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Les essais opérationnels du F-35
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Voila le premier extrait à charge pour L.M. (ou le JPO si vous préférez) http://www.air-defense.net/forum/topic/21572-f-35-les-rapports-du-gao-et-du-dote/?do=findComment&comment=1385507 Là c'est quand même Lockheed Martin qui a remporté le contrat de réalisation du JSE ce qui lui a permis de retarder le projet de 14 ans! De plus il faut remarquer que ce qui est appelé "la Marine" est un tout petit labo de l'US Navy qui n'est pas du tout taillé pour prendre en charge un projet aussi important. Donc le retard considérable, outre qu'il résulte des 14 ans de retard dues à L.M. n'est pas du tout une surprise. En plus L.M. et le JPO mettent des batons dans les roues en oubliant de financer les étapes futures du projet et en ne lançant pas les achats de simulateurs nécessaires pour reproduire un environnement complexe (ce n'est pas dans le texte ci-dessus mais je le retrouverais). Dernière chose c'est ce petit labo qui doit produire les données de mission (MDL) adaptées à chaque théâtre qui sont nécessaires pour que les systèmes du F-35 puissent produire des résultats magiques, or c'est très long à produire surtout dans un petit labo où il y a peu de moyens et tout à fait hors de proportion avec les besoins associés au déploiement mondial du F-35 dans 9 pays dont les Etats Unis. Pour l'instant le challenge est d'arriver à produire les MDL qui permettent de finir les tests opérationnels. Cerise sur le gâteau la communication de L.M. est de dire que le F-35 est tout à fait prêt à passer les tests opérationnels, si seulement le JSE que produit la marine était prêt! Sous entendu que c'est une simple formalité alors qu'on verra que ce n'est pas le cas. -
Les essais opérationnels du F-35
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Malheureusement le JPO est dirigé par LM, ou dit autrement, sans l'influence de LM le JPO se comporterait normalement. C'est du procès d'intention...Je sais. -
Je pense qu'il y a un problème avec les essais opérationnels du F-35, un peu comme j'avais mis l'accent en 2014 sur le problème que posait de mon point de vue le logiciel du F-35. Le problème que je perçois résulte de la qualité très médiocre du logiciel du F-35 combiné à un laxisme coupable de Lockheed Martin pour développer les outils qui sont nécessaires pour réaliser les dit essais opérationnels. Si dans un programme bien mené, il reste quand même des anomalies que le maître d'œuvre doit corriger à ses frais, elles ne représentent en général que quelques pourcents chaque année du nombre d'anomalies découvertes pendant la phase de mise au point du genre 1% si le programme a été très bien mené, 2% si il a été bien mené et 3% si ce n'est pas le cas. Sur une vie opérationnelle de 30 ans cela fait quand même un nombre conséquent d'anomalie mais ce n'est pas vraiment un problème car elles sont corrigées au fur et à mesure de leur découverte au titre du MCO. Mais dans le cas du F-35 elles sont en nombre si important que tout se passe comme si la phase de développement n'était pas terminée, et pourtant cette phase (SDD) a été close et les tests opérationnels IOT&E ont commencés. Je voudrais dans ce sujet mettre à jour les manœuvres de Lockheed Martin pour échapper le plus longtemps possible à une évaluation par des parties indépendantes de son système ce qui explique le laxisme avec lequel il a pris en compte les besoins de la phase d'essais opérationnels.
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
En fait @Boule75 exagère un peu: on en sait rien, mais ce serait une décision logique: http://www.defense-aerospace.com/article-view/release/186929/us-may-not-fix-108-sub_standard-f_35s-due-to-cost.html Voilà il y a 108 FF-35 avec un software Block 2B, on n'envisage pas de les passer au block 3F qui est le premier standard qui permet le combat parce que la modification est trop coûteuse, on s'en sert pour l'entraînement, mais comme il ne sont pas apte au combat, on ne peut s'entraîner qu'à piloter. de plus ce sont les avions les plus cher à maintenir car ils sont issus des premiers batchs qui ont des défauts structurels lourds en plus de leur limitation logicielles. Donc il ne serait pas illogique de les envoyer à la casse, et cela a été envisagé pour faire des économies. Tout cela est bien connu par les forumer de AD.net même si c'est ancien, et surtout si une information était venu contredire cette situation depuis 2017 qui est la date de cet article, l'information ne serait pas passé inaperçue. Aussi c'est un peu dur de se faire traiter de non sincère par un nouveau qui conteste des évidences. Je rajoute le point de vue de l'éditeur de l'article en lien qui me semble aussi intéressant:- 4 664 réponses
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
En tous cas ça met l'heure de vol du Rafale à plus de 50000 francs Suisse....- 4 664 réponses
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Moi j'ai l'impression qu'il suffit de prétendre qu'il fait, ou plutôt qu'il fera des trucs magiques, pour que les Suisses le croie.
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Finalement on a quand même une source Egyptienne même si elle n'est pas officielle.
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Je propose de faire une nouvelle campagne d'allègement du F-35....
