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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Tu fais du "damage control" parce que c'est pas ton opinion, et moi je le cite parce que c'est mon opinion.
  2. "LA RÉVOLTE EST PROCHE" Igor Girkin (Strelkov), un nationaliste qui a joué un rôle clé dans l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2014, vient d'écrire quelque chose d'important à ses 900 000 abonnés sur Telegram. Les éléments clés : Une semaine après la révolte de Prigozhin, qui a abattu 6 aéronefs et tué "plus de 10 (personne ne le sait avec certitude) soldats, aucune mesure n'a été prise pour punir les rebelles". Au contraire, Prigozhin se déplace et entre librement en Russie - et tout le monde se comporte comme si "c'était normal". Aucun des chefs de gouvernement "incompétents ou lâches", ni ceux qui se sont enfuis lorsque Prigozhin s'est présenté, n'ont été punis. Et le "Président" n'en parle même pas. "Le résultat ? UNE NOUVELLE RÉBELLION N'EST PAS LOIN. IL SUFFIT D'ATTENDRE UNE NOUVELLE DÉFAITE AU FRONT ET LA RÉBELLION COMMENCERA." "Peu importe qui commencera la révolte - MAINTENANT, PERSONNE ne résistera à la rébellion. RIEN DU TOUT. CELA N'A AUCUN SENS DE RISQUER SA VIE POUR DÉFENDRE UN GOUVERNEMENT AUSSI INUTILE ET MISÉRABLE". On ne peut pas sauver un pays dont les dirigeants sont tellement "pourris qu'ils ont perdu jusqu'à l'instinct élémentaire de conservation. Ils préfèrent ne rien faire". --- Lorsque des nationalistes purs et durs bien connus, qui se trouvent être d'anciens agents des services de renseignement, déclarent ouvertement que la situation en Russie est incontrôlable : Les choses sont sur le point de devenir TRÈS excitantes à Moscou.
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Il va falloir organiser une petite guerre pour le démontrer.
  4. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    La visite du Premier ministre Modi en France est essentielle pour la marine indienne Le voyage pourrait, par le biais du G2G, stimuler les capacités de modernisation de l'armée indienne, longtemps différées. Mise à jour le : 30 juin 2023 06:28 AM (IST) La visite du Premier ministre Modi en France est essentielle pour la marine indienne NOUVELLES ACHATS : La marine aurait sélectionné le Rafale-M plutôt que le F/A-18 Block III "Super Hornet" de Boeing. Reuters Rahul Bedi Journaliste senior Le prochain voyage du Premier ministre Narendra Modi en France pour assister au défilé de la Bastille en tant qu'invité d'honneur devrait, tout comme sa récente visite aux États-Unis, déboucher sur l'annonce de quelques contrats cruciaux pour la marine indienne. Dans les cercles militaires et sécuritaires nationaux et internationaux, on pense généralement que le Premier ministre Modi a été invité à la célébration du 14 juillet à Paris en prévision de l'annonce par les deux parties de contrats de défense de gouvernement à gouvernement (G2G) qui font l'objet de négociations depuis longtemps. Ces contrats comprennent l'acquisition de 26 chasseurs Rafale-Maritime (M) de Dassault et d'au moins trois sous-marins conventionnels "chasseurs de tueur" diesel-électriques de classe Scorpène, ou SSK, pour compléter six bateaux similaires construits sous licence par Mazagon Dock Shipbuilders Limited (MDL) à Mumbai à partir de 2006. La visite à Paris pourrait également permettre à l'Inde d'accepter la participation de la France, par le biais d'un transfert de technologie, au programme naissant de la marine visant à construire elle-même six sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire (SSN) dans le centre secret de construction navale de Visakhapatnam. L'analyse de ces trois accords présumés est instructive. Premièrement, la marine aurait récemment présélectionné le Rafale-M, bimoteur à aile delta canardée, par rapport au chasseur naval F/A-18 Block III "Super Hornet" de Boeing, à l'issue d'essais réalisés dans le centre d'essais à terre de la marine à Goa en 2022, en vue d'un éventuel déploiement à bord de l'INS Vikrant, le porte-avions nouvellement mis en service. Elle aurait récemment informé le ministère de la Défense de sa préférence pour les Rafale-M, compte tenu de leurs performances opérationnelles globales lors des essais en vol par rapport aux F/A-18, mais surtout en raison de la "similitude" du chasseur français avec les 36 Rafale en service que l'armée de l'air indienne (IAF) a acquis en 2016 pour 8,98 milliards de dollars, achevant ainsi leur mise en service six ans plus tard. En outre, l'achat de Rafale par l'IAF comprenait l'établissement par Dassault d'une installation de maintenance et d'entraînement au vol à Ambala pour les chasseurs, ce qui, selon le raisonnement rationnel de la marine, soutiendrait son futur achat de Rafale-M, d'une valeur de 5 à 6 milliards de dollars, non seulement en réduisant les coûts d'acquisition, mais aussi en accélérant la mise en service de la plateforme. En outre, la marine devait d'urgence confirmer son achat de chasseurs pour Vikrant, car les chasseurs navals