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Tout ce qui a été posté par Wallaby
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Thaïlande
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
14 mai 2024. Comment la Thaïlande est devenue l'un des pays qui vieillissent le plus vite au monde 09:33 La banque centrale a estimé que les parents doivent payer environ 43 000 dollars américains pour élever un enfant de la maternelle à l'université. C'est plus de six fois le PIB par habitant. 22:08 En fait la main d'oeuvre, en pourcentage de la population, a commencé à décliner en 2014. 22:58 La population en âge de travailler, suivant les projections, devrait baisser de 46 millions à 16 millions en 60 ans. Le nombre d'enfants pourrait baisser de 10 millions à 1 million. Comment la Thaïlande s’accommodera-t-elle d'un vieillissement aussi rapide ? -
Niger
Wallaby a répondu à un(e) sujet de legionnaire dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.rfi.fr/fr/afrique/20240519-niger-niamey-et-washington-trouvent-un-accord-pour-un-retrait-américain-d-ici-mi-septembre L’armée américaine s’engage à retirer son millier de soldats et leurs matériels du Niger au plus tard le 15 septembre 2024. -
République démocratique du Congo
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Mani dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.bbc.com/afrique/articles/cn33len9n12o (19 mai 2024) Les forces de défense et de sécurité de la République démocratique du Congo ont annoncé avoir déjoué ce dimanche une tentative de coup d'État dans la capitale Kinshasa. La garde présidentielle congolaise a érigé des barrages routiers pour empêcher les véhicules et les piétons de s'approcher des environs du Palais du Peuple, le bureau du président de la RDC, où des hommes armés non encore identifiés sont entrés aujourd'hui avant l'aube. Des sources sécuritaires parlent d'une attaque qui a commencé entre 3 h et 4 h du matin, d'abord par la résidence du Vice-premier ministre chargé de l'économie et candidat unique au poste de président de la chambre basse du Parlement. Par la suite, des hommes habillés en uniformes militaires ont occupé le Palais de la Nation, le bureau du président de la République qui se trouve au centre-ville, un endroit hautement sécurisé par la garde républicaine. Christian Malanga est bien connu pour ses vidéos très hostiles au régime du président Félix Tshisekedi depuis les USA où il était installé avant cet assaut contre le bureau du président de la République, Félix Tshisekedi. Des images circulant sur les réseaux sociaux depuis ce matin montrent une douzaine d'hommes en treillis militaires, munis des armes AK47 et scandant en anglais "Tshisekedi out" (Tshisekedi dehors). Le groupe armé a également brandi des drapeaux du Zaïre, l'ancien nom de la République démocratique du Congo sous le régime de feu Mobutu, affirmant qu'il souhaitait un changement de régime. Le commanditaire de cet assaut s'appelle Christian Malanga. Il a été identifié dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, accompagné d'une vingtaine d'hommes au palais présidentiel où il a revendiqué l'attaque. S'adressant en lingala, une langue locale, le commanditaire a dit : "Dieu est grand, chers frères ! Nous, les militaires, nous sommes fatigués. Nous ne pouvons pas marcher ensemble avec Vital Kamerhe et le président Félix Tshisekedi." Il se revendique être président du parti politique "United Congolese Party" (Parti uni congolais). Il avait à un certain moment annoncé son intention de participer aux élections de 2023 et se présentait également comme un ancien militaire des Forces armées congolaises. Âgé de 41 ans, il serait mort ce dimanche au cours des opérations menées par les forces spéciales aux environs du palais présidentiel, selon plusieurs sources sécuritaires. https://www.bbc.com/afrique/articles/cgrr84zpl4po (19 mai 2024) Plusieurs heures après l’attaque que l’armée congolaise a qualifiée de "tentative de coup d’Etat", la vie reprend à Kinshasa. Christian Malanga (41 ans), le cerveau présumé de l’attaque, est le leader du mouvement "New Zaire" (Nouvelle Zaïre), mais aussi de la formation politique "United Congolese Party" (UCP). Appelé Commandant par ses partisans, il se réclame du statut d’ancien militaire de l’armée congolaise. Il a grandi à Kinshasa, dans la commune de Ngaba, avant d’émigrer aux Etats-Unis, après des passages en Afrique du Sud et au