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Je mets une traduction DeepL qui corrige quelques passages obscurs. Η επικράτηση των RAFALE-SPECTRA έναντι των Su-35 με τα NIIR BARS… είναι μόνο ένα από τα διδάγματα Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) La prédominance du RAFALE-SPECTRA sur le Su-35 avec NIIR BARS... n'est qu'une des leçons apprises. Les Rafale égyptiens n'ont pas seulement aveuglé les radars des Su-35... Ils construisent une nouvelle doctrine opérationnelle pour les forces armées égyptiennes ! Une enquête plus approfondie sur les rapports concernant la prédominance universelle du Rafale égyptien sur le Su-35 lors d'exercices entre tous les types de chasseurs de l'armée de l'air égyptienne où le système d'autoprotection et de guerre électronique SPECTRA a désactivé le radar NIIR BARS du Su-35, révèle que ces rapports sont vrais, mais aussi un deuxième développement important. Tant pour l'Égypte que pour l'équilibre des forces plus largement dans le bassin de la Méditerranée orientale ! Par Stergios D. Theofanidis Selon l'article de Global Defense Corp, sur lequel se fonde le rapport de DP sur la prédominance du Rafale de fabrication française sur le Su-35 de fabrication russe, l'armée de l'air égyptienne est désormais exclusivement orientée vers la construction d'une force de 72 à 100 chasseurs Rafale. Les Égyptiens, qui ont investi des sommes considérables au cours de la dernière décennie pour moderniser leur marine avec des navires et des armes européens et leur armée de l'air dans le but de jouer naturellement un rôle de premier plan en Méditerranée orientale, sont proches de la force prévue de 72 à 100 Rafale, étant donné qu'ils ont récemment signé la fourniture de 30 chasseurs supplémentaires de ce type par la France. Ce changement impressionnant en faveur du chasseur français n'est pas seulement dû au refus des États-Unis de fournir des armes aériennes avancées au Caire. Elle peut également être attribuée au fait que les Égyptiens cherchent désormais à homogénéiser au maximum leur flotte de chasseurs et d'armes aéroportées, tout en s'assurant une supériorité technologique et opérationnelle. Par conséquent, outre le fait que les États-Unis refusent même de fournir des armes telles que l'AIM-120C AMRAAM air-air à l'Égypte, le pays d'Afrique du Nord et son armée de l'air en pleine croissance semblent avoir fait leurs comparaisons et conclu que même l'acquisition de chasseurs construits en Russie et d'origine russe n'est pas rentable. Les récentes informations selon lesquelles le Rafale égyptien peut brouiller efficacement les radars des chasseurs russes Su-35 au point de les rendre totalement inactifs, devraient être considérées comme fondées... Il convient de noter que les systèmes d'autoprotection et de guerre électronique ICMS 2000Mk.1 et -Mk.3 des Mirage 2000EG et -5Mk.2 grecs respectivement, sont considérés comme les meilleurs de leur catégorie en service dans l'armée de l'air. Et ce n'est pas un hasard si, lors des exercices de coopération entre ses escadrons de chasse équipés de différentes versions du F-16 et des MCP 331 et 332, le système français, dans ses deux versions, a démontré des capacités qui donnent un avantage absolu à ses chasseurs porteurs, en désactivant complètement les radars des chasseurs de fabrication américaine. En d'autres termes, rendre impossible aux F-16 de viser les Mirage 2000. Nous ne nous étendrons pas davantage pour des raisons évidentes. Ce qui nous intéresse, en tant qu'information et conclusion utiles, c'est que la France rivalise avec les États-Unis et la Russie en libérant (à un prix économique élevé correspondant, bien sûr...) des technologies et des capacités que les deux grandes puissances ont refusé de libérer pour l'Égypte. Si l'on passe à l'analyse des capacités du radar passif à balayage électronique (PESA) BARS, dont est équipé le Su-35 égyptien, la seule chose que l'on souligne pour gagner du temps et de l'espace est que le système est assez ancien et que ses capacités sont inférieures à celles des systèmes AESA aéroportés occidentaux modernes. Cette conclusion est tirée des données révélées par le même site web (Global Defense Corp) dans une rubrique connexe. Par conséquent, ce que nous devons retenir de la publication concernant la prédominance universelle de SPECTRA sur le radar NIIRS BARS du Su-35 égyptien, c'est qu'elle est fondée sur le fossé technologique entre les deux systèmes. Enfin, il convient d'accorder une attention particulière à un autre point important du site web dans cette rubrique, qui se lit comme suit : "Mohammad Al Kenany, analyste militaire au Forum d'analyse politique arabe du Caire, a révélé comment le fabricant du Rafale, Dassault Aviation, fournit à l'armée de l'air et aux forces armées égyptiennes la capacité d'interconnecter des systèmes de liaison de données de différentes origines, même ceux qui ne sont pas conformes aux spécifications de l'OTAN." Il poursuit : "Le processus d'interconnexion des systèmes et d'échange efficace de données comprendra la création de centres intégrés de commandement et de contrôle au sol, qui recevront des images et des données provenant de chasseurs, d'hélicoptères, d'unités de surface et de plateformes terrestres et pourront les relayer." Les Égyptiens entendent ainsi utiliser pleinement les systèmes russes et américains, aéroportés et non aéroportés, qu'ils maintiennent en service. Dans le même temps, la Grèce parle du retrait des systèmes d'armes russes, sans aucun plan réalisable et bien pensé pour accroître l'interopérabilité et l'interconnectivité des systèmes critiques des forces armées. Un projet qui pourrait être réalisé en grande partie même par des entreprises grecques. En outre, la politique de désarmement se poursuit par l'acquisition continue d'avions principalement (MH-60R) et la modernisation des plus anciens (P-3, F-16), sans l'inclusion d'armes aéroportées véritablement modernes. Toute comparaison avec les actions des dirigeants égyptiens est triste pour la Grèce. Même dans le cas du Rafale par exemple, les Égyptiens ont inclus dans l'achat des 24 premières unités l'armement air-sol de base du chasseur. L'AASM (HAMMER) qui assure simultanément des frappes de précision (jusqu'à six cibles) à des distances et altitudes sûres pour le chasseur et son équipage...
