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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/armenie-des-milliers-de-manifestants-defilent-contre-le-premier-ministre-20240609 Des milliers d'Arméniens ont à nouveau manifesté dimanche dans la capitale Erevan pour dénoncer les concessions faites à l'Azerbaïdjan par le premier ministre Nikol Pachinian. Ces manifestations ont commencé en avril, lorsque le gouvernement arménien a accepté de restituer à l'Azerbaïdjan quatre villages frontaliers de la région de Tavouch, saisis dans les années 1990. Nikol Pachinian n'a pas modifié sa position malgré l'opposition publique du charismatique archevêque de la région de Tavouch, Bagrat Galstanian, 53 ans. Toutefois, l'opposition ne détient pas suffisamment de sièges au Parlement pour lancer une procédure de destitution du premier ministre et Pagrat Galstinian ne peut en l'état se présenter à ce poste, en raison de sa double nationalité arménienne et canadienne. Rien ne l'empêcherait cependant de renoncer à sa nationalité canadienne, un processus potentiellement long. https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2024/06/armenia-violence-during-street-protests-must-be-investigated/ Le 12 juin, des affrontements ont éclaté dans le centre-ville d’Erevan entre la police et des manifestants qui protestaient contre l’accord de démarcation de la frontière avec l’Azerbaïdjan voisin, alors que le Premier ministre Nikol Pachinian devait prendre la parole devant le Parlement. Face aux tentatives de bloquer l’accès au bâtiment du Parlement, les forces de l’ordre ont tiré des grenades assourdissantes. Les affrontements avec les manifestants ont dégénéré en chaos. Selon le ministère de la Santé, au moins 101 personnes ont sollicité une assistance médicale à la suite des affrontements. Parmi elles, 66 sont sorties de l’hôpital depuis, tandis que 32 sont toujours hospitalisées pour des blessures allant de mineures à modérées. Les violences ont également fait 17 blessés dans les rangs des policiers. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-enjeux-internationaux/armenie-pourquoi-les-manifestants-demandent-ils-la-demission-du-premier-ministre-7745623 (18 juin 2024) Les mobilisations massives contre le Premier ministre Nikol Pachinian se poursuivent après avoir fait des dizaines de blessés la semaine dernière.
  2. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-enjeux-internationaux/regularisations-massives-aux-etats-unis-le-jeu-d-equilibriste-de-joe-biden-en-matiere-d-immigration-7805179 (20 juin 2024) Ce mardi, Joe Biden a promis de régulariser un demi-million de personnes, mariées à des citoyens américains et présentes sur le territoire depuis au moins dix ans
  3. https://www.theguardian.com/environment/article/2024/jun/19/coalition-nuclear-plan-peter-dutton-power-station-sites-australia Peter Dutton a annoncé que la Coalition proposait de construire sept centrales nucléaires et deux petits réacteurs modulaires, mais il a esquivé les questions concernant le coût de ce plan. https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Dutton Il est chef du Parti libéral https://fr.wikipedia.org/wiki/Coalition_(Australie) Constituée de plusieurs partis de centre droit existant sous des formes variées depuis 1923, la Coalition est actuellement formée du Parti libéral d'Australie et du Parti national d'Australie. Lorsqu'elle forme le gouvernement fédéral, le chef du Parti libéral est Premier ministre d'Australie et le chef du Parti national est vice-Premier ministre.
  4. https://theconversation.com/kai-fu-lee-grand-organisateur-de-lia-open-source-en-chine-et-inspiration-pour-la-france-224781 (14 mars 2024) En janvier, 01.AI a lancé un modèle d’IA « multimodal » surnommé « Yi » fondé sur 34 milliards de paramètres, soit moitié moins que ChatGPT4. Cette taille modeste facilite son entraînement. À travers le monde, de nombreux développeurs, ont déjà adopté Yi. Le modèle de langage de 01.Ai fait partie des modèles dits open source, comme l’est aussi, par exemple, LlaMA, le langage de Meta. https://www.wired.com/story/chinese-startup-01-ai-is-winning-the-open-source-ai-race/ (23 janvier 2024) "Yi partage l'architecture de Llama, mais son entraînement est complètement différent et sensiblement meilleur", explique Eric Hartford, chercheur en IA chez Abacus. Jeffrey Ding, professeur adjoint à l'université George Washington, qui étudie la scène chinoise de l'IA, explique que bien que les chercheurs chinois aient publié des dizaines de grands modèles de langage, l'industrie dans son ensemble est toujours à la traîne par rapport aux États-Unis. "Les entreprises occidentales ont acquis un avantage significatif dans le développement de grands modèles de langage parce qu'elles pouvaient tirer parti des publications publiques pour tester les problèmes, obtenir les réactions des utilisateurs et susciter l'intérêt pour les nouveaux modèles", explique-t-il. M. Ding et d'autres ont fait valoir que les entreprises chinoises d'IA sont confrontées à des vents contraires réglementaires et économiques plus forts que leurs homologues américaines.
