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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. Poutine ne fait que dire ce que nous sommes à savoir des "États clients" des États-Unis, suivant la description qu'en fait le japonologue australien Gavan McCormack, et qu'il applique aux pays qu'il connaît bien à savoir l'Australie et le Japon : https://forum.air-defense.net/topic/21335-politique-étrangère-de-laustralie/#comment-1358901 La vérité est que les États-Unis n'admettent pas l'"égalité" dans leurs relations avec tout autre État. Les "alliés" ont tendance à être appréciés pour leur servilité. Les dirigeants les plus chaleureusement accueillis sont ceux qui sont les plus prêts à suivre la voie (Tony) Blair, même si cela signifie être connus dans leur propre pays comme des "caniches". ( https://apjjf.org/2013/11/25/gavan-mccormack/3961/article )
  2. Et il y a un silence très éloquent, celui du Guardian. Un président d'un pays européen soi-disant très important parce que c'est la guerre d'Ukraine, blablabla, démissionne. C'est traité comme un non-événement. Silence radio. Bizarre... https://www.theguardian.com/world/romania
  3. https://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/ruecktritt-von-klaus-johannis-rumaenisches-beben-110287923.html (10 février 2025) Le rôle douteux [zweifelhaft] de Johannis lors de l'annulation Et pourtant, la démarche n'est en aucun cas aussi dénuée de conséquences et de sens que Johannis lui-même a tenté de le présenter dans une déclaration larmoyante. Le fait que l'opposition ait trouvé la force de pousser le chef de l'Etat à se retirer pourrait encore avoir un grand impact symbolique. Les secousses du séisme qui a touché la politique roumaine depuis l'annulation douteuse [zweifelhaft] de l'élection présidentielle se font désormais sentir. Car même si Johannis aime se présenter comme un 'Monsieur Propre', il fait partie de la caste politique du pays. Il s'est rapidement accommodé du parti au pouvoir, le PSD, et s'est intégré à son système féodal hautement corrompu [hochkorruptes Feudalsystem]. Mais surtout, le rôle de Johannis lors du premier tour des élections, entouré de nombreux doutes [Zweifel], et dont le résultat déplaisant a été balayé d'un revers de main par la Cour constitutionnelle proche du PSD, est loin d'être élucidé. Il faudrait souhaiter à la Roumanie, Etat membre de l'UE et de l'OTAN, que la société se libère enfin des griffes des anciens réseaux de pouvoir et prenne un nouveau départ. Peut-être qu'un premier pas sera fait. Mais le chemin est encore très long. Il y a peut-être raison d'espérer que notre chère présidente Ursula von der Leyen, qui en bonne chrétienne démocrate lit probablement la Frankfurter Allgemeine, se mette à partager ces "doutes", et ne cautionne pas la narration officielle politiquement correcte.
  4. https://www.truthdig.com/articles/we-need-to-take-some-kind-of-loss-on-immigration-for-now/ (7 février 2025) En fait, je suis un sans-frontières, comme d'autres personnes de ma tradition politique. L'État-nation est une fiction, très récente, inventée au profit du capital et de l'impérialisme. En tant que tel, dans mon monde idéal, nous accueillerions tous ceux qui veulent vivre ici ; Mais c'est ce que je veux, une politique - un changement formel et démocratiquement déterminé de notre système par un acte du Congrès, qui soit durable et juridiquement défendable. Ce qui me frustre en partie, c'est que beaucoup de gens de gauche ont défendu cette récente vague d'immigration alors qu'elle était le fruit d'une absence de politique ou d'une politique médiocre. L'administration Biden a réellement présidé à un afflux massif d'immigrants sans statut légal valable, en partie grâce à des demandes d'asile dont personne ne pense sincèrement qu'elles correspondent à notre droit d'asile. Il n'est donc pas étonnant que ce scénario ait suscité une telle réaction politique. Et cela en dit long sur le libéralisme américain contemporain que tant de ceux qui portent sa bannière aient été parfaitement heureux de plaider en faveur de ces vagues de migration pour des raisons purement morales, sans s'arrêter pour considérer la durabilité et la défense à long terme de ce mouvement de personnes. Nous en subissons aujourd'hui les conséquences. Voici un épisode du podcast de Chris Hayes (transcription) dans lequel il interviewe Jonathan Blitzer, qui a publié un nouveau livre sur l'immigration. Pour moi, cette conversation est profondément frustrante. Elle reflète l'incapacité des libéraux contemporains à intégrer le raisonnement moral dans un cadre plus large de faisabilité, de défendabilité juridique, de sens politique