Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Picdelamirand-oil

Members
  • Compteur de contenus

    14 950
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    293

Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    Marine indienne

    Contrat du siècle: après la gifle australienne, la main tendue indienne?
  2. Is AUKUS pact a signal to India to go for nuclear attack submarines? Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le pacte AUKUS est-il un signal adressé à l'Inde pour qu'elle opte pour des sous-marins d'attaque nucléaires ? Avec un nouveau porte-avions, six nouveaux sous-marins d'attaque diesel de classe Kalvari et des destroyers de classe Vishakhapatnam, la marine indienne sera une force très puissante dans la région indo-pacifique d'ici 2025. L'Australie ayant signé un pacte avec les États-Unis et le Royaume-Uni en vue d'acquérir huit sous-marins d'attaque conventionnels à propulsion nucléaire ou SSN pour dissuader la Chine dans la région indo-pacifique, l'Inde doit également revoir son plan de 1999 concernant les sous-marins conventionnels et s'orienter rapidement vers des navires sous-marins à propulsion nucléaire. Alors que l'Inde a lancé une demande d'information (RFI) pour six nouveaux sous-marins d'attaque diesel dotés d'une propulsion indépendante de l'air pour une plus longue durée sous l'eau dans le cadre du projet 75I, l'évolution rapide du scénario de sécurité dans la région indo-pacifique exige que le gouvernement Modi mette le projet de trois SSN au premier plan. L'Inde dispose actuellement d'un sous-marin nucléaire lanceur de missiles balistiques ou SNLE, l'INS Arihant, et d'un autre, l'INS Arighat, prêt à être mis en service l'année prochaine. Elle ne dispose pas d'un sous-marin d'attaque conventionnel à propulsion nucléaire, mais la situation changera en 2025. Bien que les Français soient, à juste titre, mécontents de l'Australie pour avoir sabordé unilatéralement l'accord de 50 milliards de dollars conclu avec Naval Group pour la construction de 12 sous-marins diesel équipés de l'AIP en faveur de SSN dans le cadre du pacte anglo-saxon AUKUS récemment dévoilé, le fait est que la marine chinoise, qui se développe rapidement, avait besoin d'une réponse plus forte. Les SSN ne sont limités que par les réserves de nourriture et le cadre mental de leur équipage et peuvent effectuer des patrouilles d'accès à la mer et de refus d'accès à la mer pendant plus de 45 jours. En bref, l'Australie, qui est à la merci des Chinois belliqueux comme l'Inde et le Japon, peut dissuader la puissante marine de l'APL, qui dispose d'une série de SSN et de SSBN et acquiert de jour en jour un plus long pied marin. Dans ce contexte, les planificateurs indiens de la sécurité nationale doivent également reconsidérer le projet 75 I et le projet 76, une suite du précédent, et passer au projet 77 ou au projet SSN. Étant donné que la construction d'un sous-marin prend au moins dix ans à partir de la planche à dessin, l'Inde doit se préparer à un moment où les porte-avions et les SSN chinois patrouilleront dans la région de l'océan Indien (IOR) en dehors des autres acteurs mondiaux. Le gouvernement Modi ne se contente pas d'observer l'évolution de la situation sécuritaire dans la dimension maritime. Avec le nouveau porte-avions INS Vikrant, le SNLE INS Arighat, les six nouveaux sous-marins d'attaque diesel de la classe Kalvari et les destroyers de la classe Vishakhapatnam, la marine indienne va devenir une force très puissante dans la région indo-pacifique d'ici 2025. Les États-Unis étant disposés à vendre à l'Inde des drones Predator armés, le système de combat intégré Aegis et le missile de croisière Tomahawk, le gouvernement Modi dispose de suffisamment d'options pour projeter sa puissance dans la région indo-pacifique. La France, l'un des principaux alliés de l'Inde, est également disposée à participer à la conception et à la construction de navires de surface et à améliorer les capacités militaires indiennes à l'horizon. Tout comme les États-Unis, l'Inde et l'Australie se concentrent sur l'Indo-Pacifique, les nouveaux dirigeants japonais abandonnent également leur approche pacifiste face aux guerriers loups du Parti communiste chinois (PCC). Les nouveaux dirigeants du Parti libéral démocrate (PLD), après le Premier ministre Yoshihide Suga, ont une approche conservatrice et nationaliste. Plutôt que de se laisser bousculer par Pékin, le Japon est prêt à s'associer à ses partenaires quadruples pour sécuriser la région indo-pacifique. Le pacte AUKUS ne sera pas sans ramifications sécuritaires pour les partenaires de la Quadrilatérale, car il est fort possible que la Chine construise un SSN pour son client pakistanais, citant le transfert d'un réacteur nucléaire à l'Australie dans le cadre de l'AUKUS. Cela créera un plus grand casse-tête en matière de sécurité pour l'Inde et pour les autres pays de la zone de responsabilité internationale. Le temps est venu pour l'Inde de revoir ses capacités de dissuasion et pour la marine indienne de penser au-delà de Karachi.