  5. https://africanarguments.org/2024/06/a-mockery-of-equity-experts-warn-of-uneven-ev-infrastructure-in-south-africa/ (13 juin 2024) Selon la Banque mondiale, l'Afrique du Sud est le pays le plus inégalitaire au monde. Une carte des quelque 350 points de recharge de VE accessibles au public dans le pays révèle une tendance. À Johannesburg, les stations sont principalement concentrées dans des banlieues riches comme Sandton, surnommée "le mile carré le plus riche d'Afrique". Au Cap, les bornes de recharge contournent sensiblement les quartiers pauvres et sont plutôt situées dans des zones aisées comme Constantia. Dans un pays où 35 % des travailleurs utilisent les transports publics et 20 % déclarent se rendre au travail à pied - souvent en raison du coût élevé des transports - cela signifie qu'il faut investir dans les bus, les minibus-taxis et les trains. Nhachi cite un autre exemple édifiant : le Gautrain. Ce train express à grande vitesse, construit pour un coût de près de 4 milliards de dollars à temps pour la Coupe du monde 2010, circule sur une voie de 80 km. Ses dix arrêts incluent l'aéroport international OR Tambo et des quartiers huppés comme Sandton et Rosebank. Mais ses billets sont hors de prix pour beaucoup, et ses voies contournent les townships où vit la majorité de la population et où les problèmes de transport sont les plus graves. Pour beaucoup, le Gautrain est le symbole d'un pays qui aide les riches et néglige les autres. Cette tendance a déjà été observée dans le domaine de l'énergie solaire, qui a récemment connu une montée en flèche en Afrique du Sud. Comme African Arguments l'a rapporté en mars dernier, le quintuplement de l'énergie solaire sur les toits au cours des deux dernières années est dû à l'adoption privée de cette énergie par les plus riches. Cela a conduit les chercheurs à mettre en garde contre un "apartheid énergétique" dans lequel les quartiers riches se tournent vers les énergies renouvelables propres, tandis que la majorité persiste à subir de fréquentes coupures d'électricité et des tarifs en hausse dans le cadre du réseau traditionnel alimenté au charbon.
  6. https://africanarguments.org/2024/06/nigeria-the-impunity-of-tinubus-war-on-the-media/ (13 juin 2024) Malgré les promesses de l'administration Tinubu de protéger les journalistes, les arrestations et les cas de harcèlement et d'intimidation se multiplient. M. Ojukwu a été arrêté à peine un mois après que l'armée nigériane a arrêté, détenu et torturé Segun Olatunji, ancien rédacteur en chef de FirstNews, pour un article dénonçant l'utilisation abusive de fonds publics par le chef de cabinet du président Tinubu, Femi Gbajabiamila. Bien que la constitution nigériane garantisse la liberté de la presse, les journalistes de ce pays d'Afrique de l'Ouest ont été intimidés, attaqués et tués par des acteurs étatiques et non étatiques, généralement après avoir fait des reportages sur la corruption et la mauvaise gouvernance. Dans son classement mondial de la liberté de la presse 2023, Reporters sans frontières a classé le Nigéria à la 112e place sur 180 pays en matière de liberté de la presse, indiquant que le Nigéria est l'un des pays d'Afrique de l'Ouest les plus dangereux pour les journalistes. Selon le Centre for Journalism Innovation and Development, un groupe de réflexion sur les médias, 74 attaques ont été perpétrées contre des journalistes nigérians dans le pays au cours des seuls huit premiers mois de l'année 2023.
  7. https://www.thefp.com/p/were-all-soviets-now (18 juin 2024) Niall Ferguson : Nous sommes tous des Soviétiques maintenant Un gouvernement en déficit permanent et une armée pléthorique. Une idéologie bidon poussée par les élites. Une mauvaise santé chez les gens ordinaires. Des dirigeants sénescents. Cela vous semble familier ?