Swaziland. https://www.rfi.fr/fr/afrique/20240519-rdc-situation-confuse-kinshasa-résidence-de-vital-kamerhe-la-gombé Le commando pénètre au domicile de Vital Kamerhe, qui réussi à se cacher. Deux policiers commis à la sécurité du vice-Premier ministre ont été tués. Un assaillant est mort. Ces assaillants se sont ensuite retranchés dans le palais présidentiel à proximité – où ils ont démonté le drapeau congolais et ont hissé dans la cour du palais le drapeau du Zaïre, l'ancien nom de la RDC. C’est là qu’ils ont été délogés par des membres de la Garde républicaine. Des questions se posent concernant cette attaque La chronologie des faits avec l’attaque en tout premier lieu de la résidence de Vital Kamerhe pose question. Est-ce qu’il était la première cible de cette action armée ? Alors que Vital Kamerhe est probablement le futur président de l’Assemblée nationale, donc, bientôt deuxième personnalité de l’État. Mais l’élection du bureau qui devait avoir lieu samedi a été encore une fois repoussée. Et puis, pourquoi le Palais de la Nation ? Symbole fort de la présidence à Kinshasa certes, mais qui est aujourd’hui plus un palais d’apparat que véritablement le siège du pouvoir. D’ailleurs, le président n’y était pas cette nuit, il se trouvait dans sa résidence. -
République démocratique du Congo
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Mani dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.aciafrica.org/index.php/news/10967/amid-judicial-enquiry-against-him-cardinal-ambongo-meets-dr-congos-president-to-shed-light-on-various-points (18 mai 2024) Le cardinal Fridolin Ambongo de la République démocratique du Congo (RDC), qui fait l'objet d'une enquête judiciaire sur les allégations de "comportement séditieux" portées contre lui, a déclaré que sa rencontre du jeudi 16 mai avec le président du pays, Félix Tshisekedi, visait à clarifier "divers points". S'adressant aux journalistes après la réunion du 16 mai qui aurait duré deux heures, le cardinal Ambongo a déclaré qu'il avait demandé à l'audience de "faire la lumière sur divers points", et qu'avec la rencontre, "tout" est devenu "clair". Il n'y a "plus de problème", a ajouté le cardinal, avant de poursuivre : "Pour moi, normalement, il n'y a plus de problème. Il y avait plus d'incompréhension que de réel problème. Il était nécessaire que nous nous rencontrions pour clarifier tous ces sujets qui ont pu créer un malaise. Et maintenant qu'on s'est parlé, tout devient clair". Le membre congolais de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins (OFM Cap) a déclaré que le point de convergence entre le président Tshisekedi et l'Eglise catholique est "le bien-être du peuple congolais". "Nous sommes condamnés à travailler ensemble, main dans la main, pour le bien de notre pays, qui est aujourd'hui en péril à cause de la voracité des pays voisins", a déclaré le chef de l'Église catholique. -
[Iran]
Wallaby a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela n'est-il pas compliqué à envisager, vu qu'il ne possède pas le titre d'ayatollah ? https://en.wikipedia.org/wiki/Ebrahim_Raisi#Clerical_credentials Selon Alex Vatanka, du Middle East Institute, la "qualification religieuse exacte" de M. Raisi est un "point sensible". "Pendant un certain temps, avant que les médias iraniens n'enquêtent sur lui, il s'est qualifié d'"ayatollah" sur son site web personnel. Toutefois, selon M. Vatanka, les médias "ont rendu public son manque d'éducation religieuse formelle" et de qualifications, après quoi M. Raisi a cessé de prétendre détenir le rang susmentionné. Après cette enquête et ces critiques, il s'est "qualifié de hojat-ol-eslam", un rang clérical immédiatement inférieur à celui d'ayatollah[18]. Raisi s'est ensuite à nouveau déclaré ayatollah peu avant l'élection présidentielle de 2021[19]. Le décret du Guide suprême Ali Khamenei le nommant président le qualifie de hojat-ol-eslam[20]. -
Thaïlande