russes MiG-29K/KUB, dont le service avait acquis 45 exemplaires entre 2004 et 2010 pour un montant de 2,29 milliards de dollars, s'étaient révélés problématiques sur le plan opérationnel. Dans son rapport de juillet 2016, le contrôleur et vérificateur général avait reproché à la marine d'avoir techniquement accepté ces plateformes russes alors qu'elles étaient "criblées de problèmes, de divergences et d'anomalies". Deuxièmement, l'accord de suivi pour la construction sous licence par MDL de trois autres sous-marins de classe Scorpène est l'autre contrat potentiel sur l'enclume pendant la visite du Premier ministre Modi, après le projet 75-Inde (P-75I) de la marine, bâclé et sans cesse retardé depuis 16 ans, pour construire localement six SSK en collaboration avec un fabricant d'équipement d'origine étranger. Un appel d'offres ultérieur pour ces trois navires permettrait notamment d'éviter une répétition de la "décennie perdue" entre 1995 et 2005, lorsque les installations de construction de sous-marins de MDL sont restées inactives à la suite d'un scandale de corruption impliquant l'importation de quatre SSK allemands HDW Type 209/1500 pour la marine, qui n'a finalement pas été résolu. Dans le cadre de ce contrat, MDL avait construit sous licence deux de ces bateaux allemands, mais les malversations présumées dans le cadre de cette affaire ont entraîné l'arrêt de toute activité de construction de sous-marins dans le chantier naval de Mumbai pendant 10 ans. Par la suite, vers 2005-2006, de nouveaux chantiers navals ont été réhabilités à grands frais pour le programme Scorpène, et des ingénieurs, des mécaniciens et des soudeurs sous-marins qualifiés ont été embauchés à nouveau. Les hauts fonctionnaires du ministère de la défense qui ont visité le MDL en 2022 ont révélé que de vastes zones des installations de construction de sous-marins de l'arsenal étaient désertes, car les six Scorpènes avaient déjà été achevés, et que des groupes d'ouvriers désœuvrés erraient sans but précis. Ces responsables se sont accordés à dire que la marine ne pouvait pas se permettre de répéter une telle folie. Enfin, la France a exprimé sa volonté de s'associer à la Defence Research and Development Organisation, au Department of Atomic Energy, à la Navy et à d'autres organisations connexes pour construire localement six SSN. Le projet de SSN de la marine a été initialement approuvé par le gouvernement au début de l'année 2015, les premiers bateaux de 6 000 tonnes devant être achevés d'ici 2032-33. Les SSN devaient compléter et soutenir opérationnellement les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de classe Arihant, conçus et construits localement et pesant 7 000 tonnes, construits avec le savoir-faire et l'assistance technique de la Russie, notamment en ce qui concerne la miniaturisation de leurs réacteurs à eau légère pressurisée de 82,5 MW. Le programme des SNLE se poursuit actuellement à Visakhapatnam, la troisième plateforme de ce type - simplement appelée S4 - devant être lancée à la fin de 2021, après que l'INS Arighat, le deuxième bateau analogue, a fait l'objet d'une mise au point supplémentaire. Ces SNLE constituent un élément essentiel de la triade stratégique de l'Inde visant à soutenir la dissuasion nucléaire crédible de New Delhi et sa position de non-recours en premier. Début 2023, la France avait proposé à l'Inde de développer conjointement des SSN dans le cadre de son initiative atmanirbharta visant à renforcer l'autosuffisance en matière de besoins matériels, en transférant une technologie basée sur ses SSN de la classe Barracuda, dont le premier, INS Suffren, a été mis en service dans la marine française à la mi-2022. Conçu par Naval Group, qui est également responsable du développement des navires Scorpène, le Suffren de 4 765 tonnes est le premier des six SSN dont la mise en service est prévue d'ici 2030, pour un coût de plus de 2 milliards de dollars chacun. Les Français souhaitent que cet accord avec l'Inde compense l'abandon par l'Australie, fin 2021, de l'appel d'offres de Naval Design visant à fournir à la Royal Australian Navy 12 sous-marins conventionnels diesel-électriques de classe Attack pour un montant de plus de 60 milliards de dollars. Au lieu de cela, l'Australie a conclu un accord de 368 milliards de dollars avec les États-Unis et le Royaume-Uni pour huit SSN dans le cadre du pacte trilatéral AUKUS impliquant les trois pays. L'Inde est elle aussi favorable à une telle coopération avec la France, car la poursuite de l'aide russe à son programme de sous-marins nucléaires reste incertaine, compte tenu des lourdes sanctions punitives imposées à Moscou pour l'invasion de l'Ukraine. Ainsi, à l'instar de la tournée réussie du Premier ministre Modi aux États-Unis, au cours de laquelle plusieurs achats importants en matière de défense ont été confirmés par le Pentagone, sa visite à Paris pourrait, par le biais du G2G, stimuler la modernisation et les capacités opérationnelles de l'armée indienne, qui ont été longtemps différées.