  8. https://www.dcceew.gov.au/environment/biodiversity/threatened/species/koalas/listing-under-national-environmental-law Le koala (populations combinées du Queensland, de la Nouvelle-Galles du Sud et du Territoire de la capitale australienne) a été inscrit sur la liste des espèces en danger le 12 février 2022. https://www.express.co.uk/news/world/1831396/koalas-australia-extinction-sydney-hospital (4 novembre 2023) Steph Carrick, du Sydney Basin Koala Network, nous explique que les koalas sont extrêmement territoriaux et qu'ils ont donc besoin d'espace pour s'étendre si l'on veut enrayer le déclin de leur nombre. Elle explique : "Nous avons cette population saine et croissante qui est essentiellement la clé pour les retirer de la liste des espèces menacées, mais c'est exactement là qu'ils ont décidé que l'étalement urbain allait se produire". "Pour l'instant, c'est le développement d'abord, la conservation ensuite". Les koalas ne vivent que dans l'est de l'Australie, le long des côtes du Queensland, de la Nouvelle-Galles du Sud, de l'Australie-Méridionale et de l'État de Victoria. Leur nombre exact est inconnu, mais des dizaines de milliers d'entre eux ont été tués pendant l'été noir du pays, une période de feux de brousse intenses en 2019-20. Ils ont été inscrits sur la liste des espèces menacées d'extinction en février 2022. Elle ajoute : "Ce qui m'horrifie, c'est que pour chaque koala qui vient se faire soigner à l'hôpital, il y en a probablement deux ou trois qui sont morts sur la route ou qui ont été euthanasiés". "Je ne vois pas comment les populations de koalas vont pouvoir supporter ces pertes. Je comprends que les populations humaines augmentent et s'étendent, mais je pense qu'il y a de meilleures façons de gérer le développement. Les coupes à blanc ne sont jamais une bonne chose".
  9. https://www.bbc.com/news/articles/cz994d6vqe5o (16 juin 2024) L'ambiance en Ukraine, alors que l'on met en application la loi de conscription avec des recrues qui ne sont pas motivées.
  10. La déforestation massive de l'Australie Occidentale après la seconde guerre mondiale : https://filmsforchange.stream/programs/a-million-acres-a-year Réédition d'un documentaire remarquable de 2002, toujours d'une grande pertinence aujourd'hui. L'histoire dévastatrice d'un désastre écologique : l'épopée du développement agricole de l'après-guerre en Australie Occidentale et les itinéraires personnels d'une avant-garde rurale qui en est venue à reconnaître que les formes actuelles d'agriculture n'étaient pas viables. "Une œuvre obsédante... Elle rend parfaitement compte d'une période de notre histoire au cours de laquelle notre relation à la terre a profondément changé. Il est profondément ressenti et compatissant et ne recule pas devant l'ampleur de la destruction qu'il documente. Il mérite de devenir un classique australien. Je ne saurais trop le recommander. - Asa Wahlquist, The Australian cliquer sur "watch trailer". En particulier, voir la carte satellite à 00:58. https://www.wa.gov.au/government/media-statements/McGowan-Labor-Government/Historic-new-plan-to-protect-WA's-forests-20221018 Les Australiens de l'Ouest peuvent désormais s'exprimer sur le projet de plan de gestion forestière 2024-2033, qui concrétise la décision historique du gouvernement McGowan de mettre fin à l'exploitation des forêts anciennes dans notre Sud-Ouest. Respect de l'engagement de mettre fin à l'exploitation des forêts anciennes à partir de 2024. https://www.bushheritage.org.au/what-we-do/our-challenge/land-clearing Environ 90 % de la végétation d'origine de la zone tempérée orientale a été détruite pour l'agriculture, l'industrie, les transports et l'habitat humain. Environ 50 % des forêts tropicales d'Australie ont été défrichées et la proportion de l'Australie couverte de forêts ou de bois a été réduite de plus d'un tiers. https://www.abc.net.au/news/science/2020-10-08/deforestation-land-clearing-australia-state-by-state/12535438 L'Australie est l'un des leaders mondiaux en matière d'abattage d'arbres et d'élimination d'animaux : deux réalisations discutables qui sont étroitement liées. Le défrichement et la perte d'habitat sont les principaux facteurs d'extinction des animaux et, ces dernières années, le rythme agressif du défrichement en Australie a été l'un des plus rapides du monde développé. Ainsi, malgré notre réputation de nature sauvage et de faune charismatique, il n'est peut-être pas surprenant que l'Australie ait l'un des taux d'extinction animale les plus élevés au monde. Depuis la colonisation européenne, nous avons provoqué l'extinction de 29 mammifères et plus de 1 700 autres sont menacés ou en voie d'extinction. Le koala, autrefois abondant, disparaît rapidement de la Nouvelle-Galles du Sud et du Queensland. L'agriculture est à l'origine de la plupart des défrichements, le "pâturage de végétation indigène" représentant plus de 1,8 million d'hectares de défrichement. Le deuxième facteur contribuant le plus aux données est le "pâturage de pâturages modifiés", avec environ 125 000 hectares. Malgré le défrichement de plus de 3,5 millions d'hectares au niveau national au cours de la période 2010-2018, selon les données des comptes nationaux de l'effet de serre (NGA), il y a eu une augmentation nette de la couverture arborée en Australie au cours de cette période. Mais les critiques disent que cela ne représente pas ce qui se passe dans nos forêts du point de vue de la conservation de la faune et de la flore ou du stockage du carbone. Le problème est qu'une forêt mature peut être déboisée à un endroit et qu'une surface équivalente de jeunes arbres de 2 mètres peut avoir repoussé à un autre endroit. Dans ce cas, les données n'indiqueraient aucune perte nette de la couverture forestière, bien qu'il y ait un déficit significatif de l'habitat. Selon Martin Taylor, expert forestier du WWF, l'analyse est effectuée à l'aide d'images satellite et ne permet pas de déceler les différences subtiles qui se produisent au niveau du sol. La méthode NGA est basée sur l'imagerie satellite où 20 % ou plus du couvert végétal est classé comme forêt. Ce n'est que lorsqu'une zone passe en dessous de ce seuil de 20 % qu'elle est considérée comme une perte de forêt. Selon M. Taylor, cela signifie qu'une forêt dense peut être éclaircie de 95 % à 21 %, par exemple, sans être considérée comme défrichée selon la méthode NGA.
