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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Si tu veux aller à Tahiti sans demander d'autorisation aux US, tu fais escale à la Martinique... -
On parle quand même de 114 avions de combat polyvalent, et de la France comme principal partenaire de l'Inde en matière de défense, une position traditionnellement occupée par la Russie.
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France Set To Offer Barracuda Nuclear Submarines To India La France s'apprête à offrir des sous-marins nucléaires Barracuda à l'Inde La France s'apprête à renforcer considérablement la coopération en matière de défense avec l'Inde en mettant sur la table le sous-marin nucléaire d'attaque Barracuda. La ministre française de la défense, Florence Parly, devrait proposer l'offre des Barracudas avec un élément de fabrication en Inde lors de sa visite en Inde les 17 et 18 décembre, a appris BW Businessworld de sources bien placées. La ministre française doit s'entretenir avec son homologue indien Rajnath Singh à New Delhi le 17 décembre. Il s'agit de l'offre la plus importante d'équipement militaire à l'Inde, qui pourrait donner à la marine indienne une formidable capacité de déni de mer dans la région de l'océan Indien et lui fournir le pied marin nécessaire pour exercer une présence militaire crédible dans la région Indo-Pacifique. La technologie des sous-marins nucléaires est considérée comme le joyau de la couronne des capacités militaires. "La visite du ministre français de la défense sera fortement axée sur l'aspect maritime", ont confirmé des sources informées à ce journaliste. Venant juste après l'accord sur l'avion de combat Rafale, cette offre française de fournir à l'Inde le savoir-faire nécessaire à la fabrication de sous-marins nucléaires pourrait faire de la France le principal partenaire de l'Inde en matière de défense, une position traditionnellement occupée par la Russie. C'est la première fois qu'une technologie de sous-marin d'attaque à propulsion nucléaire serait offerte à l'Inde. Par le passé, la Russie et l'ancienne Union soviétique ont, à deux reprises, loué des sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire (SSN) à l'Inde. L'Inde a également signé un accord de 3 milliards de dollars en 2019 pour la location d'un autre SSN de la classe Akula à la marine indienne, ce qui en fait la seule marine autre que celles des pays du P5 à avoir exploité un sous-marin d'attaque nucléaire. Le sous-marin de classe Barracuda est à propulsion nucléaire mais n'est pas armé de façon nucléaire. Un SSN comme le Barracuda n'en constitue pas moins l'arme la plus redoutable en matière de déni de mer. Ce sous-marin, tout en restant immergé pendant de longues périodes, dispose d'une puissante capacité d'attaque terrestre avec le missile de croisière naval Scalp d'une portée de 1 000 km. L'intervalle entre deux ravitaillements est de 10 ans. Les observateurs estiment que la porte de l'offre française de sous-marins nucléaires à l'Inde s'est ouverte après l'accord visant à fournir le savoir-faire américain et britannique en matière de sous-marins nucléaires à l'Australie lors de la création du groupe AUKUS pour dissuader la Chine. La France souffre également de l'annulation par l'Australie d'un méga contrat portant sur 12 sous-marins conventionnels, alors qu'elle a accepté l'offre américaine dans le cadre de l'AUKUS. Mais l'acquisition de la technologie profonde pour les SSN est une priorité pour l'Inde depuis de nombreuses années. Le programme indigène pour six SSN est toujours au stade de la conception. L'offre pour le Barracuda est la conséquence de consultations approfondies régulières avec la France pour approfondir la coopération militaire. En octobre, la 5e session du dialogue de coopération maritime franco-indien s'est tenue à Paris pour faire avancer les discussions entre le Premier ministre Narendra Modi et le président français Emmanuel Macron. La coopération en matière de défense aurait figuré en tête de l'ordre du jour du 35e dialogue stratégique franco-indien entre le conseiller à la sécurité nationale Ajit Doval et son homologue français Emmanuel Bonne à Paris en novembre. Les deux parties ont également eu des échanges approfondis lors d'un certain nombre d'autres forums, et la France a déclaré à plusieurs reprises que l'Inde était la pierre angulaire de sa stratégie dans la région indo-pacifique. Le sous-marin Barracuda est produit par Naval Group, qui est actuellement engagé dans la livraison du contrat de construction de six sous-marins diesel-électriques de classe Scorpène à Mazagon Dock Shipbuilders (MDL), Mumbai, pour la marine indienne. Si l'offre de Barracuda prend de l'ampleur, elle devrait avoir des répercussions sur le programme en cours de 5,7 milliards de dollars visant à construire une nouvelle ligne de six sous-marins diesel-électriques pour la marine indienne dans le cadre du projet 75 (I), qui est déjà aux prises avec une situation de fournisseur unique de facto. Récemment, BW Businessworld a rapporté en exclusivité que sur les deux équipementiers étrangers qui répondent aux exigences de l'appel d'offres du projet 75 (I) pour un système de propulsion indépendant de l'air basé sur une pile à combustible, l'Allemand TKMS donne des signes de retrait de la compétition, ne laissant que le Daewoo KSS-III de Corée du Sud dans la course. Dans cette situation, les deux partenaires stratégiques indiens présélectionnés, MDL et L&T, seraient obligés de soumettre des offres concurrentes en collaboration avec le même partenaire étranger, ce qui réduirait la course à un seul cheval avec deux jockeys. L'offre de Barracuda pourrait potentiellement subsumer le projet 75 (I), estiment les observateurs informés. Le ministre français de la défense devrait également réitérer son plaidoyer en faveur du Rafale dans le cadre du prochain appel d'offres indien pour 114 avions de combat polyvalents (MRFA).