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
C'est un mec qui se lamente que les élèves aujourd'hui ne savent plus graver la pierre, et il se demande comment ils vont faire pour écrire.- 4 664 réponses
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Je n'ai pas retrouvé trace des ICMS dans l'article que tu as mis en lien.
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Armée de l'air égyptienne : quand le Rafale "aveugle" le Su-35 avec le Spectra Les capacités impressionnantes de l'avion de combat français Rafale F3R sont louées par les Égyptiens, selon un rapport du site web globaldefensecorp. Selon le site web, les Égyptiens sont tellement satisfaits des performances de l'avion que, si la situation financière du pays le permet, ils ont l'intention d'acheter 18 à 36 nouveaux chasseurs supplémentaires après avoir récemment commandé 30 Rafale F4 pour 4,5 milliards. Ce qui a réellement impressionné les Égyptiens, c'est la capacité du système de guerre électronique Spectra du chasseur français à contrer le radar du chasseur russe Su-35 que l'armée de l'air égyptienne utilise également. Le système de guerre électronique français a réussi, lors d'exercices entre le Rafale F3R et le Su-35, à neutraliser le radar de type BAR avec la technologie AESA lorsque ce dernier a tenté d'attaquer les chasseurs français avec l'avantage de la surprise. En outre, les chasseurs français ont démontré des capacités exceptionnelles de transmission, d'échange et de distribution d'informations à d'autres chasseurs et plateformes opérationnelles grâce au système de liaison de données que le Rafale F3R possède avec les centres de contrôle au sol. De cette manière, les chasseurs occidentaux ont pu communiquer avec les avions russes de l'armée de l'air égyptienne, ce qui a permis d'accroître l'interopérabilité entre des avions de conception et d'équipement différents. Pour ces raisons et un certain nombre d'autres, l'armée de l'air égyptienne souhaite acheter davantage d'avions Rafale, ce qui en fait le deuxième plus grand utilisateur du chasseur français. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) C'est des informations qu'on avait déjà de source Russe mais pour lesquelles on attendait confirmation (et on attend toujours) du coté égyptien.
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Les nouvelles positives du programme JSF F-35
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
F-35 Joint Program Office begins deployment of new logistics hardware to F-35 squadrons- 885 réponses
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Kendall: Current F-35 Block 4 Issues Reminiscent of Earlier JSF Problems Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Kendall : Les problèmes actuels du bloc 4 du F-35 rappellent les problèmes antérieurs du JSF Le 10 août 2021 | Par Brian W. Everstine L'avion d'attaque interarmées F-35 et le nouveau secrétaire de l'armée de l'air Frank Kendall ont une histoire, et certaines parties de celle-ci semblent se répéter. M. Kendall, qui en est à sa troisième semaine à la tête du département de l'armée de l'air, a supervisé les achats d'armes du ministère de la défense en tant que sous-secrétaire à la défense pour les acquisitions, la technologie et la logistique de 2012 à 2016. Pendant les deux années précédentes, il a occupé les fonctions de sous-secrétaire adjoint principal et de sous-secrétaire par intérim au sein du même bureau. Au cours de ces premières années, le F-35 ne se développait pas comme prévu. De graves problèmes de conception ont nécessité de coûteuses mises à niveau. Les problèmes ont atteint leur paroxysme lors des discussions contractuelles sur le lot 4 de la phase de production initiale à faible cadence de l'avion. Les accords en place depuis 2010, avec les rétrofits prévus, ne correspondaient pas aux besoins du ministère de la Défense. "Nous sommes dans une situation qui ressemble un peu à celle que j'ai connue plus tôt, autour du lot 4 environ, lorsqu'il y avait beaucoup de problèmes de conception sur un avion qui n'avaient pas été résolus, et que nous étions en train d'acheter des avions qui allaient avoir besoin de modifications importantes", a déclaré Kendall à Air Force Magazine dans une interview exclusive. "À ce moment-là, j'ai sérieusement envisagé d'arrêter la production pendant deux ou trois ans pour que ces problèmes de conception soient résolus. ... "J'ai décidé de ne pas le faire. " Il a plutôt décidé de plafonner le taux de production à 30 appareils pendant deux ans, "en partie" pour faire