  11. 1er mars 2024. Entre 2017 et 2022, l'Iowa a perdu 587 713 acres [*] de terres agricoles, selon le dernier recensement agricole du Service national des statistiques agricoles du ministère américain de l'Agriculture. [*] = 2378 km² (= 48 km x 48 km) (la superficie du Luxembourg)
  12. https://www.telos-eu.com/fr/lallemagne-au-lendemain-du-scrutin-europeen.html (14 juin 2024) Outre-Rhin, la CDU/CSU conforte son statut de premier parti d’opposition en obtenant 30% des suffrages, Avec un résultat de 15,9%, l’AfD devance toutefois les partis de la coalition – le SPD rassemble 13,9% des électeurs, les Verts (11,9%) et le FDP (5,1%). A gauche, crédité de 6,1% des suffrages, le nouveau parti créé par Sahra Wagenknecht (BSW)[iii] s’affirme par rapport à son ancienne formation, die Linke (2,7%), en grande difficulté, y compris dans ses bastions de l’est du pays. Les trois partis de la coalition « Ampel » rassemblent moins du tiers des voix (52% en 2021) – le SPD enregistre son plus mauvais résultat dans une élection nationale de l’après-guerre, ce qui a conduit le secrétaire général de la CDU à demander au Chancelier de poser la question de confiance au Bundestag, option aussitôt écartée par son porte-parole. Le gouvernement fédéral, dont la popularité est au plus bas – 71% des Allemands ne sont pas satisfaits de son action, selon une enquête qui vient d’être publiée – est lui aussi confronté, dans les semaines à venir, à une échéance importante. La coalition doit en effet d’ici au 3 juillet parvenir à un compromis sur le prochain budget. Le mois de septembre, marqué par trois scrutins régionaux, sera un autre moment crucial dans l’agenda politique allemand. 35 ans après la chute du mur de Berlin, l’élection européenne a mis en évidence un clivage net persistant entre l’est et l’ouest du pays. La CDU/CSU est arrivée largement en tête dans la partie occidentale, tandis qu’à l’est du pays l’AfD est le vainqueur incontestable, avec 29% des voix.
  13. https://www.nytimes.com/2024/06/17/opinion/effective-altruism-philanthropy-charity.html On entend moins parler d'altruisme efficace depuis que l'un de ses plus célèbres représentants, Sam Bankman-Fried, a été reconnu coupable d'avoir volé 8 milliards de dollars aux clients de sa bourse de crypto-monnaies. (Ce printemps, à l'âge de 32 ans, il a été condamné à 25 ans de prison).
  14. https://www.nytimes.com/2024/06/18/opinion/capitalism-inflation.html L'année dernière, le baromètre de confiance Edelman a révélé que seuls 20 % des habitants des pays du G7 pensaient que leur situation et celle de leur famille seraient meilleures dans cinq ans. En 2010, alors que l'ère des taux d'intérêt ultra-bas, voire négatifs, débutait, le prix de vente médian d'une maison aux États-Unis tournait autour de 220 000 dollars. Au début de cette année, il s'élevait à plus de 420 000 dollars. "Il y a une génération, il fallait trois ans à une jeune famille typique pour économiser jusqu'à la mise de fonds pour l'achat d'une maison", observe Ruchir Sharma dans le livre. "En 2019, à cause de l'absence de rendement de l'épargne, il fallait 19 ans".
  15. https://unherd.com/newsroom/javier-mileis-anti-inflation-drive-pushes-argentina-towards-brics/ (18 juin 2024) Le président argentin Javier Milei a dû pousser un soupir de soulagement lorsqu'il a pris connaissance des données relatives à l'inflation publiées la semaine dernière. Il s'agit de la première baisse annuelle depuis que le président a pris un risque majeur en autorisant la dévaluation du peso à la fin de l'année dernière, l'inflation étant passée de 292 % en avril à 276 % en mai. Milei a joué avec le feu en dévaluant le peso à la fin de l'année dernière. Il a laissé le génie de l'hyperinflation sortir de la bouteille d'une manière telle qu'il est impossible de l'y remettre. Il est maintenant pris au piège entre le maintien artificiel de la monnaie - ce contre quoi il s'était insurgé en tant que candidat - et la possibilité d'une nouvelle dépréciation du peso et d'une inflation encore plus importante. Le président est maintenant forcé de réaliser que la solution simple à l'inflation persistante du pays qu'il avait promise à ses électeurs n'existe pas. Il n'y a pas de fée magique libertaire qui puisse guérir les profonds problèmes structurels de l'Argentine.