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Il ne nous reste plus qu'à faire un SCAF-35 B
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Est-ce finalement ‘Rafale’ vs JSF ? Comment les Émirats Arabes Unis, tout frais émoulus de leur commande de 80 ‘Rafale’, écartent avec une certaine insolence l’offre US qui leur est fait don, d’acheter, aux normes US et sous surveillance US, 80 F-35, alias JSF. Stupéfaits, les USA n’en reviennent toujours pas ; à moins qu’ils en reviennent avec la menace de nucléariser les EAU comme une vulgaire Russie s’ils ne font pas, librement et avec empressement, « le bon choix ». Macron, lui, craindrait-il peut-être, éventuellement, que l’oncle-Joe ne soit pas très content, façon-Australie ? Les Émirats Arabes Unis (EAU) ont signifié qu’il arrêtait « pour réévaluation » les négociations concernant l’offre américaniste de vente de 50 avions de combat dit “de 5ème génération” F-35, le célébrissime et furtif JSF. Cette position émiratie, déjà connue officieusement par les Français de Dassault qui viennent de boucler un contrat pour 80 ‘Rafale’ Standard 4 livrables entre 2027 et 2031, a été officialisée dans des termes qui confirment l’exceptionnalité de la position des EAU face à cette “machine à exporter” fondée sur toute la puissance de pression et d’influence des USA qu’est le F-35, – par ailleurs catastrophe industrielle et opérationnelle, mais ceci n’interférant guère sur cela tant le JSF/F-35 est essentiellement construit sur une formidable machinerie de communication propagandiste. Les termes employés sont prudents et diplomatiques de la part des EAU, mais ils sont fermes dans les raisons avancées pour leur décision. Les USA, de leur côté, répondent de diverses façons aux questions qui pourraient être soulevées sur cette affaire, avec une sorte de mélange improbable de confusion et d’ambiguïté. Un texte de RT.com dit notamment ceci : « Les plans d’acquisition [proposés par les USA] ont été renvoyés pour “réévaluation”, a déclaré mardi à Reuters un responsable anonyme des Émirats arabes unis, confirmant un rapport antérieur du Wall Street Journal sur une rupture potentielle de l'accord.» “Les exigences techniques, et l'analyse coûts/bénéfices ont conduit à cette réévaluation”, a déclaré le responsable, ajoutant que Washington reste toujours “le fournisseur privilégié des EAU pour les besoins avancés en matière de défense et que les discussions concernant le F-35 pourraient être rouvertes à l'avenir.” "Les [EAU ont mis en cause les] “conditions de sécurité de défense mutuelle pour l'acquisition”, considérant la proposition finale d’utilisation comme trop restrictive. Ces conditions auraient été mises en place par Washington en raison des relations étroites qu'entretient Abu Dhabi avec la Chine, dans le but de protéger les avions de pointe d'éventuelles tentatives d’“espionnage” par Pékin." Les États-Unis sont très ambigus sur le sort de l'accord, le porte-parole du Pentagone, John Kirby, ayant déclaré plus tôt que les liens entre Washington et la nation du Golfe étaient une question stratégique, allant bien au-delà du simple commerce des armes. Dans le même temps, Kirby a déclaré que les États-Unis cherchaient à répondre aux questions soulevées par Abu Dhabi, mais qu'ils renvoyaient les autres questions sur le commerce des armes au département d'État. “Nous insisterons toujours, dans le cadre des exigences statutaires et de la politique, sur une variété d’exigences en matière d’utilisation finale”, a déclaré M. Kirby. Un responsable anonyme du département d'État, qui s'est entretenu avec Reuters sous le couvert de l'anonymat, a déclaré que Washington cherchait à aplanir les questions en suspens pour faire aboutir l'accord. “Nous avons bon espoir de pouvoir régler les questions en suspens”, a déclaré le responsable. Ces déclarations confuses du côté US, avec notamment une passe superbe de la patate chaude du Pentagone au département d’État, puis une déclaration complètement inconsistante du second, ont été complétés par une intervention du secrétaire d’État lui-même, Blinken, actuellement en déplacement. L’intervention, exposant des arguments imprécis et insaisissables, ajoute quelques bancs épars d’épais brouillard à un ciel américaniste déjà fort encombré d’épaisses nuées de simulacre dans cette affaire. « S’exprimant lors d'une conférence de presse à Kuala Lumpur, en