Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Picdelamirand-oil

Members
  • Compteur de contenus

    14 950
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    293

Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Pourquoi Safran investit dans les activités dites de souveraineté La souveraineté sur le plan technologique et la sécurisation de la chaine de fournisseur sont deux axes qui "potentiellement sont des éléments qui peuvent nous amener à faire des opérations dans ce domaine dit de souveraineté", a expliqué le directeur général de Safran Olivier Andriès, lors de la présentation des résultats 2021.
  2. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Le F-35 a une bonne glisse, il devrait se présenter aux jeux olympiques d'hiver.
  3. Norman Ricklefs, promoteur des Rafale fantômes de Bagdad Installé de longue date en Irak, le consultant australien Norman Ricklefs a provoqué la semaine dernière une fièvre d'ampleur dans le Landerneau français de la défense, en affirmant que Bagdad allait acheter à Paris des Rafale et des drones sur étagère. Or côté français, les prospects en sont largement au stade exploratoire, voire inexistants.
  4. Les anglais et les Français ont plus d'export aussi !! Catia a des sorties directes pour les machines à commande numérique (par exemple). Cela peut aussi expliquer que HAL n'arrive pas à suivre Dassault et que le nombre d'heures soit multiplié par 2,7.
  5. En Angleterre c'est 50000 Emplois. Mais liés ça ne veut pas dire que ce sont des emplois à plein temps, je pense qu'en France c'est des équivalents plein temps. Mais c'est sûr que notre productivité doit être meilleure.
  6. Oui mais ce qu'ils demandaient est satisfait par F4: le Radar a la portée souhaitée; il y a des HMDS disponibles et ils ne demandent plus le moteur de 9 t ce qui fait qu'ils pourront avoir la même version que la France. Ils est vraisemblable que dans les détails F4 leur convienne aussi.
  7. C'est très compliqué l'original n'existe plus il a été perdu en même temps que tous les posts d'olybrius (je pense que je l'écris mal) c'est lui qui l'avait posté. moi je suis tombé sur quelqu'un qui le citait et j'ai copié mais je ne suis pas sûr que je pourrais le retrouver maintenant.
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui : Il n'y a que deux modèles le C et le N : le Rafale B n'est qu'un C avec l'avant du N et un train avant de C et le Rafale M n'est qu'un N avec l'avant d'un C et un train avant de N. Par contre je ne suis pas sûr que ça rapporterait € 370 Millions.
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le développement du Rafale N coûterait € 370 Millions. Dassault devrait le développer sur fond propre: je suis sûr qu'il en vendrait à la France aussi. Il n'y a que deux modèles de Rafale: le B et le M. Le Rafale C est un rafale B avec l'avant d'un Rafale M et un train avant de C. Le Rafale N serait un Rafale M avec l'avant d'un Rafale B et un train avant de M.
  10. Moi si je considère le prix du contrat Allemand et celui du contrat Français je trouve que le prix des "systèmes" est négatif. Et si on considère l'Italie et la France on trouve qu'il y a impossibilité car l'Italie devrait payer 5/4 du prix Français et elle paye moins. Donc la France se fait encore une fois entuber.
  11. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Là en tous cas c'était pas mal: http://www.air-defense.net/forum/topic/21-linde/?do=findComment&comment=1387334
  12. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Non c'était deux Rafale en plus des 36 pour se faire la main (pendant qu'on met au point les formalités pour les contrôles de qualité avec les agences Indiennes), ces deux Rafale ne pouvant pas être vendu à l'inde car n'ayant pas subit les processus continus de contrôle indépendants, mais pouvant être utilisés pour les développements.
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Je crois que TALIOS est extérieurement identique à Damocles.
  14. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    RAFALE : Le SPECTRA https://omnirole-rafale.com/avionique/spectra/ On y trouve des images des particularités des Rafale Indiens.