pression sur le constructeur, Lockheed Martin, "mais aussi pour éviter d'acheter des avions sur lesquels nous allions devoir apporter des modifications coûteuses après les avoir achetés". "Cela a fonctionné". Aujourd'hui, selon M. Kendall, le Pentagone semble être dans une situation similaire : L'armée de l'air devrait acheter les F-35 dont elle a besoin, en particulier la mise à niveau du bloc 4 avec le Technology Refresh 3, "qui connaît des problèmes", a déclaré M. Kendall. Le TR3 comprend un nouveau processeur central, une mise à niveau du radar et un nouvel affichage dans le cockpit, ainsi que des mises à jour logicielles pour améliorer les capacités de guerre électronique. Cette mise à jour permettrait de "débloquer" les améliorations du bloc 4 du jet. Étant donné que la version Block 4 correspond à ce que souhaite l'armée de l'air, les négociations ont porté sur un nombre réduit d'appareils pour les prochains lots de production. Le Joint Program Office du F-35 a déclaré que la mise à niveau du TR3 serait effectuée dans le lot 15, prévu pour 2023, "selon les besoins". Dans l'intervalle, l'armée de l'air ralentit ses achats de F-35, prévoyant 48 appareils pour l'exercice 2022, puis 43 par an de l'exercice 2023 à l'exercice 2026, soit une baisse de 10 % par rapport à son précédent plan de défense pour les années à venir. Les sceptiques remettent en question le calendrier des mises à niveau du bloc 4. Le Government Accountability Office, dans un rapport de mars, a déclaré que le calendrier du JPO pour l'effort de modernisation n'était "pas réaliste", le Pentagone sous-estimant régulièrement la quantité de travail nécessaire pour développer les mises à niveau. "Je pense que nous devons examiner, à ce stade, quel est le taux de production approprié pour nous permettre de passer de la situation actuelle à l'obtention de cette capacité", a déclaré M. Kendall. "Et l'entrepreneur n'a pas été très performant - il y a eu beaucoup de problèmes à ce sujet." Comme pour les négociations sur le lot 4, M. Kendall espère que le ralentissement des achats permettra de faire pression et d'obtenir les améliorations nécessaires. "Il est essentiel, pour le succès de ce programme et la capacité de cette plate-forme, que la mise à jour technologique 3 soit mise en service et que la mise à niveau du bloc 4 soit mise en service", a déclaré M. Kendall. Sa philosophie en matière d'acquisition consiste à mettre "une capacité militaire significative entre les mains des opérateurs". C'est de cela qu'il s'agit. Et nous devons arriver au bloc 4". L'armée de l'air est confrontée à des coûts d'exploitation et de maintenance extrêmement élevés pour le F-35, un autre problème qui pourrait affecter la santé à long terme de la flotte. M. Kendall, qui n'en est qu'à sa troisième semaine, a déclaré qu'il n'avait pas eu l'occasion d'examiner la question en détail, mais qu'il en avait récemment discuté avec le Joint Program Office. "Ils pensent qu'ils ont des moyens de réduire les coûts de manière significative et qu'ils sont toujours en train de les explorer. C'est donc encourageant". Le F-35 représente toujours une "capacité considérablement améliorée" par rapport aux avions de quatrième génération, a déclaré M. Kendall. Le jet représente une "capacité de guerre aérienne tactique qui change la donne". Et il est coûteux, par rapport à des systèmes beaucoup plus anciens, beaucoup plus simples et moins performants". À mesure que la flotte s'agrandit, l'armée de l'air et les autres parties prenantes doivent réduire les coûts, a-t-il ajouté. Parmi les "vraies opportunités", on peut citer le remplacement du système d'information logistique autonome, tant décrié, par le réseau intégré de données opérationnelles. "Nous pouvons espérer réduire la main-d'œuvre grâce à ce système. Nous pouvons réduire la durée des cycles de maintenance et réaliser des économies à ce niveau également", a déclaré M. Kendall. Il a ajouté : "Il existe également certaines technologies qui pourraient être intégrées dans les futures mises à niveau et qui pourraient réduire de manière significative certains des coûts opérationnels, tels que le carburant, mais nous ne sommes pas prêts à nous engager à ce stade. Il a hoché la tête lorsqu'on lui a demandé s'il faisait référence à un "moteur de nouvelle génération".
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Oui, j'avais choisit un titre plus parlant
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J'ai créé un sujet sur l'UDOP qui n'est pas sans rapport avec vos questionnements.