Malaisie, Antony Blinken a déclaré que Washington devait procéder à certains examens [concernant l’affaire EAU/F-35].» “Nous avons voulu nous assurer que notre engagement envers l'avantage militaire d'Israël est assuré, nous avons aussi voulu nous assurer que nous pourrions faire un examen approfondi de toutes les technologies qui sont vendues ou transférées à d'autres partenaires dans la région, y compris aux Émirats”, a déclaré le secrétaire d'Etat américain.» “Nous sommes néanmoins prêts à aller de l'avant si les Émirats décident de poursuivre ces projets”, a-t-il ajouté. Tout se passe, dans cette affaire qui est symboliquement et stratégiquement importante, comme si les USA laissaient entendre que ce sont eux qui ont retiré temporairement, ou réexaminé leur offre, en fonction de l’un ou l’autre aspect polémique très classique : “espionnage” de la Chine amie des EAU et qui ne songe qu’à copier l’exceptionnelle machine ; mécontentement d’Israël qui veut garder ce bijou qui terrorise les cieux pour lui-même et personne d’autre dans la région et exige des limitations draconiennes sur les F-35 pseudo-émiratis. Nonobstant ces divers éléphants dans le magasin de porcelaine, le côté US rajoute qu’il est prêt à reprendre les négociations. Les EAU se précipitent pour assurer qu’ils sont toujours amis avec les USA, et très privilégiés, etc. Bref, tout le monde s’embrasse mais il reste qu’on ne s’entend pas vraiment, sinon vraiment pas et pas du tout, – avec une colère furieuse du côté des EAU devant les exigences US, avec une complète stupéfaction du côté US qu’on puisse refuser une “telle” offre pour une “telle” merveille. D’un autre côté comme on l’a vu, et pour tenter de nous donner un goût de vérité-de-situation, on répétera que ce sont bien les Émiratis qui ont rompu les négociations, particulièrement insatisfaits des conditions US. Ce qui compte, dans les raisons qui ont été avancées, c’est surtout celle-ci : « les restrictions opérationnelles souveraines ». Les Émiratis, qui possèdent selon les Français et de longue date, des compétences exceptionnelles au niveau technologique, ont toujours été très jaloux de leur indépendance opérationnelle en même temps qu’ils comprennent vite le genre de restrictions qu’on veut leur imposer. Ils se sont aperçus, lors de diverses interventions, qu’ils ne possédaient pas cette indépendance et que, par divers moyens de contrôle électronique, les USA restaient en capacité d’interdire toute opération qui leur déplaît. Il y a eu diverses démonstrations de cette situation. Intervenant notamment aux côtés des Égyptiens dans des opérations de frappe anti-terroriste en Libye, ils ont toujours été contraints de ne pas utiliser leurs avions les plus avancés, – des F-16 Block 60, ou F-16E, modèle très avancé du F-16, – préférant leurs Mirage 2000-9 dont ils ont la complète maîtrise, conformément aux us & coutumes français. Le site ‘Opex360.com’ notait, le 6 juillet 2020, à propos d’une opération-“mystère” contre une base terroriste en Libye, et sans avancer sans doute par manque d’imagination l’explication évidente pour les EAU : « Au moins deux pays sont susceptibles d’avoir été impliqués dans cette action contre la base d’al-Watiya : l’Égypte et les Émirats Arabes Unis. Ce qui ne serait d’ailleurs pas une première. En effet, en août 2014, de mystérieux raids aériens avaient été menés contre des positions tenues par la milice Fajr Libya dans les environs de Tripoli, théâtre de combats impliquant les brigades de Zenten, proche du Parlement alors nouvellement élu [et repliés, depuis, à Tobrouk]. Il apparut, plus tard, que ces bombardements avaient été effectués par des Mirage 2000-9 émiratis. » D’ailleurs, c’est l’hypothèse avancée par un porte-parole des forces loyales au GNA, Abdulmalik al-Medeni. Selon lui, les frappes contre la base d’al-Watiya auraient été l’œuvre de Mirage 2000-9 déployés par les Émirats Arabes Unis à Sidi al-Barani, en Égypte. » Cela étant, pour une mission visant à supprimer des défenses aériennes adverses [SEAD], on peut supposer que la force aérienne émiraties aurait eu recours à ses F-16E, capables d’emporter des missiles AGM-88 HARM. À noter que son homologue égyptien dispose également de cette munition dans son arsenal. » La question se pose donc de savoir comment va évoluer cette affaire qui est décrite comme « sans précédent par la vigueur du refus des Émiratis » (confidence verbatim), et ce refus ayant laissé KO de stupéfaction (comment peut-on refuser... ?) les clowns américanistes. Reste à voir si, réalisant la situation, les USA ne vont pas exercer la pression folle et la brutalité irresponsable qu’ils mettent aujourd’hui dans tous les actes de cette sorte. Il n’empêche que la situation actuelle pourrait être interprétée comme étant une sorte de “victoire indirecte” du ‘Rafale’ sur le F-35, avec des perspectives pour d’autres commandes si les EAU persistent dans leur héroïque refus. Pour l’instant, les USA ne se sont pas vraiment aperçus de la commande de ‘Rafale’ et de ce qu’elle peut signifier. (La presseSystème US est pleine de longs articles sur la folie des EAU de ne pas vouloir le F-35, où l’on peine à trouver mention de la vente des 80 ‘Rafale’.) ... Mais peut-être s’en apercevront-ils, les ‘Ricains’, et alors sera-ce le déchaînement, avec peut-être un remake hollywoodien façon sous-marins australiens ? Nous avons de quoi en craindre notablement, pour avoir été rafraîchi, ou mis au parfum par un “vent favorable” (nom de code dans la presse belge pour indiquer une source), un vent venu de presque l’essence du sujet de la confidence. Cela est pour dire que, dans cette affaire qui fait beaucoup d’énormes bruits discrets, les milieux gouvernementaux français, dans la tradition d’héroïsme qu’on leur connaît, ne voudraient pas que l’on puisse s’imaginer, à Washington où l’on est tant aimé, que la France soit dans un camp qui ne serait pas celui du Bien (de “‘D.C.-la-folle”, station Lockheed Martin). Macron songerait-il à s’effacer, selon les normes de la ‘cancel culture’ et de l ‘exquise politesse franco-européenne, par exemple en achetant 80 F-35 et en les livrant aux EAU en guise de ‘Rafale’ ? Ainsi pourrait-on le réélire pour qu’il puisse faire don de Dassault Aviation à Lockheed Martin, comme il fit don d’Alstom à General Electric ; du point de vue de la com’ dirait un Gabriel Atal, cela tient la route, “en même temps” dans les deux sens pour n’en faire qu’un. On se croirait à Verdun : “No Pasaràn” (euh, c’est-à-dire : “Ils ne passeront pas”, –ceux qui ne sont pas du camp du Bien). -
Cela évite d'être éliminé pour une question de prix: pour le F-35 on a un détail de prix comme suit: On voit que le prix des avions eux même est de € 4,7 Milliards or le prix des 36 Rafale de l'Inde était € 3,42 Milliards ce qui pour 64 Rafale donnerait un peu plus de 6 Milliards. Et surtout cela réduit aussi le coût du MCO qui était la principale contrainte économique de cet appel d'offre. On exploite la disponibilité pour lutter contre le prix.
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C'est pour contrer cet effet que j'avais calculé que Dassault ne devrait proposer que 43 Avions.
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C'est pour leur dire que beaucoup de slot de production du Rafale viennent brusquement d'être occupés.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Oui mais le prix fait à l'export a pu être majoré du fait de cet investissement: les Indiens avaient l'impression qu'on refusait de retirer la TVA lorsqu'ils comparait le prix qu'on leur faisait avec les coûts de production qui avaient été renseignés par le Sénat. -
Mais on est bien d'accord que ça apportera un changement positif, et on est pas en colère du tout, mais on trouve que vous vous satisfaites de vraiment peu sur ce programme F-35. En même temps que ce sera un changement positif, c'est la preuve qu'il y a eu une grosse erreur dans ce programme. Bien sûr l'erreur est humaine et il faut voir l'avenir et patati et patata. Mais des erreurs de cette taille, on paye des professionnels de haut niveau pour les éviter. En plus cette erreur aura des répercussions chez tous les clients où vous avez vendu le F-35, qui devront payer du fait des clauses des contrats FMS, ce qui est une sorte de distorsion de concurrence.
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Chez nous les gestionnaires de programme sont des Ingénieurs, ça leur permet de comprendre ce qu'ils gèrent. Vous voulez sous entendre que ce sera facile à faire de la part de ceux qui ont "réussi" cette intégration grandiose? Ce serait un argument valable si on était d'accord sur la "réussite" en question, mais pour nous ce n'est pas une réussite si on considère le retard du programme et les coûts qui sont associés.