et de simple pragmatisme. Depuis une décennie, je me plains que trop d'opposants de gauche à Trump semblent penser que le simple fait d'avoir raison à son sujet entraînera inévitablement sa défaite, que la moralité en elle-même peut changer le monde. Je vois beaucoup de cela chez Hayes et Blitzer, qui ont toutes les ressources nécessaires pour voir au-delà de la séduction du « nous avons raison, et c'est suffisant ». Il s'agit d'une conversation sur les justifications morales de l'immigration et la méchanceté de la politique qui l'empêche, qui ignore en quelque sorte la realpolitik qui sous-tend notre débat sur l'immigration. Mais pour l'instant, je m'intéresse davantage à une autre question : qu'arriverait-il au Guatemala si 55 % de sa population faisait ses bagages et partait ? Ce serait totalement dévastateur pour le pays, n'est-ce pas ? C'est un cercle vicieux : plus les gens partent, plus la situation économique se dégrade, plus les gens s'appauvrissent, plus ils veulent fuir ou ont raison de fuir. Mais lorsque l'on envisage tout sous l'angle des justifications morales des immigrés, sans se préoccuper d'autre chose, on occulte nécessairement des questions structurelles plus vastes. Lorsque l'on parle de croyances morales catégoriques, dépouillées de la situation politique et juridique actuelle, on se retrouve avec des arguments en faveur de migrations bien plus importantes que ce que l'on aurait pu imaginer - des arguments qui sont encore plus déconnectés de la réalité politique immédiate. C'était juste pour dire qu'on peut être un adepte de l'ouverture des frontières comme moi et comprendre que « tous les pauvres peuvent aller dans les pays riches » n'est pas une solution durable pour qui que ce soit. Le fait que nous ayons créé un système dans lequel les sans-papiers travaillent comme des Morlocks [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Morlocks_(comics) ] marginalisés sur le plan racial et linguistique pour le bien des riches américains est laid et horrible et n'est pas quelque chose qu'une personne progressiste devrait défendre. C'est pourquoi le sénateur Bernie Sanders était un fervent partisan de la restriction de l'immigration, en raison de la façon dont la main-d'œuvre sans papiers nuit à la lutte pour de meilleures conditions de travail. Cela me rappelle un peu la discussion sur l'émigration dans les Balkans : - -
  5. https://www.thefp.com/p/defending-usaid-is-political-suicide (2 octobre 2025) Regardez cette vidéo. Il s'agit d'une manifestation organisée devant le Capitole la semaine dernière, au cours de laquelle le sénateur démocrate Chris Van Hollen du Maryland, l'un des principaux législateurs présents, a scandé « Hey, hey, ho, ho ! Elon Musk has got to go ! » « On ne mène pas tous les combats. On ne frappe [swing] pas à tous les lancers [pitch] [métaphore baseballistique] », a déclaré l'ancien maire démocrate de Chicago, Rahm Emanuel, à Politico. « Et mon point de vue est que, même si je me soucie de l'USAID en tant qu'ancien ambassadeur, ce n'est pas sur cette colline que je vais mourir ». Comme le savent les vétérans comme Emanuel, le sentiment anti-aide étrangère est le plus fort parmi les électeurs de la classe ouvrière, précisément ceux qui ont quitté les Démocrates pour Trump, et sans les voix desquels le parti ne peut pas se rétablir. La réduction des dépenses d'aide à l'étranger est environ 10 points plus populaire parmi les électeurs sans diplôme universitaire que parmi ceux qui ont fait des études supérieures. Pour bon nombre de ces derniers, qui constituent le cœur du parti démocrate moderne, il va de soi que dépenser des millions pour lutter contre le changement climatique ou promouvoir l'égalité des sexes à l'étranger sert les intérêts des États-Unis et les décharge d'une obligation morale. Chris Van Hollen incarne ce type de démocrate. Fils d'agents du Foreign Service, il est né au Pakistan, a passé une grande partie de son enfance en Asie et a obtenu des diplômes de Swarthmore et de Harvard ; sa première expérience professionnelle a consisté à faire partie du personnel de la commission sénatoriale des affaires étrangères. Avant de remporter un siège au Sénat en 2016, il représentait une circonscription de la banlieue de Washington où vivent de nombreux fonctionnaires du département d'État et de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID). Comme l'a fait remarquer David Axelrod à Politico, à propos de la bataille de l'USAID, « les démocrates sont devenus, dans l'esprit de beaucoup d'électeurs, un parti d'élite, et pour beaucoup de gens qui essaient de se battre et de s'entendre, cela ressemblera à une passion d'élite ».
