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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Oui ils ont mis 40 ans à faire un Mirage 2000 et ils pensent pouvoir faire un Rafale en 5 ans.
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Le problème c'est la sécurité et les protocoles qu'on peut valider sur un porte avion pour y faire face, sinon il peut décoller à 24,5 t depuis le tremplin. Cela ne se calcule pas sur un coin de table, et il vaut mieux faire des mesures avant de s'avancer. http://www.air-defense.net/forum/topic/21-linde/?do=findComment&comment=1476797
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Bof, ça n'occupe que 7 points d'emport, il peut faire mieux... Je suis sûr qu'on peut lui mettre 4 bidons une nou-nou et quelques missiles.
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Je ne vois pas de problèmes, mais ce n'est pas une configuration utilisée, donc il faut peut être faire des essais. On peut aussi imaginer 2 Meteor à la place des 2 MICA EM et on peut imaginer que pour F4 le point 3 sera ouvert pour 2 MICA supplémentaires.
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Chez moi c'est tombé en marche!
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Fadjar Prasetyo est pour l'achat immédiat du Rafale mais c'est le concurrent du président de la république qui peut bloquer longtemps la vente.... -
Moi j'attends qu'on me dise que le Rafale a décollé du tremplin avec une masse de plus de 24 t.
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Non c'est l'efficacité du Rafale qui explique qu'on peut limiter leur nombre (parce que les politiques sont inconscient des risques qu'ils prennent) La durée de vie des Rafale est calculé à 7500/250 = 30 ans (je ne tiens pas compte de l'augmentation à 9000 h du potentiel car on ne sait pas comment il sera géré). Donc si l'objectif est que chaque Rafale atteigne sa durée de vie prévue, cela veut dire qu'on le retire 30 ans après son introduction et donc la période de retrait durera aussi longtemps que la période d'acquisition.
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Nucléaire : le gendarme de l'atome réclame « plus de marges » Pour le président de l'Autorité de sûreté nucléaire, Bernard Doroszczuk, le système électrique français fait face à un double défi : l'absence de marge de manoeuvre et un déficit d'anticipation sur l'évolution du parc nucléaire. Deux enjeux à prendre en considération dès à présent afin de ne pas mettre en concurrence, le moment venu, sécurité d'approvisionnement et exigences de sûreté. Par Enrique Moreira Publié le 19 janv. 2022 à 17:17 Mis à jour le 19 janv. 2022 à 18:25 A bon entendeur. Même si la sûreté des installations nucléaires de l'Hexagone se maintient dans l'ensemble à un « niveau satisfaisant », l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a tenu à faire passer mercredi, par la voix de son président, Bernard Doroszczuk, un certain nombre de messages forts aux pouvoirs publics qui se démènent actuellement pour limiter l'envolée des tarifs de l'électricité. Alors que les candidats à l'Elysée soupèsent la relance du programme nucléaire évoquée par Emmanuel Macron, le premier voeu du gendarme du nucléaire est « de maintenir des marges de manoeuvre dans le dimensionnement du système électrique et des installations » pour ne pas avoir à transiger sur des questions de sécurité qui pourraient mettre le réseau sous très forte tension. Que ce soit à court, moyen ou long termes. Réacteurs à l'arrêt Dans cet hiver qui voit le prix de marché de l'électron évoluer à des niveaux stratosphériques, la production nucléaire « est marquée par une moindre disponibilité du parc nucléaire que celle envisagée », rappelle-t-il. Les raisons de cette situation étaient pour certaines connues de longue date (retard de l'EPR de Flamanville, fermeture des réacteurs de Fessenheim, opérations de grands carénages…), mais d'autres ne l'étaient pas (pandémie de Covid-19 et mise à l'arrêt de cinq réacteurs). Ces dernières semaines, EDF a en effet découvert au sein de cinq réacteurs - à Civaux, Chooz et Penly-, des fissures qui réclament réparations et qui pourraient éventuellement être détectées sur d'autres réacteurs de conception similaires - ce qui pourrait grever davantage la production atomique. « Il s'agit d'un événement sérieux car il concerne un circuit qui est directement connecté au circuit primaire principal, a précisé Bernard Doroszczuk. C'est un événement sérieux car il possède un caractère potentiellement générique », c'est-à-dire qui peut