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Les Émirats arabes unis menacent de se retirer de l'accord de 23 milliards de dollars conclu avec les États-Unis concernant les F-35 et les drones. WASHINGTON - Les Émirats arabes unis menacent de se retirer d'un accord de plusieurs milliards de dollars portant sur l'achat d'avions F-35 de fabrication américaine, de drones Reaper et d'autres munitions de pointe, selon des responsables américains, ce qui constituerait un bouleversement important entre deux alliés de longue date de plus en plus en désaccord sur le rôle de la Chine dans le Golfe. Le gouvernement émirati a déclaré aux responsables américains qu'il avait l'intention d'annuler l'accord parce qu'Abu Dhabi pensait que les exigences de sécurité que les États-Unis avaient établies pour protéger l'armement de haute technologie de l'espionnage chinois étaient trop lourdes, ont déclaré les responsables. Il n'était pas clair si le contrat d'armement de 23 milliards de dollars, signé dans les derniers jours de l'administration Trump, est mort, ou si la menace émiratie est un mouvement de négociation à la veille d'une visite prévue mercredi par une délégation militaire de haut niveau des EAU au Pentagone pour deux jours de discussions. "Les Émirats arabes unis ont informé les États-Unis qu'ils suspendaient les discussions en vue d'acquérir le F-35", a déclaré un responsable des Émirats arabes unis dans un communiqué. "Les exigences techniques, les restrictions opérationnelles souveraines et l'analyse coûts/avantages ont conduit à cette réévaluation." Les États-Unis, a ajouté le responsable des Émirats arabes unis, "restent le fournisseur privilégié des Émirats arabes unis pour les besoins de défense avancés et les discussions sur le F-35 pourraient être rouvertes à l'avenir." La lettre de menace a été rédigée par un fonctionnaire relativement peu expérimenté du gouvernement, ce qui suggère que l'ouverture était une tactique de négociation en vue de la réunion, selon les responsables américains. D'autres fonctionnaires ont déclaré que, bien que les États-Unis aient des préoccupations légitimes en matière de sécurité, il y avait une ruée pour sauver la vente d'armes à un allié du Golfe. Les responsables américains ont accusé réception de la lettre et des préoccupations des Émirats. Les États-Unis, cependant, sont de plus en plus préoccupés par l'influence de la Chine dans les Émirats arabes unis et ont énoncé des conditions qui garantiraient que les avions de chasse de cinquième génération et les drones avancés ne seraient pas vulnérables à l'espionnage chinois. "Nous restons engagés dans ces ventes, et les Emiratis ont soulevé certaines préoccupations", a déclaré un responsable américain. "Franchement, nous avons nous-mêmes quelques questions. Ce genre de va-et-vient n'est pas inhabituel pour des ventes d'armes importantes et nous espérons que nous pourrons résoudre ces problèmes et nous pensons que le dialogue militaire conjoint nous donnera l'occasion de le faire." L'administration Biden a entrepris une campagne vigoureuse pour persuader les alliés de se méfier d'une trop grande proximité avec la Chine sur les questions de sécurité. Des pays comme les Émirats arabes unis, qui ont des liens économiques profonds avec la Chine, développent également leurs liens en matière de sécurité, et les responsables américains pensent de plus en plus que le gouvernement chinois constitue une menace pour la sécurité nationale des États-Unis en raison de ses activités dans ces pays. L'échec de l'accord alimenterait le sentiment, au Moyen-Orient et ailleurs, que le rôle joué depuis des décennies par les États-Unis en tant que fournisseur de sécurité de choix dans la région est en train de diminuer. De hauts responsables arabes ont exprimé leur inquiétude face à une série d'événements survenus ces dernières années, notamment les négociations nucléaires secrètes de l'administration Obama avec l'Iran, l'absence de réaction des États-Unis à l'attaque des installations pétrolières saoudiennes par des rebelles yéménites soutenus par l'Iran et le retrait chaotique des États-Unis d'Afghanistan. La menace d'annuler les contrats intervient moins de deux semaines après que le gouvernement émirati a signé un accord avec la France pour l'achat de 80 avions de combat Rafale et d'une douzaine d'hélicoptères militaires. L'accord de près de 20 milliards de dollars avec le gouvernement français suggère que les Émiriens cherchent ailleurs des partenaires en matière de sécurité. Les relations entre les Émirats arabes unis et les États-Unis ont été ébranlées au printemps dernier lorsque les services de renseignement américains ont appris que la Chine construisait secrètement ce qu'ils soupçonnaient être une installation militaire dans un port situé près d'Abu Dhabi, la capitale émiratie, ont déclaré des personnes au courant de l'affaire au Wall Street Journal. De hauts responsables émiratis ont déclaré qu'ils ne pensaient pas que le site que les Chinois construisaient était une installation militaire. Mais il a été fermé après plusieurs séries de réunions et de visites par des responsables américains, ont déclaré les personnes au fait de la question. Les États-Unis s'inquiètent également depuis longtemps des liens entre Abou Dhabi et le géant chinois des télécommunications Huawei Technologies Co, qui