  16. https://www.military.com/daily-news/2022/09/28/new-pentagon-study-shows-77-of-young-americans-are-ineligible-military-service.html (28 septembre 2022) Une nouvelle étude du Pentagone montre que 77 % des jeunes Américains ne pourraient pas être admis au service militaire sans dérogation en raison de leur surpoids, de leur consommation de drogues ou de leurs problèmes de santé mentale et physique.
  17. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/concordance-des-temps/gramsci-sa-marque-et-sa-trace-6692799 (15 juin 2024) Jean-Yves Frétigné, auteur d'une biographie de Gramsci
  18. https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/who-chinese-premier-li-qiang (17 juin 2024) En avril, le ministère des affaires extérieures a invité une délégation d'influenceurs des médias sociaux du Sri Lanka et du Népal à visiter différentes régions de l'Inde. Les visites de familiarisation de ce type sont monnaie courante pour les journalistes et les groupes de réflexion du monde entier, mais la "diplomatie des influenceurs" marque un changement. Ces influenceurs ont rencontré des fonctionnaires, des membres des médias et du secteur privé, dans le but de promouvoir la collaboration et la compréhension transfrontalières. L'opinion publique dans des pays comme le Népal et le Bangladesh n'a pas toujours été favorable à l'Inde. En réunissant les influenceurs indiens et ceux des pays voisins, New Delhi dispose d'un nouveau moyen de cultiver une opinion publique favorable à l'Inde. Cela peut être interprété par certains comme une action de propagande, puisque cette stratégie vise à donner une image positive de New Delhi. Dans le passé, nous avons vu la blogueuse chinoise Li Ziqi faire de même pour façonner l'image de Pékin dans le monde.
  19. (suite) « [Le « communalisme »] se base sur une conscience de la communauté où l'individu ne doit pas prétendre que lui-même ou ses intérêts personnels passent avant l'intérêt général de la communauté. [...] Le don s'appuyait sur la possibilité de chacun de donner. Recevoir le don se basait sur le besoin » (Lini, cit. in Premdas, 1987 : 142). Lini prend également soin de se démarquer du communisme, d'où justement le choix du terme alternatif de « communalisme ». Par crainte de voir sa doctrine confondue avec le modèle soviétique, il eut constamment le souci de lever toute ambiguïté sur ses sources d'inspiration. « La terre existe pour être utilisée pour les besoins des communautés rurales. C'est, par définition, un principe socialiste, mais que nous appliquions déjà des centaines d'années avant que Marx, Engels ou Lénine n'aient vu le jour » {ibid. : 142) Ce n'est pas d'une collusion qu'il faut parler, mais d'une véritable osmose entre le VP et les Églises réformées, dont les ouailles ont constitué le gros des troupes de ce parti et dont les pasteurs et les catéchistes ont fourni les principaux cadres 27 (ce qui est également vrai, mais dans une moindre mesure, pour les cadres mélanésiens francophones envers l'Église catholique). La plus substantielle inspiration nationaliste des tenants du Socialisme mélanésien a jailli ailleurs, sur les bancs de l'University of Papua New Guinea, dans les années soixante-dix, au moment des premières années de souveraineté de ce pays (qui fut concédée en 1970), et après les désillusions pan-pacifistes de la Pacific Way. Malgré ou à cause de son parfait alignement dans le giron australien, le modèle papou et le radicalisme bon ton d'un Bernard Narokobi (1980) prophétisant la conquête d'un leadership mélanésien par les gouvernants des futurs dirigeants des îles noires à leur indépendance, demeurent une référence incontestée du nationalisme ni-Vanuatu. Il en fut de même pour la personne du Président tanzanien Julius Nyerere, grand précurseur en matière de traditionalisme post-colonial et refondateur nationaliste d'un Socialisme africain non-aligné et antiimpérialiste. [Ces influences] viennent agrémenter un discours creux qui blâme les anciens missionnaires tout en conservant le christianisme, qui invective les forces impérialistes en feignant de ne pas y voir un prolongement naturel de la pensée nationaliste à laquelle eux-mêmes souscrivent, et enfin, il permet d'évoquer le socialisme pour contester le capitalisme en théorie tout en le développant en pratique. En tant que discours et programme, le Socialisme mélanésien traduit et trahit les intentions d'une élite pour pérenniser ses privilèges. Il dévoile les moyens qu'elles mettent en œuvre pour arriver à leurs fins. Les intérêts qu'il sert renvoient invariablement à ses instigateurs, à leurs ambitions et aux structures politiques et religieuses sur lesquelles ils s'appuient pour maintenir leur hégémonie. À partir de cette période [post-Lini, à partir de 1991], le communalisme