concerner des familles entières de réacteurs, a-t-il ajouté, jetant un voile sur la suite, et notamment sur d'éventuelles fermetures de sites supplémentaires pour inspection. « Si la sûreté l'exige, nous le ferons », dit-il. Ces mêmes enjeux se retrouvent également à moyen et long terme, et c'est le deuxième message de l'ASN. Sera-t-il possible de conserver des marges de manoeuvre sur la production si la décision d'arrêter 12 réacteurs nucléaires, en plus des deux de Fessenheim comme le prévoyait la loi de programmation pluriannuelle de l'énergie 2019-2028, est maintenue ? Ce choix devra être « dûment pesé, sauf impératif de sûreté » et « au regard de prévisions réalistes de mise en service de nouveaux moyens de production d'ici à 2035 », a mis en garde le président de l'ASN. La décision qui en résultera, « quelle qu'elle soit », devra arriver dans les cinq ans - car il faudra une dizaine d'années ensuite pour pouvoir ajuster le tir. Parallèlement, « EDF devra questionner et justifier individuellement la capacité des réacteurs les plus anciens à poursuivre leur fonctionnement au-delà de 50 ans », juge le gendarme du nucléaire. Pour pouvoir le faire, l'électricien français va devoir « faire évoluer ses méthodes de justification », prévient l'ASN. Selon l'autorité, la dernière inspection de sûreté des vieux réacteurs de 900 MW « ne permet pas de conclure » à leur poursuite au-delà de 50 ans. Dans les conditions actuelles, ce scénario « présente le risque d'engager le système électrique dans une impasse », a jugé le responsable. « Plan Marshall » Enfin, et c'est le dernier voeu de l'ASN, il conviendrait de « mettre en place un véritable plan Marshall » pour le nucléaire si la construction de nouveaux réacteurs est confirmée. Ce cas échéant, la filière industrielle du nucléaire devra se démultiplier pour répondre à l'ampleur du programme dans sa durée - et avec les exigences requises, elle qui peine à achever le chantier de l'EPR de Flamanville. Particulièrement en ce qui concerne les compétences, un souci identifié depuis longtemps. « Une fois le projet industriel décidé, il faut qu'il soit soutenable du point de vue technique et financier », a martelé Bernard Doroszczuk. -
Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Pour moi les livraisons ne doivent pas diminuer: même quand on perd un avion on ne diminue pas les livraisons. Si on veut en tenir compte on met une colonne "avions en ligne", mais ce n'est pas utile de compliquer ton tableau. Par contre comme un avion ne peut pas être livré deux fois ça justifie de décrémenter le pays qui livre en même temps qu'on incrémente le pays qui est livré. De toute façon la France reste propriétaire des 6 autres avions grecs et des 12 avions Croates et le fait qu'elle les immobilise est son problème qui se traduirait si il y avait une colonne "avion en ligne". Après tout on n'a pas décrémenté les 14 Rafale cannibalisés.- 667 réponses
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Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Les Croates: le contrat n'est même pas en vigueur. Les 6 autres Grecs c'est après la livraisons des 6 neufs qui se feront à la fin de cette année, donc en 2023, et sans doute pas au début.- 667 réponses
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Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Je trouve ton tableau trompeur: Il donne l'impression qu'il y a 221 Rafale dans la nature: le total de la colonne Livrés. Or aujourd'hui l'armée de l'air a 152 Rafale moins les 6 qui sont partis en Grèce soit 146 Rafale les autres pays ont bien les quantités que tu as inscrites et donc le total des Rafale volant aujourd'hui est de 239 et non pas 221. Je pense qu'il faudra diminuer les livraisons françaises seulement lorsqu'on augmentera les livraisons qui sont faites aux autres pays à partir de ces avions. Cela devrait d'ailleurs permettre de surveiller le minimum de l'effectif Français qui ne sera peut être pas si dramatique que cela.- 667 réponses
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De mes discussions avec les Indiens il ressort que le démonstrateur du SCAF a besoin d'une version du M88 qui serait fort intéressante pour l'AMCA. Et puis il y a ça: https://www.strategicfront.org/forums/threads/lockheed-martin-f-35-lightning-and-f-22-raptor-news-discussion.239/post-196488 Moi j'arrête ! Edit: J'ai mis ces Trolls sur "Ignorer"
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J'ai une question qui va paraître bête: Est-ce que les Chinois ont déclaré que le J-20 était furtif ?