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.voanews.com/a/multiple-factors-behind-thailand-s-birth-rate-decline-experts-say/7539719.html (23 mars 2024) Le nombre moyen d'enfants nés d'une femme en Thaïlande est d'environ 1,16, selon les chiffres de la Banque mondiale pour 2021, tandis que certains médias rapportent que le taux était de 1,08 pour 2022. Les experts estiment que d'ici 2083, la population thaïlandaise ne comptera plus que 33 millions d'habitants si la tendance actuelle se poursuit, la majorité d'entre eux étant des personnes âgées. La Thaïlande compte actuellement environ 39 millions d'actifs pour une population nationale de plus de 70 millions d'habitants. Sasiwimon Warunsiri Paweenawat, professeur agrégé d'économie à l'université de Thammasat, cite de nombreuses raisons pour expliquer la baisse du taux de natalité. "La baisse est due à l'amélioration du système de santé et à l'excès de contrôle des naissances", a-t-elle déclaré à VOA. "Dans le passé, le gouvernement avait pour politique d'encourager le contrôle des naissances. Le premier programme démographique national de la Thaïlande a débuté dans les années 1970. Selon Mme Sasiwimon, le gouvernement a encouragé la population à avoir moins d'enfants. Les données montrent que cela a fonctionné. Ils avaient même le slogan suivant : "Si vous avez plus d'enfants, vous deviendrez plus pauvres"", a déclaré Mme Sasiwimon. Selon Mme Sasiwimon, l'éducation, le coût de la vie, l'évolution des mentalités et les congés de maternité ont également une incidence sur le faible taux de natalité en Thaïlande. En Thaïlande, les femmes enceintes n'ont pas droit à plus de 98 jours, soit 14 semaines de congé de maternité, ce qui est l'un des taux les plus bas de la région de l'Asie du Sud-Est. La Convention sur la protection de la maternité de l'Organisation internationale du travail recommande un congé de maternité de 18 semaines pour permettre aux parents de se remettre de leur grossesse. -
Océanie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.aspistrategist.org.au/now-is-no-time-for-the-us-to-lose-its-focus-on-pacific-islands/ (17 mai 2024) Après plus de quatre ans de négociations, le financement de l'assistance économique a été approuvé dans le cadre des accords d'association, qui régissent les relations des États-Unis avec les Îles Marshall, les Palaos et les États fédérés de Micronésie. Mais les décideurs politiques, les diplomates et les législateurs américains vont-ils continuer à se concentrer sur l'engagement avec ces pays et d'autres pays insulaires du Pacifique ? Ou l'attention va-t-elle s'estomper ? Depuis 2018, les États-Unis n'ont pas seulement négocié une nouvelle tranche de financement pour les trois États librement associés dans le cadre des accords. Ils ont également travaillé avec l'Australie, le Japon et la Nouvelle-Zélande pour étendre considérablement l'électrification en Papouasie-Nouvelle-Guinée et se sont engagés à moderniser la base navale de Lombrum sur l'île de Manus en Papouasie-Nouvelle-Guinée. [L'administration Biden] a renégocié l'accès des États-Unis aux pêcheries de thon du Pacifique Sud, a convenu d'une coopération en matière de défense avec la PNG, a ouvert deux ambassades dans le Pacifique et a annoncé le projet d'en ouvrir deux autres. Mais... L'électrification en Papouasie-Nouvelle-Guinée progresse à un rythme d'escargot, certains pointant du doigt l'entreprise publique PNG Power. L'implication des États-Unis dans la modernisation de la base navale de Lombrum semble avoir disparu. Les nouvelles ambassades [américaines] des Îles Salomon et de Tonga ont été ouvertes, mais celles prévues pour Kiribati et Vanuatu ne l'ont pas été.- 230 réponses
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2023 Guerre de Soukhot
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.politico.eu/article/israel-war-cabinet-netanyahu-gaza-palestine/ (19 mai 2024) Lors d'une conférence de presse tenue samedi soir, Benny Gantz a déclaré qu'il quitterait le cabinet de guerre si un plan d'installation d'une administration civile dans le territoire contrôlé par le Hamas n'était pas mis en place d'ici le 8 juin. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Je crains un effet Barbara Streisand. Je devine que l'Azerbaïdjan a très peu investi dans cette affaire. Par le fait que nous réagissons, nous amplifions le message, donc nous donnons à l'Azerbaïdjan un retour sur investissement immensément plus grand que celui qu'il obtiendrait si nous nous contentions de lui opposer notre indifférence. https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Streisand -