  5. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Bravo, c'est ce qu'on attend de toi, arriver à faire quelque chose avec rien, ça permet l'optimisation de l'emploi des ressources rares comme par exemple investir dans les prisons qui sont saturées, ou dans le système judiciaire qui croule sous les affaires à juger ce qui entraîne des délais insupportables.
  6. Alexandre Loukachenko pourra échanger les armes nucléaires Russes contre la garantie de ses frontières accordée par la Russie
  7. Le T-90 n'est qu'un T-72B dont la coque a été légèrement modifiée par rapport au T-72A original et qui était équipé d'une tourelle T-80U, remplacée plus tard par une tourelle soudée sur le T-90A. Les Russes peuvent utiliser les mêmes procédés que ceux utilisés par les Soviétiques pour produire le char. Ainsi, à notre connaissance, l'UVZ a toujours eu la capacité de fabriquer 500 chars par an à l'aide d'outils de production stockés. Russia’s UVZ halts all secondary output, begins tank mass production Par ailleurs, sur les quelque 2 500 chars en service en Inde, l'Inde en a produit moins de 600 et est en train d'en produire 464 de plus. Le reste a été produit par la Russie. Elle avait donc déjà la capacité de produire 150 à 200 chars par an en temps de paix. Et la production civile d'UVZ représente les deux tiers de son activité. Si la totalité de cette part est maintenant consacrée à la production militaire, cela fait 500 chars par an, même sans utiliser les processus de production soviétiques. Donc, ancien procédé + nouveau procédé + élimination de la production civile + équipe supplémentaire + plus de travailleurs = augmentation du taux de production.
  8. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    La trajectoire surtout est remarquable parce que l'armée de l'air et la Marine ont toujours eu l'outil nécessaire et suffisant pour remplir leurs missions. Un exemple: on déplore l'arrivée tardive du viseur de casque, mais quand donc l'armée a t elle eu besoin d'un viseur de casque? Il arrive maintenant, ça veut peut être dire que bientôt on va en avoir besoin....
  9. Loi de programmation militaire : le Sénat gonfle encore l’enveloppe Les sénateurs ont adopté, jeudi 29 juin, le projet de loi, en augmentant notamment le nombre de blindés, de patrouilleurs et d’avions A400M prévus pour les armées, et en revisitant sérieusement la copie sur ses aspects cyber et renseignement. Après trois jours de débats mouvementés, le Sénat a largement adopté, jeudi 29 juin, en première lecture, le projet de loi de programmation militaire (LPM) pour la période 2024-2030. Une approbation à 314 voix pour et 17 contre – venues des rangs communistes – qui a validé, selon le gouvernement, une nouvelle augmentation de plusieurs milliards d’euros de l’enveloppe budgétaire initiale de 413 milliards – déjà qualifiée « d’historique » – ainsi que plusieurs amendements sensibles liés au cyber et au renseignement, contre l’avis du gouvernement Alors que la LPM était sortie de l’Assemblée nationale, début juin, dans un état presque conforme aux espérances de l’exécutif, le passage par le Sénat, où le parti Les Républicains (LR) est majoritaire, s’est révélé beaucoup plus chahuté. Notamment sous l’impulsion de Christian Cambon, sénateur LR du Val-de-Marne et président depuis 2017 de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, très bon connaisseur de ces sujets, et qui est apparu très offensif à l’approche de la fin de son mandat, en septembre. Principal changement à l’issue de ces débats : la révision à la hausse de plusieurs cibles d’acquisition d’équipements qui avaient été rognées dans la copie de départ du gouvernement, notamment en raison du poids de l’inflation, suscitant doutes et frustration au sein des armées. Les sénateurs ont ainsi augmenté le nombre de blindés de type Griffon (+ 153 unités), de Jaguar (+ 17) et de Serval (+ 325). Ils ont également rehaussé le nombre de patrouilleurs hauturiers (+ 10) ou encore d’avions de transport A400M (+ 2). Bataille de chiffres Ces hausses n’ont toutefois pas réjoui, officiellement, le ministère des armées, qui y a vu des coûts induits non financés. « Vous rajoutez trois milliards d’euros », a souligné le ministre des armées.