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Du MAWS Maritime Airborne Warfare System, éphémère PATMAR Franco-Allemand, au PATMAR FUTUR de la MN
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
Il y a une différence entre vendre le remplaçant de l'ATL2 à l'Inde et le développer avec eux. -
Oui il y aurait eu du "spécial France" mais c'est faisable avec les Allemands.
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On peut faire le rapprochement entre cette information et ce que vstol jockey a dit concernant les économies en cours sur les importations pour permettre un achat plus important de Rafale.
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Beaucoup trop sensible: l'ATL2 assure la protection des approches maritimes lors du départ des SNLE pour leur mission.
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C'est difficile de répondre à ça, mais je vais essayer: D'abord on parle de furtivité passive qui est le résultat de formes particulières qui ont pour but de ne pas renvoyer du signal dans la direction d'où il est venu. Quand d'autres contraintes empêches les formes d'être optimales du point de vue de la furtivité, on met du matériau absorbant. Mais il faut bien comprendre que de telles absorptions ne représente que quelque pourcent du signal incident et que la majeure partie de l'énergie est quand même renvoyé dans l'espace environnant mais pas dans la direction de l'émetteur. C'est ce qui explique que les Radars multistatiques où l'émetteur et le récepteur n'ont pas la même position peuvent se jouer de la furtivité. Il y a deux grande technique pour obtenir de la furtivité passive: Le facettage où l'exemple typique est le F-117 où chaque facette renvoie presque 100% du signal dans une autre direction sauf si le signal arrive perpendiculairement à la facette, ce qui est peu probable et seulement pendant un transitoire. En plus du F-117, le F-22 et le F-35 utilisent un dérivé de ce principe en alignant tous les angles sur une même valeur afin de renvoyer une grosse partie de l'énergie dans une direction "poubelle". L'autre technique consiste à avoir des rayons de courbure continument variable, on peut donner comme exemple le B2 ou le NeuroN ou le Rafale qui l'est par morceau. Maintenant je vais essayer de faire comprendre que si on "additionne" deux éléments furtifs on n'a plus un élément furtif. Supposons qu'un signal arrive sur le premier élément furtif, l'énergie va être émise dans la plupart des directions mais pas en direction de l'émetteur. Il y a de forte probabilités que cette énergie réfléchie rencontre le deuxième élément furtif puisque celle ci se répand dans presque toutes les directions. Donc le deuxième éléments furtif va réfléchir cette énergie dans presque toutes les directions sauf la direction du premier élément furtif qui n'est pas la direction de l'émetteur initial du signal. Il y aura donc du signal renvoyé dans la direction où on veut l'éviter. Si le deuxième élément n'est même pas furtif, c'est à peu près la même chose.
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Moi je rapporte ce que vstol jockey a écris, je ne suis pas un spécialistes des armements Pakistanais, mais normalement les Indiens sont plus attentifs que moi sur ce genre d'information et vstol jockey n'est pas le moins informé.