  3. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Apparemment, la délocalisation est prévue plus large que vers les drones puisqu'elle concerne aussi la délocalisation entre avions pilotés pour rendre difficile la localisation et la destruction de l'intelligence et de la décision....
  4. UAE eyes French alternative to US as Abu Dhabi crown prince holds talks in Paris Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le prince héritier d'Abu Dhabi s'entretient avec la France à Paris pour trouver une alternative aux États-Unis Abu Dhabi serait intéressé par l'achat d'avions de combat Rafale dans le cadre d'une vision émiratie plus large visant à diversifier les sources d'armement. Jeudi 16/09/2021 PARIS--Analystes voient la visite du prince héritier d'Abu Dhabi, Cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, en France comme étant liée aux tentatives franco-émiraties de construire une nouvelle alliance qui pourrait combler le vide laissé par le désengagement de Washington de la région du Golfe arabe. Depuis l'entrée en fonction de l'administration américaine du président Joe Biden, on a l'impression que l'engagement américain pour la sécurité du Golfe s'amenuise. Ce phénomène a été déclenché par la décision de Washington de réduire sa présence militaire, notamment en retirant de la région le système de missiles de défense aérienne Patriot, et de limiter les ventes d'armes à l'Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis. Mercredi, le cheikh Mohammedbin Zayed a rencontré le président français Emmanuel Macron lors d'un déjeuner au palais de Fontainebleau, à l'est de Paris. M. Macron et le prince héritier d'Abou Dhabi ont promis de travailler ensemble pour lutter contre l'extrémisme islamique, après des entretiens qui, selon leurs collaborateurs, ont souligné la force de leur partenariat. Au cours du mois dernier, Abou Dhabi a servi de plaque tournante pour l'évacuation par Paris de ressortissants français et afghans de l'Afghanistan contrôlé par les talibans. "Les deux parties ont souligné qu'elles étaient toutes deux déterminées à lutter contre l'extrémisme et le terrorisme et à renforcer leur coopération en matière de sécurité et de défense", a déclaré la présidence française dans un communiqué publié à l'issue des entretiens. Concernant l'Afghanistan, les deux parties ont également insisté sur la nécessité de "respecter les droits des femmes et des filles, ainsi que des minorités" après la prise de pouvoir par les talibans. Selon l'agence de presse émiratie WAM, les deux parties ont discuté "des possibilités de développer les relations et ont échangé leurs points de vue sur les développements régionaux, en particulier les développements actuels en Afghanistan." Elles ont souligné l'importance de promouvoir les efforts visant à renforcer la sécurité, la paix et la stabilité dans la région par des efforts diplomatiques et un dialogue efficace. L'ambassadeur des EAU en France, Hend Al Otaiba, a déclaré que la visite de Sheikh Mohammedbin Zayed à Paris était l'occasion de mettre en lumière le partenariat stratégique exceptionnel entre les deux pays, soulignant la vision commune de Paris et d'Abu Dhabi et leur désir de promouvoir une coopération plus poussée. Selon les analystes, Cheikh Mohammed peut s'appuyer sur la relation spéciale qu'il entretient avec Macron et l'ampleur des investissements des EAU en France pour conclure un accord d'achat d'avions de combat Rafale. Cela s'inscrira dans le cadre d'une diversification plus large des sources d'armement des Émirats. Le président français a déjà défendu les ventes d'armes aux États du Golfe, décrivant