  10. Le retour en grace du nucleaire Emmanuel Macron en a fait un cheval de bataille de son second quinquennat : relancer le programme nucléaire. L'occasion pour tout un secteur de se (re) mettre en ordre de marche, en France comme en Europe. Emplois, investissements verts, mini-réacteurs… les enjeux de ce retour en grâce de l'atome sont nombreux. C'est LE grand chantier du second quinquennat d'Emmanuel Macron : la relance du nucléaire. Le président de la République en avait fait l'un de ses arguments de campagne, avant sa réélection en mai 2022. Quelques mois plus tôt, à l'occasion d'un déplacement à Belfort, sur le site de fabrication des turbines Arabelle, Emmanuel Macon avait annoncé un programme nucléaire d'ampleur. La seule manière, selon le chef de l'Etat, de répondre à la fois à la hausse massive de la consommation d'électricité (liée à l'électrification des usages), à la neutralité carbone à horizon 2050, et au maintien d'une électricité à des prix compétitifs afin de ne pas pénaliser les entreprises françaises . Emmanuel Macron n'a d'ailleurs pas hésité à qualifier le nucléaire de « technologie d'avenir ». · Les ambitions du gouvernement Dans son discours de Belfort, en février 2022, Emmanuel Macron affiche les ambitions de la France en matière de nucléaire : - la construction de 14 nouveaux réacteurs : soit six EPR2 (la nouvelle génération de réacteur à eau pressurisée) « dès à présent » et potentiellement huit nouveaux exemplaires « dans les années à venir ». - la prolongation de « la durée de vie de tous les réacteurs nucléaires qui peuvent l'être » à soixante ans et au-delà. Ce programme d'envergure, accompagné d'un développement massif des énergies renouvelables, doit permettre de faire baisser de 55 % les émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030 en France et atteindre la neutralité carbone en 2050. Le président de la République opte ainsi pour l'un des scénarios de mise en chantier les plus ambitieux étudiés par le gestionnaire de réseau électrique RTE dans son rapport « Futurs énergétiques 2050 ». Le chantier, lui, est évalué à « 60 milliards d'euros, sur quinze ans » et devrait mobiliser « des dizaines de milliers de personnes », selon un conseiller de l'Elysée. Le 29 juin, le conseil d'administration d'EDF a validé le dossier de demande d'autorisation de création des nouveaux réacteurs EPR voulus par Emmanuel Macron en Normandie. Le dossier doit ensuite démarrer une phase d'instruction de plus de trois ans auprès du gendarme du nucléaire. · La loi d'accélération du nouveau nucléaire Pour mener à bien son ambitieux programme, le gouvernement a présenté un projet de loi dit d'« accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires ». Le calendrier est serré : le gouvernement entend commencer les travaux du premier EPR2 nouvelle génération avant la fin du deuxième quinquennat d'Emmanuel Macron, en 2027, pour une mise en service à l'horizon 2035-2036. Ce texte est la première brique du vaste dispositif qui doit permettre à EDF d'engager, dès juin 2024, le chantier de construction de deux premiers réacteurs « EPR 2 », de deuxième génération. Ils doivent voir le jour à Penly, en Normandie. Bernard Doroszczuk Président de l'ASN « Ce texte permet, à compter de la première autorisation environnementale, de mener en parallèle l'instruction de l'autorisation de création et les activités relatives à la construction, à l'aménagement et aux travaux préparatoires », explique alors la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher. Autrement dit, à Penly, EDF n'aura pas à attendre la validation de son dossier par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) attendu d'ici à 2026 pour commencer les travaux non nucléaires. De son côté, l'ASN se dit prête à revoir ses méthodes pour prolonger la durée de vie des réacteurs. L'Autorité de sûreté veut changer d'approche pour donner de la visibilité sur la durée de vie réelle des centrales nucléaires française, a expliqué aux « Echos » son président, Bernard Doroszczuk. L'Elysée suit au plus près cette relance du nucléaire. Emmanuel Macron convoque régulièrement un « conseil de politique nucléaire », chargé de veiller à tenir le cap et la cadence de la relance accélérée de la filière, ainsi que la prolongation de la durée de vie des centrales existantes à soixante ans. Le gouvernement accélère également ses travaux de revue du design et des coûts de ces nouveaux réacteurs. Le PDG d'EDF, Luc Rémont, met lui en garde sur la tentation de maintenir des prix de l'électricité artificiellement bas en faisant porter l'effort à EDF. Début mai 2023, députés et sénateurs parviennent à un accord