Inde : politique intérieure et internationale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://international.la-croix.com/world/goodbye-delhi-after-25-years-in-india-a-journalist-is-forced-to-leave-the-country https://www.la-croix.com/international/goodbye-delhi-forcee-a-partir-apres-25-ans-en-inde-la-correspondante-de-la-croix-raconte-20240515 Depuis vingt-cinq ans, l’Inde était le pays d’adoption de Vanessa Dougnac, la correspondante de La Croix basée à New Delhi. En septembre 2022, les autorités indiennes lui interdisent d’exercer sa profession. Sans explication. Durant seize mois, elle se bat pour lever cette sanction. À Delhi, siège du pouvoir, elle observe les mentalités changer et l’étau de la répression se resserrer. Son sort bascule en janvier 2024, lorsque le ministère indien de l’intérieur l’accuse d’écrire des articles « malveillants » et la menace d’expulsion. Elle livre ici un témoignage emblématique du virage autocratique de l’Inde de Narendra Modi, qui brigue aujourd’hui un troisième mandat à la tête du pays. « Sous le joug croissant des obtentions de visa et de restrictions d’accès, les correspondants étrangers se savent les prochains sur la liste. Une paranoïa de précaution s’empare de chacun. Les journalistes délaissent WhatsApp pour basculer sur le réseau Signal. Certains actionnent un minuteur pour faire disparaître leurs messages. D’autres utilisent des périphrases dans leurs conversations. La peur s’apprivoise ». « Mes amis journalistes indiens se confient, à la faveur d’un rhum Old Monk et de la chaleur d’un brasero. Ils décrivent des salles de rédaction assaillies par l’autocensure. Les victoires se limitent à publier une information critique sous forme d’entrefilet. Les enquêtes ont disparu. Pas un mot sur les nouvelles incursions chinoises à la frontière himalayenne, ni sur les affaires de corruption impliquant le gouvernement et le capitalisme dit « de connivence ». Au péril de leur liberté, certains journalistes résistent en se repliant sur des chaînes YouTube » « Puisque je ne peux plus partir en reportage, je voyage sur Twitter. Je suis les comptes des journalistes télévisés qui célèbrent l’ère-Modi : ce sont les « Godi media » [1], terme inventé par le célèbre journaliste Ravish Kumar pour évoquer la servilité d’un chien à son maître. Sur Republic TV, Aaj Tak ou Times Now, leurs débats sont des tribunaux partisans qui détournent les faits pour glorifier le nationalisme hindou et agiter les sentiments antimusulmans. Dans l’arène de Twitter, les esprits critiques sont qualifiés de traîtres à la nation et victimes d’armées de trolls. Je découvre que la nouvelle Inde « nous » hait. Les « médias blancs » sont accusés d’écorner à dessein l’image de l’Inde. Je comprenais les blessures endurées par l’arrogance occidentale et l’humiliation de la colonisation, et j’étais solidaire des Indiens. Mais l’émancipation de l’Inde devient un cri ultranationaliste qui me catapulte dans le camp ennemi ». « Le ministère de l’intérieur, dirigé par le redoutable Amit Shah, me somme de rendre mon titre de séjour. Ses services me reprochent d’avoir enfreint des règles, d’écrire des articles « critiques » et « malveillants » créant «une perception négative et biaisée de l’Inde », de « troubler l’ordre public et la paix » et d’agir contre « les intérêts de souveraineté et d’intégrité de l’Inde » ». [1] https://en.wikipedia.org/wiki/Godi_media -
Slovaquie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai corrigé. -
Lybie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de herciv dans Politique etrangère / Relations internationales
Peut-être parce que tu n'as pas essayé avec l'orthographe "Libye" ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Déjà rien qu'en regardant le paragraphe "distribution" dans les deux articles de Wikipédia, on voit qu'il y a 80% de personnages chinois dans la version chinoise : Zhang Luyi : Wang Miao Yu Hewei : Shi Qiang Chen Jin et Wang Ziwen : Ye Wenjie Lin Yongjian : général Chang Weisi Li Xiaoran : Shen Yufei Eric Wang : Ding Yi Kou Zhenhai : Ye Zhetai He Dujuan : Yang Dong Kenan Heppe : Mike Evans Mike Koltes : colonel Mike Williams Alors que dans la version Netflix c'est l'inverse : 3/12=25% de personnages chinois : Benedict Wong (VF : Paul Borne) : Clarence Shi Liam Cunningham (VF : Mathieu Rivolier) : Thomas Wade Jess Hong (VF : Geneviève Doang) : Jin Cheng Jovan Adepo (VF : Baptiste Marc) : Saul Durand Eiza González (VF : Claire Morin) : Augustina « Auggie » Salazar John Bradley-West (VF : Emmanuel Gradi) : Jack Rooney Alex Sharp (VF : Alan Aubert-Carlin) : Will Downing Rosalind Chao (VF : Ninou Fratellini) : Ye Wenjie Jonathan Pryce (VF : Philippe Ariotti) : Michael « Mike » Evans Marlo Kelly (VF : Marie Perret) : Tatiana Haas Sea Shimooka (VF : Isabelle Andrade) : Sophon Saamer Usmani (VF : Anatole de Bodinat) : Raj Varma -