Riyad et Abu Dhabi comme des alliés dans la guerre contre le terrorisme et soulignant que Paris avait reçu des garanties qu'elles ne seraient pas utilisées contre des civils. Les Émirats arabes unis ont discuté avec la France de l'achat de 60 avions de combat Rafale il y a quelques années. L'acquisition de l'avion de guerre par l'Égypte encouragera Abu Dhabi et Paris à aller de l'avant avec leur propre accord. L'Égypte a signé un contrat en mai pour l'achat de 30 avions de combat Rafale, pour un montant de 3,75 milliards d'euros (4,5 milliards de dollars). Selon les experts militaires, les performances de l'avion au combat, en 2007 en Afghanistan, en Libye en 2011 et dans la région du Sahel en 2013, lui ont valu une réputation mondiale, incitant de nombreux pays à passer commande. Les Émirats arabes unis sont déjà des clients des fabricants d'armes français. Son armée dispose de 436 chars d'assaut Leclerc. Ils sont également devenus un partenaire stratégique clé pour la France au Moyen-Orient et occupent la deuxième place après l'Arabie saoudite dans les échanges commerciaux franco-golfe. Les deux pays entretiennent également une solide alliance dans la guerre contre le terrorisme. Les Émirats arabes unis représentent 45 % des investissements directs arabes en France et une cinquantaine d'entreprises sont entièrement ou partiellement détenues par des hommes d'affaires émiratis. Sur le plan culturel, la France et les EAU ont créé le musée du Louvre à Abu Dhabi et, à Fontainebleau, Abu Dhabi a financé la restauration du théâtre impérial, dont la construction remonte à l'époque de Napoléon III. Celui-ci est désormais connu sous le nom de "Théâtre du Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, Président des EAU".
  5. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Il parlent d'un Rafale tout à fait classique, un Rafale M (là je ne vois pas pourquoi).
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Moi je pense simplement que la maquette du Rafale est stylisée...
  7. J'ai voulu reprendre ton argument sur mon site Indien préféré, parce qu'un troll avait cité le même article, mais je me suis ravisé parce qu'en fait il y a eu deux escadrons qui ont été déployés l'un après l'autre ce qui fait qu'il n'y a jamais eu plus de 21 avions sur le site et donc le calcul aurait du être 1300/21/18 = 3.4 et si tu fais le calcul en prenant les heures ça donne 7300/21/18 = 19.31 h par mois soit 232 h par an ce qui est respectable, pas extraordinaire en Opex mais respectable.
  8. Et puis il y a ça: https://www.reuters.com/world/nato-needs-know-who-its-enemies-are-says-macron-2021-06-10/ https://www.republicworld.com/world-news/europe/macron-downplays-nato-wording-on-china.html https://www.politico.eu/article/macron-eu-shouldnt-gang-up-on-china-with-u-s/
  9. Le cloud de combat sera en rupture complète en termes d'échanges de données par rapport à F4, y compris, mais pas seulement, le déclenchement et l'utilisation à distance des données brut du radar de l'avion le mieux placé, c'est aussi un pré requis pour faire du multi-statique par exemple. Un objectif est que les "cerveaux décisionnels" et vecteurs soient "distribués, dispersés et réaffectables en temps réel" empêchant les adversaires de savoir où frapper pour déstabiliser le cloud. Les plateformes collaboratives qui travaillent sur le sujet vont jusqu'à impliquer des écrivains de science fiction notamment pour imaginer les situations qui nécessiteront de reconfigurer le cloud de combat "en plein vol et donc en temps réel". Accessoirement, il est prévu que les Rafale et les EF soient intégrés dans le cloud au moins jusqu'à 2060.