  6. https://lecourrier.com/actualites-nationales/2025/02/11/des-immigrants-francophones-hors-quebec-recoivent-de-laide-in-english-only/ Le quart des francophones qui ont immigré au Canada et qui avaient besoin d’aide pour s’installer à l’extérieur du Québec l’ont reçue en anglais seulement, selon une enquête de Statistique Canada.
  7. La Perfide se rallie à l'Oncle Sam : https://www.dw.com/en/us-uk-decline-to-sign-paris-ai-summit-declaration/a-71575536 La France et l'Inde ont réussi à obtenir la signature de Pékin sur une déclaration commune relative à l'intelligence artificielle, mais pas celle de Londres ou de Washington.
  8. Agir en fonction de ce que disent les services de renseignement est le symptôme d'une démocratie en décrépitude. L'affaire des armes de destruction massives de Saddam Hussein a montré que les services de renseignements trouvent toujours ce qu'on leur demande de trouver. George Beebe En fait, c'est une forme de pensée de groupe (Groupthink) qui, depuis de nombreuses années, guide les approches de l'establishment en matière de sécurité nationale. Elle s'appuie sur trois hypothèses implicites. (2) Les Américains peuvent faire confiance aux services de renseignement pour respecter les libertés civiles. Les documents publiés [par Edward Snowden] ont mis en évidence les dangers qu'il y a à compter sur les services de renseignement pour contrôler leur propre respect du droit constitutionnel et des réglementations bureaucratiques. Ces fuites ont également mis en lumière la manière dont les nouvelles technologies de l'information ont érodé le mur qui séparait autrefois la collecte de renseignements étrangers des affaires intérieures américaines. Cette érosion a conduit à une implication croissante du la communauté du renseignement dans la politique électorale - en émettant des jugements publics sur les candidats présidentiels américains préférés par nos adversaires, par exemple - et à un rôle croissant en tant qu'arbitre de ce qui constitue la « désinformation » dans notre discours public. Cela a faussé d'importants débats sur des questions telles que le Russiagate, l'ordinateur portable de Hunter Biden et les origines et le traitement du COVID-19.
  9. Elle s'est faite taper sur les doigts par la Commission de Venise : Donc en première approximation, elle fonctionne mal.
  10. J'ai montré plus haut que la comparaison avec Asselineau ne tenait pas la route, puisque Calin Georgescu avait été mis en avant en 2020 puis en 2022 par l'AUR, un parti politique ayant recueilli 9% des voix, obtenu 33 députés et 14 sénateurs à l'élection législative de 2020.
  11. Donc le vote aux communes contre la guerre en Syrie, qui a servi d'argument à Obama pour lui emboîter le pas, était justifié. Donc Obama est justifié dans son non-interventionnisme, caricaturé en "isolationnisme" par ses détracteurs.
  12. Oui mais est-ce que tu penses que l'interventionnisme à la Bush était une meilleure chose ?
  13. https://www.euractiv.fr/section/elections/news/la-roumanie-plonge-dans-la-crise-apres-la-demission-de-son-president/ (11 février 2025) Il [Iohannis] a démissionné après que plusieurs députés du parti pro-européen Union sauvez la Roumanie (du groupe Renew Europe au Parlement européen) ont signé la demande de suspension initiée par le parti de la Jeunesse, d’extrême droite, qui soutenait le candidat présidentiel pro-russe Călin Georgescu. L’analyste Remus Ștefureac estime que cette démission est « un fardeau en moins » pour Crin Antonescu, le candidat à la présidence de la coalition au pouvoir, composée des sociaux-démocrates, libéraux et de l’Union démocrate magyare de Roumanie.