Slovaquie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.osw.waw.pl/en/publikacje/analyses/2024-05-16/attempted-assassination-slovakias-prime-minister Le tireur, qui s'est avéré être un habitant d'une ville voisine âgé de 71 ans, a été appréhendé sur place. Dans une vidéo enregistrée après son arrestation, il a déclaré qu'il était "en désaccord avec la politique du gouvernement", et l'a notamment critiqué pour les attaques contre les médias. Après le premier interrogatoire, la police a révélé que l'agresseur préparait l'attaque depuis plusieurs jours, mais qu'il n'avait pas l'intention de tuer le Premier ministre. Il s'agit d'un ancien employé d'une agence de sécurité qui possédait l'arme depuis plus de 30 ans. Les médias soulignent également ses liens possibles avec une organisation paramilitaire d'extrême droite et pro-russe, Slovenskí branci (recrues slovaques), qui a été dissoute il y a deux ans. Sur une photo prise en 2016, on voit l'assaillant aux côtés de membres du groupe, et les messages qu'il a postés à cette époque suggèrent qu'il les a au moins soutenus. Une autre photo prise sur les réseaux sociaux en février de cette année le montre lors de manifestations antigouvernementales contre les modifications du droit pénal et la suppression du bureau du procureur spécial (voir "Slovaquie : modifications controversées du droit pénal et conflit avec Bruxelles à l'horizon" https://www.osw.waw.pl/en/publikacje/analyses/2024-02-12/slovakia-controversial-changes-to-criminal-law-and-a-dispute ). L'assassinat attaque par balle du Premier ministre est un incident sans précédent dans l'histoire de la Slovaquie indépendante, longue de trois décennies, bien que le pays ait connu une augmentation de la violence dans la vie publique ces dernières années. En 2018, le journaliste d'investigation Ján Kuciak et sa fiancée ont été assassinés par des tueurs à gages, ce qui a déclenché une grave crise politique. En 2022, une tentative d'assassinat du Premier ministre de l'époque, Eduard Heger, a échoué. L'auteur de la tentative ne l'a pas trouvé à son domicile et a finalement pris pour cible un club LGBT, où il a tué deux membres de cette communauté. Les enquêteurs ont déterminé que Robert Fico, qui était à l'époque une figure de proue de l'opposition, figurait également sur la longue liste de cibles du meurtrier. Par ailleurs, la présidente Čaputová a décidé de ne pas se représenter cette année en raison des attaques verbales virulentes (y compris de la part de Fico) et des lettres de menaces qu'elle avait reçues (voir "Slovaquie : la présidente Čaputová ne se présentera pas à la réélection" https://www.osw.waw.pl/pl/publikacje/analizy/2023-06-21/slowacja-rezygnacja-prezydent-caputovej-z-ubiegania-sie-o-reelekcje ). L'absence prolongée de M. Fico pourrait nuire à la stabilité de la coalition gouvernementale relativement diversifiée, qui comprend des partis allant de la gauche à la droite. https://www.ouest-france.fr/europe/slovaquie/slovaquie-vers-un-probable-maintien-en-detention-du-tireur-6467930c-14f8-11ef-a1e9-6dc8255d0288 (18 mai 2024) Le plus proche allié de Robert Fico, le ministre de la Défense et vice-Premier ministre Robert Kalinak, est pressenti pour le remplacer. La coalition pourrait profiter de la situation pour « serrer davantage la vis », estime Marcin Zaborowski, du groupe de réflexion Globsec. « Je pense que la prochaine étape consistera à accélérer la prise de contrôle des médias publics par les proches de [Robert] Fico », estime-t-il, alors que le gouvernement a déjà adopté une loi controversée en la matière. Le gouvernement pourrait aussi prendre des mesures contre les médias qui s’opposent à lui et renforcer le contrôle des ONG, surtout celles bénéficiant de financements étrangers. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne connais pas ces séries. Mais cela ne constitue-t-il pas une grande différence avec les séries américaines qui sont diffusées dans leur même version en interne et à l'étranger ? S'il y a deux versions, cela ne signifie-t-il pas que la version interne n'est pas exportée ? Donc que la Chine ne "déverse pas" sa culture interne dans le monde ? -
7 juillet 2020. La guerre de Troie a-t-elle eu lieu ? avec l'enjoué, le passionné, le rempli d'humour Thierry Piel, maître de conférences en histoire ancienne à l'Université de Nantes. Spoiler :
