens ordinaires. » « Le JNIM mène également des activités sur le terrain qui renforcent son discours de légitimité », a déclaré M. Webber. « Ses médias documentent son implication dans des activités économiques locales, telles que l'exploitation forestière, soulignant ainsi la manière dont le groupe permet aux communautés d'accéder aux ressources et répond à leurs besoins. » « Le groupe propose des services alternatifs de résolution des conflits, des tribunaux locaux et des services de protection dans les régions où les autorités officielles sont absentes ou inefficaces », a-t-il ajouté. « Ces services, associés à la couverture médiatique de médias tels qu'Az-Zallaqa, renforcent l'image du JNIM en tant qu'acteur gouvernemental plutôt que simple groupe armé, lui permettant ainsi de se positionner comme une force à la fois politique et sociale dans la région. » Tout comme Hayat Tahrir al-Sham en Syrie et les talibans afghans, qui ont tous deux surmonté les obstacles liés aux interventions des grandes puissances pour prendre le contrôle de leurs pays respectifs au cours des quatre dernières années, et même le mouvement palestinien Hamas, qui risque aujourd'hui la défaite après 18 ans de règne à Gaza, la capacité du JNIM à exploiter les conditions locales désespérées s'est révélée largement immunisée contre toute opposition cinétique, qui peut parfois avoir l'effet inverse. « Le JNIM a réussi parce que, dans l'ensemble, lorsqu'il s'étend à de nouvelles régions, il trouve des moyens de répondre de manière significative aux besoins d'au moins certains segments des communautés dans lesquelles il s'implante. Il recrute un nombre important de membres en offrant une protection, un changement dans l'ordre social, une vengeance contre les forces de sécurité ou d'autres ennemis, etc. », a déclaré à Newsweek Alexander Thurston, professeur associé à l'université de Cincinnati, spécialiste de l'islam et de la politique en Afrique de l'Ouest. « Le JNIM réussit également parce que les réponses des gouvernements ont été assez maladroites et brutales », a déclaré Thurston, « notamment l'approche abusive et erratique des gouvernements sahéliens, mais aussi l'approche étroite de l'intervention française, qui s'est concentrée de manière écrasante sur l'élimination des principaux dirigeants plutôt que sur une réflexion approfondie sur les causes profondes et les moteurs de l'insurrection ». « Si le gouvernement venait à s'effondrer, la communauté internationale n'aurait pas vraiment d'options valables, donc dans ce scénario, je recommanderais d'adopter une attitude attentiste à moyen terme », a déclaré M. Thurston. « Si le JNIM se montrait pragmatique, il serait peut-être possible d'envisager un dialogue international limité avec eux. »
  17. La Chine a boycotté le tourisme en Corée du Sud en 2017. Et cela a clairement joué un sale tour à la Corée du Sud : https://qz.com/1149663/china-south-korea-relations-in-2017-thaad-backlash-and-the-effect-on-tourism (2017 - 2022) Selon une estimation du Bureau du budget de l'Assemblée nationale sud-coréenne, la décision de la Chine de boycotter l'industrie touristique sud-coréenne suite à la décision de Séoul d'installer un système antimissile américain aurait coûté quelque 7 500 milliards de wons (6,8 milliards de dollars) à l'économie. Depuis 2013, la Chine est la principale source de touristes étrangers en Corée du Sud, représentant environ la moitié des 17 millions de visiteurs étrangers qui se sont rendus dans le pays en 2016. Mais depuis la rupture entre Séoul et Pékin, le nombre de touristes chinois visitant la Corée du Sud entre mars et octobre de cette année [2017?] a chuté de plus de 60 % par rapport à la même période l'année dernière. La dernière fois que la Chine a infligé un sale tour au Japon, c'était avec les terres rares en 2010 : https://www.weforum.org/stories/2023/10/japan-rare-earth-minerals/ Le 7 septembre 2010, un bateau de pêche chinois est entré en collision avec deux navires des garde-côtes japonais au large des îles Senkaku, en mer de Chine orientale. Les garde-côtes ont naturellement arrêté le capitaine du bateau de pêche. Parmi les mesures prises par le gouvernement chinois figurait l'arrêt des exportations de terres rares vers le Japon. Cet embargo a semé la panique dans l'industrie japonaise, en particulier dans le secteur automobile, pour lequel les terres rares sont indispensables à la production d'aimants. À l'époque, le Japon dépendait totalement de la Chine pour près de 90 % de ses importations de ces matériaux. L'incident a finalement été résolu par la libération du capitaine du bateau de pêche, mais les prix des terres rares ont été multipliés par dix en un an après l'incident. Les travailleurs de nationalité chinoise c'est la partie émergée de l'Iceberg. La "communauté chinoise" au Japon inclut des citoyens japonais d'origine chinoise (qui sont partagés entre ceux qui se sentent plus proches de Taïwan et ceux qui se sentent plus proches de