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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Ce n'est d'ailleurs peut-être pas pour rien que nous on a pu diminuer de 1/3 le nombre de Rafale que l'on compte acheter.
  2. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Non tu n'as pas bien compris: en efficacité le Rafale est à 300, le SU-30 MKI est à 100 et le F-16 est à 70 Donc avec 36 Rafale en l'air on a une efficacité de 36*300 = 10800 et il faut 10800/70 = 154 F-16 (et non pas 102) pour atteindre la même efficacité. Et on n'a pas tenu compte du fait qu'il est sans doute plus facile de mettre un Rafale en l'air qu'un F-16. On peut tenir compte de ce fait pour le SU-30 MKI il faut 2.5 fois plus de SU-30 MKI que de Rafale au sol pour en avoir le même nombre en vol et il faut 3 fois plus de SU-30 MKI en vol que de Rafale pour avoir la même efficacité. La combinaison des deux donne un facteur 7.5 et donc 36 Rafale sont équivalents à 270 SU-30 MKI. C'est comme si ils avaient doublé leur flotte de SU-30 MKI !!! M'enfin au départ j'avais rapporté ça surtout pour faire comprendre qu'il fallait arrêter de comparer le Rafale aux F-15 et F-16.
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    En Inde les évaluations du Rafale sont les suivantes: Pour mettre en vol un Rafale: un escadron de Rafale peut remplacer 2,5 escadrons de SU-30 MKI (Dixit IAF) Une fois les avions en vol, une estimation de l'efficacité: si un SU-30 MKI est au niveau 100 un F-16 a 30 % d'efficacité en moins et un Rafale a 200 % d'efficacité en plus. Les Indiens estiment que le SU-30 MKI est supérieur au F-15.
  4. Ils vont fouiller sous prétexte de savoir si un truc ne pourrait pas être une cause de défaillance et pour cela il faudra qu'ils comprennent comment ça marche...et après ils passeront à l'autre et ainsi de suite.
  5. Dassault peut tout faire, il a même fait le Mercure! Mais c'est pas sa tasse de thé. Ce serait une cellule un peu plus lourde que l'ATL2. Mais à l'époque il y avait le Transall et l'ATL2 dans la même catégorie, avec les mêmes moteurs ce qui montre qu'il y a quand même des différences.
  6. D'abord je ne connais pas très bien ce qui se passe à bord du Rafale. Je n'avais pas à en connaitre. Mais en restant dans les généralités, ce qui caractérise ce type de système c'est qu'il faut à la fois un haut niveau de sécurité et un haut niveau de sureté de fonctionnement ce qui est antinomique même si ce n'est pas intuitif. Je prends l'exemple d'un PA, si tu appuis sur la détente le coup doit partir, c'est la sureté de fonctionnement, l'idéal c'est que ce soit sûr à 100%. Mais tu vas quand même vouloir que le coup ne parte pas tout seul, donc tu vas mettre une sécurité et là tu n'a plus une probabilité de 100% que le coup parte, alors tu étudies comment tu peux enlever facilement la sécurité tout en faisant des actions qui soient intentionnelles...etc. Alors rien que pour pouvoir calculer une probabilité de défaillance les US vont vouloir l'architecture du système... et beaucoup d'autre chose et ça Dassault va pas apprécier surtout si c'est pour vendre quelques Rafale seulement à l'Allemagne.
  7. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Pour l'instant la situation sur le marché du Rafale va en s'améliorant, et ce malgré la présence du F-35, pourquoi ne pas imaginer que cela continue ainsi? Peut être que le temps ne joue pas en faveur du F-35? Le Rafale correspond pile poil à la définition que Brown a donné de l'avion de génération 5- qui devrait être développé pour coûter moins cher lorsque c'est pas Dimanche.
  8. Là c'est Dassault qui ne sera pas d'accord pour ne pas donner aux US les informations qu'ils demanderaient pour faire l'intégration.