en commission mixte paritaire sur le projet de loi d'accélération du nucléaire. Comme prévu, les parlementaires n'ont pas réintroduit la réforme controversée de la sûreté nucléaire voulue par le gouvernement. Les sénateurs ont cependant levé l'objectif de réduction du nucléaire à 50 % dans le mix électrique à 2035. · Quatre questions soulevées par la relance du nucléaire Le retour en grâce de l'atome ne va pas sans quelques interrogations. En voici quatre. - EPR : des chantiers maudits ? Le réacteur nucléaire EPR, au coeur de la relance de la filière souhaité par Emmanuel Macron, est plus souvent associé à un fiasco (retards à répétition, gouffre financier…) qu'à un succès industriel. L'exemple type étant le chantier dantesque du réacteur de Flamanville. Après dix ans de retard et une facture multipliée par 6 à 19,1 milliards d'euros, il n'est toujours pas en service. Sur les cinq autres EPR vendus par EDF dans le monde - deux en Chine, deux au Royaume-Uni et un en Finlande - seuls les réacteurs chinois tournent à pleine puissance depuis juin 2021. Non sans un incident à peine un mois et demi après leur entrée en service forçant l'opérateur à en arrêter un des deux. L'EPR finlandais a également démarré après 10 ans de retard mais n'a pas encore atteint sa puissance maximale. Défaut de conception, manque d'expertise et de mains-d'oeuvre… la déroute du savoir faire français en matière de nucléaire sur les vingt dernières années est incontestable. Une commission d'enquête du Parlement s'est même penchée sur les raisons d'un tel fiasco. Auditionnés tour à tour, les anciens présidents, Nicolas Sarkozy et François Hollande se sont renvoyé la responsabilité. - Dispose-t-on encore des compétences nécessaires ? La filière, qui représente aujourd'hui 220.000 emplois directs et indirects, a fait ses calculs . Il faudra mobiliser au total 30.000 personnes pour les 3 premières paires d'EPR : ingénieurs, techniciens qualifiés et ouvriers. Mais il faudra poursuivre en parallèle les autres chantiers : la maintenance des réacteurs, le grand carénage des centrales dont la durée de vie doit être prolongée, etc. Un défi colossal pour le secteur dont les compétences se sont évaporées avec la fin du précédent grand programme nucléaire, au début des années 2000. Les PME et ETI devront fournir l'essentiel de l'effort de recrutement. Avec d'ores et déjà un premier faux départ : EDF, dont les finances sont au plus mal, a gelé ses embauches en avril dernier. En 2023, l'électricien et principal donneur d'ordre du nucléaire ne devrait recruter que 3.000 salariés. La relance du nucléaire promet de créer jusqu'à 100.000 emplois en dix ans en France Le 30 juin, Luc Rémont, désigné PDG d'EDF a levéle voile sur son projet de vaste réorganisation interne des métiers du nucléaire. Une nouvelle organisation capable à ses yeux d'« industrialiser la performance », de « définir clairement les responsabilités » pour atteindre la « bonne cadence industrielle ». - Que disent les opposants au nucléaire ? L'atome n'est plus aussi clivant qu'il n'a été. L'idée qu'il faut un « mix énergétique » équilibré entre énergies renouvelables et nucléaire s'est installée dans l'opinion publique, selon un sondage d'Elabe pour « Les Echos ». Difficile, dans ces conditions, pour les opposants historiques au nucléaire de se positionner. A l'image d'Europe-Europe Ecologie-Les Verts (EELV) : « Notre mouvement vient des luttes antinucléaires qui préexistaient à la création des Verts, et c'est dans ces collectifs qu'a germé l'idée d'en faire un parti politique, c'est notre ADN », affirme Marine Tondelier. Mais la secrétaire nationale d'EELV n'a pu que le reconnaître : « Le sujet est plus compliqué aujourd'hui dans l'opinion publique, c'est une certitude. » Le nucléaire reste toutefois « un sujet extrêmement clivant » pour Chantal Jouanno, présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP). L'autorité indépendante, chargée d'interroger les Français sur l'opportunité de relancer ou non la construction de réacteurs en France au cours d'un débat public, a d'ailleurs dénoncé une politique du fait accompli de la part du gouvernement. - Quid des déchets ? Si le nucléaire n'émet quasiment pas de CO2, par rapport aux énergies fossiles, il produit des déchets radioactifs dont la durée de vie est estimée à plusieurs centaines d'années. Ce programme de relance du nucléaire va mécaniquement accroître le nombre de déchets. La filière va devoir s'organiser pour les traiter. Plusieurs projets ont été lancés. Le premier à La Hague (Manche) avec la construction d'une nouvelle piscine de refroidissement des déchets. Les quatre bassins déjà