Pékin) et des non-travailleurs, en particulier les étudiants : https://www.nippon.com/en/in-depth/d01116/ (19 mai 2025) La présence des Chinois vivant au Japon ne cesse de croître, leur population totale atteignant 870 000 personnes à la fin de l'année 2024, soit 2,6 fois plus qu'en 2000. Certains sont des descendants de quatrième ou cinquième génération vivant dans les quartiers chinois de villes comme Yokohama et Kobe. Dans cet article, je m'intéresserai toutefois aux shinkakyō, ou nouveaux Chinois d'outre-mer, qui se sont installés après la réforme et l'ouverture de la Chine en 1978, ainsi qu'aux shin-shinkakyō, ou « nouveaux nouveaux arrivants », plus récents, et j'examinerai en quoi ces groupes diffèrent. Outre les étudiants, on constate depuis peu une forte augmentation du nombre de Chinois issus de la classe moyenne et aisée, de tous âges, qui s'installent au Japon. Cela n'est pas dû à un intérêt pour l'économie ou la société japonaise, mais plutôt à un désir d'échapper aux politiques restrictives mises en place par la Chine dans le cadre de la campagne « zéro COVID » en 2021 et 2022, qui a renforcé le contrôle de l'État sur les déplacements et l'information. Le sentiment d'être pris au piège dans un contexte de ralentissement économique a poussé beaucoup d'entre eux à quitter le pays, soit pour se prémunir contre les risques, soit par souci pour l'avenir de leurs enfants. https://en.wikipedia.org/wiki/Chinese_people_in_Japan#cite_ref-1 1 000 000 de personnes d'origine chinoise au Japon, dont 820 000 citoyens de la République populaire de Chine (2024)[1]
  18. https://www.politico.eu/article/ukraine-winter-kyiv-war-russia-volodymyr-zelenskyy-defense-frozen-assets/ (13 novembre 2025) Outre les inquiétudes liées au financement et à la situation sur le champ de bataille, il existe un troisième défi majeur cet hiver : la guerre énergétique. Au cours des hivers précédents, les Ukrainiens se sont efforcés de maintenir l'approvisionnement en électricité alors que les frappes aériennes russes pilonnaient sans relâche leur réseau électrique, dans le cadre de la stratégie du Kremlin visant à utiliser le « général Hiver » pour épuiser la résistance acharnée des Ukrainiens. Grâce à l'improvisation et à l'ingéniosité technique des Ukrainiens pour réparer le système endommagé, ainsi qu'aux importations d'énergie en provenance d'Europe, les lumières sont restées allumées dans l'ensemble, malgré des coupures de courant et des pannes, dont les plus graves remontent à octobre 2022. Cette fois-ci, cependant, les attaques russes sont d'une ampleur bien plus grande et les Ukrainiens ne disposent pas des moyens de défense aérienne nécessaires pour y faire face, et ne sont pas près d'en obtenir. De plus, la Russie a ajusté sa tactique en ciblant non seulement le réseau électrique, mais aussi les infrastructures gazières ukrainiennes. Soixante pour cent des Ukrainiens dépendent du gaz naturel pour chauffer leur logement. À un mois seulement de l'hiver ukrainien, le pays pourrait avoir perdu un tiers de sa capacité de production de gaz naturel, voire plus. Début octobre, Bloomberg a rapporté que 60 % de la capacité de production nationale avait été mise hors service lors d'attaques contre des installations à Poltava et Kharkiv, les principales régions d'extraction de gaz en Ukraine. Les autorités ont ensuite affirmé que les réparations avaient permis de restaurer la moitié de ce qui avait été perdu. Mais les attaques se sont multipliées depuis, dans ce que Sergii Koretskyi, président de Naftogaz, la compagnie nationale publique de pétrole et de gaz, a qualifié d'« actes de terrorisme ». Au cours d'une seule semaine d'octobre, trois frappes russes ont visé des installations d'extraction de gaz dans les régions de Kharkiv, Soumy et Tchernihiv. L'ampleur du défi a été mise en évidence ce week-end avec une nouvelle attaque massive contre les infrastructures énergétiques et gazières de l'Ukraine, qui a plongé une grande partie du pays dans le froid et l'obscurité. L'ancienne ministre de l'Énergie, Olga Bohuslavets, a lancé un avertissement : « Il est déjà clair que cet hiver sera beaucoup plus difficile que tous les précédents. » L'hiver s'annonce en effet difficile pour l'Ukraine. La grande question est de savoir si le pays sera suffisamment en forme pour résister à un mauvais accord de paix qui lui serait imposé.
  19. https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/11/15/en-cas-de-confiscation-des-avoirs-russes-euroclear-n-exclut-pas-de-poursuivre-l-ue-en-justice_6653499_3234.html Pourquoi Euroclear, l’institution qui gère les actifs russes gelés en Europe, « n’exclut pas » de poursuivre l’UE en cas de confiscation
  20. https://www.france24.com/fr/afrique/20251104-mali-jnim-otage-émirati-rançon-record-au-moins-50-millions-dollars-wassim-nasr Parmi les otages figurait Joumaa ben Maktoum al-Maktoum, un général émirati à la retraite, impliqué dans le commerce de l'or et membre de la famille régnante de Dubaï.