  9. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Je crois qu'il est complètement pourri, et que les US raclent la pourriture, et qu'ils auront fini seulement en 2031. En attendant, pour les contrats à l'export, le parapluie US est là pour compenser....à condition de ne pas chier dans les bottes US, qu'on se le dise. Tous ces pays qui achètent des F-35 sous traitent leur sécurité aux US.
  10. 5 chez les sous traitants c'est la cadence qu'il faudrait pour alimenter une chaîne d'assemblage à Mérignac et une en Inde... enfin peut être pas tous les sous traitant si on prend en compte les besoins de Make in India mais certains.
  11. Lettre de Bernard Accoyer à RTE Monsieur le Président Vous avez, dans votre conférence de presse du 25 octobre, présenté les résultats de l’étude réalisée par RTE intitulée « Futurs énergétiques 2050 ». Je souhaite d’abord saluer l’immense travail de grande qualité réalisé par vos collaborateurs et l’initiative de la très large concertation publique, inédite et fructueuse, qui l’a nourri. Toutefois, les résultats de cette étude sont entachés d’une hypothèse de départ très restrictive, pourtant d’importance majeure. Le scénario de référence prévoit une consommation d’électricité en 2050 limitée à 645 TWh, à peine supérieure de 35 % à celle de 2019, dernière année « normale » connue, alors qu’il faudra s’être débarrassé des énergies fossiles, qui ont représenté près de 70 % de l’énergie finale consommée cette même année. La marche à franchir est donc immensément haute. Pourquoi cette limitation à une valeur aussi faible, alors que vous avez reconnu et écrit dans vos documents que des pays voisins comparables au nôtre prévoyaient des augmentations de leur consommation d’électricité de 70 à 80 %, c’est-à-dire deux fois plus élevées ? D’où vient cette limitation drastique ? Vous avez, en réponse à une question, répondu dans votre conférence que vous aviez travaillé la « main dans la main » avec l’association NégaWatt et l’ADEME, dont on ne peut ignorer l’opposition au nucléaire, de notoriété publique. C’est évidemment votre droit, mais je m’étonne qu’à l’inverse vous n’ayez même pas pris en considération les estimations de nos deux Académies, celle des sciences et celle des technologies, dont les compétences sont incontestables et l’indépendance de jugement totale ?Vous ne pouvez ignorer que toutes deux ont abouti à des prévisions qui se situent entre 800 et900 TWh et sont d’ailleurs parfaitement cohérentes avec celles des pays voisins précités. À moins que vous n’ayez choisi de suivre une consigne venue du ministère, ce qui serait contraire à la mission de prospective légalement dévolue à RTE, que vous avez opportunément rappelée au début de votre conférence ?Sur le fond, vous avez tenté de justifier cette très faible consommation par les progrès d’efficacité énergétique attendus. Vous ne pouvez cependant ignorer que ces progrès ont été très faibles depuis plus de 20 ans, de moins de 1 % par an. Passer à une échelle requise au moins trois fois supérieure sera d’évidence un défi majeur qui ne se décrète pas. Miser à ce point sur les progrès d’efficacité énergétique représente par conséquent un grand risque, qui sera très difficile à corriger au fil du temps dans un secteur dont vous êtes le premier à reconnaître les très grandes constantes de temps d’évolution. Vous les avez d’ailleurs opportunément rappelées en conclusion de votre conférence de presse en déclarant qu’il y avait urgence à se mobiliser pour 2050. Cette hypothèse restrictive introduit donc un biais majeur dans vos prévisions. Vous avez certes évoqué une hypothèse « Réindustrialisation profonde » à 752 TWh qui va dans le bon sens, mais elle n’a pas été documentée comme le scénario de référence et mériterait d’être poussée plus loin au vu des variantes « Hydrogène + » et « Efficacité énergétique réduite »susceptibles de cumuler leurs effets additifs à l’hypothèse « Réindustrialisation profonde ». Il me paraît donc indispensable de pousser les études jusqu’aux niveaux de consommation anticipés par les Académies pour réellement disposer d’une vision prospective complète et robuste. Par