pseudo-agrarien, contrepartie idéologique aux activités de la haute finance à Vanuatu, fut définitivement oublié. Derrière le mot d'ordre général d'une alliance entre la kastom et le bisnis [business], il fut sous-entendu que la libre entreprise devait accompagner la kastom polisi (politique de la kastom) mise en œuvre pour l'édification nationale. L'innovation politique tient ici dans le fait de présenter le capitalisme comme une kastom blong bisnis, qui passe également par un bisnis blong kastom. Le « Socialisme mélanésien » put, pour sa part, être abandonné, laissé à sa belle mort. L'essentiel, pour la légitimité de la classe dirigeante devint dès lors l'insistance sur le rôle fédérateur de la seule kastom dans la société. Les mauvais résultats donnés par les plans successifs de développement, sont ainsi attribués à bon compte au Socialisme mélanésien, de sorte qu'un franc capitalisme en osmose avec la kastom en est devenu la solution consensuellement adoptée parmi les dirigeants politiques. Assurément, la conjonction du traditionalisme et du nationalisme à Vanuatu laisse encore présager de nombreuses errances. Le 'roman national' de la kastom y est loin d'être achevé.
  20. (suite) La « fausse kastom », lorsqu'elle n'est pas directement le fruit d'une manipulation de l'« étranger », est assimilée à des religions « new age », comme celle des John Frum, à de « vrais cargo cults » fondés sur le « rêve et l'attente des ancêtres » (...) et présentant « des troubles dans leur adaptation aux influences occidentales ». À la manière des missionnaires qui protégeaient les indigènes chrétiens, les élites dirigeantes se veulent les protecteurs de la bonne kastom, car en dernier ressort la vraie kastom serait un don de Dieu. « Nos modes de vie et de pensée (wei blong laef mo ting ting) sont différents de ceux des autres pays. Ils subsisteront car ils sont les racines de notre société et de notre nation. Une certaine croyance veut que nous ayons hérité notre culture et nos coutumes de Dieu et ceci les rend plus précieuses que toutes celles des autres peuples » (Lini, 1980b : 286) D'après [Michael Howard], la Pacific Way est une consécration pour les élites urbaines éduquées du Pacifique, dans leurs efforts pour édifier un ordre 'néo- traditionnel'. Une des caractéristiques de ces classes dominantes, ajoute-t-il, tient à leur façon de contester à la fois la continuité du nouvel ordre qu'elles établirent avec les pratiques de la colonisation et l'émergence de classes sociales défavorisées avec l'indépendance des archipels qu'elles dirigent. « Cette idéologie ne s'attaque pas directement à la classe ouvrière. Au contraire, elle tente de l'ignorer et, indirectement, de lui refuser sa légitimité. Il n'y a tout simplement pas de place pour la classe ouvrière dans la Pacific Way et le Melanesian Socialism. Lorsqu'elle s'adresse aux membres de la classe ouvrière, elle leur demande de suivre ceux qui détiennent l'autorité et de travailler avec tous les acteurs de la société pour le bien de la Nation » (Howard, 1983 : 197) Comme l'indique Howard avec insistance, l'avènement du Socialisme mélanésien à Vanuatu correspond paradoxalement à une pénétration accrue du capitalisme. La consolidation des privilèges de la bourgeoisie de Port-Vila n'a cessé depuis l'indépendance, de reposer sur des programmes destinés à : « [...] encourager les investissements étrangers et à aider les capitalistes locaux à bénéficier de certaines créations de filiales. Est-ce du Socialisme ou une alliance entre le capital national et international ? » Comme chez tant d'autres États-nations du « Sud », les intérêts nationaux apparaissent inéluctablement profiter, avant tout, aux bourgeoisies indigènes en formation. Quant à la pénétration des formes actuelles du libéralisme, elles entraînent à Vanuatu et ailleurs dans la région, une constante paupérisation des populations rurales, une marginalisation des communautés auto-subsistantes, et l'occultation par la bourgeoisie locale de l'émergence des nouvelles classes subalternes urbaines tout aussi défavorisées que les milieux ruraux dont ils sont issus, mais bien plus acculturées encore. « Comparé à d'autres Nations des îles du Pacifique, Vanuatu semble effectivement être l'État le moins 'socialiste' en termes d'étatisation des institutions financières et des moyens de production » (Howard, 1983 : 193). Le Socialisme mélanésien (...) est une récupération nationaliste d'un traditionalisme colonial, son adaptation en une version qui, par manque d'une vision historiciste, intègre des tendances culturalistes très marquées. Le Socialisme mélanésien est la face transparente d'un ensemble d'idées et de valeurs, qui autrement, sous tout autre angle, est présenté par ces dirigeants mélanésiens comme