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CM – Airbus A350 : Qatar Airways en cloue treize au sol
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
The Art of Dissuasion Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'art de la dissuasion LE 7 AOÛT 2021 PAR CAPORAL FRISKIN AIR, FINLANDE, FRANCE Lorsque l'ambassadrice de France en Finlande, Mme Cukierman, commence à parler d'armes nucléaires dans ce qui est ostensiblement un argumentaire de vente pour le Rafale de Dassault comme prochain avion de combat de la Finlande, et qu'elle est suivie par un représentant de la société qui s'attarde également sur le fait que le Rafale est doté d'une capacité nucléaire, on pourrait penser que quelqu'un d'un fabricant d'eurocanards concurrent a saboté leurs arguments. La Finlande et la France étant toutes deux membres de longue date du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). Cependant, nous assistons en fait à nouveau à un phénomène que j'ai évoqué à de nombreuses reprises sur ce blog : Le Rafale est en quelque sorte une aberration dans la compétition HX, tant au niveau de l'offre elle-même que du marketing. Et une fois que l'on a accepté cela et que l'on a surmonté le premier choc de la rencontre (au sens figuré) avec l'Air-Sol Moyenne Portée-Amélioré à Kaivopuisto, il s'avère que cette fois encore, il y a de bons arguments dans le message français. Des livres ont été écrits sur la France et ses armes nucléaires, mais en résumé, la France a une stratégie de contre-valeur, c'est-à-dire qu'elle vous fera tellement mal que cela n'en vaut pas la peine. Cela inclut la curiosité française d'une frappe "pré-stratégique" avec une arme aérienne lorsque les intérêts vitaux de la France sont menacés, comme un dernier avertissement à l'ennemi de se retirer ou d'affronter toute la colère de l'arsenal nucléaire français, mais la question de savoir si ce plan est toujours en vigueur fait l'objet d'un débat. Aujourd'hui encore, les Français accordent une grande importance à la composante aéroportée de leurs armes nucléaires et ont refusé toute tentative politique de se doter uniquement de SNLE comme leurs homologues britanniques (notez également que si les Français voient une utilité aux armes à faible rendement, il ne s'agit pas d'armes tactiques dans la doctrine française mais simplement d'armes stratégiques plus petites). Le fait est que la France accorde une très grande importance à sa dissuasion nucléaire indépendante, la Force de dissuasion, et pour qu'elle fonctionne comme une force de dissuasion, tout le monde - amis et ennemis confondus - doit être absolument sûr que si le Président donne l'ordre, le résultat sera vraiment le feu et le soufre sur la cible visée. Et le Rafale est choisi pour être l'auteur de cette destruction. En d'autres termes, il est de l'intérêt stratégique vital de la France que le Rafale soit suffisamment fiable pour être prêt pour une mission 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. Annuler un brouillage QRA en raison de problèmes de maintenance est embarrassant, annuler une frappe nucléaire peut signifier la destruction de votre pays. Paris fait confiance au Rafale pour être prêt si l'appel devait se produire, et s'entraîne à la mission complète plusieurs fois par an sous le nom de code "Poker". C'est autre chose par rapport aux promesses de certains niveaux de disponibilité d'ici 2025. Le deuxième point est tout aussi important, à savoir que les Français font confiance au chasseur pour atteindre sa cible, quels que soient le moment et l'endroit où il se trouve. Il est vrai que l'ASMP-A offre une certaine distance de sécurité (probablement de l'ordre de 300 à 500 km), mais comme vous ne pouvez pas choisir vos cibles de contre-valeur (on peut s'attendre à ce qu'elles se trouvent profondément derrière les lignes ennemies et qu'elles soient plutôt bien défendues), peu importe qu'il y ait une "bulle A2/AD" sur votre chemin - vous devez être capable de la traverser. Et là encore, Paris est convaincu que le Rafale peut se frayer un chemin à travers tout ce qui se présente sur son chemin. Le SCAF et l'ANS4G sont peut-être à l'horizon, mais le Rafale passera très probablement encore des décennies avec la mission de frappe nucléaire (notez que le Mirage 2000N antérieur n'a été complètement retiré qu'en 2018). Tous les systèmes SCAF devraient être en place vers 2040, bien que ce soit un calendrier ambitieux et qu'il s'agisse probablement plus d'un IOC que d'un FOC. Les forces de défense finlandaises sont résolument conventionnelles, mais elles ont besoin d'être sûres des deux mêmes choses que leurs homologues françaises : que leurs chasseurs sont disponibles et utilisables lorsqu'on les appelle, et qu'ils seront capables de survivre dans des conditions hostiles aujourd'hui et demain, jusqu'en 2060. Et il existe peu de meilleures garanties qu'une chose restera à jour qu'une grande puissance qui la considère comme un intérêt national vital. Comme nous l'avons déjà évoqué sur ce blog, le Rafale en lui-même est plutôt une bonne chose pour la Finlande. Bien que la nature orientée vers le territoire national du FDF signifie qu'il ne va pas s'envoler pour Tahiti de sitôt, la possibilité de charger du carburant supplémentaire pour une endurance prolongée lors des missions de police aérienne est appréciable. L'utilisation d'opérations à très basse altitude et d'une guerre électronique avancée pour opérer à portée des capteurs et des armes russes est également une caractéristique intéressante qui correspond bien au type de transformation Boucles d'or que les FDF aiment : se baser