ailleurs, concernant la capacité nucléaire en 2050, vous vous êtes limité à« la proposition industrielle la plus haute de la filière [qui] consiste à date à atteindre un parc nucléaire d’une capacité complète de 50 GW en 2050 »tout en précisant plus loin avec raison : « Cette projection pourra être amenée à évoluer avec le temps : sans réinvestissement dans la filière, sa capacité projetée à long terme continuera de diminuer, tandis qu’une décision rapide de relance pourrait conduire, ultérieurement, à revoir à la hausse ses perspectives ». Pourquoi, là encore, ne pas avoir élargi l’éventail des possibilités, ce qui relève à nouveau pleinement de votre mission prospective ? Car il est essentiel d’y voir clair dès que possible. Ce serait en l’occurrence indispensable à deux égards : vos études publiées le 25 octobre mettent clairement en évidence que c’est le scénario qui comporte le plus de nucléaire qui : est le moins coûteux de tous ; a le moins besoin de capacités de « flexibilité » pour assurer l’équilibre du réseau ; a le moins d’impact sur les modifications des réseaux de transport et régionaux ; a le meilleur bilan carbone de tous. Ceci sans compter qu’il minimise le recours aux éoliennes et aux grands parcs photovoltaïques qui posent d’importants problèmes potentiels d’acceptabilité sociétale. De plus, pour faire face à des consommations qui ont toutes chances d’être supérieures à celle de votre scenario de référence, il sera nécessaire d’augmenter la production, donc la capacité nucléaire qui est le moyen le plus performant au vu de votre étude. Afin d’éclairer les décisionnaires politiques et permettre aux industriels de se positionner, il me semble de ce fait indispensable d’étudier des scénarii comportant notablement plus de nucléaire. Mais peut-être cela est-il prévu dans les mois qui viennent, puisque vous avez annoncé que vos études vont être complétées ?Les échanges avec nos voisins européens vont constituer un enjeu de plus en plus crucial. Vous insistez sur la nécessité d’accroître les capacités des lignes d’interconnexion, sans évoquer les capacités de production qui seront effectivement disponibles. Dans une Europe aux capacités de production pilotable réduites, fortement dépendante de l’énergie éolienne et donc des régimes de vent en Europe de l’Ouest, il est peu vraisemblable que les secours entre pays soient au rendez-vous à la bonne échelle. Quant au photovoltaïque, on ne peut bien sûr rien en attendre lors des pointes de consommation hivernales les plus élevées à 19 heures. Les prévisions d’importations très élevées figurant dans votre étude me semblent donc pour le moins optimistes et porteuses de risques et de contraintes fortes sur les consommateurs. Je voudrais terminer par une considération stratégique : il y a une très forte dissymétrie entre un risque de surinvestissement et celui d’un sous-investissement dans le nucléaire. Dans le premier cas, l’électricité nucléaire française trouvera très facilement à s’exporter dans une Europe qui manquera de moyens pilotables, il n’y a donc aucun risque d’investissements échoués. Dans le deuxième cas, le pays risque de manquer d’électricité, d’autant plus si des difficultés de développement des sources renouvelables se font jour. Les conséquences économiques et sociales seraient alors majeures pour le pays et ses citoyens. Développer le nucléaire est par conséquent une opération sans regret. Je reste à votre disposition, avec le Collège d’experts de PNC-France, pour participer aux réflexions concernant la capacité nucléaire souhaitable, et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées.
  12. La surveillance côtière à l'épreuve du développement éolien Le développement des éoliennes en mer posant un défi aux systèmes de surveillance par radars que les entreprises de défense et de sécurité peinent encore à résoudre, les pays européens multiplient les initiatives afin de venir à bout du problème. [...]
  13. Je pense que c'est une incompréhension de journaliste: ça n'apparait pas dans les communiqués officiels ni de Dassault ni du ministère des armées qui eux disent "la dernière version".