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
L'Algérie ne me paraît pas être la référence la plus évidente. La Nouvelle Calédonie est quelque part entre Fidji (autochtones majoritaires, très peu d'Européens) et la Nouvelle Zélande (autochtones minoritaires, Européens majoritaires), c'est à dire ni l'un, ni l'autre. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
La grande différence entre la guerre froide 2.0 et la guerre froide 1.0, c'est qu'un troisième larron s'invite entre les États-Unis et la Chine, à savoir l'Inde. C'est vers un monde tripolaire qu'on s'oriente à l'horizon 2075, suivant la projection de Goldman Sachs : http://www.air-defense.net/forum/topic/22849-relations-et-rivalité-chine-etats-unis/page/24/#comment-1718084 -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Et le moment où l'Angleterre perd son empire, c'est 1947 (indépendance de l'Inde)-1957 (indépendance du Ghana). Le point de bascule de la fin de l'empire Britannique est peut-être l'humiliation franco-britannique de Suez en 1956. Les dernières étapes de la chute de l'empire britannique sont le retrait des bases de Singapour et des Maldives en 1971, et la restitution de Hong Kong en 1997. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je suis d'accord. Pour l'instant les Russes essaient juste de repousser la frontière et le plus loin possible de Belgorod pour protéger cette ville autant qu'il est possible, en créant un embryon de la "zone tampon"/"zone sanitaire" dont Dmitri Peskov a parlé le 18 mars 2024 : En même temps, cela permet d'allonger le front et de mettre l'armée ukrainienne à l'épreuve dans ce qui reste une guerre d'usure. Les Russes peuvent se contenter d'attendre en observant à quel endroit le front sera le plus dégarni du côté ukrainien, pour ensuite attaquer plus profondément à cet endroit. Dans cette optique, ce seraient non pas les Russes, mais bien les Ukrainiens qui décideraient par leur affaiblissement du lieu d'une éventuelle attaque russe plus profonde. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
À la question "Qu'est-ce que le peuple Calédonien ?" une réponse a été apportée dans le texte suivant, qui présente une vision du type "melting pot américain" : -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour être méchant on pourrait rajouter une question : qu'est-ce que le peuple Kanak, vu qu'ils parlent 28 langues différentes, dont 4 seulement sont enseignées dans le secondaire ? -
Sénégal
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/05/17/senegal-le-premier-ministre-ousmane-sonko-s-en-prend-a-la-france-et-a-la-presidence-macron_6233737_3212.html « Nous devons nous interroger sur les raisons pour lesquelles l’armée française bénéficie toujours de plusieurs bases militaires dans nos pays et sur l’impact de cette présence sur notre souveraineté nationale et notre autonomie stratégique », a déclaré [Ousmane Sonko]. La France a en effet des implantations militaires à Dakar. « Je réitère ici la volonté du Sénégal de disposer de lui-même, laquelle volonté est incompatible avec la présence durable de bases militaires étrangères au Sénégal », a-t-il poursuivi. « Ceci ne remet pas en question les accords de défense », a-t-il précisé. Il a aussi fustigé les doubles standards de l’Occident et de ses alliés africains vis-à-vis des Etats du Sahel théâtres de putschs depuis 2020 (Mali, Burkina Faso, Niger). « Ceux qui aujourd’hui condamnent des régimes considérés comme des régimes militaires ou dictatoriaux sont pourtant enclins à aller dans d’autres pays qui ne sont pas démocratiques lorsque leur intérêt s’y trouve pour négocier du pétrole et du marché », a-t-il dit. Il a jugé « inadmissibles » les sanctions prises contre les juntes. « Nous ne lâcherons pas nos frères du Sahel », a-t-il ajouté. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Elle donne lieu à une implication de l'ONU dans la vie de la Nouvelle Calédonie : https://www.nouvelle-caledonie.gouv.fr/contenu/telechargement/10908/94991/file/Rapport+Roland+Berger+-+Audit+de+la+décolonisation.pdf p.61 En préambule, il est tout d’abord important de rappeler que, dès 1986, le mouvement indépendantiste du FLNKS s’est appuyé sur l’Organisation des Nations Unies pour faire entendre sa voix. D’après Caroline Gravelat, enseignante à l’Université de la Nouvelle-Calédonie, l’ONU s’est depuis « affirmée au fil des décennies comme actrice incontestée du processus d’émancipation de la Nouvelle-Calédonie ». A compter de 1998, l’accord de Nouméa prévoit explicitement que « le cheminement vers l’émancipation sera porté à la connaissance de l’ONU »125. De ce fait, la coopération entre l’ONU et les différentes parties engagées dans ce processus s’est depuis traduite par : la collaboration avec le Comité spécial de décolonisation (C24), l’accompagnement d’experts électoraux de l’ONU, portant sur la constitution et la révision des listes électorales et, plus récemment, sur l’envoi de missions d’experts de l’ONU, à la demande de l’Etat, au moment des trois consultations référendaires d’autodétermination. L’organisation aura ainsi tenu « un rôle d’objectivisation », contribuant à « l’apaisement général ». Plus encore, les années 1990-2000, puis 2001-2010 et 2011-2020 sont déclarées par l’Assemblée générale des Nations Unies « comme étant celles de la Décennie internationale de l’élimination du colonialisme et un plan d’action est adopté à cet effet ». Dans ce contexte international, les actions de la France depuis 1998 se sont « pleinement inscrites dans le droit international de la décolonisation ». Pour cela, l’Etat fournit annuellement un rapport faisant état du processus de décolonisation en Nouvelle-Calédonie et ce dernier fait ensuite l’objet d’une résolution sur la Nouvelle-Calédonie, adoptée chaque fin d’année par l’Assemblée générale de l’ONU126 Depuis que la Nouvelle-Calédonie est réinscrite sur la liste des territoires non autonomes, par la résolution 41/41A du 2 décembre 1986, les délégations indépendantistes calédoniennes se sont rendues chaque année à New-York « pour présenter leur cas au Comité » – à noter qu’en 2020, cette session n’a pas eu lieu, en raison de la pandémie de Covid-19. De plus, conformément au plan d’action de l’ONU, le président du Gouvernement de la Nouvelle- Calédonie est « systématiquement encouragé par le comité de décolonisation à participer à sa réunion annuelle, à son séminaire régional, qui se tient soit dans les Caraïbes, soit dans le Pacifique ». Il est aussi invité à contribuer aux travaux de la quatrième commission de l’Assemblée générale de l’ONU – commission chargée « d’examiner les questions de l'ordre du jour en relation avec les questions politiques spéciales et de la décolonisation »128. Dans ce cadre, depuis 2000, la Nouvelle-Calédonie participe au séminaire régional annuel du Comité spécial pour la décolonisation. En 2009, le président du Gouvernement de Nouvelle-Calédonie, « accompagné d’une délégation représentant l’ensemble des sensibilités politiques », s’est exprimé pour la première fois devant l’Assemblée générale de l’ONU – moment marquant, permettant au Gouvernement calédonien de « renouer un dialogue avec l’ONU ». En 2010, sur invitation du président du Gouvernement de Nouvelle-Calédonie, le séminaire régional pour le Pacifique du Comité spécial de l’ONU s’est tenu à Nouméa, avec notamment pour objectif de « présenter devant l’Assemblée générale l’avancement du "chemin vers l’émancipation de la Nouvelle-Calédonie" ». Ce séminaire a été l’occasion « pour les forces politiques calédoniennes de brosser un tableau complet et consensuel de la situation du territoire […]. La présence du président du Congrès, du président de la Province Nord, de plusieurs membres du gouvernement local visait à témoigner de l’esprit de concorde ». Par la suite, la Nouvelle-Calédonie a été représentée aux réunions de la quatrième commission de l’Assemblée générale de l’ONU sur la décolonisation par le président ou le vice-président du Gouvernement calédonien. Par ailleurs, le mouvement indépendantiste du FLNKS est « quasi systématiquement présent aux rendez-vous du Comité et pétitionnaire chaque année devant l’Assemblée générale des Nations Unies ». Ce n’est qu’à partir de 2015 que le mouvement anti-indépendantiste prendra lui aussi part aux différentes collaborations conduites avec l’ONU. Toujours dans cette logique de coopération, le Comité spécial de l’ONU a également envoyé le 20 février 2014 une première mission de visite en Nouvelle-Calédonie, visant à recueillir des informations sur l’application de l’accord de Nouméa. Une deuxième mission de visite du Comité spécial a ensuite été déployée en mars 2018. En 2021, l’Assemblée générale de l’ONU exprimait « sa reconnaissance à la Puissance administrante et au Gouvernement calédonien pour la coopération étroite et l’assistance apportées aux missions de visite ». Dans le contexte des