sur les CONOPS finlandais actuels avec des mises à niveau évolutives plutôt que révolutionnaires. La politique française de sécurité nationale est également assez bien alignée sur la politique finlandaise en ce qui concerne le point principal selon lequel la sécurité doit reposer sur des capacités souveraines, qui sont ensuite soutenues par des niveaux multiples de partenariats et de capacités permettant des opérations communes. Le fait qu'il s'agisse de la seule offre exempte d'ITAR mérite également d'être souligné, car même les entreprises américaines sont suffisamment confrontées à la bureaucratie américaine en matière de contrôle des exportations pour y voir un argument de vente (voir l'ATS de Boeing). De la même manière que pour BAES, le message de la liberté totale d'exploiter l'avion et tous les systèmes de soutien est un élément clé de l'offre, et même si la Finlande dispose actuellement d'un modèle basé aux États-Unis qui fonctionne apparemment bien, il est difficile de surestimer la tranquillité d'esprit que la "pleine autonomie immédiate" promise apporterait dans l'ère post-Trump. Mais que contient exactement le BAFO ? Dassault, qui n'est pas du genre à être trop bavard, a choisi de ne pas commenter les chiffres. Cela me semble moins inquiétant que le fait que BAES ne fasse pas de même, précisément parce que Dassault (contrairement à BAES) a adopté une politique plus fermée en matière de communication. Néanmoins, il serait agréable d'entendre un chiffre "6x" comme confirmation. Au lieu de cela, la ligne officielle est que l'offre couvre : En ce qui concerne l'armement, il n'y a pas de déclaration, mais il est clairement indiqué que les graphiques montrés aux médias réunis ne sont pas le fruit du hasard, mais qu'ils ont été conçus pour accompagner les événements médiatiques HX. En tant que tel, on peut en conclure pas mal de choses. Partie de la diapositive montrée aux médias finlandais et montrant les charges opérationnelles prévues sur la base des armes proposées dans le BAFO. Source de l'image : Dassault Aviation La première chose qui ressort est que les Français s'attendent à ce que leur amour des réservoirs de largage externes soit transféré en Finlande en cas de victoire. Alors que les Hornets finlandais sont régulièrement vus avec des configurations de réservoirs externes typiques de l'USN, je pense toujours que la configuration complète à trois réservoirs est un peu excessive pour les vols quotidiens finlandais. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas le détail le plus intéressant ici. Au centre se trouve la charge air-air complète. Il est à noter que Dassault a débloqué deux emplacements supplémentaires pour le Meteor par rapport à la configuration AAE actuelle, ce qui porte le total à quatre Meteor à très longue portée, deux MICA IR à moyenne portée avec des viseurs infrarouges à imagerie, et deux MICA EM à moyenne portée avec des viseurs radar actifs. Cette charge est moins importante que celles de certains concurrents (comme l'Eurofighter avec six Meteor et deux ASRAAM ou le Gripen avec sept Meteor et deux IRIS-T), mais elle reste dans la fourchette haute de ce que l'on peut attendre d'une charge opérationnelle en temps de guerre et elle brûlera les stocks de missiles à un rythme impressionnant dès que vous commencerez à voler à un rythme élevé. Les stations Meteor supplémentaires ont été identifiées depuis longtemps et des essais préliminaires ont été effectués, mais jusqu'à présent, la France a décidé de ne pas investir dans le travail de certification final. L'option la plus intéressante est celle du haut à gauche, qui consiste en un chargement antinavire comprenant un seul missile antinavire AM39 Exocet à visée radar, ainsi que les deux Meteor et deux plus deux MICA pour l'autodéfense. Par rapport aux formulations initiales plus prudentes données lors des premières étapes du HX, il semble maintenant évident que l'armée de l'air finlandaise envisage sérieusement d'équiper la plate-forme HX d'armes cinétiques antinavires. L'Exocet actuel est bien loin de l'arme originale qui a fait des ravages aux Malouines et dans le Golfe dans les années 80, mais sa conception de base est toujours celle que les FDF préfèrent lorsqu'il s'agit de tuer des navires : gros, lent, avec un viseur radar actif et une ogive sérieuse. Il est peu probable que l'arme antinavire proposée soit un facteur décisif, mais la marine finlandaise approuvera très probablement d'un signe de tête s'il s'avère qu'elle reçoit un appui pour les Exocet lancés par voie aérienne. En bas à gauche et au centre, on trouve des modes air-sol plus traditionnels avec la série française de missiles guidés AASM "Hammer" (la bombe de base est équipée d'une unité de propulsion par fusée ainsi que d'un kit de guidage). Les versions particulières de cette famille d'armes modulaires montrées dans la présentation sont évidemment quelque peu difficiles à déduire, mais on peut dire sans risque de se tromper que la version de gauche montre trois armes de 1 000 kg (qui seront introduites sur le F4-standard) tandis que celle du milieu montre la version opérationnelle avec six armes de 250 kg. Les deux chargements comportent également deux MICA IR et deux Meteor pour l'autodéfense. L'armement de frappe lourde est présenté dans le coin inférieur droit et, sans surprise, il comprend deux missiles de croisière lourds SCALP (Storm Shadow) ainsi que des missiles MICA IR et Meteor. Rien d'étrange ici, et ce chargement est également utilisé par l'armée de l'air française. L'image en haut à droite est la plus intéressante, car elle présente une