installés, où refroidissent déjà 10.000 tonnes de combustibles usés sortant des centrales nucléaires, sont presque saturés. Le projet, évalué à 1,25 milliard d'euros suscite de plus en plus de contestations. La Commission nationale du débat public (CNDP) demande à EDF plusieurs précisions (dimensions du projet, évaluation environnementale, conditions d'accès…). La défiance forcit contre le projet de piscine nucléaire de la Hague d'EDF Le second est le projet Cigeo de centre d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse). Déclarée « d'utilité publique » en juillet 2022, l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a officiellement déposé au ministère de la Transition énergétique la demande d'autorisation de création du site en janvier 2023. Situé à 500 mètres sous terre, ce projet à 25 milliards d'euros devra permettre d'y stocker des déchets radioactifs à partir de 2035-2040 - et ce pour de très nombreuses années. L'ASN doit désormais se prononcer d'ici à 2027 pour autoriser ou non sa création. Le coût de Cigeo a été estimé à environ 25 milliards d'euros en 2016 par Ségolène Royal lorsqu'elle était ministre de l'Environnement. Le coût de Cigeo a été estimé à environ 25 milliards d'euros en 2016 par Ségolène Royal lorsqu'elle était ministre de l'Environnement.(Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) Plusieurs associations environnementales, et locales, dénoncent le chantier de Cigeo. l'Autorité environnementale, elle, a notamment demandé à l'Andra de « réévaluer » la perméabilité de la nappe phréatique jouxtant les couches d'argile dans lesquelles seront stockés les déchets radioactifs. Mais aussi de « démontrer » la non-sismicité du site. · En Europe aussi, l'atome fait son grand retour La guerre en Ukraine et ses conséquences notamment sur l'approvisionnement en gaz ont relancé, partout en Europe, l'intérêt pour l'atome. A l'initiative de la France, quatorze pays européens ont même créé une « alliance du nucléaire » afin de faire entendre la voix de ceux favorables à l'atome au sein des 27 et de peser sur les décisions européennes en matière de politique énergétique. Sur le plan industriel, les Pays-Bas, ou encore la Suède, ont successivement annoncé de nouveaux projets de construction de centrales nucléaires. Pour ces deux pays, ces annonces marquent un profond revirement de leur politique énergétique. La Hongrie a également ouvert la porte aux industriels français du nucléaire, tandis que le Royaume-Uni a confirmé son intention d'investir aux côtés d'EDF dans un projet de centrale à Sizewell (Suffolk). Enfin, l'électricien français est en lice pour la construction d'un nouveau réacteur en République tchèque. · Investissements verts : le nucléaire fait débat Pour le commissaire européen Thierry Breton, l'investissement nécessaire d'ici à 2050 pour moderniser la filière nucléaire en Europe se chiffre à 500 milliards d'euros. Compte tenu du poids du coût du capital dans le prix final de l'électricité nucléaire, on comprend vite pourquoi il était primordial pour l'ensemble de la filière que l e projet de « taxonomie » européenne intègre le nucléaire . C'est chose faite en février 2022. En plein essor de la finance verte, un tel outil vise à canaliser l'investissement privé vers des projets considérés comme utiles à la transition climatique. Une décision très vite contestée aussi bien par le Parlement européen, que par des ONG, dont Greenpeace et Client Earth. Ces dernières sont même allées jusqu'à porter plainte contre le texte devant la Cour de justice de l'Union européenne. Le nucléaire, par l'intermédiaire de la France, est également venu jouer les trouble-fêtes lors de la rédaction du Plan vert européen, une directive prévoyant le développement des énergies renouvelables. Sous l'égide de Paris, plusieurs pays dont la Hongrie, la Bulgarie, la Finlande ou encore la Pologne… se sont battus pour inclure la reconnaissance de l'hydrogène bas carbone produit avec de l'électricité d'origine nucléaire dans le texte. · Le nucléaire, une technologie d'avenir À l'occasion de la présentation de son plan France 2030, en octobre 2021, Emmanuel Macron n'avait pas hésité à qualifier le nucléaire de « technologie d'avenir ». Trois points pour comprendre de quoi sera fait le futur de l'atome. - L'effervescence des start-up Les projets de start-up dans l'atome se multiplient en France, comme en Europe. A l'instar de Newcleo, la pépite italienne du nucléaire fondée par l'entrepreneur Stefano Buono et qui entend engager un processus de licence de son réacteur au Royaume-Uni début 2024. Start-up du nucléaire visent un marché d'emblée très international, avec des