fondamentalement incompréhensible par tout observateur extérieur au monde mélanésien. Dans les aspects de son discours communicable aux non-Mélanésiens, il est conçu pour évoquer une identité ancestrale (« l'esprit des ancêtres », le spirit blong bubu) qui malgré sa perméabilité au changement, persisterait toutefois en tant qu'essence impérissable, intrinsèquement dotée des capacités pour réactiver d'anciennes solidarités. Par son entremise, la tradition, la culture, le mode de vie des ni-Vanuatu peuvent être présentés sous des atours « socialistes » dans la modernité, au même titre que le christianisme ou le capitalisme seraient intégrables à une vision « mélanésienne » du monde. Seul le colonialisme, qui a pourtant permis toutes ces innovations et adaptations, fait l'objet d'un déni et ne trouve grâce aux yeux des nationalistes. Il ne saurait être vu dans leur perpective comme profitable aux Mélanésiens, bien qu'eux-mêmes en aient été d'évidents bénéficiaires. « Alors que l'indépendance se rapprochait, l'appareil répressif colonial fut défié par un groupe de leaders ni-Vanuatu, mais les institutions pour lesquelles ils mobilisaient l'opinion publique, comme un Parlement élu, reflétaient toutes les pratiques de l'État démocratique libéral européen. Les doctrines de libération utilisées pour le changement politique comme la souveraineté ou la représentation du peuple provenaient également du passé européen. Les pratiques de la culture mélanésienne d'avant le contact devaient par la suite s'appuyer sur les structures politiques implantées par les Européens » (Ralph Regenvanu,1993 : 40-41). Le précepte majeur du Socialisme mélanésien est le « communalisme », qui est présenté comme un antécédent mélanésien de toute forme de socialisme. Il concentrerait des valeurs antécapitaliste et anti-coloniale du fait de ses origines pré-occidentales et de son caractère protosocialiste. Il se démarque par l'importance qu'il donne à l'échange, dans l'acceptation anthropologique du terme, et à l'idée de partage qui lui serait sous-jacent — survivance inespérée d'une très ancienne économie du don, ou du moins, résurgence inattendue des spéculations sociologiques qui en ont suggéré l'existence.
  21. (suite) Au début de sa carrière, Lini avait pour principal souci de se présenter comme un leader moderniste et un pourfendeur de la « fausse kastom » [custom, coutume], celle réfractaire à l'autorité de l'État central ou aux principes chrétiens. On trouve chez [Lini] le constant maniement d'un symbolisme pseudo-traditionnel nettement inspiré d'une vision chrétienne : « [En devenant indépendants], nous allons avoir besoin d'être guidés, non seulement par Dieu, mais aussi par nos propres coutumes et valeurs traditionnelles. Nous entrons dans une période de changements telle une pirogue qui participe à une course de rapides : Dieu et la coutume sont le gouvernail et les rameurs de notre pirogue ». La pirogue est vue dans ce discours comme une véritable arche de la tradition qui en est le gouvernail, lui donne son cap, et pour laquelle Dieu fournit à la fois son moyen de propulsion et son énergie : Dieu et la coutume ne se contredisent point, dans la mesure où la Bible n'appartient pas aux seuls Blancs. Lini devint capitaine, puis progressivement seul maître à bord après Dieu, d'une pirogue-État dans laquelle lui- même s'attribua également le rôle de premier barreur. Quant à l'Arbre de l'unité nationale, il a été largement sacrifié aux compagnies étrangères préposées à la déforestation et troqué contre le papier-monnaie des devises internationales. Le VP [Vanua’aku Pati] non plus n'est pas un parti sorti de nulle part. C'est l'Église presbytérienne qui lui a fourni son modèle d'organisation et sa logistique. Il s'est appuyé sur ses réseaux nationaux et internationaux (notamment l'Église presbytérienne australienne et le World Council of Churches). Lini et ses ministres surent tisser des liens tous azimuts avec les organisations internationales, ce qui permit à Vanuatu de devenir le pays le plus aidé financièrement au monde, notamment par toutes les grandes puissances du bassin Pacifique (Australie, Nouvelle-Zélande, France, Grande- Bretagne, Japon, Chine, États-Unis, Japon) sans compter les pays du Commonwealth. L'échec économique patent du premier plan de développement national, associé aux contestations politiques qui se faisaient entendre au plus haut niveau de l'État, entraînèrent une bonne partie des électeurs des communautés Seven Day Adventist à voter pour l'opposition. À la veille de son troisième mandat, malgré la majorité absolue de 40 sièges sur 46 dont disposait le VP, Lini gouvernait toujours davantage par lui-même, s'appuyant sur une poignée de proches de sa famille, d'un homme d'affaire américain et d'un commerçant