  21. https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/10/28/au-vietnam-des-milliers-de-personnes-evacuees-apres-des-pluies-diluviennes-dans-le-centre-du-pays_6649941_3244.html (28 octobre 2025) Des précipitations inédites ont été enregistrées entre dimanche et lundi : trois stations d’observation ont mesuré 1,7 mètre, 1,1 mètre et plus d’un mètre de pluies à Huê, a annoncé le ministère de l’environnement. source : https://www.vietnam.vn/fr/vi-sao-aeon-mall-hue-khong-ngap-trong-lu-bi-mat-tu-thiet-ke-cua-nguoi-nhat (8 novembre 2025) Pourquoi le centre commercial Aeon Mall Hue n'est-il pas inondé ? Le secret du design japonais Imai Takeshi, directeur général du centre commercial Aeon Mall Hue, a dévoilé le secret de cette conception unique. Selon lui, avant de lancer le projet à Hué, la société Aeon Mall Vietnam Co., Ltd. a étudié et calculé la hauteur du bâtiment en se basant sur les données d' inondations enregistrées à Hué au cours des 70 dernières années. Grâce à ces données historiques et à des calculs précis, ce centre commercial a été construit avec un rez-de-chaussée surélevé de 1,15 m par rapport au niveau de la chaussée. Cette surélévation, combinée à des mesures de protection contre les inondations pour l'ensemble du sous-sol et du bâtiment, a permis au projet de résister totalement aux fortes pluies et aux inondations. Le centre commercial Aeon Mall Hue a également démontré son rôle de « centre communautaire » durant les périodes difficiles de tempêtes et d'inondations. Lorsque des milliers de foyers ont été confrontés au risque de voir leurs biens emportés par les inondations, ce centre commercial a rapidement ouvert ses portes pour leur venir en aide. En conséquence, la politique de stationnement gratuit pour prévenir les inondations est mise en œuvre dès que le niveau de la rivière des Parfums atteint le niveau d'alerte 2 ou supérieur. Pendant la saison des inondations, le supermarché Aeon Hue, situé au premier étage, est resté ouvert de 8 h à 22 h tous les jours. Cela a permis d'assurer un approvisionnement suffisant en nourriture, produits d'épicerie et biens de première nécessité, aidant ainsi la population à maintenir son quotidien alors que les marchés traditionnels et les petits commerces étaient submergés. De plus, le centre commercial met également à disposition des zones de recharge gratuites et des chaises de repos gratuites, créant ainsi des conditions favorables pour les clients qui font leurs achats et vivent dans des conditions météorologiques difficiles.
  22. https://www.france24.com/fr/amériques/20251115-sous-pression-pour-alléger-le-coût-de-la-vie-trump-renonce-à-une-partie-de-ses-droits-de-douane Le président américain Donald Trump a signé vendredi un décret exemptant de droits de douane "réciproques" une vaste palette de denrées importées, comme le bœuf, les tomates, le café ou les bananes, sur fond de mécontentement croissant des Américains face à la hausse du coût de la vie. Dans la liste figurent des produits que les États-Unis ne cultivent pas, ou en trop faible quantité par rapport aux besoins : café, thé, avocats, tomates, mangues, bananes, épices, pignons de pin... Mais il y a aussi des pièces de bœuf, alors que le prix de cette viande a atteint des records dans le pays. Il a d'ailleurs annoncé ces derniers jours des accords bilatéraux pour réduire la pression sur certains partenaires commerciaux, à l'instar de la Suisse Les prix augmentent moins vite désormais, mais ils augmentent toujours, et les consommateurs sont frappés par le coût de certaines denrées courantes comme le café (+19 % sur un an en septembre). Donald Trump avait été réélu en assurant qu'il améliorerait le pouvoir d'achat des Américains. Depuis, il ne cesse de répéter que l'économie est florissante et l'inflation quasiment maîtrisée. Les chiffres officiels rapportent toutefois un ralentissement de l'activité et une accélération de l'inflation (à +3 % en septembre contre +2,3 % en avril, selon l'indice CPI). ...annonce d'un accord visant à réduire les prix de certains médicaments pour maigrir.
  23. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/11/12/algerie-mohamed-tadjadit-figure-du-hirak-condamne-a-cinq-ans-de-prison-pour-apologie-du-terrorisme_6653061_3212.html Mohamed Tadjadit, figure du Hirak, condamné à cinq ans de prison pour « apologie du terrorisme » Une vingtaine d’ONG ont jugé « sans fondement » les accusations visant celui qui est surnommé « le poète du Hirak » en raison des vers qu’il a déclamés lors des manifestations massives ayant ponctué le mouvement prodémocratie en 2019.
  24. https://www.eurotopics.net/fr/348053/cop30-la-transition-climatique-est-elle-encore-possible Symbole d'un changement d'ère, la firme [chinoise] BYD a ouvert une usine au Brésil, en octobre, sur un site occupé dans le passé par l'emblématique constructeur de l'âge d'or américain de la voiture, Ford. [Le Monde]
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