technologies parfois très novatrices, un défi pour les régulateurs du nucléaire européens. - Le pari français des mini-réacteurs Dans le cadre de France 2030, Emmanuel Macron a annoncé une enveloppe d'un milliard d'euros pour le développement, entre autres, des Small modular reactors (SMR). Des mini-réacteurs d'une puissance de 170 MW, dix fois moins qu'un réacteur classique. La France s'est même choisi des champions capables de faire revenir le pays dans la course aux petits réacteurs que se mènent les grands pays de l'atome dans le monde : la Chine, les Etats-Unis ou encore la Russie. Les start-up Naarea et Newcleo vont bénéficier de près de 25 millions d'euros de subventions publiques. Tandis que le projet du consortium mené par EDF, Nuward, va bénéficier de 300 millions d'euros pour réaliser son « avant-projet détaillé ». - La fusion nucléaire en ligne de mire Jusqu'à présent, les centrales nucléaires produisent de l'électricité grâce à la chaleur dégagée par la fission d'atomes d'uranium. A l'avenir, ce procédé pourrait bien être remplacé par… la fusion nucléaire, une réaction dans laquelle deux noyaux atomiques légers s'unissent pour en former un seul plus lourd en libérant une énorme quantité d'énergie. Mais cette technologie reste à perfectionner car elle requiert encore trop d'énergie pour y parvenir. En décembre dernier, le laboratoire Livermore en Californie a réussi une réaction de fusion produisant plus d'énergie que celle mise en oeuvre pour la susciter. Pour les spécialistes, ce récent succès ne signifie pas pour autant que les réacteurs à fusion sont pour demain. Un autre des obstacles reste leur alimentation en tritium, matériau le plus cher au monde. Le projet français Iter, lui, accuse déjà cinq ans de retard. Comme pour l'EPR de Flamanville, un problème de soudures dans les pièces maîtresses de l'installation est à l'origine de ce problème de calendrier.
  11. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Et elle a toujours remplis son contrat opérationnel.
  12. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Dassault Aviation et l'armée française intègrent les drones Donecle pour le Rafale Jeremy Kariuki 27 juin 2023 Dassault Aviation et la Direction de la maintenance des aéronefs (DMAé) des forces armées françaises ont convenu de mettre en œuvre le service d'inspection par drone d'intelligence artificielle (IA) AirScan de Donecle pour les avions Rafale. Donecle explique que le service AirScan a été rendu possible par sa collaboration avec Dassault, grâce à leur expertise technique et à leurs solutions logicielles. Au cours des cinq dernières années, Donecle et Dassault ont testé l'utilisation d'AirScan pour l'inspection des cellules du Rafale, de l'Atlantique 2 et de la famille Falcon. "Notre devoir en tant qu'entreprises de défense est de soutenir nos forces armées. Les accords verticaux qui sous-tendent ces contrats de cycle de vie sont fondés sur les principes d'un seul maître d'œuvre, de services complets et d'une longue durée de vie", déclare Bruno Chevalier, vice-président exécutif senior de Dassault, Military Customer Support. Un premier accord signé en 2020 a permis à la DMAé de développer et de tester le service dans le cadre de son programme de modernisation " Standard F4 " sous la supervision de la Direction Générale de l'Armement (DGA). Tout au long du programme, les drones ont été utilisés à titre expérimental sur plusieurs bases aériennes et navales. Le nouveau contrat prévoit la livraison d'une dizaine de kits de drones à différentes bases Rafale et au porte-avions Charles de Gaulle, une première mondiale pour l'inspection d'aéronefs en mer. "Nous devons moderniser nos ressources si nous voulons respecter cet engagement, et il est essentiel que nous apportions notre capacité d'innovation à nos forces armées", déclare M. Chevalier. "Ce premier contrat pour le service AirScan sur le Rafale ouvre la voie à la modernisation des moyens et services déployés sur les autres avions de Dassault Aviation, qu'ils soient civils ou militaires.
  13. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    De toute façon ils sont plug and play, et on est en déficit, donc on trouvera toujours une utilisation: un peu à la Marine, un peu à l'armée de l'air...
  14. Quand sur le F-35 il y a un truc qui marche pas, les clients protestent et se disent que ce doit être les USA qui bloquent, mais en fait non, c'est juste que le f-35 ne marche pas.
  15. Pour moi il n'y a aucune raison pour ne pas les moderniser, en plus ils n'ont pas plus d'heure de vol que les autres puisqu'ils sont resté des années sous cocons. Pour moi elle est prévue cette année