  15. Un entretien avec le général Alain SILVY qui date de 2010 Sous-chef Plans à l'état-major de l'armée de l'air. Le gouvernement français s'est engagé auprès du constructeur du Rafale à assurer, quoi qu'il arrive, un rythme annuel minimum de 11 appareils. Un rythme estimé par le constructeur comme le plancher en dessous duquel il ne serait pas possible de descendre sans remettre en cause l'économie du programme, y compris le coût unitaire de ces avions. La LPM (Loi de Programmation Militaire) ne prévoyant pas de contreparties pour l'achat de ces appareils pour les années 2013 et 2014, soit l'exportation permet très opportunément de tenir l'engagement envers l'industrie, soit l'exportation fait défaut et l'état français doit trouver les budgets nécessaires en réduisant ou supprimant d'autres programmes. Cet engagement basé sur l'obtention de commandes à l'export est-il un pari dangereux ? Alain Silvy : Soyons honnêtes. Ce "pari", pour reprendre votre terme, sur l'obtention à court terme de commandes à l'exportation pour le Rafale, a néanmoins permis de compléter la LPM permettant de prévoir un gros trou dans la livraison pour l'armée de l'air et la marine sans remettre en cause la cadence de production, déjà réduite au minimum industriellement acceptable par Dassault Aviation. Les livraisons aux armées françaises devraient être réduites à seulement 2 ou 3 machines par an pendant un temps, l'export apportant le complément pour atteindre le seuil de 11 Rafale produits par an. En cas d'absence de commande à l'exportation, la situation deviendrait évidemment compliquée [...] Il faudrait trouver un financement conséquent de plusieurs centaines de millions d'euros. [...] Mais comment trouver les centaines de millions d'euros en question ? Les 3 armées ont toutes bénéficié du choix fait par les planificateurs de la LPM de réduire à un niveau très bas les livraisons de Rafale. Les sommes économisées ont été réaffectées aux 3 armées. Je pense que personne ne le remet en cause. Nous devrions trouver les fonds en faisant de nouveaux équilibrages au sein de la LPM [...] il faut maintenant espérer que vienne très vite une première commande à l'exportation. [...] Mais l'exportation n'est pas neutre. Les clients potentiels, dont les EAU, ont des exigences spécifiques avec des développements sortant des standards français - et donc avec un budget non pris en compte par la LPM - ils veulent un cofinancement par l'Etat français. Cela pourrait nécessiter pour la France de trouver d'autres financements pour le programme Rafale [...] Quel serait le coût pour la France de ces co-développements supplémentaires à financer avec un client potentiel des EAU ? On entend tout et son contraire. Tout dépend de ce que l'on inclut. Personnellement, je ne donne pas de chiffres précis. Mais c'est évidemment quelque chose comme plusieurs centaines de millions d'euros payés par l'Etat français. L'armée de l'air est-elle intéressée par certaines des exigences des EAU ? De mon point de vue, cela dépend où. Nous pourrions être potentiellement intéressés par le M88-X avec 9 tonnes de poussée parce que ce serait, dans les circonstances, un champ ouvert. Mais, d'un autre côté, nous n'avons pas encore atteint le stade de maturité - qui nécessite environ 150 000 heures de vol - avec le M88 actuel de 7,5 tonnes de poussée. Cela signifie qu'avec le M88-X, même s'il devait présumer d'une bonne communauté avec le M88 existant, nous devrions accumuler encore plus d'heures pour atteindre le stade de maturité du moteur. Très clairement, à mon avis, le M88-X n'est pas pour l'armée de l'air un besoin immédiat. Pour vendre le Rafale aux EAU, il se peut que la Défense soit finalement amenée à acquérir le M88-X dans une quantité et des conditions qui restent à définir. Et nous serons peut-être même heureux de l'utiliser. Mais aujourd'hui nous n'avons aucune raison technique ou opérationnelle de le mettre à notre disposition. Le gain attendu de l'arrivée d'un moteur plus puissant est inférieur aux risques que nous prendrions avec l'immaturité technique de nouveaux modules et la gestion en parallèle - si compliquée en termes de logistique et d'emploi opérationnel d'avions aux performances différentes - de deux parcs de M88 relativement différents. Tout cela doit être approfondi. Serait-il possible de voir Safran fabriquer le M88-X pour les EAU et continuer à livrer le M88 "classique" pour le Rafale français ? Et ceci en dépit du fait que le gouvernement français aurait cofinancé le développement du M88-X. Il n'est pas interdit de l'imaginer. A condition toutefois que maintenir la production parallèle de deux versions du M88 ne coûte pas plus cher que de produire un seul modèle. Les coûts de soutien ne doivent pas exploser. Safran doit nous dire très rapidement et très franchement ce qu'il en serait. Et encore une fois, rien ne nous oblige à équiper l'ensemble de la flotte de Rafale, Air et/ou Marine. Et concernant la demande des EAU d'avoir un radar RBE2 plus puissant, pourrait-elle