  10. Oui je pense qu'on aurait pu se contenter de se connecter sur le Cloud OTAN pour lequel c'est Thales qui a le contrat.
  11. Je peux tenter une réponse théorique : Le SCAF est la composante majeure d'un système de "cloud de combat" qui suppose de connecter un maximum de données issues d'un maximum d'alliés y compris leurs vecteurs existants. Il serait dommage de terminer un cloud de combat seulement franco-français et de découvrir ne pas efficacement pouvoir s'interconnecter avec nos proches alliés (y compris l'utilisation à distance des senseurs des uns et des autres). Au passage, à la question de savoir jusqu'où le programme Tempest semble aller, il se dit que les anglais se posent moins la question d'un cloud de combat en acceptant d'adopter directement les solutions US éventuellement en se contentant de récupérer les infos US sur le terrain (on comprend : "en étant moins contributeur").
  12. Et il a la moitié des moteurs, et il suffit d'inverser les chiffres pour passer de 57 à 75
  13. Les dix premiers c'était une pré-série pour la marine, les livraisons de la série ont commencées en 2006 ce qui fait 15 ans. Et puis le Rafale est trop bon alors on en a besoin de moins! Pour les commandes c'est 192 avec d'autre tranche à commander. Ensuite 162 commandes à l'export en 6 ans, j'aimerais bien que ça continue à ce rythme pendant les 6 prochaines années.
  14. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Italy backs UK radar for Eurofighter fleet modernisation L'Italie soutient le radar britannique pour la modernisation de la flotte d'Eurofighter L'Italie semble prête à se joindre au Royaume-Uni pour acquérir un radar à balayage électronique actif (AESA) construit par Leonardo, dans le cadre d'une activité de modernisation d'une partie de sa flotte d'avions de combat Eurofighter. Annoncé le 14 septembre, ce développement intervient après que les ministères de la défense de Rome et de Londres aient signé une déclaration de principes relative à la collaboration sur le capteur ECRS (European Common Radar System) Mk2. "Cette démarche représente la première étape vers la pleine participation de l'Italie au programme ECRS Mk2", indique Leonardo. Une équipe conjointe commencera bientôt à travailler pour incorporer l'industrie italienne dans l'activité, qui est déjà en cours en vue de l'intégration future de nouveaux capteurs avec certains des Eurofighter Typhoon de la Royal Air Force (RAF) britannique. "La première étape de la collaboration, qui aura lieu cet automne, verra une équipe d'ingénieurs du site radar de Leonardo à Nerviano, Milan, rejoindre l'équipe de développement du Mk2 sur le site de Leonardo à Edimbourg", explique la société. Ce personnel sera impliqué dans la poursuite des travaux de développement et dans "l'acquisition de capacités de conception de systèmes qui garantiront au ministère italien de la Défense un contrôle souverain sur le nouveau système radar à chaque étape de sa vie opérationnelle", précise Leonardo. Rome est la dernière des quatre nations principales de l'Eurofighter à avoir choisi un radar AESA, l'Allemagne et l'Espagne étant en passe d'utiliser des capteurs ECRS Mk1 produits par Hensoldt et Indra, respectivement. Les clients à l'exportation, le Koweït et le Qatar, quant à eux, utiliseront des Typhoon équipés de capteurs Mk0. Leonardo indique que le matériel initial du système pour le standard AESA du Royaume-Uni devrait être livré au site de BAE Systems à Warton, dans le Lancashire, l'année prochaine, pour l'intégration des avions et les essais en vol. La capacité opérationnelle initiale avec la RAF devrait être atteinte en 2025. Dans le cadre de l'offre Typhoon faite par le Royaume-Uni à la Finlande, Helsinki s'est également vu proposer une participation industrielle au programme ECRS Mk2. Une décision concernant le concours HX du pays est attendue dans le courant de l'année, l'Eurofighter devant faire face à la concurrence du Boeing F/A-18E/F Super Hornet, du Dassault Rafale, du Lockheed Martin F-35A et du Saab Gripen E/F. 2025 c'est après le Rafale F4 !