alternative typiquement finlandaise qui, je crois, n'a jamais été abordée dans aucun autre accord. Nous avons rien de moins que quatre missiles JSM (ainsi que deux MICA et deux Meteor). Avec l'Exocet qui fournit le missile antinavire lourd et sur la base du matériel fourni par Dassault l'année dernière à Kauhava, il semble évident que c'est l'arme SEAD/DEAD de choix pour les cibles qui sont juste un peu trop dangereuses pour que l'on veuille amener l'AASM au combat (bien qu'il puisse aussi tuer des navires). La façon dont cela correspond à l'exigence d'un standard aligné sur l'utilisateur principal n'est pas claire, et le trou dans l'armement du Rafale entre l'AASM et le SCALP est, pour autant que je sache, le seul exemple dans HX où un concurrent a dû intégrer une nouvelle capacité pour couvrir les exigences finlandaises (la décision politique suédoise d'acheter ce que la Finlande fait en cas de victoire du Gripen étant évidemment une exception). Bien qu'il y ait des avantages et des inconvénients à utiliser un détecteur de signaux par rapport à une arme plus traditionnelle dans le rôle SEAD, le JSM n'est pas nécessairement une arme plus mauvaise dans ce rôle par rapport à quelque chose comme l'AARGM-ER, car si le ciblage devient plus compliqué, il offrira au contraire une plus grande flexibilité pour toucher d'autres types de cibles comme les grandes TEL et les nœuds C2/C3. Certains prétendent que la liaison de données utilisée par le Rafale pour le Meteor n'est pas optimale pour cet usage, car elle a été conçue à l'origine pour être utilisée avec le MICA. Bien que Dassault n'ait pas fait de commentaire sur ce point précis, la société a fait remarquer que le Rafale dispose d'une liaison de données avancée utilisée à la fois entre les avions et entre les armes. Cela permet, entre autres, l'identification passive collaborative où les chasseurs partagent les données des capteurs passifs, et fusionnent les données des capteurs pour fournir des solutions d'identification et de tir. Une autre possibilité consiste à transférer le guidage à mi-course du Meteor à un autre Rafale, ce qui permet par exemple à un Rafale de s'approcher passivement et de tirer l'arme, après quoi il se détourne et un deuxième Rafale dont le radar est actif à distance de sécurité prend en charge le guidage du missile. Comme l'a souligné le major-général (retraité) Joel Rode, l'important n'est pas tant de transporter le Meteor que de savoir comment l'intégrer dans les sous-systèmes de l'avion et comment l'utiliser. Et là, Dassault est très satisfait du travail accompli. Le prochain MICA NG, qui sera en ligne au moment où le HX atteindra sa pleine capacité opérationnelle, est également destiné à améliorer considérablement le punch à courte et moyenne portée de l'avion, avec de nouveaux autodirecteurs pour les deux versions et un nouveau moteur de fusée à double impulsion qui non seulement donnera une plus grande portée, mais améliorera considérablement la manœuvre vers la fin de l'engagement. À l'appui de ses capacités passives, le SPECTRA et ses systèmes associés ont généralement reçu des notes élevées et, selon Dassault, le système a été décrit par des officiers finlandais participant à un exercice de la série MACE d'exercices de recherche et d'essais de l'OTAN pour les systèmes et tactiques d'autoprotection des avions en Slovaquie comme "la référence" en termes de capacité de détection et de brouillage. En ce qui concerne le monde très complexe de la guerre électronique, Dassault est le seul concurrent à proposer une combinaison de chasseurs monoplaces et biplaces pour un usage opérationnel général. Ironiquement, la meilleure description de la valeur des biplaces opérationnels en HX a peut-être été fournie par Saab avant que l'exigence d'"alignement sur l'utilisateur principal" n'empêche l'inclusion du 39F dans son BAFO : Saab aurait pu être incapable de poursuivre, mais comme la France utilise une flotte mixte de Rafale B/C pour des missions opérationnelles, elle est heureuse de l'utiliser. Comme mentionné, les chiffres exacts ne sont pas fournis, mais Benjamin Gardette, directeur de la campagne HX, note que la combinaison de 57 monoplaces et de 7 biplaces de l'armée de l'air finlandaise est bonne si vous souhaitez uniquement utiliser ces derniers comme plate-forme de conversion/formation, mais que si vous souhaitez une utilisation opérationnelle, vous devez probablement augmenter le nombre de biplaces. Pour donner une idée des chiffres qui pourraient être impliqués, je crois savoir qu'actuellement deux des cinq escadrons opérationnels de Rafale (sans compter les unités de test et d'évaluation ou d'UCO, ni les unités déployées à l'avant) utilisent le biplace pour des missions de frappe complexes, tant conventionnelles que nucléaires. Pour une flotte hypothétique de 64 avions, cela signifie 26 biplaces. Saab prévoyait d'offrir 12 biplaces (18 % du nombre total d'avions de combat), ce qui est un nombre plus proche de ce que j'attendrais de la Finlande, compte tenu du manque actuel de spécialistes WSO/EW dans la force de combat et du fait que la mission nucléaire n'est pas nécessaire. Il s'agit toutefois d'une pure spéculation de ma part, et il serait intéressant de voir où se situe le chiffre final. Il est également fort possible que le BAFO comprenne des options permettant d'ajuster le ratio à la hausse ou à la baisse par rapport au chiffre suggéré par Dassault. En ce qui concerne la participation industrielle, Dassault estime que le résultat pourrait atteindre 5 000 emplois, après avoir calculé les emplois directs et indirects. Ce chiffre est