répondre à certaines attentes de l'armée de l'air ? L'armée de l'air souhaite disposer d'un RBE2 avec une antenne active. Elle est maintenant établie avec la puissante antenne AESA qui équipera nos Rafale de la tranche 4. Ce que les Émiriens demandent est beaucoup plus complexe. Ils veulent, en plus de l'AESA, avoir de nouvelles fonctionnalités sur leur Rafale, telles que GMTT / GMTI (détection et suivi de cible terrestre mobile), l'entrelacement entre les modes air/air et air/sol, etc. Même si ce n'est pas pour nous un besoin prioritaire le "plus" opérationnel obtenu pourrait néanmoins nous intéresser à terme. Cependant, la principale demande émirienne concerne la portée du RBE2. Et, avec le même diamètre d'antenne, la seule façon d'obtenir les 10% d'augmentation de portée (par rapport à la "roadmap" du Basic AESA F3) que souhaitent obtenir les émiriens, est un gros coup de pouce à la puissance du radar. Mais plus de puissance pour le RBE2, ne risque-t-il pas de générer de graves interférences électromagnétiques (EMI) avec les récepteurs SPECTRA ? Il y a effectivement un risque très réel d'EMI à traiter. C'est le cas chaque fois que l'on veut modifier les systèmes d'émission des avions. Il y a évidemment des solutions, mais cela nécessitera de réexaminer SPECTRA. Mais le plus gros problème que nous avons identifié concerne la production électrique, qui pourrait être insuffisante. Pour augmenter la portée maximale de quelques miles nautiques, il faudrait revoir en profondeur le système de génération électrique de l'avion. Bref, concevoir ce que pourrait être un Rafale-9, c'est-à-dire un nouvel avion s'éloignant de la similitude que vous souhaitez avec le Rafale français. Les experts émiratis qui participent aux négociations sont bien conscients du problème. Mais ils ont aussi l'habitude d'avoir des systèmes d'armes de très haute qualité. Ils veulent éviter toute régression avec le Rafale, au moins sur la portée radar, par rapport au F-16 Block 60, le Rafale ayant aussi beaucoup d'autres qualités. Les Émiriens n'ont pas d'AWACS et veulent donc - c'est une exigence fondamentale - que le Rafale puisse voir très loin. Au-delà du radar, ils manifestent des exigences assez fortes en matière de développement du SPECTRA avec, par exemple, l'extension de certaines bandes de fréquences, une sensibilité accrue, l'ajout de fonctionnalités ; en bref, ils veulent que nous poussions les technologies actuelles. Bien sûr, améliorer la guerre électronique de nos Rafale plus rapidement que prévu pourrait constituer un avantage opérationnel supplémentaire pour l'armée de l'air. Cependant, notre approche actuelle consiste à consolider les fonctionnalités mises en œuvre dans SPECTRA, à les rendre plus robustes et à faciliter la tâche des opérateurs et des programmeurs avant de vouloir aller plus loin dans l'ajout de nouvelles capacités. Le SPECTRA actuel fonctionne bien et même très bien. En somme, ce qui nous sépare, à propos de Spectra, est une question de timing et de calendrier [...]. De manière plus générale, nous partageons les mêmes souhaits en matière de capacités, mais avec des échéances calendaires parfois très différentes. Les contraintes budgétaires restent un facteur dimensionnant. Les Émiriens veulent un HMD à viseur [...]. C'est vrai. Et nous-mêmes, d'une manière ou d'une autre, nous le ferons. Pour diverses raisons, nous avons accepté par le passé de ne pas l'utiliser dans un premier temps, mais cet équipement est désormais un élément quasi indispensable pour les avions de combat modernes. D'ailleurs divers prospects du Rafale - les EAU, le Brésil et la Suisse - le souhaitent également, confirmant cette analyse. Au final, qu'en est-il de l'éventualité d'une commande de Rafale par les EAU ? Très sincèrement, et vu de ma place, je pense que nous ne sommes vraiment pas très loin de pouvoir trouver un terrain d'entente avec nos amis émiriens. La seule question pertinente à se poser est de savoir si la volonté de similitude exprimée par les émiriens prévaudra sur leur exigence de performance Si c'est la performance qui compte, en fait nous aurons deux Rafale bien différents - comme pour le Mirage 2000-9 - parce que l'état français ne peut ou ne veut pas la suivre. Si c'est la collectivité qui prime, les émiriens devront réduire leurs ambitions en matière de performance. Le choix est maintenant entre leurs mains. Ils doivent voir si leurs nécessités opérationnelles leur permettent ou non de se contenter d'un système d'armes assez proche du standard français F3 "roadmap". Ils doivent décider s'ils considèrent plus important de travailler très étroitement avec nous. Je sais qu'ils ont déjà exprimé le souhait, en cas de commande, de pouvoir envoyer très rapidement leurs pilotes dans nos unités Rafale où ils pourraient s'entraîner, apprendre le Rafale et notre emploi tactique. Obtenir une montée en puissance opérationnelle rapide de leur propre escadron de Rafale. Dans ce cas, leur configuration Rafale et la nôtre ne doivent pas être très