  16. Et pour des blindés lourds tu prend un BPC.
  17. Le CEPA/10S expérimente le nouveau standard du Rafale Marine F4.1 Direction : Marine / Publié le : 21 avril 2023 Le détachement « Chasse » du CEPA/10S (centre d’expérimentations pratiques et de réception de l’aéronautique navale) conduit depuis février 2023 les expérimentations du Rafale au nouveau standard F4.1. Ce nouveau standard introduit le « combat collaboratif » par des améliorations du système d’autoprotection SPECTRA et de la conduite de tir air-air du missile METEOR. Le standard F4.1 apporte également de nombreux gains capacitaires, avec notamment l’arrivée du viseur de casque SCORPION, du nouvel armement air-sol AASM de 1000kg, de l’évolution « NAVWAR » des centrales inertielles, ainsi que d’une nouvelle version logicielle du POD de désignation laser Talios. Le CEPA/10S a déjà réalisé près de 100 heures de vols sur Rafale Marine F4.1. La campagne d’expérimentations a débuté à bord du porte-avions Charles De Gaulle du 21 au 30 mars, mobilisant pas moins de 3 Rafale Marine au standard F4.1, une équipe de plus de 60 marins du ciel, des experts de la DGA et des industriels du programme Rafale. Près de 40 vols d’expérimentation du nouveau standard ont pu être réalisés à bord, pour confirmer son adéquation à l’environnement embarqué, s’assurer de la non régression des capacités par rapport au standard F3R, et éprouver les nombreuses nouvelles fonctionnalités. Ces vols ont notamment été mis à profit pour évaluer les spécificités inhérentes aux missions aéromaritimes : menaces air/mer, vieillissement des matériels spécifique aux catapultages/appontages, emploi de la nacelle de ravitaillement NARANG. Par ailleurs, les opportunités d’interactions du standard F4.1 avec le groupe aérien embarqués et les forces de surface à la mer ont permis d’évaluer ce nouveau standard dans des conditions complexes représentatives des conditions d’emploi opérationnel du Rafale (brouillage radar par une FREMM DA, brouillage GPS par DGA/MI). Ces évaluations complexes, en interaction avec les unités opérationnelles, s’inscrivent pleinement dans la volonté de préparation aux conflits de haute intensité et aux menaces présentes sur les théâtres contemporains. Cette campagne à bord du porte-avions Charles De Gaulle a par ailleurs été l’occasion de tester au sol de nouvelles fonctionnalités : alignement référentiel porte-avions, version F4.1 du système d’information Harpagon (lecture des pannes), évaluation du chariot électrique SEFIAM de mise a poste de tous types d’emports et armements. Le CEPA/10S s’attèle à présent à finaliser les travaux qui permettront la mise en service opérationnel prochaine du standard F4.1 au sein de l’aéronautique navale.
  18. Electricité : les risques sur le réseau français se dissipent peu à peu Le gestionnaire de réseau ne montre aucune inquiétude pour cet été. Pour cet hiver, les risques ont aussi nettement diminué. Ce qui fait que la France devrait redevenir exportatrice nette sur l'ensemble de l'année. La disponibilité du parc nucléaire s'est améliorée, ce qui fait diminuer les craintes de RTE pour l'hiver prochain. Publié le 28 juin 2023 à 10:37Mis à jour le 28 juin 2023 à 15:07 Le retour à la normale se fait progressivement. Selon RTE, les risques de tensions sur le réseau électrique français sont en train de se dissiper. Le gestionnaire de réseau se montre optimiste pour cet été, et même au-delà. « La production nucléaire sera nettement plus élevée que l'an passé au cours des prochains mois, les stocks hydrauliques et gaziers sont très satisfaisants pour la saison, les parcs éoliens en mer de Saint-Brieuc et Fécamp vont commencer à produire, ce qui va augmenter la disponibilité dans la seconde partie de l'année », explique Thomas Veyrenc, directeur exécutif de RTE chargé du pôle stratégie, prospective et évaluation.
  19. Rébellion : ce réseau clandestin d'officiers qui a prêté main-forte à Wagner Alerte publiée le 26/06/23 à 11 h - L'Ordre de la République, un groupe d'officiers opposés au régime de Poutine et à la guerre en Ukraine, a facilité l'exécution des actions de Wagner de Rostov à Moscou, en organisant désinformation du FSB et mutineries. Une alliance de circonstance dont Intelligence Online a pu vérifier les détails.
  20. Les contrats MCO https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/salon-du-bourget-2023/actus-en-images/les-contrats-mco/
  21. J'ai donné là un planning à peu près réaliste:
  22. http://www.air-defense.net/forum/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1640158
  23. Il leur faudrait des Atlantique, mais on n'en produit plus.
  24. A mon avis ils voudront un Rafale F4.3 en 2028, produit en Inde, avec les réseaux et les circuits de refroidissement permettant le rétrofit en F5. Ce qui implique une définition préliminaire du F5 en 2025 (1 an pour signer, 1 an pour étendre DRAL, début de l'assemblage du premier Rafale Indien : il faut alors avoir la définition F5 du câblage et du circuit de refroidissement, c'est à dire avoir définis les différents sous systèmes et leur emplacement ainsi que leur interface mais sans connaître leur performance ni qui les fabriquera (appel d'offre ultérieur)).
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