vietnamien naturalisé, Dinh Van Tan, ayant fait fortune dans l'archipel grâce aux monopoles d'importations que Lini lui avait concédés. Parmi les autres sujets d'inquiétude que suscitait la dérive autocratique de Lini, on peut signaler l'appropriation par ce dernier de la radio d'État pour son usage exclusif, l'absence de consultation des membres du VP pour l'ensemble de ses décisions, et la prise de contrôle directe par son Cabinet du ministère des télécommunications, des services médiatiques, de la Vanuatu Mobile Force, de la police et des prisons. La kastom à Vanuatu repose encore sur des étapes historiques de l'avènement d'un discours sur la tradition initié par les premiers missionnaires, puis détourné par les partisans des mouvements John Frum et Nagriamel. Elle est une réinvention nationaliste d'un héritage colonial et une figure de rhétorique pour le discours dominant. Aujourd'hui, kastom est plurielle dans la manière dont les nationalistes s'en servent pour dépolitiser les politiques de la tradition, tout en utilisant idéologiquement cette occultation du caractère politique de la kastom pour la promotion du thème paradoxal de l'unité nationale (moderne) dans la diversité culturelle (traditionnelle). Les leaders du VP ont dû développer l'idée que si la kastom est pure sagesse dans son essence, des individus « mal intentionnés », selon eux, comme Jimmy Stevens, pouvaient en faire un mauvais usage et lui faire représenter « une menace à l'unité de la nouvelle nation ».
  22. https://www.persee.fr/doc/jso_0300-953x_2000_num_111_2_2133 178 Marc Kurt Tabani, Walter Lini, la coutume de Vanuatu et le socialisme mélanésien, Journal de la Société des Océanistes, 2000 Selon Hau'ofa, anthropologue et homme de lettres tongien, le traditionalisme des élites dirigeantes du Pacifique consiste à substituer aux traditions adaptées et adoptées par les pauvres d'autres traditions qu'ils jugent plus propices au 'développement' et à la 'stabilité sociale'. À Tanna un courant pro-français et anti-indépendantiste soutenu par les partisans du mouvement cultuel John Frum (qualifié de « Culte du Cargo » par ses détracteurs) fut contenu par les autorités de tutelles, malgré l'assassinat d'Alexis Yolou, jeune premier de la coalition politique francophone. À Santo par contre, une alliance de circonstance entre la communauté des colons français et le Nagriamel, parti traditionaliste du métis Jimmy Stevens, provoqua la sécession de l'île. L'intervention sans succès d'un contingent franco-britannique entraîna, à la demande de Walter Lini, une opération militaire effectuée par la Kumul Force de Papouasie Nouvelle-Guinée avec l'aide logistique de l'Australie. Ce coup de force consacra la victoire des partisans d'une indépendance immédiate et de Lini leur leader, et assura la pérennité de leur pouvoir jusqu'en 1991. L'histoire récente de Vanuatu départage le jeu politique dans l'archipel en deux phases bien distinctes. Dans la première, sous la direction de Walter Lini et du VP, l'idéologie du « Socialisme mélanésien » fut officiellement adoptée et mise au profit d'une dérive autocratique du pouvoir d'État et d'un « consensus mélanésien » tourné en une domination absolue du parti anglophone au gouvernement. Sous sa forme initiale ou dans sa version ultérieure, épurée de tout dogmatisme, le Socialisme mélanésien associé à l'idéologie traditionaliste officielle n'a cessé de revendiquer le fait que la démocratie se plie à l'identité nationale postulée, qu'elle s'adapte à ses règles « coutumières » ; position sans cesse réaffirmée par l'usage convenu de la formule « one pipol, one nason, one kastom » [un peuple, une nation, une coutume]. Pour les petits horticulteurs autonomes de la plupart des régions de l'archipel, le gouvernement de la République souveraine de Vanuatu continuera de ne signifier guère autre chose que la politique de Port-Vila. [. . .] Au-delà des périodiques mises en scènes symboliques telles que les élections, l'Etat demeure au mieux éloigné des consciences et de la vie quotidienne de la majorité des ni-Vanuatu. En science politique, la non-pertinence fonctionnelle de l'État est sans aucun doute, l'un des aspects les plus saisissants de la vie de cette nation post-condomino-coloniale.
  23. https://www.theguardian.com/world/article/2024/jun/14/why-the-pope-has-the-ears-of-g7-leaders-on-the-ethics-of-ai Mais le pape François n'était pas venu principalement [au G7 de Borgo Egnazia] pour prêcher sur l'Otan qui aboie bêtement à la porte de la Russie...
  24. Dernière mise à jour : 31 mai 2024. Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Myanmar_civil_war_(2021–present) Voir aussi : https://en.wikipedia.org/wiki/Template:Myanmar_Civil_War_detailed_map
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