différentes. Mais cela reste à voir... C'est là où nous en sommes je pense. Combien de temps faudrait-il pour réaliser les développements supplémentaires exigés par les EAU ? Il est difficile de répondre précisément à cette question, d'autant que je ne dispose pas de tous les éléments de la problématique. Le premier avion des EAU ne serait pas livré avant 2014. Cette période devrait être suffisante pour finir de développer un M-88 de 9 tonnes. Concernant le radar, nous n'aurions probablement pas en 2014 toutes les capacités et performances attendues, mais elles seraient, je pense, néanmoins déjà très proches de l'objectif. Le problème de la génération électrique demande également du temps pour être traité. Ce sera une opération lourde pour l'avion. Dans le cas d'une commande signée cette année, nous aurions donc quelques années pour développer les fonctionnalités supplémentaires. Ces années ne doivent pas être perdues. En tout état de cause, je pense que les discussions avec les Émiriens se déroulent sur des bases saines. Leurs négociateurs sont des experts qui savent exactement ce qu'est un avion de chasse et sont conscients de l'état de l'art et des différentes contraintes. Parler avec des personnes de ce niveau est très agréable pour l'armée de l'air. Cependant, il faut maintenant que la commande se concrétise. Qu'en est-il du Mirage 2000-9 des EAU ? Les autorités françaises ont été très claires à ce sujet. Une fois le Rafale commandé par les EAU, les Mirage 2000-9 seront repris par la France qui les remettra à une agence de défaisance chargée de leur revente à l'exportation. Cela signifie que dans cette hypothèse, il n'est pas envisagé qu'ils équipent l'armée française. Mais est-ce que ce serait intéressant pour l'armée de l'air parce que ce sont des cellules récentes avec des systèmes d'armes avancés ? Nous ne pouvons pas dire que nous ne ressentons aucun intérêt pour ces machines, car leur système d'armes affiche des performances vraiment étonnantes. L'armée de l'air pourrait certainement en bénéficier. Cependant, les travaux indispensables à la compatibilité OTAN de ces systèmes d'armes seraient très lourds avec un coût probablement supérieur à celui - 700 millions d'euros - prévu pour la rénovation de nos Mirage 2000D, qui est une priorité pour nous. Si les EAU achètent le Rafale, l'Escadron de Transformation Rafale (ETR), qui sera créé à Saint-Dizier, pourrait-il être délocalisé à Al-Dhafra pour aider les pilotes émiriens et bénéficier des excellentes conditions météorologiques locales ? Pourquoi pas ? mais nous n'en sommes pas encore là. [...] Installer l'ETR - dans sa totalité ou seulement une partie - à Al-Dhafra pourrait être un atout. Notre première participation, à l'automne dernier, à l'ATLC (Advanced Tactical Leadership Course) organisé par l'UAE Air Warfare Center, a démontré une fois de plus la richesse de tels échanges. Si les EAU commandent le Rafale, nous devrons peut-être rapidement prendre en charge, d'une manière ou d'une autre, la transformation de leurs pilotes sur notre système d'armes. Le faire à Al-Dhafra serait - et ce n'est que mon avis - intéressant. Interview réalisée par Jean-Louis Prome
  16. Quand tu grandis dans un espace contraint, on appelle ça une densification.
  17. Tu double ou triple les postes où tu fais sécher du mastic.
  18. Oui mais Trappier dit qu'on va "densifier la chaîne de Mérignac"
  19. Moi je dirais 2026 car on est complètement plein jusqu'à fin 2025, c'est même pour ça qu'on ne peut pas remplacer les 12 Croates avant 2025 et que donc on les commandera en 2023.
  20. Au départ c'était le cas, maintenant je pense que c'est le cas pour Spectra (c'était prévu pour F3R) mais que pour le Radar ça arrivera de manière indépendante des Standards comme pour l'AESA par rapport au PESA.
  21. Tu n'apprends pas aux bandits de grands chemins à évaluer leur sécurité.
  22. Le document qui te sert de référence date de 2017, à cette époque le carnet de commande de Dassault n'était pas aussi plein que maintenant ce qui fait que la production des 28 Rafale restant sur la commande en cours était prévue vers 2021 et pourtant on peut lire page 7: Ce qui veut dire que ce qui fait le délai c'est le software, les Rafale auront le hardware qui permet d'accepter F4.2. Et depuis 2017 Dassault a annoncé F4.2 pour 2024, ce qui a fait tousser Thales ce qui veut dire que ce sera fin 2024, mais c'était bien d'annoncer ça pour le contrat Finlandais. Il est clair que ce qui était faisable en 2021 est dans ce contexte encore plus faisable en 2023, donc c'est l'ensemble des productions future pour la France qui seront F4.2.
  23. Non. Cela a été mon dernier contrat, j'ai refusé de partir en Colombie parce que ma sécurité n'était pas assurée de la même façon que celle du maître d'œuvre (j'avais ma propre boite) j'ai liquidé ma boite après, j'avais déjà ma retraite de salarié et je suis descendu dans le sud me mettre les pieds en éventail sur la plage. Me suis complètement désintéressé du problème.
×
×
  • Créer...