corps électoraux spécifiques à la Nouvelle-Calédonie, un groupe de travail restreint a été mis en place par l’Etat en 2014 portant sur la révision et la constitution des listes électorales. A la demande des représentants de l’Union Calédonienne, l’Etat a sollicité la collaboration de l’ONU à ces travaux – en réponse à des soupçons de fraude émanant de certains partis politiques et à la volonté des Calédoniens de voir évoluer le fonctionnement des commissions administratives spéciales (CAS). Ainsi, sur proposition des membres du comité des signataires, 14 experts de l’ONU (en qualité de « personnalités qualifiées indépendantes ») ont siégé dans les CAS au moment des révisions, sous la coordination d’un 15ème expert indépendant de l’ONU (décret n°2015-1753 du 23 décembre 2015). Une mission d’experts électoraux de l’ONU a été déployée en novembre 2018, lors de la première consultation référendaire, à la demande de l’Etat. Elle était composée de 13 experts électoraux indépendants, coordonnés par l’UNOPS, mobilisés en amont et durant la consultation, avec pour objectif « d’assister au déroulement du référendum et de rapporter au Secrétaire général des Nations Unies l’environnement politique et l’organisation technique de la consultation »137. Dans cette continuité, et toujours « à la suite d’une demande des autorités françaises »140, l’ONU avait à nouveau déployé une mission d’experts électoraux pour assister au deuxième référendum du 4 octobre 2020, mission également « reconduite par Jean-Castex le 24 juin 2021 »141, dans le cadre du troisième et dernier référendum prévu à la fin d’année. -
Bangladesh
Wallaby a répondu à un(e) sujet de nemo dans Politique etrangère / Relations internationales
https://thediplomat.com/2024/05/china-bangladesh-military-exercises-signal-shifting-geopolitical-landscape/ (6 mai 2024) Le Bangladesh et la Chine mèneront leurs premiers exercices militaires conjoints au début du mois de mai. Pékin a investi plus de 25 milliards de dollars dans divers projets au Bangladesh, soit le deuxième montant le plus élevé dans un pays d'Asie du Sud après le Pakistan. Elle a joué un rôle important dans la construction de ponts, de routes, de voies ferrées, d'aéroports et de centrales électriques au Bangladesh. Le commerce bilatéral est passé de 3,3 milliards de dollars en 2009-2010 à plus de 20 milliards de dollars en 2021-22. Il est important de noter qu'un large éventail de produits du Bangladesh bénéficie de droits de douane nuls en Chine. En outre, la Chine est devenue un allié militaire important du Bangladesh. Elle a fourni à la marine bangladaise deux sous-marins rénovés en 2016 à un prix réduit de 205 millions de dollars. En outre, le premier ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, a inauguré l'année dernière une base de sous-marins construite par la Chine pour un montant de 1,21 milliard de dollars. Bien que le Bangladesh et l'Inde aient organisé 11 manœuvres militaires entre 2009 et 2023, les exercices sino-bangladais ont suscité plusieurs inquiétudes quant à leurs implications pour le Bangladesh et les relations entre l'Inde et le Bangladesh. Il y a ensuite la question du nombre important de ressortissants bangladais tués par les forces de sécurité frontalières indiennes alors qu'ils franchissaient la frontière avec l'Inde. L'Inde exerce une influence considérable sur la politique intérieure du Bangladesh. Cette influence a déclenché un mouvement discret de "boycott de l'Inde" au Bangladesh, le principal parti d'opposition, le Parti nationaliste du Bangladesh (BNP), accusant l'Inde de soutenir la Ligue Awami au pouvoir. Alors que la Chine et l'Inde rivalisent d'influence, le Bangladesh pourrait être pris au milieu de cette compétition géopolitique. https://www.dw.com/en/bangladesh-seeks-careful-balance-between-china-and-india/a-68023417 (18 janvier 2024) Après que la Ligue Awami du Bangladesh de Sheikh Hasina a récemment remporté un quatrième mandat consécutif en tant que premier ministre, les partenaires occidentaux du pays ont exprimé leurs inquiétudes quant à un recul démocratique, tandis que la Chine et l'Inde se sont empressées de la féliciter. Le Bangladesh devrait sortir de la liste des pays les moins avancés (PMA) des Nations unies en 2026. Après cette transition, il disposera de trois ans pour mettre fin aux privilèges d'exportation en franchise de droits et de quotas dont il bénéficie actuellement sur le marché européen.