fournit au pays son infrastructure de communication. Les responsables américains et les membres du Congrès estiment que Huawei constitue une menace pour la sécurité nationale, car ils craignent que le gouvernement chinois n'utilise les équipements de cette société privée, intégrés dans les réseaux de télécommunications du monde entier, pour espionner ou perturber les communications. L'entreprise et le gouvernement chinois ont démenti ces allégations. Le contrat d'armement, qui a été finalisé le dernier jour complet du mandat de l'ancien président Donald Trump, était estimé à 23 milliards de dollars et comprenait pas moins de 50 chasseurs F-35A évalués à 10,4 milliards de dollars, 18 drones MQ-9B d'une valeur de près de 3 milliards de dollars et d'autres munitions évaluées à 10 milliards de dollars, selon un communiqué publié par l'ambassade des EAU à Washington. Dès la première semaine de son mandat, M. Biden a décidé de réexaminer cette vente tout en gelant certaines ventes d'armes à un autre allié clé du Golfe, l'Arabie saoudite. L'administration a décidé d'aller de l'avant avec la vente proposée, sous réserve de la poursuite des négociations sur les garanties demandées par Washington concernant l'utilisation des armes. La livraison des chasseurs à réaction F-35 n'est pas prévue avant 2027. Les responsables des États-Unis et des Émirats arabes unis n'ont jamais révélé publiquement les conditions posées par chaque partie à la vente. Les responsables ont déclaré que Washington voulait l'assurance que les dernières technologies de défense américaines ne seraient pas partagées avec des pays tiers, et l'interdiction d'utiliser ces armes dans des conflits, notamment en Libye et au Yémen, où les forces émiraties ont été actives. Entre autres exigences, les Émirats souhaitent que les F-35 soient livrés avant 2027, selon une personne au fait de la question. L'ambassadeur des Émirats à Washington, Yousef Al Otaiba, a déclaré au Journal plus tôt cette année : "Les Émirats arabes unis ont une longue et constante expérience de la protection de la technologie militaire américaine, à la fois dans les coalitions où nous avons servi aux côtés de l'armée américaine et à l'intérieur des Émirats arabes unis où un large éventail de biens militaires américains sensibles ont été déployés pendant de nombreuses années." Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) -
ça fait un peu petit Là c'est mieux
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Mais le Brexit c'est bien la conséquence de la raréfaction des ressources de poisson ... -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
En plus moi je pense qu'à partir du moment où les modifications notables ont été définies, on avait intérêt à ne produire que des avions comportant ces modifications, que ce soit pour la France ou pour l'export. L'export a retardé la production des 28 avions qui restent à produire sur le contrat Français en cours, mais avant qu'on ne connaisse ce retard il était déjà dit que ces 28 seraient F4.2 alors que la validation de ce standard était prévue pour bien plus tard, à l'époque j'en ai conclus que c'était le logiciel qui faisait le délai, mais ensuite lorsque Dassault a voulu raccourcir le délai de F4.2 en le passant de 2025 à 2024 on a entendu Thales dire qu'il ne serait peut être pas prêt, alors j'ai commencé à dire "compatible" F4.2.... -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Les trois dernières conditions sont réalisées de manière permanente et sont sans relation avec le Rafale.- 4 664 réponses
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Je rappelle que pour satisfaire les critères en question j'avais calculé que Dassault devrait proposer seulement 43 Rafale avec une PBL sur 10 ans. http://www.air-defense.net/forum/topic/19628-appel-doffre-finlandais-hxchallenge/?do=findComment&comment=1251761- 4 664 réponses
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Le Rafale n'a pas été sous estimé, il n'a pas été estimé du tout, on a dit officiellement qu'il avait été éliminé sur un des trois critères éliminatoires préalables. Il n'a donc pas participé à la simulation, c'est plus simple comme ça.- 4 664 réponses
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Le réseau de Lockheed Martin qui fait atterrir les F-35 à Helsinki La décision de la Finlande de se doter du F-35, aidée par le rapprochement sécuritaire entre Helsinki et Washington, illustre aussi le succès du dispositif de lobbying déployé par Lockheed Martin - et l'échec de ceux de ses concurrents.- 4 664 réponses