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Je suis d'accord, mais c'est une constante chez les Indiens de ne concevoir un accord qu'à leur seul avantage, ceux qui négocient vraiment sont plus nuancés
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Je mets ici deux liens de posts qui sont dans Spectra et ce que vous savez mais qui auraient leurs place ici: http://www.air-defense.net/forum/topic/15062-spectra-et-ce-que-vous-savez/?do=findComment&comment=1478266 http://www.air-defense.net/forum/topic/15062-spectra-et-ce-que-vous-savez/?do=findComment&comment=1478509 Ce sont des informations fournies par vstol jockey en réponse à une question initialement posée par @Patrick. J'ai des commentaires: vstol jockey est un ancien pilote de Harrier de la Marine Indienne, il pilote encore des avions de sa propre compagnie aérienne. Il a ses entrées dans la marine Indienne et bien qu'il admire le Rafale il penchait pour un achat de F_18 SH par l'inde pour sa marine. Donc le fait qu'il admette maintenant que la marine va acheter des Rafale est vraiment à prendre au sérieux. Il est du genre à aller au secours de la victoire pour pouvoir dire ensuite : "je vous l'avais bien dit".
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A force d'être titillé par les différents forumers vstol jockey s'est laché et ça donne ça: Les chuchotements que j'ai entendus me disent que l'IAF+IN commandera une quantité substantielle de Rafale à produire en Inde. C'est pour cela qu'un rééquilibrage complet des importations a été effectué en annulant de nombreux projets d'importation. Cela permettra d'économiser des tonnes d'argent du budget de la défense pour aller vers des importations de haute technologie avec des clauses de compensation très exigeantes. Les Français seront obligés de cracher beaucoup plus que ce qu'ils veulent. Les DACTs avec d'autres chasseurs de l'IAF a donné des résultats remarquables. L'IAF est la seule force aérienne au monde à avoir vaincu l'AIM-120-C7 en combat réel après le balakote et cela avec des SU-30MKI qui n'ont pas de brouilleurs internes mais par pure manœuvre. Cela montre le niveau d'expérience de nos pilotes. Imaginez maintenant le Rafale dans les mains des pilotes de l'IAF avec des améliorations spécifiques à l'Inde et comment l'IAF les utilisera en se basant sur leur expérience avec le Su-30MKI. C'est comme aller dans une bataille et faire tomber des flèches avec une épée. L'ennemi n'aura rien qui puisse atteindre nos avions tandis que nous les frapperons à volonté. J'espère seulement que les Français réduiront encore le prix pour que la commande devienne importante. Savez-vous, les gars, que les vidéos HUD du Su-30MKI battant un AIM-120-C7 entrant ont été partagées avec de nombreuses forces aériennes amies, y compris les Français. Ils voulaient juste savoir comment l'IAF avait fait. Et ces tactiques sont standard entre l'IAF et l'IN. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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vstol Jockey a dit : Il y a longtemps, j'avais également écrit que le Rafale dominait complètement les combats BVR, mais qu'il n'était pas à la hauteur des Su-30MKI en combat aérien. Picdelamirand-oil a dit : Ce n'était pas ma question, ce que j'aimerais savoir c'est si cet exercice a eu lieu et si le rapport est exact. Ce que vous avez dit concernait un autre exercice où les Français auraient pu être surpris par des tactiques particulières autorisées par la TVC, alors qu'aujourd'hui l'effet de surprise n'existe plus, surtout pour les pilotes indiens. vstol Jockey a dit : Ce sont des activités normales pour entraîner un escadron nouvellement créé et une partie de la formation de ses nouveaux pilotes. Les DACTS sont très courants dans les bases aériennes où sont basés différents types d'avions. Ils ne sont pas annoncés comme tels mais ont lieu régulièrement. vstol Jockey a dit : Lors d'exercices antérieurs avec les Forces armées françaises au Rajasthan, le Su-30MKI avait l'avantage dans les dogfights grâce à la TVC et au HMDS qui manquaient au Rafale à l'époque. Mais les Rafale indiens sont équipés de HMDS. Ils pourraient donc réduire l'avantage des SU-30MKI. Le véritable changement de jeu sera l'IRST+MICA-NG, car il permettra au Rafale de frapper n'importe quel avion à très longue distance sans même transmettre de signal. Engagement complètement passif à près de 100kms. Lors des exercices au Rajasthan, les tirs BVR ont été effectués à une distance de 50 km. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Awacs et détection d'avions
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est pour ça qu'on parle beaucoup d'intelligence artificielle et qu'on a plus de Rafale B que de Rafale C.