  15. Mais on ne souhaite pas en savoir plus, on en sait déjà assez, si on a parlé de simulateur c'est pour dénoncer la malhonnêteté de l'approche pas pour les qualités ou les défauts du simulateur. Et puis c'est fatigant la façon dont les fanboys du F-35 présentent des fonctions que tous le monde réalise comme exceptionnelles et spécifiques au F-35. Par exemple la fusion de données qui pourtant marche bien mieux sur le Rafale que sur le F-35 où elle n'est pas encore au point (une grande partie des 800 anomalies non encore corrigées).
  16. Et nous on pense que quand un troupeau de dinosaures essaye de faire un avion ça ne marche pas très bien, avec comme exemples le Typhoon et le F-35.
  17. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    30% de réduction de la part de Lockheed qui représente 40% du coût total du MCO ça fait de l'ordre de 12% du MCO qui est autours de $ 35000 par heure de vol soit une réduction de $ 4200. Ce qui nous amène à $ 30800. Pour une année à 200 h ça fait $ 6.16 million au lieu de 4.1.
  18. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    La stupidité des Finlandais n'est pas encore prouvée. On peut penser qu'ils ont une vraie menace à gérer et que cela peut les faire réfléchir.
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Normal, ils ont de moins en moins de moteur. Et puis pour les Rafale on a 1.4 pilote par avion, ils ont pas de raisons d'en avoir besoin de plus. Et eux ils ont de plus en plus des simulateurs.
  20. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    US Air Force chief supports tying F-35 buy to O&S cost constraints Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le chef de l'armée de l'air américaine est favorable à l'idée de lier l'achat de F-35 à des contraintes de coûts O&S par Pat Host Une proposition de loi américaine limiterait la quantité totale de F-35 pouvant être achetés et entretenus par les services militaires américains en fonction des objectifs de coûts d'exploitation et d'entretien. (US Air Force) L'officier supérieur de l'armée de l'air américaine (USAF) soutient la proposition de loi qui limiterait la quantité totale de chasseurs d'attaque interarmées (JSF) Lockheed Martin F-35 Lightning II que les services militaires américains pourraient acquérir et entretenir en fonction des objectifs de coûts d'exploitation et de maintenance (O&S). "Le langage du Congrès est vraiment en ligne avec ce que nous essayons de faire", a déclaré le général Charles Brown, chef d'état-major de l'USAF, le 8 septembre lors d'une conférence sponsorisée par Defense News. Un F-35A de l'USAF survole le front de mer de Toronto le 3 septembre 2021 pendant le Canadian International Air Show 2021. D'ici 2036, les services du Pentagone qui achètent le F-35 devront faire face à des dépassements de coûts de maintien en condition opérationnelle de près de 6 milliards de dollars, qu'ils jugent inabordables en raison de l'augmentation des dépenses de maintien en condition opérationnelle. Le projet de loi d'autorisation de la défense pour l'exercice fiscal 2022 empêche chaque service armé américain exploitant des F-35, à compter du 1er octobre 2028, de maintenir un nombre d'appareils supérieur à son programme de référence ou à un nombre obtenu en multipliant le programme de référence par une équation de coût par unité, le chiffre le plus bas étant retenu. Mackenzie Eaglen, membre résident du groupe de réflexion American Enterprise Institute à Washington, DC, a déclaré à Janes le 10 septembre que si les coûts d'exploitation et d'entretien du F-35 augmentent, les services seront contraints de maintenir des stocks globaux de JSF inférieurs à leurs programmes d'enregistrement respectifs si cette exigence est mise en œuvre.
  21. Duel tendu entre les favoris des élections allemandes
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    En coopération c'est un an et demi, tout seul c'est 9 mois. Avec les Allemands il faut en plus compter le temps "Bundestag" et avec les Français le temps "budget"
  23. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    2025 c'est dans 4 ans, si tu tiens compte du temps Indien il faut multiplier par 8 ce qui fait 2053....Pour arriver à faire une revue préliminaire (PDR) ils ont quand même mis 12 ans.