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F-35s Could Get New Engines As Soon As 2027 Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Les F-35 pourraient recevoir de nouveaux moteurs dès 2027 La technologie adaptative des moteurs et d'autres améliorations pourraient accroître considérablement les capacités, mais cela aurait un coût. PAR THOMAS NEWDICK ET JOSEPH TREVITHICK 11 DÉCEMBRE 2021 Le Congrès pourrait exiger de l'armée américaine qu'elle prépare deux études sur ce qu'il faudrait faire pour installer de nouveaux moteurs dans les avions furtifs F-35 actuels et futurs plus tard dans la décennie. Un tout nouveau moteur est en cours de développement dans le cadre de l'Adaptive Engine Transition Program, ou AETP, et plusieurs prototypes sont déjà testés. On espère que le moteur AETP ou une autre alternative apportera une augmentation significative des performances aux trois variantes du F-35, ainsi qu'une meilleure efficacité. Dans un article paru hier dans Air Force Magazine, John Tirpak a attiré l'attention sur le libellé de la dernière version du projet de loi sur la politique de défense annuelle, ou National Defense Authorization Act (NDAA), pour l'exercice 2022. Le projet de loi, qui n'a pas encore été adopté par le Sénat, exigerait que le secrétaire de l'armée de l'air, en collaboration avec le sous-secrétaire à la défense chargé des acquisitions et du maintien en puissance, établisse un plan pour l'ajout de moteurs AETP aux avions F-35A à décollage et atterrissage conventionnels (CTOL) à partir de 2027 au plus tard. Le secrétaire à la marine, en collaboration avec le sous-secrétaire à la défense chargé de l'acquisition et du maintien en service, établirait un plan similaire, mais distinct, pour l'ajout d'un "système de propulsion avancé" - qui pourrait être la conception finale de l'AETP ou une version améliorée du Pratt and Whitney F135 existant - aux variantes à décollage court et à atterrissage vertical (STOVL) du F-35B et aux variantes basées sur porte-avions du F-35C, là encore à partir de 2027 au plus tard. Dans les deux cas, la "stratégie d'acquisition concurrentielle" décrite couvrirait l'ajout de moteurs AETP aux avions de production existants et nouveaux. Les deux rapports devraient être soumis dans les deux semaines suivant la présentation au Congrès de la demande de budget pour l'exercice 2023 proposée par le président Joe Biden. Les coûts liés à l'intégration de tout nouveau groupe motopropulseur dans les trois variantes du F-35 pourraient être considérables. Pour l'armée de l'air en particulier, qui est le plus grand opérateur américain actuel de Joint Strike Fighters de tous types, on peut se demander si le service a les moyens de donner à tous ses jets existants et futurs des moteurs AETP entièrement nouveaux. Les dépenses liées au maintien en service des F-35A existants et à leur adaptation à la dernière norme du bloc 4, qui comprend des capacités radar et de guerre électronique améliorées, ainsi que la capacité d'emporter de nouvelles armes, suscitent déjà des préoccupations distinctes. Par le passé, le lieutenant-général Eric T. Fick, directeur exécutif du bureau du programme conjoint du F-35, a déclaré que l'armée de l'air devrait couvrir les coûts de développement et de production liés à l'intégration du moteur AETP dans le F-35A. Actuellement, des prototypes de deux options pour le AETP, le General Electric XA100 et le Pratt & Whitney XA101, sont testés. Ces deux motorisations devraient permettre d'augmenter l'autonomie du jet d'environ 30 % et la persistance d'environ 40 %, tout en réduisant la consommation de carburant d'environ un quart. Actuellement, le F-35A a une autonomie sans carburant de l'ordre de 1 350 miles, qui serait portée à environ 1 800 miles avec le nouveau moteur. L'accélération serait également améliorée avec le nouveau moteur installé. La partie "adaptative" du nom fait référence au fait que ces nouveaux moteurs combinent l'économie de carburant des types de turbosoufflantes utilisés dans les avions de ligne de nouvelle génération avec la compression haute pression que l'on trouve normalement dans les moteurs de chasse. En introduisant un troisième flux d'air, celui-ci peut être modulé dynamiquement entre le cœur du moteur et le flux de dérivation, afin de fournir une poussée accrue en conditions de combat et un meilleur rendement énergétique en conditions de croisière. En particulier, le fait de donner au F-35A des jambes plus longues serait un avantage considérable pour l'armée de l'air, dans la perspective d'un prochain conflit majeur sur le théâtre Asie-Pacifique, où la portée limitée du Lightning II serait une préoccupation majeure. Alors que l'armée planifie son prochain chasseur, l'augmentation du rayon d'action est déjà considérée comme une caractéristique indispensable. Non seulement un F-35A à plus longue portée serait plus adapté aux opérations dans la région Asie-Pacifique, mais il réduirait également la dépendance à l'égard des ravitailleurs aériens. La disponibilité d'un nombre suffisant d'avions de ravitaillement en vol a toujours été un facteur clé pour les planificateurs de combat aérien. Plus récemment, cependant, la capacité de survie de ces mêmes ravitailleurs est devenue une véritable préoccupation, d'où l'intérêt pour des ravitailleurs plus résistants, obtenus par une faible observabilité ou par d'autres moyens. En plus d'améliorer les capacités globales, un nouveau groupe motopropulseur permettrait de résoudre un problème persistant d'usure excessive du revêtement thermoprotecteur des pales du rotor de turbine du F-35A. Au début de l'année, il est apparu que 46 des jets étaient privés de moteur en raison de ce problème. Le centre de maintenance des moteurs étant confronté à un retard dans les travaux de réparation, les flottes de F-35 de première ligne ont été touchées, et la flotte de l'armée de l'air a subi le manque de disponibilité le plus important. Dans un passé récent, le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Charles Q. Brown Jr., a également noté que les moteurs des F135 "tombent en panne un peu plus rapidement dans certaines zones", en raison