  14. https://www.bbc.com/news/articles/c3w805xjg1xo (10 février 2025) Le président roumain Klaus Iohannis a démissionné, un jour avant d'être confronté à un vote de destitution [impeachment] déclenché par l'annulation de l'élection présidentielle de l'année dernière. Les opposants avaient fait pression pour qu'il soit suspendu en raison de sa décision de rester en fonction jusqu'à un nouveau vote en mai. En décembre, la plus haute juridiction roumaine a annulé l'élection de manière controversée en raison d'allégations d'ingérence de l'État russe que M. Iohannis avait contribué à soulever. Le dirigeant centriste et pro-UE a invoqué des préoccupations de sécurité nationale, mais les critiques et les candidats au scrutin ont déclaré que ses actions étaient antidémocratiques. M. Iohannis, qui a effectué deux mandats depuis 2014, avait choisi de rester en poste jusqu'à l'élection de son successeur. Mais son rôle dans l'annulation de l'élection et sa réticence à diriger le pays de manière décisive depuis lors ont suscité une vague de colère populaire. Des dizaines de milliers de Roumains ont manifesté dans les rues et les législateurs devaient entamer cette semaine un processus parlementaire visant à le suspendre de ses fonctions. M. Iohannis avait déclaré que sa décision de rester en fonction était une tentative d'assurer la continuité politique. La constitution roumaine stipule que le mandat présidentiel est de cinq ans, mais aussi que le président doit rester en fonction jusqu'à ce que son successeur prenne le relais. Mais les législateurs de l'opposition ont soutenu que la prolongation de son mandat était illégale, car la constitution stipule qu'une présidence ne peut être prolongée qu'en cas de guerre ou de « catastrophe ». Mme Lasconi a déclaré que la démission de M. Iohannis était arrivée « bien trop tard pour être considérée comme honorable », ajoutant qu'elle était heureuse que la pression parlementaire ait « réveillé M. Iohannis de son sommeil ». Des centaines de manifestants anti-Iohannis s'étaient rassemblés lundi dans la capitale Bucarest pour réclamer sa démission. À l'annonce de la démission, les manifestants se sont mis à applaudir et ont franchi un cordon de police, ce qui a incité les policiers à utiliser des gaz lacrymogènes pour les retenir, selon les médias d'État. Au moins six personnes ont été arrêtées. https://mjp.univ-perp.fr/constit/ro1991.htm Constitution de la Roumanie, 8 décembre 1991 81-4 Nul ne peut exercer la fonction de président de la Roumanie plus de 2 mandats. Ceux-ci peuvent également être successifs. 83-1 Le mandat du président de la Roumanie est de 4 ans et son exercice commence à la date où le serment est prêté. [*] 83-2 Le président de la Roumanie exerce son mandat jusqu'à la date où le nouveau président prête serment. 83-3 Le mandat du président de la Roumanie peut être prolongé, par une loi organique, en cas de guerre ou de catastrophe. 95-1 S'il commet des faits graves violant les dispositions de la Constitution, le président de la Roumanie peut être suspendu de sa fonction par la Chambre des députés et le Sénat réunis en séance commune, à la majorité des voix des députés et des sénateurs, après consultation de la Cour constitutionnelle. Le président peut donner au Parlement des explications au sujet des faits qu'on lui impute. 95-3 Si la proposition de suspension de la fonction est approuvée, dans un délai maximum de 30 jours un référendum est organisé pour démettre le président. 97-1 Si la fonction de président devient vacante, si le président est suspendu de sa fonction ou s'il est en état d'empêchement temporaire d'exercer ses attributions, l'intérim est assuré, dans l'ordre, par le président du Sénat ou par le président de la Chambre des députés. [*] Le Président de la Roumanie est élu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Avant la révision constitutionnelle de 2003, effective en 2004, la durée du mandat était de quatre ans : https://fr.wikipedia.org/wiki/Président_de_la_Roumanie La Constitution de 1991 a été révisée en 2003, sans apporter de changements importants au système