  24. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    LCA-Mk2 to roll out next year, first flight in 2023, says scientist Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le LCA-Mk2 sera lancé l'année prochaine et le premier vol aura lieu en 2023, selon un scientifique. La conception détaillée est terminée et la découpe du métal va commencer sous peu. La configuration de l'avion de combat léger (LCA)-Mk2 a été gelée et la découpe de l'acier devrait commencer sous peu, tandis que la configuration de l'avion de combat moyen avancé (AMCA) de cinquième génération a été gelée et la conception préliminaire achevée, a déclaré un scientifique principal de l'Agence de développement aéronautique (ADA). "La conception détaillée est terminée. En fait, nous sommes au stade de la révision critique de la conception et la découpe des métaux devrait commencer très prochainement. Le lancement de l'avion (Mk2) est prévu l'année prochaine et le premier vol au début de 2023. Nous sommes en bonne voie pour atteindre ces objectifs", a déclaré Girish S. Deodhare, directeur de programme (avion de combat) et directeur d'ADA, lors d'un événement organisé par le Centre for Air Power Studies et la Society of Indian Defence Manufacturers. Portée améliorée L'avion se caractérise par une autonomie et une endurance accrues, notamment grâce à un système de production d'oxygène embarqué, qui est intégré pour la première fois, a déclaré M. Deodhare. Des armes lourdes de la classe des Scalp, Crystal Maze et Spice-2000 seront également intégrées sur le Mk2. Le LCA-Mk2 sera un avion plus lourd et beaucoup plus performant que les variantes actuelles du LCA. Le Mk2 est plus long de 1 350 mm, avec des canards, et peut transporter une charge utile de 6 500 kg, contre 3 500 kg pour le LCA. En février, le ministère de la Défense a signé un accord de ₹48,000-crore avec Hindustan Aeronautics Ltd. (HAL) pour fournir 83 LCA-Mk1A à l'armée de l'air indienne. En août, la HAL a signé un contrat de 716 millions de dollars avec GE Aviation des États-Unis pour 99 moteurs d'avion F404 et des services de soutien pour alimenter le Mk-1A. Le Mk2 sera équipé d'un moteur GE-414 plus puissant. L'Indian Air Force (IAF) possède un escadron de LCA en configuration opérationnelle initiale et les livraisons du deuxième escadron en configuration opérationnelle finale sont en cours. La HAL a déjà mis en place une deuxième chaîne de montage pour augmenter la production de huit à seize appareils par an. La commande de 83 Mk-1A devrait être achevée d'ici 2028-29, a déclaré le Dr Deodhare. Avion furtif Précisant que la conception initiale de l'AMCA a débuté en 2009, M. Deodhare a déclaré qu'il s'agirait d'un avion bimoteur furtif doté d'une soute à armes interne et d'une entrée d'air supersonique sans déviation, qui a été développé pour la première fois et dont la conception est terminée. Il s'agira d'un avion de 25 tonnes avec un transport interne de 1 500 kg de charge utile et une charge utile externe de 5 500 kg avec 6 500 kg de carburant interne. Concernant l'état actuel de l'AMCA, le Dr Deodhare a déclaré que la configuration avait été gelée, les exigences préliminaires de qualité de service finalisées et la revue de conception préliminaire achevée. "Nous passons à la revue de conception critique d'ici le milieu de l'année prochaine, le déploiement étant prévu en 2024 et le premier vol en 2025." L'AMCA aura une configuration furtive et non furtive et sera développé en deux phases, l'AMCA Mk1 avec le moteur GE414 existant et l'AMCA Mk2 avec un moteur avancé et plus puissant qui sera développé ultérieurement avec un partenaire étranger, a ajouté le Dr Deodhare. La fabrication et la production de l'avion se feront par le biais d'un véhicule spécial, auquel participera également l'industrie privée. Simultanément, le projet de développement d'un avion de combat bimoteur basé sur le pont, destiné à voler à partir des porte-avions de la marine, progresse également. Concernant les différents programmes en cours, le Dr. Deodhare a déclaré que les systèmes et les technologies étaient communs.
×
×
  • Créer...