élevé, mais correspond à peu près aux chiffres publiés par Saab et BAES. Ce n'est pas vraiment surprenant, étant donné que les cinq paquets de participation industrielle visent à couvrir des sommes à peu près similaires. Un détail plus intéressant et potentiellement plus important est que Dassault mentionne qu'il offre des "droits de propriété intellectuelle libres d'utilisation". La réglementation en matière de DPI est un domaine juridique hautement spécialisé, aussi j'éviterai de m'y aventurer trop loin, car je risque de me tromper. Cependant, à un niveau élevé, on peut conclure sans risque que la libre utilisation des DPI est une affaire importante, et probablement une affaire plus facile à offrir pour les concurrents européens que pour les concurrents américains. Il est indéniable que le choix du Rafale constituerait un changement majeur dans les modèles de coopération bilatérale pour les FDF en général et l'armée de l'air finlandaise en particulier, et qu'il s'agirait d'un résultat surprenant de l'HX. Des questions persistantes se posent également quant au coût et à la disponibilité d'un réapprovisionnement rapide des stocks d'armes plutôt uniques proposées avec l'avion, et la volonté de la France de vendre des systèmes et des plates-formes de haute technologie à quiconque a de l'argent (y compris la Russie) soulève des préoccupations politiques. Pourtant, il y a beaucoup à dire sur les raisons pour lesquelles le Rafale est intéressant pour la Finlande, y compris non seulement les performances de la plate-forme elle-même, mais aussi la façon dont elle s'intègre dans le concept d'opérations finlandais et la souveraineté qu'elle offre. L'argument de vente unique d'un chasseur biplace apte au combat peut également s'avérer être un atout dans leur manche si cela se passe bien dans les wargames de la FDF. L'annonce du HX pourrait bien devenir un moment décisif pour la sécurité nationale finlandaise, mais accroître l'attention que les forces armées françaises accordent aux développements autour de la mer Baltique ne serait pas un mauvais résultat en soi. Même en tant que plate-forme conventionnelle, le canard né à côté de la Côte d'Argent apporterait certainement une certaine dissuasion dans le ciel finlandais.- 4 664 réponses
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Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
L'Indonésie c'est plutôt un pays équatorial, alors l'hiver.... -
F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
The program suspended testing of the F-35B ground test article (BH-1) after completing the second lifetime of testing in February 2017. Due to the signifi cant amount of modifi cations and repairs to bulkheads and other structures, the program declared the F-35B ground test article no longer representative of the wing-carry-through structure in production aircraft, deemed it inadequate for further testing, and canceled the testing of the third lifetime with BH-1. The program secured funding to procure another ground test article, which will be production-representative of Lot 9 and later F-35B aircraft built with a re-designed wing-carry-through structure, but to date does not have the procurement of the test article on contract. The program has not completed durability testing of the aircraft with the new wing-carry-through structure to date Et Although the program planned for a third lifetime of testing to accumulate data for life extension, if needed, the program currently has no plans to procure another F-35C ground test article. Il n'y a pas de pire sourds que ceux qui ne veulent pas entendre -
Moi j'ai compris que ce qu'il appelle "meilleur performance" pour les sidelobs c'est quand ceux ci sont minimes, car il associe meilleur performance avec moins de parasites et de faux signaux. Cela devrait clarifier un peu son raisonnement.
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F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Pour les essais de durabilité je propose ce lien: http://www.air-defense.net/forum/topic/21572-f-35-les-rapports-du-gao-et-du-dote/?do=findComment&comment=1258872 Pour le F-35 B les problèmes sont en partie corrigés à partir du lot 9. Pour tous les types de F-35 des modifications sont à apporter jusqu'au lot 12. Il était bien prévu, comme c'est la norme en aéronautique, de faire des essais d'une durée de 3 vies opérationnelles, mais pour les F-35 B et C cela a été abandonné et on se contente de deux vies opérationnelles. Les problèmes structurels sont une partie de raisons qui limitent la vie des premiers F-35, mais la raison principale est la mise à jour nécessaire de l'informatique de l'avion. 108 F-35 sont à la norme logiciel du Block 2B qui ne répond pas en matière de capacités réelles au combat aux besoins de l'USAF. De fait, il devient nécessaire de mettre à jour le logiciel au standard Block 3F au minimum, or l’adaptation du nouveau logiciel n’est pas simple. En effet, il faut changer l'informatique de l'appareil ce qui entraîne entre 150 et 160 modifications avant de pouvoir amener le F-35 au standard Block 3F. Cette situation génère des coûts additionnels énormes. Il faut remarquer que la mise à jour tech-refresh 3, nécessaire pour le block 4, ne pourra sans doute pas être rétrofittée sur les avions 3F pour les mêmes raisons de coûts. -
F-35 Les rapports du GAO et du DOT&E
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Chez moi le lien marche, je l'ai vérifié. Je vous remercie du conseil mais je n'ai pas besoin de Google pour savoir où en est le programme F-35 que je suis de façon très méticuleuse depuis plus de 10 ans.