politique. Des articles ont été insérés à propos de l'« intégration dans l'Union européenne et dans l'OTAN », faisant passer le nombre d'articles à 156 et celui de titres à 8. Ces adhésions ne pourront se faire que par un vote au Parlement. Les citoyens de l'Union européenne vivant en Roumanie peuvent voter et participer aux élections locales. La nouvelle Constitution garantit aux minorités le droit d'utiliser leur langue natale lorsqu'elles sont en contact avec leur administration locale et avec les cours et tribunaux, augmente les prérogatives législatives des chambres, restreint l'immunité parlementaire aux déclarations politiques et fait passer le mandat présidentiel à cinq ans. La version révisée a été adoptée par référendum le 18 octobre 2003 avec 91,1 % des suffrages exprimés pour une participation de 55,7 %. Elle est entrée en vigueur dix jours plus tard : https://fr.wikipedia.org/wiki/Constitution_roumaine_de_1991#Révision_de_2003
  15. https://www.lefigaro.fr/international/roumanie-le-president-iohannis-demissionne-sous-pression-apres-l-annulation-du-scrutin-20250210 Le président Iohannis démissionne. Son mandat devait initialement se terminer fin 2024. Des dizaines de milliers de Roumains sont descendus dans la rue pour dénoncer un « coup d’État » et après plusieurs tentatives de l’opposition, le Parlement avait prévu de se réunir cette semaine en session plénière avant un possible référendum. « Dans quelques jours, le Parlement roumain va se prononcer sur ma révocation et la Roumanie va plonger dans la crise (...) avec des répercussions dans le pays et malheureusement aussi en dehors de nos frontières », a expliqué M. Iohannis. C’est le président du Sénat et chef des libéraux, Ilie Bolojan, qui devrait assurer l’intérim jusqu’au nouveau scrutin. https://hungarytoday.hu/romanian-president-throws-in-the-towel/ (11 février 2025) Selon Hunor Kelemen, président de l'Alliance démocratique des Hongrois de Roumanie (RMDSZ), la situation politique en Roumanie n'est pas devenue plus instable suite à la démission de Klaus Iohannis, bien au contraire. L'homme politique s'attend à une passation de pouvoir en douceur et se fait le porte-parole de la communauté hongroise en parlant d'une « grande déception » à l'égard du président sortant. « Nous nous doutions qu'il allait démissionner, mais ni nous ni les partenaires de la coalition n'en étions sûrs. Le chef de l'État a probablement analysé la situation au cours du week-end et est finalement parvenu à cette conclusion », a déclaré Hunor Kelemen à Maszol. Le dirigeant du RMDSZ a également déclaré qu'il y avait beaucoup de tension et de colère dans la société et que Iohannis laissait derrière lui une grande déception, mais qu'en même temps, en démissionnant, il avait donné une chance au discours politique de cesser de tourner autour de lui. « Lorsqu'il a été élu - par 90 % des Hongrois en 2014 - les gens avaient de grands espoirs en lui. Beaucoup pensaient qu'en tant que Saxon de Transylvanie, il serait plus sensible aux questions des minorités. Tout le monde a été déçu », souligne Hunor Kelemen.
  16. Les terres rares, c'est plus un discours de communication interne à l'intention des électeurs américains, pour justifier son rétropédalage par rapport à ses promesses de campagne de ne plus donner autant d'argent à Zelensky, "meilleur représentant de commerce du monde, à chaque fois il repart de Washington avec des milliards en poche".
  17. https://www.pravda.com.ua/eng/news/2025/02/10/7497573/ M. Koopman [commissaire européen en visite à Kiev] n'a toutefois pas précisé les points spécifiques sur lesquels la Commission européenne s'attend à ce que des changements soient apportés en ce qui concerne la réglementation de la loi martiale. Contexte : Keith Kellogg, l'envoyé spécial du président américain pour l'Ukraine et la Russie, a récemment déclaré que l'Ukraine devrait être prête à organiser des élections pendant la guerre, car c'est « le signe d'une démocratie saine ».
  18. Il a été proposé comme premier ministre ou comme président honoraire par un parti qui recueille 9% aux élections législatives ?