  14. Ce n'est pas une erreur de traduction, il y a la même affirmation en Anglais !!! Mais ce n'est pas pour ça que j'ai mis l'article et c'est sans doute un peu trop d'enthousiasme de la part de l'institut Coréen.
  15. South Korea and the UAE sign a $3.5 billion Air-defence missile deal La Corée du Sud et les EAU signent un accord de 3,5 milliards de dollars pour des missiles de défense aérienne 2022-01-17 Le chef du département du programme d'acquisition de la défense, Kang Eun-ho, a déclaré aux journalistes dimanche à Abu Dhabi que la Corée du Sud avait accepté de vendre les missiles sol-air de moyenne portée Cheongju-2 aux EAU. Une source informée a déclaré à Bloomberg que la valeur de la transaction s'élevait à 3,5 milliards de dollars. La signature de l'accord a eu lieu en marge de la visite du président sud-coréen Moon Jae-in aux EAU et de sa rencontre avec le premier ministre Sheikh Mohammed bin Rashid. La visite de Moon Jae-in aux EAU fait partie de sa tournée au Moyen-Orient, qui durera une semaine et comprendra l'Égypte et l'Arabie saoudite. L'accord a démontré la position croissante de la Corée du Sud en tant que source d'exportations technologiques et culturelles. La Corée du Sud était le plus grand exportateur d'armes au monde entre 2016 et 2020, selon l'Institut coréen de recherche pour la planification et le développement des technologies de défense. Lors de sa visite à Dubaï, le président de la République de Corée du Sud et son épouse Kim Jong Suk ont assisté à la célébration de la fête nationale de leur pays à l'Expo 2020 de Dubaï, dans le cadre de la promotion de son pays pour accueillir l'Expo 2030. Les Émirats arabes unis ont déclaré mardi qu'ils allaient acheter des missiles de moyenne portée à la Corée du Sud dans ce qui serait la plus grande vente d'armes de Séoul, d'une valeur de près de 4 000 milliards de wons (3,5 milliards de dollars). Le pays du Moyen-Orient serait le premier à acheter le missile coréen surface-air outre-mer, connu sous le nom de Cheongung, que les rapports locaux sur place ont décrit comme l'un des plus avancés au monde qui améliorera la qualité de la défense antimissile des EAU. La série Cheongung, déployée en 2015 pour frapper des cibles volant à 15 kilomètres de haut et moins, complète la défense antimissile de la Corée, grâce à laquelle un missile Patriot intercepte les menaces volant jusqu'à 20 kilomètres de haut, tandis que le système Terminal High Altitude Area Defense surveille les cibles situées à au moins 40 kilomètres de haut. La série Chengung existe en deux versions, l'une pour les avions et l'autre pour les missiles balistiques. Abou Dhabi achète la seconde version pour renforcer sa défense aérienne, mais n'a pas précisé le nombre de missiles qu'il achemine pour la moderniser. Une batterie Cheongung complète comprend un lanceur transporteur transportant huit missiles d'une portée de 40 kilomètres, un radar et un véhicule de commandement. La série Cheongung est censée être capable de résister à des conditions climatiques extrêmes et aux interférences électromagnétiques. Le Cheongung serait plus performant que le système Patriot fabriqué aux États-Unis, car il est plus rapide à viser une deuxième cible après le tir initial.
  16. https://defense-update.com/20110506_precision_attack.html
  17. Je pense qu'on verra le nombre d'avions et le prix quand ce sera signé.
  18. Ils ont prévu $ 5;8 milliards pour 36 avions mais les 6 premiers doivent être en moyenne plus chers que les suivants....
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non parce que si ils ont réussi à faire le tri dans leur situation tactique malgré les problèmes de fusion, et à désigner une cible malgré les problème de ciblage et la difficulté de se coordonner compte tenu de leur communication déficiente et de leur navigation approximative, alors il leur reste à surmonter les problèmes d'armement pour pouvoir réussir leur mission. Tout cela en renseignant l'ennemi du fait des limites de la cybersécurité. Mais bon, ils sont furtif, hein.
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