d'une utilisation intensive et de déploiements réguliers. Bien que des modifications de la maintenance soient envisagées, le général Brown a également suggéré qu'une solution au problème pourrait simplement consister à moins utiliser le F-35, ce qui n'est guère une solution idéale à long terme. Bien que le calendrier du nouveau moteur soit audacieux, General Electric et Pratt & Whitney ont déclaré à Air Force Magazine que la date cible de 2027 est réalisable. Les membres du Congrès qui ont élaboré le dernier NDAA semblent être extrêmement favorables au programme de moteur adaptatif, le projet de loi proposant de tripler son financement au cours de l'année fiscale 2022 par rapport à ce qui avait été initialement demandé. Dans le même temps, alors que les membres du Congrès font pression pour ajouter le moteur AETP au F-35A, le projet de NDAA laisse ouverte la possibilité d'aller dans une direction différente avec les F-35B et F-35C. L'étude pour le F-35B et le F-35C comprendrait une "analyse de l'impact sur l'efficacité au combat et le coût de maintien en service de l'augmentation de la poussée, du rendement énergétique et de la capacité thermique pour chaque variante du F-35, afin d'inclure les améliorations sur l'accélération, la vitesse, la portée et l'efficacité globale de la mission, de chaque système de propulsion avancé". Il n'y a aucune mention spécifique du AETP. Les exigences de l'environnement opérationnel des porte-avions pour le F-35C et, surtout, la tuyère pivotante et le moteur de levage intégré pour le F-35B STOVL signifient que les défis de l'intégration d'un nouveau moteur sont plus grands. En effet, par le passé, General Electric et Pratt & Whitney ont tous deux déclaré que leurs conceptions AETP n'étaient pas compatibles avec le F-35B. Dans cette optique, la NDAA prévoit peut-être que le modèle B utilisera le moteur F135 amélioré, tandis que le F-35C recevra le même moteur ou une version du nouveau moteur AETP. Le rapport de la marine doit également fournir une évaluation de la manière dont un système de propulsion avancé pourrait réduire les exigences de ravitaillement en vol, ainsi que tout "avantage en termes de coût global" résultant d'une "acquisition et d'un maintien réduits". Une fois les deux rapports préparés, le Congrès disposera d'un calendrier "annotant les étapes pertinentes et les besoins annuels en ressources fiscales pour la mise en œuvre d'une telle stratégie". Avec un prix moyen de 20 millions de dollars pour le F135 actuel, on peut s'attendre à ce que le nouveau moteur coûte beaucoup plus que cela. Si le Congrès considère que le projet de remotorisation vaut la peine d'être poursuivi, l'étape suivante n'est pas claire. Au début du programme Joint Strike Fighter, il y avait deux moteurs, le F135 et l'alternative F136 de General Electric/Rolls-Royce, bien que cette dernière ait été abandonnée pour des raisons de coût, de manière quelque peu controversée. Il se pourrait que l'armée de l'air ait tiré les leçons de cette expérience et qu'elle décide que le XA100 et le XA101 doivent tous deux être produits, après quoi ils pourront concourir pour remporter des contrats, peut-être pour équiper le F-35 ou d'autres plates-formes. Pour le F-35, bien sûr, le AETP pourrait encore s'avérer être "un moteur de trop". À ce moment-là, Pratt & Whitney serait bien placé pour présenter son moteur F135 amélioré, qui promet également des améliorations en termes de poussée et d'efficacité, mais qui, selon la société, serait beaucoup moins cher que la technologie AETP. Avec une série de production importante à venir pour le ministère de la défense américain et les clients étrangers, il est logique que le moteur du Joint Strike Fighter suive le rythme des développements technologiques de la même manière que les autres aspects du jet sont améliorés par des mises à niveau et de nouvelles itérations. Mais on peut se demander si l'armée de l'air, sans parler des autres opérateurs, peut payer la facture de l'intégration de cette nouvelle technologie de moteur prometteuse dans le F-35, déjà coûteux.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ah je ne savais pas. Il faut que je parle à mon stagiaire. Je crois que parfois on lui rapporte ce que je dis. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Excuse moi s'il te plait, je ne me suis pas renseigné, et j'ai pris pour argent comptant (sic ) les chiffres de @collectionneur à savoir une augmentation de 200 € pour un salaire de 1700 € ce qui fait 11,76% soit un peu plus que l'inflation. -
Budget de la Défense US : toujours plus d'achats, le F-35 en danger
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Il s'agit d'une flotte conçue pour le combat air-air, une version spéciale pour les EAU, que les Émirats vont retirer du service. La version la plus puissante de l'avion Mirage fabriqué par la France. -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Bon , ben peut être que Trappier ne va pas doubler tout de suite les moyens de production du Rafale, peut être qu'en doublant les moyens en goulot d'étranglement, il arrivera à sortir 3 Rafale par mois et que cela suffira pour l'instant.- 4 664 réponses
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- rafale
- f-18 hornet
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(et 3 en plus)
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