  19. Calin Georgescu est sur la scène de l'actualité politique roumaine au moins depuis 2020, ce qui remonte à plus longtemps que deux semaines avant l'élection : https://fr.wikipedia.org/wiki/Călin_Georgescu En 2020, après les élections parlementaires de 2020, son nom est proposé par l'Alliance pour l'unité des Roumains (AUR) pour occuper le poste de Premier ministre. Il est de nouveau proposé en 2021. Il est également proposé [en 2022] pour devenir président d'honneur de l'AUR, avant que celui-ci ne prenne ses distances avec lui après ses propos faisant l'éloge d'Ion Antonescu et de Corneliu Zelea Codreanu. https://www.jewishnews.co.uk/romanian-political-figure-praises-antisemitic-fascist-leader-on-primetime-tv/ (6 février 2022) Une personnalité politique roumaine fait l'éloge d'un leader fasciste antisémite à une heure de grande écoute à la télévision Calin Georgescu, un expert en développement durable anciennement affilié aux Nations unies, a déclaré que Corneliu Zelea Codreanu « s'est battu pour la moralité de l'être humain ». S'exprimant sur la chaîne d'information Antena 3, Calin Georgescu, un expert en développement durable anciennement affilié aux Nations unies, a déclaré que Corneliu Zelea Codreanu « s'est battu pour la moralité de l'être humain ». Un intervieweur avait demandé à M. Georgescu pourquoi il avait placé M. Codreanu sur la liste des « héros » nationaux dans une vidéo publiée sur Facebook en 2020, qui a été visionnée plus de 700 000 fois. Donc il faisait déjà des vidéos à 700 000 vues entre 2020 et 2022. La vidéo de M. Georgescu sur Facebook en 2020 a largement circulé en Roumanie après qu'il a été nommé président honoraire du parti d'extrême droite AUR le 24 janvier [2022]. En annonçant cette nomination, le coprésident de l'AUR, George Simion, a déclaré que le parti envisageait également de soutenir M. Georgescu en tant que candidat aux élections présidentielles de 2024. M. Simion a déclaré à la Jewish Telegraphic Agency que les commentaires de M. Georgescu « ne représentent en aucun cas la position de l'AUR », ajoutant que M. Georgescu « devra clarifier » ses remarques. A la question de savoir s'il envisageait de révoquer la nomination de Georgescu en tant que président honoraire de l'AUR, Simion a répondu : « C'est l'une des options possibles ». Le JTA a également interrogé M. Simion sur l'opinion du parti AUR concernant Antonescu et Codreanu. « La position officielle du parti ne peut être différente de ce que dit la loi en Roumanie », a-t-il déclaré. « La loi dit une chose et il n'est pas possible en Roumanie d'avoir une opinion différente de ce que dit la loi ». M. Simion faisait vraisemblablement référence à la loi roumaine adoptée en 2002 qui criminalise le négationnisme.
  20. En fait j'ignorais ou j'avais oublié qu'elle avait écrit plusieurs livres. Je voulais parler de son dernier livre publié en 2024 Who Could Ever Love You. 22 septembre 2024. 02:43 Mary Trump : Je pense que le problème fondamental est que mon père, Fred Junior, était le fils aîné, et homonyme, dont on attendait qu'il reprît l'entreprise familiale. 02:54 Mon grand-père [Fred Trump] - et j'emploie ce terme médicalement comme diagnostique - était un sociopathe. 24 septembre 2024. 02:38 Mon père [Fred Trump Junior] était parfaitement prêt à reprendre l'empire de son père, Trump management, il a été à l'université, obtenu son diplôme de commerce, il savait que c'était le rôle qu'il était censé jouer, et ça s'est mal passé. 02:55 Mon grand-père avait décidé pour diverses raisons dont certaines qui sont illogiques, que mon père n'était pas la bonne personne. Et quand les choses se sont gâtées avec son père, il devint un pilote professionnel pour la TWA à l'aube de l'aviation à réaction. Il est allé au Reserve Officers Training Corps (ROTC), il était Second lieutenant dans la garde nationale. 03:18 Tout cela était terminé quand je suis née. Donc je n'ai jamais connu cette version de Freddy Trump. L'homme que j'ai connu était l'homme qui avait été complètement démantelé par son père, qui dans le jargon familial était le "loser alcoolique", qui ne méritait ni respect ni attention.
  21. J'ai écouté les interviews de l'autrice sur PBS et sur MSNBC, donc je vois à peu près de quoi il retourne.
  22. Elle est psychologue. Elle connaît les histoires de la famille, donc a priori ce qu'elle a à dire doit être intéressant. Il faut juger sur pièces, mais si @CANDIDE voulait se dévouer, et lire le bouquin, puisque le sujet semble l'intéresser, et en faire profiter le forum, ce serait cool.
  23. Si vraiment tu t'intéresses à la psychologie/psychanalyse de Trump, tu devrais lire ce qu'écrit sa nièce Mary Trump, que je n'ai pas lu.
  24. Cela présente quelques affinités avec les divagations de Casey Means :
  25. RFK a le soutien de Patrick Soon-Shiong, qui fut longtemps professeur de médecine à l'Université de Californie à Los Angeles.
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